La nuit de la filleule par Jean-Marc04

Pour une fois, l’avion de Corsair était à l’heure. Le vol de Paris venait d’atterrir à Gillot à 9 H 50.

Gérard, accompagné de sa femme Monique, est venu accueillir sa filleule, Céline pour quinze jours de vacances sous les tropiques.
Fille d’un copain de fac de Gérard, Céline est une superbe métisse, sa maman étant réunionnaise ; peau couleur pain d’épice, des cheveux noirs longs et frisés, des yeux verts et pétillants, un sourire éclatant.

– Mon dieu que tu es devenue belle ; c’est vrai que cela doit faire presque 4 ans que l’on ne s’est pas vu ; tu devais avoir 15 ans environ. Bienvenue ma chérie, on va te faire découvrir le pays de ta maman.
– Parrain, j’ai 20 ans depuis 3 mois, je vieillis moi aussi, dit-elle dans un éclat de rire.

Les bagages une fois embarqués , la route pour rentrer à la maison n’est pas très longue ; Gérard et Monique, « zoreils » installés depuis 10 ans à La Réunion, font découvrir à Céline les routes étroites qui serpentent au milieu des champs de canne dans les hauts de Sainte Marie.

Il fait un beau soleil, tout est bien vert, des fleurs tropicales et autres bougainvilliers agrémentent les abords de la petite route et l’entrée de certaines propriétés.

– Nous habitons un peu dans les hauts, tu verras, on a une vue fantastique sur l’Océan ; il fait très beau en ce moment, tu vas pouvoir profiter de la piscine, l’eau est à 26 ° au moins! !
– C’est mieux qu’à Paris ! Mais il doit bien pleuvoir de temps en temps, tout est bien vert partout !
– Ah oui, presque tous les jours, surtout la nuit ; nous avons notre arrosage naturel et automatique ! mais c’est pas gênant, tu verras !

Gérard a eu le temps d’observer sa filleule ; belle, très belle, trop belle sans doute ;
Une jolie peau foncée, une bouche aux lèvres épaisses et pulpeuses, un sourire éclatant montrant de superbes dents blanches ; grande , assez mince, avec des seins qui attirent le regard et parfaitement moulés par le polo blanc . Pour finir, un jean bien serré qui met en valeur un cul somptueux, comme seules les noires peuvent en avoir !

Monique, appréciant aussi la silhouette de leur invitée, voit, amusée, les regards de son mari, et lui glisse à l’oreille

– Dis donc, du calme, Gégé, elle est trop jeune pour toi, arrête de la mater comme cela.

Un ange passe, avec des intentions et des idées pas très chrétiennes ! !

– Voilà, on arrive !
– Ouais, c’est génial, toutes ces fleurs, c’est beau ; je peux aller me baigner ?
– Bien sûr ma chérie ; tu sais nager évidemment.
– Zut, mon maillot est au fond de la valise, Monique, tu m’en prêtes un pour tout de suite ?

Gérard, qui vient de déposer la valise de Céline sous la varangue, et qui connaît les maillots de sa femme, s’arrête au seuil de la maison, dans l’intention de se rincer l’œil.
En effet, même si les seins et les fesses de Monique sont tout à fait respectables, à mon avis, la petite Céline va avoir du mal à cacher ses lolos et ses fesses dans le bikini de Monique, se dit Gérard !

Elle revient bien vite, ayant réussi à entrer dans le mini bikini blanc ; sur sa peau noire, quelle splendeur !
Les seins effectivement débordent du soutien gorge pigeonnant, deux globes noirs qui remuent à chaque pas de Céline ;
La culotte, trop petite, s’est glissée entre les fesses noires, le tissu s’arrêtant au ras de la toison pubienne et dévoilant un ventre légèrement bombé.

– Tu es vraiment bien faite, la complimente Monique ; mais tu sais, ici on se baigne à poil, Gérard et moi ; si cela ne te gêne pas, il n’y a pas de problème pour nous ;
– Je ne sais pas, on verra. Qu’est ce qu’on est bien ici ! je suis un peu fatiguée par les 12 heures d’avion, je vais me reposer sur un transat.
– Installe toi comme chez toi ; aujourd’hui, repos

Le couple et la jeune fille, s’installent sous les parasols, des boissons fraîches à portée de mains, de la lecture, magazines, journaux.

Il fait chaud, le soleil caresse la peau des trois baigneurs.
Le pied, quoi ! !

Les filles font face à Gérard ; Monique, selon son habitude s’est mise nue, et tout en lisant, passe machinalement et comme toujours, une main nonchalante sur ses seins, ses cuisses, son ventre, son sexe aussi, sans plus faire attention à la présence de Céline.
Gérard, absorbé par un journal auto, regarde d’un œil les gestes de sa femme ; il a gardé son slip, par égard pour Céline, mais se régale de voir cette beauté installée à quelques mètres de lui, à côté de sa femme nue et offerte. L’esprit en ébullition, il échafaude des plans tordus que la présence de cette beauté noire et sculpturale lui inspire.

Au bout de quelques minutes, Monique attaque une petite conversation

– Tu n’as pas trop chaud ?
– Non, çà va encore ; c’est vrai que çà tape ! A Paris, il faisait à peu près 18 °, et ici ?
– On doit être à 26/27, c’est le début de l’été ; les grandes chaleurs, ce sera à partir de décembre !
– Tu veux que je te passe de la crème, tu risques d’attraper un coup de soleil, même avec ta peau noire !

Monique se lève, et s’approche de Céline avec un tube de crème.

– Enlève ton soutien gorge, ce sera plus pratique, et tu n’auras pas de vilaines marques ; çà fera râler ta mère si elle s’aperçoit que tu t’es mise à poil ; elle est toujours aussi coincée ? C’est drôle pour une fille des îles !
– Et oui, c’est tout juste si elle n’enfile pas un imper pour prendre sa douche ; papa râle tout le temps. Mais je ne veux pas vous gêner, surtout parrain.

Le parrain en question, parfaitement hypocrite fait semblant de s’absorber dans sa revue, mais ne perd pas une miette ni de la conversation, ni du spectacle.
Il voit Monique dégrafer le soutien gorge de Céline et libérer ses superbes seins.
Que c’est beau, comme cela doit être agréable de toucher, se dit-il, ressentant une bouffée de chaleur surtout dans son bas ventre !

Monique lui passe de la crème dans le dos, puis lui tend le tube.

– Tiens, protège toi les seins surtout
– Merci, c’est gentil

Il regarde Céline se passer longuement de la crème sur le visage, les épaules, les bras et pour finir sur ses seins lourds, qu’elle enduit lentement de la crème, les soulevant, les massant avec bien d’insistance !

Tant et si bien, que les mamelons sagement rentrés se mettent visiblement à durcir et à pointer, petites fraises très noires que les doigts de Céline agacent discrètement.
Toi, ma petite salope, si ce n’est pas exprès que tu fais çà devant moi, je deviens pape ! Songe Gérard, toujours en ébullition.

– Tu veux à boire ?

Monique, consciente du petit jeu de la jeune fille, a trouvé cette interruption pour faire cesser les gestes un peu ambigus de Céline.

Mais c’est qu’elle m’exciterait avec ses gros nénés, et sa façon de se toucher devant nous, songe Monique ; elle n’est pas comme sa mère, çà c’est sûr ! !

Ils décident, pour ne pas fatiguer la nouvelle venue, de traîner au bord de la piscine jusqu’à 18 H environ, heure à laquelle la nuit tombe de toutes façons rapidement.

Bains répétés dans l’eau chaude de la piscine, petites somnolences, boissons à volonté.
L’après-midi se passe doucement, calmement, avec nonchalance.

Gérard pour se baigner, ôte son maillot comme à l’accoutumée, tout demandant d’abord la permission à Céline.

– Fais comme chez toi, parrain
– Tu peux faire pareil, c’est pas un problème.

Céline hésite un peu, mais finalement garde le petit slip blanc, qui ne cache rien, bien au contraire ! !

Gérard, en connaisseur, apprécie les sorties de l’eau qui rend la culotte blanche transparente, et quasiment indécente, dévoilant le triangle noir du pubis de Céline.

Soirée à Saint Denis dans un restaurant Indien, retour assez tôt pour ménager l’arrivante qui s’était mise à bailler sur le poulet tandori.

Vers minuit, chacune des deux femmes se retire dans sa chambre ;

Monique, « épuisée « par son après midi de bronzage va se coucher en annonçant à Gérard
– Pas de câlin, ce soir, je vais dormir !
– Bien, bonsoir les filles.

Il embrassa amoureusement Monique et fait la bise à Céline, puis se vautre devant la télé avant d’aller se coucher.

Comme souvent, Gérard, insomniaque et énervé en plus ce soir par sa filleule, recherche sur le satellite la chaîne XXL , et tombe sur un film amateur un peu moins nul que d’habitude, avec une jolie actrice blonde aux seins assez petits mais une chatte extrêmement poilue.

Excité par la séance de sodomie que subit la blonde, Gérard ouvre son short, et se met à se manipuler la queue qui bande tout de suite.
Sans hésiter, il se branle au rythme de l’acteur qui encule la blonde ; tout à sa masturbation et absorbé par l’action très hot du film, il n’a pas entendu un bruit dans le couloir.

Un petit toussotement l’interrompt.

– Parrain, qu’est ce que tu fais ?

Merde ! ! !
Branle bas de combat , en une fraction de seconde, Gérard lâche sa queue raide qu’il astiquait consciencieusement, et tente de la cacher sous sa chemisette ; la protubérance indécente ne peut échapper à Céline.

Mais il n’a pas eu le temps d’attraper la télécommande pour arrêter le film. Les images crues continuent à défiler sur l’écran.

– Ben, rien ! ! (Réponse du gamin s’étant fait prendre les doigts dans la confiture.)

Panique momentanée seulement, car Céline s’approche et, s’assied près de son parrain

– J’ai un peu soif, cela doit être la cuisine du resto. Je peux regarder avec toi ?
– C’est pas très correct pour toi, ma chérie
– Dis, tu sais que j’ai 20 ans ! j’ai déjà regardé des films comme cela, et j’avais même pas 18 ans !
– Tu ne diras rien, n’est ce pas ?
– Promis, parrain, ce sera notre petit secret.

Tout en parlant, Céline ne quitte pas l’action des yeux ; la blonde, le cul défoncée et ouvert, suce à présent la queue du mec qui se branle frénétiquement et éjacule sur le visage de l ‘ actrice . Classique !

– Cà ne te choques pas, Céline ?
– Et toi ?
– Moi je suis un homme, c’est fait pour nous ces films de cul
– D’accord, mais tu sais, moi çà ne me gêne pas, et même je dirais que j’aime çà, je me caresse souvent en pensant à des trucs cochons.
– Tu n’as pas honte, dit Gérard en souriant !
– Ben non ; tu vois quand je regarde ces films, j’ai souvent envie d’être à la place des acteurs, je suis toute excitée… Je peux te demander un truc, mais je n’ose pas !
– Tu sais ma chérie, au point où on en est, vas-y !
– Ecoute, quand je suis arrivée, tu te branlais, n’est ce pas ?
– Oui, répond Gérard, penaud et un peu gêné.
– Bon, j’aimerais te regarder continuer jusqu’au bout, et tu la fais gicler, j’aimerais voir en vrai. Je vais me caresser en te regardant, mais c’est tout, promis ?

La salope ! ! Se dit Gérard ; il ne peut qu’accepter, et recommence à se branler.

L’écran ne l’intéresse plus, il observe sa filleule dans la semi obscurité de la pièce.
Il remarque que Céline porte une sorte de fine chemise sous laquelle ses seins libres se voient, avec leurs bouts noirs et dressés.
Elle a gardé un slip, blanc en coton, style « petit bateau » qui moule ses hanches et son ventre.

– Vas-y, caresse toi, je te regarde
– Toi aussi, caresse toi

Gérard se frotte vigoureusement la queue devant le regard un peu trouble et brillant de sa filleule ;
Celle-ci, écartant les jambes, dévoile son slip blanc, se passe un doigt lentement sur l ‘ entrejambe de la culotte, appuyant sur le fin tissu qui entre dans sa vulve, moulant de façon impudique la fente de son sexe.

Gérard ne sait que penser ; à quelques centimètres de lui, sur le canapé, une jeune beauté noire de 20 ans se tripote le sexe, la main glissée dans sa culotte ;
Lui même, la queue de plus en plus dure, la branle vigoureusement, décalottant à chaque va et vient le gland turgescent et brillant ;

Devant eux, le sujet a changé ; une autre jeune femme blonde se fait lécher le con par une fille brune qui elle même subit les coups de boutoir d’un noir très membré, enfoncé jusqu’aux couilles dans son anus.

Céline a maintenant écarté la culotte, et ses doigts s ‘agitent de plus en plus vite au milieu de sa fourrure ébène ; on voit la fente rose et luisante de mouille. Sa caresse, de plus en plus vive, engendre un clapotis parfaitement obscène et excitant.

– Enlève ta culotte, tu seras mieux
– Oui, parrain
,
Elle retire d’un geste rapide le slip qu’elle envoie balader d’un coup de pied

– Je mouille, regarde, regarde moi, j’aime çà ; et toi, branle toi plus vite, je veux te voir gicler, vite, vite, je vais jouir !

Céline a maintenant le regard rivé sur la queue de Gérard ; elle se branle de plus en plus vite, regarde le sexe dressé

– Tu me le dis quand tu vas juter, je ne veux pas rater çà !
– Cà vient, çà vient

Gérard, sans réfléchir, se lève, fait face à Céline tout en se branlant de plus en plus vite

– Voilà, çà vient, vite, regarde, avale vite, avale moi !

Il tend sa queue vers Céline qui, sans hésiter, attrape le membre au moment où un jet de liquide blanc en jaillit, et pose ses belles lèvres gonflées autour du gland congestionné.

Gérard éjacule encore trois fois, giclant une bonne quantité de sperme dans la bouche de Céline qui accepte tout sans hésiter.

La bouche pleine, elle se met à gémir et rien qu’à voir ses doigts s’agiter entre ses cuisses, elle se fait jouir en même temps.

Les deux reprennent leur souffle ; les mamelons érigés sous le fin tissu, se soulèvent au rythme de la respiration saccadée ; elle a gardé ses cuisses écartées, son sexe rose brille, luisant au milieu des fins poils frisés et noirs.

Gérard, tout tremblant encore d’excitation, se penche vers Céline, cherche la bouche pulpeuse et maculée de sperme, et l’embrasse longuement ;
Les langues se frôlent, dansent entre elles au milieu du sperme de goût un peu fort et âcre.
Gérard a l’habitude de ces baisers pleins de sperme, car Martine fait pareil après l’avoir avalé !
Et tout naturellement, il saisit l’un des seins gonflés sous le tissu, malaxant le globe ferme, et cherchant de ses doigts le mamelon érigé.

Extraordinaire !
C’est doux, dur, souple à la fois ; il glisse sa main sous la fine chemisette pour toucher la peau douce, si douce ! !
Puis sa main glisse sur le ventre, ses doigts traversent la forêt de poils frisés pour se perdre dans la fente détrempée.

– Attention, je suis vierge, n’enfonce pas tes doigts
– C’est vrai ? ?
– Oui, parrain, je n’ai jamais fait vraiment l’amour avec un garçon !
– Comment çà, vraiment ?
– J’ai eu l’occasion de caresser un copain, et lui m’a léchée et branlée.
– Quand même, tu suces vachement bien, tu l’as déjà, fait, c’est sûr !
– Et bien non, je dois avoir des dispositions ! !
J’ai un jour caressé un autre mec (un copain de ma sœur), ce con n’a pas tenu 2 minutes, il m’a juté dans la main mais j’ai goûté ; c’était un peu âcre d’odeur et de goût, mais j’ai bien aimé quand même.

– Tu es douée, y’ a pas à dire ma chérie !
– Mais autant que toi là ce soir je n’avais jamais avalé ! et c’est pas mauvais ! Tu diras rien à personne, hein ? Ce n’est pas la peine de créer des problèmes là où il n’y en n’a pas ; ma mère me tuerait ! !
– Evite aussi d’en parler à Monique si tu veux ! Elle est très tolérante, et libérée, mais je ne sais si elle aimerait nous voir faire cela !
– Dis donc, tu as une sacrée collection de CD de cul ; je peux regarder ?,

Céline prend la pile de CD de Gérard rangés dans un carton, qui lui servent pour occuper ses heures solitaires devant la télé.

– Il y a vraiment de tout, j’aimerais bien en voir un ; attends je vois pleins de films d’uro ; c’est quoi ?
– Ben tu sais, c’est des filles qui pissent !
– C’est tout, il n’y a pas de mecs ?
– Si bien sûr, elles se pissent les unes sur les autres, ou sur des mecs, ou avalent la pisse des autres acteurs ; c’est des films hollandais ou allemands la plupart.

– Et çà te plait çà ? ?
– Et bien oui, çà m’excite.
– Je pourrais en voir un ?
– Demain, si tu veux ; t’es pas fatiguée ce soir ?
– Un peu, mais çà m’intrigue ces histoires de pipi ; allez, fais moi voir celui là !
– Si tu y tiens !
– Allez, passe le.

Gérard met le CD dans le lecteur ; il connaît le film, c’est très chaud, il s’agit de six personnes qui se retrouvent dans une clairière pour une pose pique nique, qui va virer en orgie uro.

Une jeune femme bien en chair, avec des tresses blondes, entraîne l’un des hommes à l’écart, le fait coucher dans l’herbe ; il est nu, et elle aussi ; elle se place au dessus de l’homme, les pieds de part et d’autre de son visage, et de ses mains, écarte sa vulve poilue ; c’est une vraie blonde !

– Avale, avale tout

Un jet doré puissant jaillit entre les cuisses ouvertes ; elle pisse debout et asperge la figure de l’homme ; celui ci ouvre la bouche et la laisse uriner sans hésitation dans sa bouche, avalant ce qu’il peut.
Il se malaxe le sexe en même temps, qui ne bande pas ; on comprend vite pourquoi, puisque dès que la blonde s’est soulagée sur le garçon, celui ci la fait se mettre à genoux, et lui pisse à son tour dans la bouche qu’elle garde bien ouverte,.
De la pisse jaune que l’on imagine bien chaude coule hors de sa bouche, le long de ses seins, son ventre et ses cuisses.

Céline, silencieuse, regarde cette séquence, jetant des regards à Gérard, avec une expression mi étonnée, mi moqueuse

– Alors qu’est ce que tu en penses ?
– Je n’ai jamais vu çà.
– Cà te plait ou çà te dégoûte ?
– Je sais pas trop ; çà ne me dégoûte pas, en fait, mais je me demande quel goût cela peut avoir, l’urine d’une autre personne. Et ils on l’air d’aimer çà ! En fait çà me trouble, j’ai eu un jour l’occasion de voir une copine faire pipi dans un sous-bois, et je l’ai regardé faire ; elle était restée debout, et avait pissé longtemps, d’un jet fort et, odorant ; elle m’avait vu la mater et pas gênée, avec un petit sourire, elle m’avait demandé si cela m’avait plu ! et si je voulais faire pareil ; j’ai refusé, un peu honteuse et gênée.
– Elle a insisté en me demandant ensuite de la lécher pour lui nettoyer le pipi resté dans ses poils ; j’ai refusé aussi.

– Là tu as eu tort, le pipi d’une jeune fille (la « bière de la mariée » comme on dit en Allemagne) peut avoir très bon goût, surtout si elle a bu du thé au jasmin, ou des tisanes parfumées par exemple.

– Et toi, tu as l’air d’aimer, tu le fais avec ta femme ?
– Avec Monique, çà nous arrive, quand on a un peu bu, quand on rentre la nuit, on va dès fois près de la piscine, on s’arrose l’un l’autre, on boit un peu à la source, et plouf, on va se rincer la bouche et la peau dans l’eau.
Ou les dimanches matin, dès fois on se retrouve à la piscine ou dans la douche pour pisser l’un devant l’autre …ou plus !
Oui, on aime çà !

Céline, songeuse, dévisage Gérard ;

– Parrain, j’ai envie de faire pipi
– C’est une invitation, ou je ne comprends rien !
– Oui, viens

Ils sortent dans le jardin ; il est presque 2 heures du matin, Céline se dirige vers la piscine ; Gérard ne voit que son cul splendide, nu sous la chemise courte, et qui balance au gré de la marche ; d’un geste naturel, elle quitte sa chemise.
Nue dans la pénombre, éclairée par la clarté lunaire, elle se tourne vers son parrain, et lui tend sa bouche.
Un petit bisou, et elle murmure
– Fais comme dans le film, couche toi dans l’herbe
– Oui ma chérie, arrose moi bien

Céline se met debout au dessus de Gérard qui la regarde intensément ; le point de vue sur l’anatomie de la jeune noire est fabuleux : ses cuisses noires et pleines ,son ventre ,son pubis bouclé, ses fesses rebondies et ses seins gonflés aux pointes toujours érigées.

– Vas-y, pisse ma chérie, pisse fort

Gérard n’arrive pas à croire que Céline ne soit pas une habituée ! A peine quelques secondes d’attente, et un jet chaud et dru jaillit de sa vulve ; par des mouvements de hanche, elle arrose le torse, le ventre, la queue dressée de son parrain, remonte et vise la figure puis la bouche grand ouverte .
Il avale une bonne partie ; quand le flux se tarit, Céline se précipite vers la queue, qu’elle saisit, et dirige vers sa bouche

– Pisse moi dans la bouche toi aussi
– Oui, mais ne me touche pas, je ne peux pas faire pipi en bandant, il faut que je débande un peu ; caresse toi un peu en attendant

Céline, docile, n’hésite pas à aller chercher dans la fourche de ses jambes son petit bouton, et se met à le caresser doucement.

Le sexe de Gérard est maintenant suffisamment ramolli ; il se lève et dirige sa queue un peu plus molle vers le ventre de la demoiselle.
L ’habitude aidant, ( ce n’est pas facile de faire pipi devant quelqu’un, au début), il se met à pisser tout de suite ; il a une forte envie, et peut ainsi arroser les jambes, le ventre, les seins et la main qui bouge toujours à la fourche des cuisses.
Céline veut goûter ; elle se penche, prend la queue dans la main, et sans hésiter dirige le jet d’urine vers sa bouche.

Les deux finissent dans la piscine, pour se rincer et se rafraîchir ; l’intimité de cette soirée fait que naturellement ils se frôlent dans l’eau, se cherchent, se touchent, chahutent doucement pour ne pas réveiller Monique.
Céline ne se lasse pas de tripoter le sexe et les fesses de Gérard ; et lui se régale de palper seins, fesses et vulve de la jeune et jolie parisienne.

Le sommeil les incite quand même à rejoindre leurs lits ;

Céline, restée toute nue dans sa chambre , un peu énervée encore, se touche les mamelons qui pointent quasi instantanément , se rassure en allant débusquer le petit bouton caché au milieu des poils et le frotte quelques instants., puis apaisée, sombre dans un sommeil sans doute rempli de rêves très érotiques.

Gérard va se couler dans le lit de sa femme ; elle est nue elle aussi, la peau brûlante ; il glisse une main entre les cuisses que Monique ouvre un peu.
.
La vulve est trempée, ses doigts s ‘insinuent entre les chairs mouillées, et il commence à caresser le clitoris

– Branle moi bien, vieux cochon lui dit dans un souffle sa femme
– Tu ne dors pas ?
– Si, mais tu m’a réveillée ! mais qu’est ce que tu faisais, je t’ai entendu te baigner, d’ailleurs tu es encore tout mouillé ! j’espère que tu n’as pas réveillé Céline ! Mon dieu, qu’elle est belle, tu ne trouves pas ?
– Oui, oui, vraiment très belle !
– Tu aimerais bien la toucher, hein, sale type !
– Mais non, voyons, il n’y a toi qui compte ma chérie.
– Je ne te crois pas, mais bon, tant que tu ne fais que la regarder ! Lèche moi, maintenant que je suis réveillée, j’ai envie.
– Vos désirs sont des ordres, chère madame.

Gérard s’applique, sait parfaitement débusquer le petit bouton au sommet de la fente odorante et mouillée ; il suce avec application le clitoris dressé, et comme Monique adore cela, il enfonce deux doigts dans le con détrempé, puis les fait rentrer doucement dans l’anus de sa femme
Comme souvent, très vite il rencontre au fond du rectum, un boudin chaud et un peu dur. Son plaisir est de le toucher du bout des doigts, de jouer avec, d’y enfoncer un peu un doigt.
Monique adore tout ce que fait Gérard, et l’encourage à continuer

– Lèche plus vite, je viens, oui, vite
– Je ne pourrais pas t’enculer, la place est prise.
– C’est pas grave, fais moi jouir avec ta langue, et enfonce tes doigts, ouvre moi le cul, mets en d’autres ! !

Gérard lèche sa femme et pense au cul de Céline, il lape le jus qui inonde le con de sa femme et pense à la pisse chaude de Céline.

Violemment il enfonce dans l’anus ouvert un troisième doigt, puis un quatrième, et presque sa main jusqu’au pouce.
Le cul bien dilaté accepte tout ; Gérard pistonne de sa main de plus en plus fort, il lèche le con inondé, il sent aussi une odeur, il faut le dire, de merde qui exhale de l’anus de sa femme. C’est fou, mais çà l’excite !
Il bande évidemment, Monique lui attrape la queue et la masturbe violemment.
– Ouiiii, continue, lèche moi bien, baise moi avec tes doigts, oui, c’est bon

Monique en jouissant, lâche dans la bouche de Gérard un jet chaud que son mari avale sans broncher ; est-ce la jouissance de sa femme qui gicle comme les femmes fontaines dont on parle dans certains films X , ou est ce un jet de pipi ?
Gérard se régale : il pense plutôt q’ il s’agit d ‘ urine, vu le goût un peu salé et brûlant. Mais pisse ou jet de mouille, il aime et Monique le sait !
Ils en ont discuté quelques fois, sans vraiment être d’accord.

Monique a reçu du sperme sur la main, et la nettoie ensuite consciencieusement de sa langue, les yeux brillants, un grand sourire de satisfaction éclairant son visage.
Gérard, lui, ressort ses doigts brillants et maculés de traces marrons qu’il va laver au lavabo.
Il est habitué, et même si après les instants de plaisir, ce petit moment est moins « glamour », le souvenir de cette très forte jouissance prise à deux, reste plus important que tout, même si l’excitation est désormais tombée.

– Tu sais, chéri, la petite Céline, elle a beau être ta filleule, elle est si belle, si bandante comme tu dis, que j’adorerais la manger, la croquer, lui lécher sa fente rose et noire, lui toucher ses gros seins.
Elle me donne envie, c’est un peu fou ! ! Pas toi, mon chou ?

Monique gouine, çà c’est nouveau ! !

– Tu n’y penses pas voyons, que diraient ses parents ! !
– Hypocrite, je suis sûre qu’elle te fait bander.
– Oui, un peu c’est vrai !
– Elle a 20 ans elle n’a pas froid aux yeux, çà c’est certain ; tu l’a vue se tripoter les seins en se passant de la crème , Elle est très belle, elle le sait et en joue comme une petite salope.
– Ecoute j’ai sommeil, on verra çà demain.

Etrangement, Céline s’est arrangée pour ne plus se retrouver seule avec Gérard; elle a fait du nu intégral à la piscine avec Monique ; elles l’ont laissé à l’écart durant le séjour et il n’a rien vu ni su de leurs après midi entre filles, comme il était au boulot.

Elle est repartie 15 jours après, bien bronzée. plus appétissante que jamais , et peut-être même avec un ou deux kilos de plus, la table réunionnaise ayant fait quelques ravages sur ses hanches.

En la reconduisant à Gillot, Gérard songe à cette première nuit avec sa filleule, regrettant qu’il n’y ait pas eu de suite.

– A bientôt, cela a été super ! !
– Embrasse bien tes parents pour nous.

J’ai dû certainement rêver, se dit Gérard en lui faisant la bise avant son départ.
Qui sait ?

Jean Marc 4

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2 réponses à La nuit de la filleule par Jean-Marc04

  1. Pimprenelle dit :

    Qu’est ce c’est excitant cette lecture !

  2. Claire dit :

    J’ai adoré ce texte à la fois très respectueux et très cochon

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