Karine à Dax par Yannick01

Karine à Dax . plus qu’un simple récit : un vrai souvenir et le témoignage
si présent d’un moment si fort . Karine à Dax. je crois que peu d’images et
de sensations resteront ainsi gravées dans mes sens avec autant de présence
et de mélancolie.

Pour ceux qui ne connaissent pas les  » Fêtes de Dax « , je précise en deux
mots qu’il s’agit d’une période de quelques jours, en août de chaque année,
et au cours de laquelle les rues de la ville, fermées à la circulation,
cèdent la place aux marchands de fêtes, et laissent une large place à
l’alcool vinassé dès que la nuit tombe.
Ce soir d’août 199x, deux jeunes filles qui étaient chargées de l’animation
du centre de vacances dans lequel je séjournais m’y avaient accompagné.
L’ambiance s’était de suite détendue. Les mélanges orgiaques composés de
verres de vin coupés de coca, de cigarettes et de barquettes de frites nous
avaient amenés jusqu’à 4 heures du mat’ dans les rues fêtardes de la ville.
J’étais donc avec Lulu et Karine. Lulu était assez petite, blonde, plutôt
maigre. Comme août était chaud, même à cette heure avancée de la nuit, elle
était en tee-shirt, avec des petites baskets en toile blanche et un short
léger. Elle ne portait pas de soutien-gorge, mais il est vrai, pour être
tout à fait franc, qu’il y avait pas grand chose à soutenir ! !

Karine était un peu plus trapue, plus costaude (mais sans excès), également
en tee-shirt ; elle chaussait des baskets rouges montantes, et un petit
short léger ; Karine portait un soutien-gorge, dont les bretelles
s’apercevaient à travers le tee-shirt. Quant à moi, rien d’original :
tee-shirt aussi, short et chaussures bateau.
Après cette beuverie, il était presque 5 heures du mat’ quand nous rentrâmes
à la résidence après une nuit de fête. D’un geste, elles m’invitèrent à les
raccompagner à leur chambre commune à toutes deux, située au premier étage
d’un petit bâtiment.
Nous rentrâmes dans la chambre en titubant un peu.. Personne n’eût la
mauvaise idée d’allumer la lumière, la chambre demeurant ainsi éclairée
naturellement par la lueur du dernier quartier de la lune tombante,
conjuguée à celle d’un réverbère au rez-de-chaussée, juste au dessous de la
fenêtre.
Lulu et Karine s’assirent sur le lit de Karine (un lit à une place),
délaissant celui de Lulu, identique et situé à quelques mètres de celui de
Karine.
Par réflexe, je me déchaussai et montai au centre du plumard. Etant assises
sur le bord, cote à cote, elles me tournaient le dos.

Comme on était assez bien pintés, et que, chez moi, l’alcool me provoque des
accès de tendresse et de câlinerie à tendance érotique, je me mis à leur
masser la nuque, tendrement, chacune avec chacune de mes mains. Puis je
descendis , toujours à travers le tee-shirt, sur leurs dos. C’était très
érotique. Je sentais ces filles de 21 ans chacune sourire et respirer avec
une insistance plus cadencée et plus évidente. Lulu, surtout, n’avait qu’une
envie, c’était que j’aille plus loin. Dans ce silence et cette pénombre, il
fallait que j’improvise quelque chose. D’un coup, j’eus une idée ; je ne
savais pas à ce moment qu’elle me procurerait ces sensations qui, même
aujourd’hui, me font bander rien que de les évoquer en tapant sur ce micro
ordinateur pour vous faire partager ce délire.

 » Quoi ! , dis-je, qu’est-ce que tu as, dans le dos, Karine ? « . En fait,
par jeu, j’avais décidé de m’étonner de la présence de son soutien-gorge,
qui me faisait un obstacle dans mes jeux de caresses dorsales.  » Lulu,
Karine a un soutien gorge :

il faut la punir « , m’esclaffe-je.

Lulu comprit de suite que je voulais jouer, et me répliqua  »

Oui, on la punit tous les deux « .

Elles étaient toues les deux beurrées, mais cela se traduisait différemment.
Lulu avait les yeux éclatés, rouges de l’alcool bu, des cigarettes fumées,
et, certainement, de l’excitation sexuelle qui devait la magner. Karine,
elle, plus fatiguée, était plus passive ; cela tombait bien : on allait
jouer avec elle.
Lulu et moi avons allongé Karine sur le lit, sur le dos ; je me mis au
niveau de ses pieds, pris sa basket rouge et l’attira devant mon visage.
Pendant que j’y étais, je me mis à caresser sa jambe dénudée, puis je
commençai à délasser sa basket.

 » Non, fit-elle, çà me gêne « .

Alors qu’on la croyait  » à moitié cassée « , elle réagissait. Aussi, je
demandai à Lulu de m’aider et de maintenir sa jambe à hauteur ; en me
faisant face, Lulu maintenait la jambe gauche de sa copine avec une de ses
mains sur le genou, et de l’autre au niveau de sa cheville. Lulu me sourit
et me dit  » Allez, vas-y « . Je regardai Karine qui semblait démissionner,
les yeux mi-clos, ses seins montant et descendant sous son soutien-gorge au
rythme des palpitations de son cour et de sa respiration. Quelques secondes
suffirent pour mettre à nu son pied. L’instant qui suivit me restera
longtemps en mémoire : une véritable puanteur, mais une puanteur grasse,
épaisse, chaude et moelleuse, une puanteur comme je les aime, profonde,
vinée, fromagée, une puanteur épicée, sincère et colorée : malgré la faible
clarté qui régnait dans la pièce, je devinai la plante de ses pieds,
orangée, d’une couleur qui devait tendre vers le rouge, au contraire du
creux de son pied, plus blanc. Ses orteils étaient collés, par un colle
magique qui s’appelait la sueur. L’odeur m’excitait encore plus. Bandant
déjà auparavant, il étais évident que ma queue déformait mon short.

Karine ne bougeait plus. Lulu s’était immobilisé, tant
l’instant l’étonnait. Elle observa mon short et sourit en voyant sa
déformation.  » Ca pue « , me dit-elle, en regardant le pied de sa copine.  »
Oui, mais j’adore çà « , lui répondis-je.

Alors, tout doucement, avec une grande douceur, j’approchai mes lèvres de ce
pied magnifique, ce cadeau du ciel ; je me mis à faire des petits bisous
tendres et sensuels sur cette plante qui m’était offerte ; sur le talon,
d’abord, où la peau est un tout petit peu plus dure, plus salée aussi. Puis
je remontai vers le centre de la surface, et j’entamai le morceau de choix,
juste au dessous- des orteils, là où la peau est la plus tendre, la plus
chaude, la plus intime, et la plus odoriférante. Je commençai à faire mes
petits bisous sensuels, quand je sentis une présence : Lulu, tout en me
maintenant le pied de Karine à hauteur de ma bouche, colla sa joue contre
l’objet de mon désir.
 » Il en a de la chance, ce panard. « , me fit-elle. Une telle invitation ne
se refusant pas, je ne fus pas long à décaler mes baisers tendres vers le
visage de Lulu ; manifestement, elle n’en pouvait plus. Aussi, elle me roula
une pelle baveuse et passionnée, et je l’enserrai avidement, délaissant un
moment le pied de Karine qui, n’étant plus maintenu, retomba sur le lit. Ce
geste surprit Karine, qui ouvrit un oeil manifestement attristé de cet
abandon.
Lulu m’attira vers la position horizontale, et de ce fait avait maintenant
la tête juste à coté de celle de Karine. Nous étions couchés l’un sur
l’autre, et Lulu m’écarta les jambes et caressa mon short, le long de ma
queue.
Karine sembla s’éveiller, heureuse, souriante de ce moment passé.  » Merci « ,
me dit-elle. Puis elle rajouta  » T’as pris mon pied, maintenant, tu vas
prendre le tien « . Elle s’assit sur le lit, enleva son tee-shirt, puis son
fameux soutien gorge, libérant une poitrine lourde, ferme et fière en même
temps ; puis elle enleva son short : elle n’avait donc plus sur elle qu’une
petite culotte et sa basket droite, qui comprimait un pied encore inviolé.
Lulu me caressait toujours à travers mon short ; Karine s’immisça entre nous
et déshabilla Lulu, complètement. Lulu avait des seins très petits, avec des
bouts plutôt gros ; elle avait une chatte peu poilue, mais très suggestive.
Karine demanda à Lulu de s’étendre sur le dos, et me regarda  » A elle,
maintenant  » ; c’est comme si les rôles s’étaient inversés, ma partenaire du
premier moment devenant la passive dans celui-ci . Mais c’était Karine qui
m’intéressait le plus : j’avais envie de bondir sur ses gros seins lourds,
de mettre à ma bouche ses auréoles larges et sombres. Aussi, bien que
m’allongeant sur Lulu et bien que lui roulant une pelle baveuse, mes mains
caressaient l’entrejambe de Karine. Cette dernière écarta les cuisses,
m’offrant ainsi son sexe humide, ouvert, et qui ne demandait qu’à être léché
; toujours en m’excitant sur Lulu, je laissai mon doigt pénétrer dans la
chatte de Karine. Elle me prit la main, en se masturbant de mon doigt, et me
suggérant d’accélérer le mouvement.

Après, tout s’est passé très vite. Les évènements sont en vrac dans ma
mémoire, car là, j’ai décollé, quittant le monde des vivants pour m’envoler
dans un extase orgiaque sans aucun tabou ; je me suis rapidement trouvé nu,
ne sachant plus qui m’a déshabillé ; je me souviens aussi de ces deux
bouches gourmandes qui se disputaient mon sexe, se le passant à tour de rôle
; je me souviens également de Karine qui me dit :  » J’ai encore ma culotte :
repunis-moi vite « . J’ôtai alors son slip bleu, avec énergie, et le balançai
de l’autre coté de la pièce ; alors qu’au début elle refusait, par pudeur,
que je lui enlève sa première basket, maintenant c’était elle qui demandait
que je m’occupe de l’autre ; avec détermination, j’enlevai sa deuxième pompe
(à ce moment, nous étions -enfin ! !- nus tous trois), léchai à grand coup
de langue sa plante de pied, suçai ses orteils comme s’il s’agissait de
bonbons, essayant même de les mettre tous les cinq en même temps dans ma
bouche pleine de salive. Son pied était aussi bon que l’autre, à peine un
peu plus frais, mais tout aussi goûteux et fromagé : comme l’autre, il puait
la transpiration et la semelle plastifiée de la basket que je bénissais à ce
moment ! ! Comme l’autre, il était moelleux, très  » wetfeet « , gras, humide
et tiède.

Lulu, pendant ce temps-là, était assise et se caressait.

Je me rappelle aussi le moment où je suis venu pénétrer Karine, tout en lui
massant ses seins lourds, et en en mordillant le bout. Puis nous nous mîmes
en 69 ; elle me suça pendant que je léchai avidement son clito trempé de
désir, tout en enfournant mon pouce dans son anus, ce qui, manifestement,
lui plaisait. Mon pouce faisait des va-et-vient cadencés qui complétaient
bien le mouvement de ma langue dans son sexe.
Lulu se caressait toujours, de plus en plus énergiquement, et se mit à jouir
en nous matant, comme une voyeuse qui se masturberait en regardant un couple
se sauter à travers le trou d’une serrure.
Puis Lulu voulut me masturber pour me faire jouir, rôle que Karine voulait
pour elle !
Pour contenter tout le monde, je me mis sur le dos et leur offris ma queue.
A genoux à coté de moi, l’une à droite, l’autre à gauche, toutes les deux
m’ont masturbé à tour de rôle ou en même temps, jusqu’à la jouissance finale
: une éjaculation magistrale conjuguée à un râle de bien-être et à des jets
de semence qui arrosèrent leurs ventres, tant la pression qui fit jaillir le
sperme était forte. Mais je crois que ce jour-là, si j’ai joui avec tant de
plaisir, c’est aussi parce qu’au moment où mon liquide montait dans ma
queue, se préparant au lancer final, je les vis toutes les deux se rouler
une pelle, tout en me branlant, leurs lèvres collées dans un moment de
communion lesbienne, laissant entre leurs lèvres presque soudées un tout
petit espace duquel s’échappait un râle de bonheur et de plaisir.

Yannick, wetfeet@libertysurf.fr.

Si tu aimes les branles au tel (on pourrait parler mecs ou nanas), laisse
moi tes coordonnées par mail !

FIN

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Une réponse à Karine à Dax par Yannick01

  1. Maud Anne Amaro dit :

    Vive le léchage de panard !

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