Je suis une serveuse 17 – Fin de soirée chez Sophie – partie 2 par Trinity

Je suis une serveuse
Chapitre 17 – Fin de soirée chez Sophie – seconde partie
par Trinity

Sophie avait elle aussi commencé sa transformation, soulignant que je n’avais pratiquement pas besoin d’elle pour me changer en belle demoiselle. Elle me tendait une petite paire de lunettes de vue, sans correction, me disait-elle, c’était juste pour rendre mon personnage plus attirant encore. Je tachais d’être à l’aise dans cette tenue, marchant dans la pièce, effleurant mes hanches enfermées dans cet écrin de féminité nouvelle et tellement agréable.

Sophie, quant à elle, avait passé un tailleur jupe du même type que moi, mais à la différence d’être de couleur blanc cassé et le fait que la jupe était légèrement sous le genou. Elle portait un chapeau du plus bel effet, une longue cigarette, et des gants en cuir : une véritable femme du Monde, une bourgeoise, magnifique et très attirante !

– Alors Erika, heureuse d’être à mon service jusque ce soir ?
– Oui Mademoiselle Sophie, c’est parfait, jamais je n’aurais pensé pouvoir vivre ce genre de situation.
– Bon nous allons commencer. Tu vas sortir, me servir un bon verre de vin, et venir me retrouver au salon, vers mon bureau. A compter de maintenant, tu m’obéis au doigt et à l’œil, sinon il t’en coutera.
– Bien Mademoiselle Sophie.

Je sortais de la pièce, cherchant du regard où Sophie pouvait entreposer ses bouteilles de vin. Après avoir trouvé, je débouchais la bouteille (pas facile en tailleur jupe, croyez-moi !), trouvais deux verres à pieds et rejoignais le salon, pour retrouver Sophie.

Elle se tenait assise à son bureau, elle était vraiment magnifique, femme fatale, fumant sa cigarette de façon tellement naturelle et féminine surtout, je fondais littéralement en l’admirant.

– Ne reste pas comme ça, petite sotte, il me semble avoir été claire tout à l’heure : où est mon verre de vin ? Et où sont les notes que tu devais prendre ?
– Voici votre verre de vin Mademoiselle Sophie.
– Tiens, ton cahier se trouve sur le coin du bureau, prends-le et assieds-toi en face de moi.
– Bien Mademoiselle.

Je lui servais son vin, faisant le tour du bureau, puis me retournant, prenais le cahier et un stylo, m’asseyant de la façon la plus féminine possible afin de faire plaisir à Sophie. Elle sourit en voyant mes gestes équivoques et totalement empreints de féminité, passant mes mains sous ma jupe avant de m’asseoir, cela semblait lui plaire.

– Bon, commençons Erika : je vais te dicter la lettre, taches d’être à la hauteur.
– Bien Mademoiselle Sophie.

Sophie dictait alors à une vitesse effrénée, ne me laissant pas respirer, prenant un malin plaisir à me voir tout faire pour suivre sa diction, mais rien n’y faisait, une dactylo aurait même eu du mal à suivre ce rythme. Étant rapidement dépassé, Sophie s’interrompit.
– Peux-tu me relire le dernier passage Erika ?

– Je n’ai pas pu écrire les deux dernières phrases Mademoiselle, désolée.
– Comment ? Qui m’a fichue une bonne à rien pareille, fais le tour avec ton cahier et montre-moi cela.
– Bien Mademoiselle.
– Eh bien, à part bouger ton derrière et allumer tout ce qui bouge, tu ne sais rien faire de tes dix doigts, ma pauvre chérie. Tu mériterais bien une punition, pour ton incompétence. Tu as réellement une sacrée chance d’être au service d’une patronne comme moi.
– Oui Mademoiselle Sophie.
– Trêve de bavardage inutile, tu sais ce qu’il te reste à faire !
– Euh non Mademoiselle ?
– Quelle incapable tu fais ! Mets-toi à genoux, et montre à ta patronne comment tu sais te rattraper à l’aide de ta bouche et de ta petite langue. Je m’aperçois de jour en jour que tu n’es bonne qu’à cela.
– Bien Mademoiselle.

J’obéissais et me retrouvais aux pieds de Sophie. Je pouvais maintenant admirer ses jambes gainées de bas beiges à coutures, en nylon très fin. Ses escarpins étaient d’une finesse exquise et je pouvais sentir son parfum de là où je me trouvais. Décidément, cette fille savait comment faire chavirer un cœur. Je passais donc mes mains sur ces bas soyeux quand …

– Qui t’a dit de me toucher avec tes mains, uniquement avec ta bouche, c’est clair ?
– Oui Mademoiselle.

Sophie, de façon plus qu’érotique, écartait à présent ses jambes, s’avançant sur sa chaise en cuir noir, remontant de plus en plus sa jupe longue, dévoilant peu à peu ses jambes, puis ses cuisses gainées de nylon. Je pouvais maintenant admirer les jarretelles blanc cassé tendant les bas, apparaître le haut d’une cuisse nue, et je m’apercevais qu’elle ne portait rien dessous, son sexe était lisse et mouillé, visiblement cette situation lui plaisait, tout comme moi d’ailleurs. Je ma plaçais entre ses jambes écartées, posées sur le bureau, j’approchais mon visage de ce bijou offert, trop content de ma position actuelle, à la merci d’une femme sensuelle, sexy même, comme j’aime tant, sympathique, ouverte à des jeux sexuels intéressants, bref le bonheur absolu.

Je laissais donc mes mains sur mes genoux, et avançais vers l’antre de l’excellence.

– Allez Erika, reste accroupie, il ne s’agirait pas de filer tes bas. Montre-moi ce que tu sais faire, mets y tout ton savoir-faire chérie.
– Bien Mademoiselle.

Je m’approchais donc au maximum, embrassant doucement le sexe de Sophie. Il était brulant, Je sortais ma langue, passant sur ses petites lèvres. Rapidement, Sophie se tordait sous mes assauts répétés. Ses soupirs et ses mouvements du bassin en disaient long sur le plaisir ressenti.

Je voyais bien que mes attouchements étaient satisfaisants. Elle ruisselait littéralement sur mon menton. Elle était en train de me jouir sur le visage, en feulant de plus en plus. J’y mettais encore plus d’entrain. Elle jouissait. Enfin, elle me repoussait en douceur, me fit me relever. Elle se levait aussi, me faisant face, me prenant le menton et m’embrassant en profondeur.

– Alors, petite sotte, tu penses que de m’avoir fait jouir va m’empêcher de te punir ?
– Non Mademoiselle Sophie.
– Bien, retourne toi petite soumise, mets tes mains sur le bureau et penche toi en avant.
– Bien Mademoiselle.

Je devais bien admettre que j’étais angoissé à l’idée de me soumettre aux moindres désirs de cette fille que je connaissais peu après tout, mais l’excitation était la plus forte, impossible d’y résister. A peine mes mains étaient posées sur son bureau, Sophie remontait ma jupe doucement, le long de mes jambes, en frôlant mes hanches, en caressant mes fesses au passage. Elle devait avoir la vision de mon fessier délicieusement séparé par le string noir et encadré par les attaches du porte-jarretelles. Je n’ai pas eu trop le loisir d’apprécier cette caresse, nouvelle pour moi, que je reçus une fessée très forte sur ma fesse droite. La gauche, à son tour eu le même traitement. Je criais de douleur ainsi que de surprise.

– Dis donc, qui t’a autorisé à crier de la sorte ?! Pas moi en tout cas. Au lieu de cela, tu vas compter doucement le nombre de coups que je vais te porter. Souffre en silence. J’en ai maté plus d’une avant toi, même si elles n’avaient rien entre les jambes comme toi. On recommence à zéro.

Elle me fessait à nouveau. Je me retenais de ne pas crier, elle y mettait une sacrée intensité. Après 10 coups, mes fesses me chauffaient comme jamais, mais étrangement, j’avais moins mal, une certaine chaleur commençait à poindre dans mon corps. Elle s’arrêta à 20 fessées. De suite après ce traitement de choc, elle me caressait les fesses, tendrement, les embrassait même. Elle avait l’air de prendre beaucoup de plaisir, tout comme moi je dois bien l’avouer.

– Retourne toi, petite sotte, tu as bien enduré mes petites fessées, je suis fière de toi ! Voyons comment a réagi ton petit sexe enfermé dans cette dentelle fragile ?

De suite, sa main écartait le string et prenait mon sexe en bouche, hummm, quelle bonne sensation d’abandon. La fellation était accompagnée par des caresses plus qu’agréables sur mes jambes lisses. Cela ressemblait à des amours saphiques. J’adorais ces sensations et m’abandonnait une fois de plus au plaisir ressenti. Ses mains arrivaient vers mes fesses, et de suite trouvaient le chemin de mon petit trou plissé, en prenant soin d’écarter la ficelle du string. Elle passait à plusieurs reprises un doigt le long de mon cul et étrangement il était de plus en plus mouillé, comme si j’attendais cette caresse nouvelle. Puis, d’un geste doux, Sophie me doigtait, prenant son temps, mais appuyant de plus en plus. Commençant à faire des va-et-vient identiques à sa fellation, je me mettais à bouger en rythme, mon sexe au bord de l’explosion. Le sentant certainement, elle retirait son doigt, me caressait à nouveau les fesses et les cuisses, lâchait mon sexe, se relevait et me fit me retourner à nouveau.

Alors, me faisant me pencher, elle écartait mes fesses tout en insinuant sa langue dans mon fondement. Je fondais littéralement, ondulait du bassin, allant à la rencontre de son visage. J’entrouvris les yeux et admirait le spectacle de ses jambes gainées entre les miennes, le crissement des bas était loin de bloquer mon excitation. Elle me frôlait le sexe, sans vraiment le toucher, je restais dans une érection énorme. Au bout de quelques secondes, elle arrêtait son traitement et se relevait.

– Suis moi maintenant, petite soumise, tu me sembles à point pour la suite des réjouissances !
– Bien Mademoiselle Sophie.

A suivre …

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Une réponse à Je suis une serveuse 17 – Fin de soirée chez Sophie – partie 2 par Trinity

  1. Kiroukou dit :

    Une bonne surprise car pendant 16 épisodes cette série n’était pas vraiment parvenue à démarrer, et là ça démarre et ça démarre plutôt bien ! Pourvu que ça dure ! Encouragement en tous cas !

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