Il y a quelques années, mon ami Max et moi avons bénéficié d’un stage dans une entreprise située dans une petite localité du Québec. Nous avons loué un grand appartement pour l’occasion. Un soir que nous faisions du bowling en ville, nous avons remarqué deux filles qui se désaltéraient à la buvette. Nous les avions rencontrées à plusieurs occasions sans leur parler, mais ce soir-là, le stage se terminait et les choses allaient devenir plus intéressantes…
Après une petite drague assez facile, nous les avons invitées chez-nous pour une petite soirée pizza. Tout se passa bien et dans la soirée, nous nous sommes installés pour regarder un film « pop corn ». L’ambiance devenait de plus en plus chaude. Max avait déjà commencé à embrasser Julie et moi, je ne perdais pas de temps avec Myriam. Nous décidâmes rapidement de nous rendre dans ma chambre. Nous étions debout et commencions à nous enlacer. Myriam tira mon tee-shirt de mon pantalon et me l’enleva. Je fis de même pour son haut et découvris une magnifique petite poitrine dissimulée par un soutien-gorge qui devenait une gêne pour mon plaisir de voir ses seins. Pendant ce temps, elle commença à passer ma main sur mon pantalon, l’effet fut immédiat et l’érection très rapide. Mes mains commencèrent à caresser ses seins dont les pointes devinrent dures. J’ai dégrafé complétement le soutif qui tomba par terre. Ma bouche s’est dirigée dans son cou, sur ses épaules et finalement sur ce je convoitais. Je pouvais presque loger son sein en entier dans ma bouche en effectuant une petite succion qui la fit gémir.
Je continuai à descendre, ma bouche était devenue exploratrice, prête à découvrir toutes les parties de son corps. J’étais à genoux devant elle à la hauteur de son pantalon. Je l’en débarrassai prestement, une petite culotte blanche apparut soudainement cachant son organe de plaisir. J’embrassai doucement son nombril et me dirigeai vers cette petite culotte qui devenait humide. Myriam avait les yeux fermés et se touchait la pointe des seins pour accroître le plaisir. Je baissai cette petite culotte et sortis ma langue pour toucher son clitoris qui ne demandait que ça. Un petit cri sortit de sa bouche. Elle me prit la tête et la colla encore plus vers ce territoire de bonheur. Je me relevai et j’insérai un doigt dans son vagin en frottant son clitoris avec mon pouce. Elle entra sa main dans mon pantalon et prit mon pénis dans sa main en le caressant. A ce moment j’ai entré un autre doigt dans ce tunnel humide et chaud, Myriam gémissait de plaisir. Elle me poussa sur mon lit et enleva tout ce qui me restait de linge sur le corps. Mon pénis était dur comme du roc. Myriam le prit dans sa main et l’aspira au fond de sa bouche. Le plaisir que je ressentis était immense, mais elle arrêta subitement, se releva, m’invita à passer un condom, puis s’assit sur mon membre et se laissa tomber d’un coup. Elle faisait des va-et-vient rapides qui me donnaient un plaisir incroyable. J’ai joui dans elle comme jamais et son orgasme fut fulgurant. Elle continua ses va-et-vient jusqu’à temps que mon pénis ne soit plus assez dur pour demeurer en elle. Elle s’écroula sur moi et nous nous embrasâmes longuement. Pendant ce temps dans le salon, Max et Julie ne perdaient pas de temps aussi, mais étaient à l’abri de nos regards.
Après quelques heures de repos, je sortis de mon sommeil, c’était un été très chaud. Myriam s’était réveillée aussi. J’avais soif. Nous nous sommes levés pour aller boire un verre d’eau. On était encore nus. Rendu dans la cuisine, je regardai vers le salon. Julie et Max étaient couchés sur le dos, nus eux aussi. Un fantasme me revint à l’idée. J’avais toujours rêvé de prendre un pénis dans ma bouche et l’occasion était belle, d’autant que je savais que Max n’était pas fermé à la chose. Je fis part en catimini à Myriam de mes intentions, elle remarqua que j’étais en érection à cette idée et commença à me masturber.
J’entrai dans le salon, frappai l’épaule de Max pour le réveiller, et approchai ma bouche de son pénis. Il ne protesta pas et je pus ainsi le sucer, tandis que Myriam embrassait les seins de Julie. Max me demanda s’il pouvait lui aussi me faire la même chose et on se mit donc en 69. Les filles étaient excitées de nous voir et prirent la même position que nous. Je sentis que Max serrait mon pénis entre ses lèvres et quelques secondes plus tard, il éjacula dans ma bouche. Je me suis retiré et retourné vers lui. J’étais à genou par-dessus lui et il recommença à me faire une fellation. J’éjaculai à mon tour dans sa bouche. Les filles nous avaient regardé faire et continuèrent à se masturber. Max et moi étions assis côte à côte et on s’amusait à jouer avec le pénis de l’autre en regardant les filles faire.
Elles s’approchèrent de nous et sucèrent nos pénis encore en état de repos. Nos érections étaient revenues assez rapidement dans ces bouches chaudes. Je pris Julie dans mes bras et l’amenai dans la cuisine. Je la couchai sur la table, j’entrai ma langue dans cet antre d’amour en la faisant tourner. Je me masturbai en même temps, quel délice. Je me levai et après avoir revêtu mon pénis d’un condom, je la pénétrai doucement. Myriam était à quatre pattes dans le salon. Max approcha par derrière et mit son membre près de cette vulve qui m’avait donné tant de plaisir quelques heures plus tôt et lui fit l’amour. Je caressai son clitoris d’une main et ses seins de l’autre. Mes va-et-vient étaient doux et elle aimait ça. Tous les deux, nous voulions que le plaisir dure à jamais. L’éjaculation ne put se faire attendre, je me retirai, ôtai la capote et éjaculai sur elle. Elle en reçut jusque sur ses seins. Julie débarqua de la table et se mit à genoux et finit de lécher le sperme sur mon pénis. Je lui léchai aussi le sperme sur son magnifique corps. Max éjacula aussi à l’intérieur de Myriam. Un cri de jouissance sortit de sa bouche au même moment. Nous nous sommes couchés tous les quatre dans le même lit et avons dormi tard le lendemain matin. Au réveil Myriam et moi fîmes un 69 et Julie et Max aussi. Elles avalèrent tout le sperme. Nous avons déjeuné et elles sont parties.
Max et moi avons fait nos valises, nous étions prêts bien avant l’heure du départ. Max me confia alors que l’expérience de la veille lui avait bien plu, mais qu’il regrettait qu’on ne soit pas allé encore plus loin. Nous avons donc tiré à pile ou face afin de savoir lequel de nous deux sodomiserait l’autre. Et dix minutes plus tard je me retrouvai avec le pénis de Max dans mon cul !
Zatos
On va dire que c’est plein de bonnes intentions mais on lu tellement mieux sur ce thème
Pas mal, mais dommage que ça finisse si vite
Ce n’est hélas que factuel, les personnages n’ont aucune profondeur psychologique, quant à la fin, plus vite expédié, tu meurs !
Un bon récit bisex, mais dommage que la fin soit bâclée