Découvertes humides par Frederic_Car

Découvertes humides
par Frederic_Car


J’ai rencontré Jacques par une annonce.

J’aimais bien ma relation avec lui : quand on avait envie de baiser, on s’appelait ; j’arrivai alors chez lui, je sonnais (tout excité), il m’ouvrait et alors on ne perdait pas de temps : il m’embrassait à pleine bouche, en me caressant les fesses et la queue. J’adorais ça. Puis rapidement il me déshabillait, me léchait un peu partout, enfilait un préservatif et me prenait assez vigoureusement. Il aimait bien ensuite enlever sa capote et jouir sur mon visage et mes cheveux en me disant des mots crus. J’étais aux anges.

Il avait plus de 60 ans, moi une petite trentaine. A l’époque j’avais plusieurs amants comme lui, mais j’aimais beaucoup nos rencontres. Après m’avoir bien baisé il me caressait doucement et on discutait, parfois en regardant des films. Il était très tendre mais savait aussi qu’à l’occasion, je ne demandais rien de mieux que d’être traité comme une petite pute, un instrument pour son plaisir, parce que tout simplement j’aime bien être traité de cette façon.

– « J’ai des amis, me dit-il un soir, qui aimeraient bien te rencontrer. »

Il m’avait déjà envoyé chez un copain à lui un soir, et j’avais adoré cette sensation d’aller sonner chez un mec que je ne connaissais pas : « bonsoir, c’est Fred », « Montez, c’est au deuxième », puis à peine rentré je m’étais retrouvé devant un mec qui baissait son pantalon, je lui avais fait une longue fellation avant qu’il ne me retourne, me baisse le pantalon, et me baise comme ça contre la porte après avoir enfilé une capote.

– « Merci petite putain », m’avait-il dit en me claquant les fesses.

J’avais aimé cette sensation de venir offrir mon cul à cet inconnu, ça ne me gênait donc pas de recommencer.

– « OK, lui dis-je, je veux bien me taper tous les mecs à qui tu m’enverras »
– « Non, là c’est un peu spécial. J’ai discuté de toi avec plusieurs amis. Parmi eux il y a François, que tu as vu le mois dernier, mais il y en a d’autres. En tout on est cinq, tous d’âge mûr. On a envie de faire une soirée de débauche où on se tape un jeune mec sans tabou. Si tu es d’accord, ça veut dire que tu nous servirais d’objet sexuel pendant toute la soirée. On pourrait te prendre à volonté, te faire tout ce qu’on a envie. »

J’avoue que j’étais plutôt émoustillé, car cela a toujours été un de mes fantasmes. Mais j’avais aussi une petite inquiétude :

– « Tout ce qu’on a envie », jusqu’où ça pourrait aller ?  »
– « Ne t’inquiète pas, me répondit-il. Tu fixes dès maintenant les limites de ce que tu acceptes ou pas. De toute façon on n’est pas des bêtes : si vraiment tu ne veux pas certaines choses dans le feu de l’action, on ne les fera pas ; le but est le plaisir de chacun, et avant tout le tien.

Je réfléchis un peu et me dis que je ne pouvais pas rater une telle occasion. J’essayai de faire une liste de ce que je ne voulais pas : pas de SM, pas de scato. Ainsi fut dit.

Quelques semaines plus tard je reçus un coup de fil de Jacques qui me dit que ça se passerait chez lui le vendredi suivant. Il avait 2 grands lits et on pourrait tous passer la nuit chez lui. Il fallait que je vienne en tenue assez sexy, et avec des vêtements de rechange.

Il y aurait un buffet et tout ce qu’il faut au niveau hygiène et préservatifs. Je n’en menais pas large et il dut me rassurer un peu au téléphone.

Arriva le grand jour ; je sonnai chez lui vers 20 heures. C’était l’été et il faisait chaud. Sa rue était discrète, je m’étais donc habillé pour la circonstance : tee-shirt et short sexy.

Jacques m’ouvrit et mon cœur bondit en entendant qu’il y avait déjà du monde dans le salon et la chambre. Il me fit entrer. Il y avait déjà 3 mecs en plus de lui : un homme de 50 ans, athlétique, élégant, j’appris plus tard qu’il s’appelait Richard. Il y avait aussi François, qui m’avait déjà baisé une fois, et également Pierre, assez bedonnant, sympa, facilement 70 ans. Ils étaient en train de boire un verre. Venant de la chambre j’entendais le son d’un film porno.

Je ne suis pas près d’oublier les minutes qui suivirent. Je suis d’abord passé leur serrer la main, de la façon la plus normale qui soit. Ensuite Jacques m’a ramené au centre de la pièce et m’a fait tourner doucement sur moi-même pour montrer mon corps.

– « Voilà Fred dit-il. Il est à notre disposition pour toute la soirée. »

Il fit une légère pression sur mon dos et mon ventre pour m’indiquer de sortir les fesses, ce que je fis en écartant un peu les jambes.

– « Il accepte tout, sauf ce que je vous ai dit tout à l’heure. Ne t’inquiète pas, me dit-il en me pinçant vigoureusement les fesses, on est des obsédés mais on est civilisés, s’il y a un problème tu le dis et de toute façon on arrête. »

Je leur répondis que c’était d’accord, mais que j’allais essayer d’accepter tout comme je l’avais promis. J’étais très impressionné.

Jacques me penchait de plus en plus en avant et je me retrouvais les fesses tendues vers les trois autres qui me mataient.

Ce fut Pierre qui donna le signal en se dirigeant vers moi, il vint se frotter le bas-ventre contre mes fesses ; je sentais son érection, c’était bon. Tout le monde se mit à me peloter. J’étais au paradis. Ils commencèrent alors à se débraguetter et je me retrouvais accroupi, à sucer doucement un peu tout le monde.

Pierre était visiblement un adepte des mots crus et ne cessait de me servir des « petite salope », « petite chienne », mais avec beaucoup de gentillesse dans la voix. Pendant que je les suçai ils parlaient de moi. François raconta la fois où il m’avait baisé contre sa porte et ça les fit bien rire.

Pierre m’attrapa la tête entre ses mains et me fit faire une « fellation active », c’est-à-dire qu’il me baisa pas la bouche, et il jouit assez rapidement mais d’une façon inattendue : il plongea sa queue dans le col de mon tee-shirt et jouit là, entre ma peau et mon vêtement… j’ai adoré ça, cette sensation de cette chaleur qui se répand, qui coule vers le bas jusque sur mon ventre !

Ce fut le signal et rapidement ils me portèrent dans la chambre. Le lit était relevé, et au sol se trouvaient deux tapis épais, du genre de ceux qu’on trouve dans les salles de sport. On avait toute la place pour s’ébattre. Ils m’allongèrent sur le sol, enlevèrent mes vêtements, sauf mon tee-shirt, et je m’abandonnai. Des doigts, des mains, des langues, des queues dans la pénombre. Richard finit par se positionner devant moi, me relever le bassin, et il me baisa magnifiquement, fortement mais doucement.

Il enleva sa capote et me jouit copieusement sur le ventre.

Entre-temps, Marc, le retardataire, était arrivé, et s’était rapidement joint à nous.

Je commençais à sentir le sperme, et une forte odeur de sueur se répandait dans la pièce. Pierre passa un temps infini à me lécher le cul.

On passa ainsi une bonne heure, on baisait un certain temps comme des fous, puis ça se calmait, on discutait un peu en se suçant gentiment, on riait.

A un moment, Pierre et Marc me sucèrent en même temps, à grands renforts de salive. A tel point qu’ils finirent plus par me cracher sur la queue que me la sucer. Je leur dis d’arrêter, mais Jacques me rappela mon engagement. Je lui répondis OK avec mon petit air courageux, et là il fit une chose extraordinaire : il me cracha plusieurs fois sur la poitrine, puis attrapa sa queue et envoya un jet de pisse sur mon tee-shirt, à l’endroit où il y avait déjà pas mal sperme.

Je dois dire que je m’y étais attendu un peu.

Quand j’avais dit « pas de SM pas de scato », ça n’excluait pas ce genre de pratique… Je connaissais déjà un peu, avec Jacques il nous était arrivé de pratiquer ce genre de jeu sous la douche, mais de façon assez timide. Là, je ne sais pas pourquoi, devant les autres ça me gênait. Il me lança un regard interrogateur. Pierre continuait à me sucer.

Après un instant d’hésitation, j’écartai encore plus les bras et les jambes, montrant que je m’offrais complètement. Jacques appela alors les autres, qui étaient en train de se reposer. On me releva les fesses, et je me retrouvai presque à la verticale, la tête sur le lit. Tout le monde s’occupait de mes fesses ; on me doigta et on me masturba vigoureusement. Jacques se mit debout et se mit, le plus naturellement du monde, à m’uriner copieusement sur les fesses et la queue. Cela coula sur le ventre, sur mon visage, bientôt mes cheveux baignaient littéralement. On m’allongea à nouveau, et là je crois bien que tout le monde me pissa dessus. C’était une sensation étrange : à la fois une forte répugnance et en même temps une vraie extase. J’ondulais comme une salope en me caressant partout. Je fermai les yeux. Je finis par jouir pratiquement sans me toucher le sexe.

Ensuite ce fut le défilé et chacun passa devant moi pour réclamer sa petite pipe. Ils vinrent vite car ils étaient excités. Mon visage était plein de sperme, mon tee-shirt était gorgé de liquide divers. Pendant que je suçai, d’autres mains s’occupaient vigoureusement de mes fesses et j’ondulais de façon à les exciter le plus possible. Une fois que chacun eût joui, nous passâmes un temps infini en de longs baisers langoureux et en caresses très sensuelles. J’ai déjà pratiqué quelques orgies, mais je crois que ce que je préfère ce sont ces longs moments qui suivent la violence du désir, où on se sent environné d’innombrables mains et bouches anonymes…

Je passai le reste de la nuit comme ça. Jacques m’avait dit qu’il aimerait que je reste comme ça, dans la souillure, à leur disposition. Au point où j’en étais… A un moment il m’embrassa très tendrement et me dit qu’il était fier de moi.

Ainsi passèrent les heures. Ça commençait à sentir assez fort, heureusement il faisait chaud et on pouvait ouvrir la fenêtre. Je restai vautré dans l’urine de mes amants. Eux, ça ne les dégoutait pas du tout. De temps en temps, un ou deux venait me voir, pour se faire sucer ou pour me peloter, puis me pisser dessus. Pierre me fit une super fellation en prenant un vif plaisir à lécher mon corps ruisselant.

Au petit matin, je m’aperçus que je n’avais pas mis un pied par terre depuis qu’ils m’avaient déposé là. Je n’avais pas eu besoin de me lever pour aller aux toilettes…

Tout le monde était fatigué. Ceux qui pouvaient encore se masturbèrent encore une fois sur moi.
Puis j’allai prendre une douche. Quand je revins ils étaient en train de nettoyer et, très gentiment, ils me dirent que c’était bon, qu’ils allaient le faire. Je passai leur serrer la main, et Pierre se mit à mes genoux et m’embrassa très fort l’entre-jambe en me prenant les fesses avec les mains.

On se quitta de bonne humeur. Je me sentais un peu bizarre. Je repris une douche chez moi, un peu dégouté… Puis cela passa.

Je me sentais assez fier de moi d’avoir tenu mes engagements. Je reçus des mails très sympas dans les jours qui suivirent.

Je revis la plupart d’entre eux, de temps en temps pour une petite pipe, ou une baise à 2 ou 3.

Cela reste pour moi un souvenir très fort, l’abandon de toute pudeur et de toute honte.

Fin

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Une réponse à Découvertes humides par Frederic_Car

  1. Milord dit :

    ça devrait être chaud, mais en fait c’est froid ! comme cela se faisse ?

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