Construire un pont par Estonius

Construire un pont
Par Estonius

Je suis Ludovic, j’ai quarante ans et je suis cadre commercial dans une grosse entreprise de constructions métalliques.

L’action se passe à M… petite ville du centre de la France, célèbre par son église du XIIe siècle.

Ah, ces réunions en province (on ne dit plus en province, d’ailleurs, on dit « en région », il paraît que c’est du dernier chic) ! Cela a pour moi été toujours une corvée. Le transport, les civilités, les paroles convenues, le repas obligatoire, les petits marchandages, les propos péremptoires, les mesquineries et les règlements de compte. Aujourd’hui on est 25 dans la salle ! Que voulez-vous qu’il ressorte d’une réunion à 25 ? Il existe pourtant des règles de tenue de réunions, on envoie même des gens en séminaire pour leur apprendre… et la règle essentielle c’est qu’il faut éviter la pléthore de participants… Mais non, la bienséance l’emporte sur l’efficacité… que voulez vous, si on invite le représentant du conseil général, on est obligé de faire venir celui de la région… et tant pis s’il ne sont pas du même bord politique et que la confrontation entre eux va être inévitable…

Il est question de la construction d’un pont, mon entreprise a été sollicitée, mais on doit être trop cher, on nous a mis en concurrence avec une autre boite. J’essaie d’expliquer que notre projet est le seul qui soit fiable, le gars de la région me soutient, celui du département me contre… Et ça dure, et ça dure… on répète des arguments déjà dit vingt fois, on prend la parole pour dire exactement ce qu’un autre a déjà exposé, d’autres font de l’hors-sujet ou alors semblent sortir de leur rêve sans avoir tout suivi… Bref, n’étant pas mandaté pour baisser nos prix et la bataille semblant perdue, je prends la parole une dernière fois, mais me la fait couper immédiatement par celui qui aurait du être le président de séance s’il avait su présider.

– Excusez moi, monsieur, mais, il est presque 14 heures, je vous propose d’aller déjeuner, nous reprendrons à 16 heures. Nous avons réservé une table au…

Aller déjeuner à 25. N’importe quoi ! Et je ne vois pas ce que je reviendrais faire à 16 heures. D’autant que deux heures pour ripailler, aller et revenir ça ne semble pas très sérieux !

– C’est cela, allez vous empiffrer, moi je vous laisse, j’ai assez perdu de temps ici… Bougonnais-je.

Et je sors de la salle, indifférents aux protestations hypocrites…

– Quelle bande de cons !

Qui a dit ça ? Je me retourne, une participante, j’ai oublié sa fonction, elle n’a pas ouvert la bouche pendant toute la réunion. La quarantaine, lunettes, chignon, tailleur pantalon pied de poule, elle fait très business woman.

– Comme vous dites ! Répliquais-je, histoire de dire quelque chose d’intelligent.
– Je vais voir à quelle heure j’ai un train, je rentre ! Ajoute-t-elle
– Pour Paris ?
– Amiens, mais je change à Paris.
– Je crois qu’il n’y a rien avant 19 heures…
– Super ! dit-elle dépitée.
– Je vous invite au restau, si vous voulez ! Ça nous fera toujours passer une bonne heure.
– Pas assez faim, je suis trop énervée. Je me contenterais d’un sandwich

On est sur le parking en plein zone industrielle. Je me marre parce qu’autour de nous, il y a les 23 autres rigolos. Certains sont venus en taxi de la gare, d’autres se sont fait accompagner par des cadres de la boite, une minorité seulement a fait tout le trajet par ses propres moyens et il n’y a apparemment pas assez de voitures pour emmener tout ce petit monde au restaurant en un seul voyage… Quand c’est n’importe quoi, c’est n’importe quoi !

– On va à pied vers la ville ? Proposais-je fort hypocritement puisque je n’avais pas d’autres solutions.
– Allons-y.

On échange quelques banalités, elle se présente, se prénomme Carole, travaille aux Ponts et Chaussées, et je n’ai pas bien compris quelle était son rôle dans cette réunion, mais à vrai dire je m’en fous. Elle est marante, très décontractée…

On arrive à une espèce d’embranchement, il y a une route qui mène directement à la ville et une autre qui prend un peu la tangente et qui coupe un petit bois un peu plus loin.

– Si on passait par là, on a le temps ? propose Carole.
– Moi je veux bien, mais ça m’étonnerais qu’on trouve un sandwich dans ce coin…
– Je mangerais mieux ce soir, mais c’est comme vous voulez, si vous avez faim on va tout droit.
– Non, non, je ferais comme vous, je me rattraperais ce soir.

On marche, on rigole, le courant passe vraiment bien entre nous. Aller plus loin ? Je pense avoir mes chances. J’y vais au culot :

– Si je n’étais pas un homme sérieux je crois que je vous draguerais ! Lui lançais-je à brûle-pourpoint.
– Ah ! C’est dommage, car si vous n’aviez pas été un homme sérieux je me serais peut-être laisser faire.
– Et bien je vais vous faire une confidence, je ne suis pas un homme sérieux.
– Moi aussi je vais vous faire une confidence, je m’en doutais.

A ce moment à nos visages sont très proches, l’instant d’après nos lèvres se collaient, nos langues se mélangeaient, j’ai rarement dragué aussi vite.

– Quelle fougue ? Me dit-elle
– La fougue, ça élimine le stress…
– D’accord éliminons, mais ne restons pas là.

On longe le bois, un petit chemin perpendiculaire à la route permet d’y entrer, nous l’empruntons. Je cherche un coin où on pourrait se détendre… et plus si affinités… Nous croisons deux hommes, pas très vieux, ils nous saluent, on répond, ils pilent, manifestement ils ont envie de faire la causette, pas nous, on s’éclipse. On marche encore, et 200 mètres plus loin, c’est un mec seul qui nous croise. Un mec entre deux âges, habillé sport et chic, il ne fait pas du tout vagabond des bois.

– Bonjour, je peux vous être utile ?
– Bonjour, non merci on se balade, Répondis-je.
– J’en ai une belle, et je suis très respectueux, vous savez… Reprend le type en nous indiquant sa braguette de son doigt.
– Bon, allez bon après-midi ! Coupais-je.
– Vous ne voulez pas la voir ? Ça ne vous engage à rien…

Il devient pénible l’animal, je cherche une formule assassine pour l’éconduire, mais voilà que Carole prend la parole.

– D’accord, montrez nous ça !

Elle est folle !

Le mec n’hésite pas et sort sa bite de sa braguette. Elle n’a rien d’extraordinaire, de la bonne bite bien moyenne et bien standard, pas désagréable à regarder mais ce n’est pas non plus la huitième merveille du monde.

– Alors ? Ça vous tente ? Demande l’inconnu.
– Pas mal… j’en ai vu des plus belles, mais c’est vrai qu’elle n’est pas mal. Répond Carole. Qu’est ce que vous en pensez-vous ? Me demande-t-elle.
– Euh…

En fait, elle se fiche de ma réponse, elle a pris la bite du mec dans la main et commence à la branler. Le type bande presque instantanément. Une belle bandaison, bien raide avec le bout tout violacé… Tout ça commence à me troubler.

– Elle est mieux comme ça ? Non ?
– Certes !

Carole attrape la ceinture de l’inconnu et la dégrafe, faisant ensuite dégringoler, pantalon et caleçon sur ses chevilles.

– J’aime bien quand les choses sont bien dégagées…

Elle s’agenouille et sans autre formalité commence à le sucer. Ce n’est pas vrai, je suis tombé sur la nymphomane de service. Je me demande comment je vais gérer la suite de cette affaire, quand elle me fait signe de m’approcher.

– Mettez vous à l’aise, je vais vous sucer tous les deux !

Après tout, pourquoi pas ? Et quelques instants plus tard, sa bouche gourmande alterne ma bite et celle du zigoto. Elle suce bien, très bien même. L’inconnu me lorgne mon engin avec concupiscence, Carole s’en aperçoit et fait une pause.

– Vous ne seriez pas un peu bi, vous ? lui demande-t-elle
– Un petit peu, oui. Il y en a beaucoup ici, faut bien qu’on se débrouille quand il n’y a pas de couples.
– Ah, bon, c’est donc un bois de rencontres ! Et vous avez déjà fait des choses ici, aujourd’hui ?
– Oui, j’ai rencontré deux mecs, j’en ai sucé un pendant que l’autre m’a pris !
– Pendant que l’autre vous a fait quoi ?
– Il m’a pris !
– Il vous a pris quoi ?

Manifestement, Carole s’amuse.

– Il m’a sodomisé, si vous préférerez.
– Ce ne sont pas mes préférences, ce sont les vôtres, et dites moi, c’était bon, je suppose, sinon vous n’en parleriez pas ?
– Oui, j’aime bien tout ça, j’aime bien les bites… dans la bouche, dans le cul…
– Vous êtes célibataire ?
– Non, je suis marié, mais pourquoi cette question ?
– Votre femme sait que vous aimez les bites ?
– Oui !
– Et que vous vous faites enculer ?
– Enculer, oui, nous avons un gode ceinture et on s’en sert, Sinon je ne lui raconte pas les détails, elle ne sait pas que je viens ici… mon fantasme ce serait de me faire prendre par un mec devant elle.
– Hummm, mais c’est vachement excitant ton fantasme… et tu lui en as parlé (vous aurez remarquez le passage au tutoiement)
– Oui…
– Et alors ?
– Elle n’est pas contre, je crois même que ça pourrait l’intéresser… mais disons qu’elle ne cherche pas… on va dire que si l’occasion se présentait…
– Je vois, je vois !

Le type s’exprime très bien, il n’a pas du tout l’air d’un paumé, mais plutôt d’un bourgeois qui vient s’encanailler dans ces bois…

– Et toi, t’es un peu bi aussi ? M’interpelle alors le type.
– Euh, non, ou alors juste un petit peu…

Le lecteur aura deviné que ma parole m’a trahi, j’aurais prononcé un non ferme et définitif, j’ignore qu’elle aurait été la suite des événements, mais là inconsciemment j’ouvrais une porte, une porte que dis-je ? Un boulevard !

– Comme moi, alors ! Reprend l’autre.

Ben, non pas comme lui… mais ma bite est déjà dans sa main, je sais qu’elle sera dans sa bouche dans quelques secondes… et voilà c’est fait, je venais négocier la construction d’un pont dans la France profonde et au lieu de ça je me fais sucer par un mateur de bite dans un bois louche… et ce n’est surement pas fini… Et c’est qu’il suce divinement le rigolo…, je le freine, je n’ai pas envie de jouir tout de suite… Hé, c’est qu’il y a Carole qui se régale.

– Putain, ce que ça peut m’exciter deux mecs qui se font des trucs. Rends-lui la politesse !
– Lui rendre la politesse ?
– Ben, oui suce-le !
– Peut-être pas ?
– Tu ne va pas te dégonfler ? Essaie au moins, ça ne va pas t’enlever ta virilité et puis ça me fera plaisir.

Je ne sais plus comment me défiler, et puis surtout est ce que j’ai vraiment envie de me défiler ? Je me baisse, tripote un peu la quéquette du gars, imprime quelques mouvements masturbatoires sur la verge, puis la constatant de nouveau bien bandée j’ouvre un large bec comme le corbeau de la fable et le referme sur ce joli cylindre de chair… Quelques secondes après j’effectuais avec application la seconde fellation de ma vie (la première remontant très, très loin) en me demandant pourquoi je m’étais privé de ce plaisir pendant des années.

– Ben dis donc, t’aimes ça sucer des bites ? S’étonne Carole.
– Humm, Humm ! Répondis, la bouche pleine…

Je bande comme un dingue en le suçant, je ne sais plus où j’en suis, mais je m’en fous, je suce, je suce, j’explore sa bite avec la langue parcourant tantôt la verge, tantôt le gland, je goûte aux testicules, mais ça ne me branche pas trop, j’essaie de combiner le mouvement des lèvres et celui de la langue, j’essaie aussi de la mettre complètement dans ma bouche faisant se cogner l’organe contre l’intérieur de mes joues.

– Qu’est ce qu’il suce bien ton mec ! Commente l’inconnu.
– Mieux que moi ? demande Carole.
– Non, quand même pas… Vous ne pourriez pas me sucer tous les deux ensembles.
– Aucun problème ! Commet tu t’appelles ?
– On va dire Charlie.

Pas si facile à coordonner, ça devient vite plus du léchage que du suçage !

– Suce-lui le cul ! Me propose Carole
– Non !
– Ben pourquoi ?
– J’ai pas envie !
– Et le mien tu aurais envie de le sucer ?
– Le tien ? Oui ?
– Quelle différence un cul, c’est un cul…

Mais, elle n’insiste pas et s’en va lui lécher la rondelle pendant que je reprends ma fellation en solo, mais au bout d’un moment le gars me stoppe, m’indiquant qu’il ne souhaite pas jouir tout de suite. Je me relève et découvre à quelques mètres de notre trio les deux mecs que nous avions croisés tout à l’heure, ils sont en train de nous mater en se branlant.

– Venez, venez ! Leur propose Carole.

Les deux gars s’amènent la bite à l’air, Carole choisit le mieux monté des deux et commence à lui pratiquer une fellation, le second s’approche de moi.

– Tu veux me sucer ?

Je crois que je n’ai même pas répondu, mais je me suis mis à genoux et je me mis à déguster ma deuxième bite de la journée.

– Tu veux que je t’encule ? Me propose ce citoyen.
– Non, non, ce n’est pas mon truc ! Répondis-je coupant court à toute attitude insistante.
– Moi tu peux ! Intervint Charlie.

Le mec quitte ma bouche, et alors que Charlie se met en position, il s’encapotte, et se positionne derrière lui, la bite entre avec une facilité déconcertante. C’est la première fois que je vois deux mecs faire ça, j’avoue être troublé. L’affaire ne dure pas bien longtemps, le type derrière est déchainé et provoque chez Charlie des petits jappements de plaisirs, ça va de plus en plus vite et l’enculeur jouit dans un râle.

Carole s’est débarrassée de son pantalon et de sa culotte, (mais a gardé tout le haut) et s’est mise en levrette, le cul offert à son partenaire. Celui-ci non plus ne fait pas dans la dentelle et excité comme un pou finit son affaire en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

– T’aurais pu me faire jouir, lui reproche-t-elle.

Le mec ne répond pas, il se recule, retire sa capote qu’il jette en pleine nature, il se rebraguette, rejoint son copain et ils partent tous les deux sans un mot.

– Malheureusement il y en a plein des comme ça, ici, il faut faire avec ! Soupire Charlie.
– Alors viens me faire jouir, toi, lui demande Carole

Elle s’adosse alors à un arbre et Charlie s’agenouille devant elle afin de lui lécher le minou.

– Encule-moi en même temps ! Me demande-t-il en me passant un préservatif.

Il est insatiable, ce mec, mais je n’hésite même pas, après avoir fait ce qu’il fallait je me positionne derrière le joli petit cul de Charlie et j’enfonce ma bite dans son trou, ça rentre tout seul. Et pendant que j’accélère mes va-et-vient, j’entends Carole qui commence à haleter, puis qui pousse un cri à faire fuir les oiseaux du coin. On a du jouir en même temps. Seul Charlie n’a pas eu son plaisir, mais Carole bonne fille, le reprend en bouche et le fait cracher en quelques minutes.

– C’était bon ! Dit-il, Vous venez souvent ici, je ne vous ai jamais vu ?
– On n’est pas de la région, on est passé ici par hasard, répond Carole. J’ai une de ces envies de faire pipi, mais vous pouvez regardez ça ne me dérange pas du tout.

Carole sans s’éloigner s’accroupit après avoir de nouveau baissé pantalon et culotte et se met à pisser un torrent d’urine.

– Que c’est beau ! S’exclame Charlie, j’aime bien les jeux de pipi, aussi.
– Décidément tu es un gros cochon, attend que j’ai fini, tu pourras me nettoyer avec ta langue.

Le type est aux anges, il lape le minou tout imbibé de pisse comme une vrai friandise, il n’arrête pas.

– Continue, continue… lui dit Carole en fermant les yeux

Il continue, jusqu’à ce que la fille hurle son second orgasme de l’après midi

– Euh, vous restez quelques jours dans notre région ? Demande Charlie
– Non, on rentre ce soir, on a un train vers 19 heures.
– Dommage…
– Toi, tu avais une idée derrière la tête…
– C’est-à-dire, si vous aviez la possibilité de vous attardez un peu….
– Pourquoi pas ? Reprend Carole, mais c’est quoi ton plan ?
– Ben mon fantasme…J’aurais bien aimé me faire enculer devant ma femme…
– Elle est comment ta femme ?

Il sort une photo de son portefeuille, une petite brune coupée au carré, pas toute jeune mais le visage très agréable et les yeux malicieux…

– Il nous arrive de faire des trucs à la maison avec d’autres couples, elle est un peu bi, mais je n’ai jamais trouvé d’homme bi… et puis demander aux habitués d’ici de venir chez moi, je m’y refuse, je préfère rester incognito.
– Qu’est ce qu’on fait, on y va ? Me demande Carole.

Je ne dis rien mais opine de la tête en guise d’assentiment

Deuxième partie

– Il est à quelle heure le train d’après ? Me demande Carole
– Vers minuit, je crois.
– Impeccable !

Charlie s’est éloigné pour téléphoner à sa femme, toute la conversation n’est pas audible mais il monte le ton (sans doute volontairement) pour affirmer « Ce sont des gens très corrects, très gentils et ils ne sont pas de la région »

Nous convenons avec Carole de rester sur nos gardes, tant que nous n’aurons pas la certitude qu’il ne nous amène pas dans un traquenard, on ne sait jamais…

Il revient nous confirmer que son épouse est d’accord, et nous demande de le suivre jusqu’à sa voiture.

– Je n’habite pas à M… nous confie-t-il, je suis à V… c’est un petit patelin à 20 kilomètres… Je viens dans le bois quand je peux me libérer, ce n’est pas toujours évident. Il y a de tout dans le bois, mais bon… j’arrive toujours à faire des rencontres… il y a toujours des belles bites… les couples c’est plus rares, mais ça arrive…
– Et il y a longtemps que vous le fréquentez ?
– Pas tant que ça… disons quelques mois… Avec ma femme on a toujours eu des pratiques un peu marginales, un peu de godes, un peu d’uro, un peu de domination… mais bon avec le temps notre libido réciproque s’est un peu émoussée. J’allais voir ailleurs et elle aussi, et un jour des amis de rencontre en vacances ont abordés avec nous le thème de l’échangisme, ils nous ont invités… des gens très corrects, ça s’est super bien passé, du coup on s’est mis à éplucher les petites annonces, là aussi on trouve de tout mais nous avons eu des belles expériences, surtout quand la femme est bi. Et puis un jour on est tombé sur un couple, des jeunes, le mec avait une bite superbe, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai eu envie de la sucer. J’ai lancé quelques ballons en le flattant, tout ça, mais il n’a pas rebondi… j’aurais peut-être du être plus directif. Du coup, ça m’a travaillé, j’ai eu envie de sucer une bite, j’avais entendu parler de ce bois, dès que j’ai pu, je suis venu voir, ça n’a pas trainé, il n’y avait pas un quart d’heure que j’étais là, que j’arrive dans une clairière où deux mecs se faisant un soixante neuf, un troisième les regardait en se masturbant. Je me suis approché, je lui ai regardé la queue, il s’est tourné vers moi sans un mot, je l’ai branlé un peu, et quelques instants plus tard je l’avais dans la bouche. Je l’ai sucé à fond, mais ça m’a suffit pour cette fois, je suis reparti aussitôt, content d’avoir réalisé mon fantasme. La semaine suivante j’y suis retourné avec un double objectif, sucer un maximum de bites, et me faire sodomiser. Et voilà…

On arrive dans une superbe propriété bourgeoise, le porche s’ouvre et une jolie antillaise en tenue de soubrette viens nous ouvrir. Fichtre ! Ce gars là a donc des domestiques !

– Madame vous attend dans le salon, précise la nana.

Effectivement, Isabelle (puisque c’est son prénom) nous accueille, et Charlie fait les présentations

– Bonjour Madame, vous êtes ravissante, mon mari ne m’a pas menti ! Dit-elle à Carole.
– Votre mari ne nous a pas menti non plus, je vous trouve charmante ! Répond cette dernière.
– Et vous Monsieur, c’est donc vous qui allez enculez mon mari devant moi ?

L’audace de la réplique me fait rougir et je me mets à bafouiller… du coup tout le monde rigole.

– Il est 18 heures, c’est quasiment l’heure de l’apéritif, reprend Isabelle, accepteriez-vous quelque chose ? Nous avons un excellent whisky que mon mari a rapporté d’Ecosse, sinon nous avons du champagne et plein d’autres choses.
– J’ai oublié de te dire que nos amis apprécient tous les champagnes, précise Charlie.
– Hummm… ce n’est pas si courant… voilà qui tombe très bien, j’ai comme une petite envie, mais ça peut attendre un peu, je vous propose pour commencer de boire un vrai champagne. Tania, apportez-nous du Champagne, il est fort probable que nous partouzions, alors je vais vous demander de nous servir les seins nus et sans culotte… pour l’ambiance.
– Aucun problème, madame.

Je n’en reviens pas, je suis vraiment tombé vers les gros coquins du coin….

On s’installe, les deux femmes sur le canapé, moi et Charlie sur des fauteuils de part et d’autre d’une table basse.

– Je crois que je vous ai accueilli en vous serrant la main, cela n’était peut-être pas le geste le mieux adapté à notre genre de rencontre. Me permettez-vous de vous embrasser ? demande Isabelle
– Avec plaisir ! Répondit Carole

Les deux femmes rapprochent leur visage, manifestement elles souhaitaient toutes deux la même chose et c’est le plus naturellement du monde que leurs lèvres se collent en un long baiser baveux. Ça commence à m’exciter sévère ce truc là.

Sur ces entrefaites, Tania a apporté le champagne, comme demandé, elle a les seins nus, de jolis seins couleur chocolat terminés par de larges aréoles et de gros tétons très sombres. Voilà qui est émoustillant.

– Tania, offrez donc à nos amis un téton au champagne, servez-vous de mon verre.

Tania trempe alors l’index et le majeur dans la coupe de sa patronne et s’en badigeonne les deux tétons. Elle s’avance alors vers moi, me fout son sein sous le nez… et bien sûr je lèche.

– Alors c’est comment ? Me demande Isabelle tandis que Tania se fait à présent lécher l’autre téton par Carole
– Délicieux et excitant !
– Excitant… hum vous bandez, alors ?
– Il me semble bien, oui.
– D’ordinaire, c’est moi qui vérifie ce genre de choses, mais les circonstances étant ce qu’elles sont, je vais laisser ce soin à mon mari.

Charlie se lève alors de son fauteuil et vient m’estimer la braguette.

– Oui, oui, ça bande ! Confirme-t-il.
– Et bien, montrez-nous là… Vous n’avez rien, cher Carole contre le fait que Charlie sorte la bite de Ludovic ?
– Non, non et d’ailleurs nous sommes un peu venu pour ça, non ?
– C’est bien ce qui me semblait !

Charlie me dégage donc la queue et la branlotte un peu afin de parfaire son érection.

– Elle est très sympathique cette bite, commente Isabelle… et bien Charlie qu’attends-tu pour la sucer ?
– Euh… bien sûr… mais j’aurais préféré que ça passe comme on avait dit… Objecte-t-il

Késako ?

– Ah, d’accord ? Et bien buvons d’abord le champagne ! Reprend la maîtresse de maison en levant son verre… Je vous en prie Ludovic laissez donc votre bite sortie, j’adore les apéritifs insolites.

C’est bien la première fois que je trinque la bite à l’air.

– Je dois vous dire, continue Isabelle, que nous nous amusons parfois, Charlie et moi à jouer aux rapports de domination, avec ou sans Tania, c’est souvent moi qui domine mais pas toujours… et comme ce qui va se passer ici est un peu une première, mon mari préfèrerai que cela se passe dans le cadre d’une domination… mais, ce n’est pas obligatoire, si ça vous gêne on va faire classique…
– Donc si je comprends bien, vous allez vous changer et donner des ordres à votre mari, c’est cela ? demande Carole
– Donner des ordres, oui, me changer, je n’y avais pas pensé, mais ça me paraît une excellente idée !
– Ben moi ça ne me gène pas du tout, mais je deviens quoi dans tout ça ? reprend ma complice du moment.
– C’est un peu comme vous voulez ! Vous avez essayé les rapports de domination ?
– Oui, une fois on a joué à l’esclave et à la maîtresse avec une copine…
– Et vous faisiez ?
– L’esclave !
– Alors vous allez recommencez avec moi.
– Pas de problème !
– Et vous Ludovic…

Je cherche ma réponse, la tournure que l’affaire est en train de prendre, me gêne… mais Carole ne me laisse pas m’exprimer.

– Je crois que Ludovic fera aussi un excellent soumis. Indique-t-elle
– Mais…
– Tais-toi, je connais les hommes, tu as le profil et tu vas adorer…
– N’ayez crainte, je ne suis pas une brute, préviens Isabelle, par contre dites-moi si au niveau des mots je peux me lâcher ou si vous préférez une certaine réserve…
– Lâchez-vous ! Répond Carole.
– OK, finissez votre champagne, je vais allez me changer et ensuite on commence tout de suite le délire.

Elle disparaît. Un peu interloqué par la façon dont se déroulent les événements, je ne sais que dire, et comme ni Carole, ni Charlie ne prennent la parole un silence lourd s’installe. Je sirote mon champagne en faisant semblant de m’intéresser aux moulures du plafond quand Isabelle revient.

Curieuse tenue, on va dire que c’est de la tenue de dominatrice simplifiée, de bas en haut, de longues bottes, pas de culotte, une grosse ceinture à pointes métalliques, un gilet sans manche ouvert sur une jolie petite poitrine. L’ensemble a une certaine allure et je me surprends à rebander.

– Bon, mettez vous à poil, tous les trois, et que ça saute… Tania va vous ranger vos affaires à côté…

On s’exécute, je me demande un peu ce que je fais là, mais curieusement la présence de Carole me rassure. Je peux enfin admirer ses seins à la fille des Ponts et Chaussées, de curieux seins un peu lourds, en forme de poires qu’il me tarde d’aller caresser…

– Les deux pédés, vous vous approchez l’un de l’autre et vous branlez mutuellement, mais tout doucement… et toi la pute, tu viens me voir.

Nous voici en pleine poésie !

Et tandis que je branle la bite à Charlie, lequel me masturbe mollement la mienne, Carole se positionne devant Isabelle.

– Alors tu aime ça, jouer à l’esclave ? Lui demande la maîtresse de maison
– Je l’ai fais qu’une fois mais ça m’a bien plu.
– Bouffe-moi la chatte !
– Avec plaisir.

Isabelle s’assoit alors sur le canapé et écarte ses jambes, tandis que Carole commence à lui brouter le minou. Charmant spectacle, je suis excité comme un pou et ma queue est toute dure dans la main de Charlie.

– Bon maintenant, Charlie je veux te voir en train de sucer une bite.

J’aurais préféré le contraire, mais bon, le fantasme d’Isabelle c’est de voir son mari jouer un rôle passif… et puis je ne vais pas me plaindre non plus…il suce très bien, même si je suis persuadé que son épouse le fait encore mieux… mais aurais-je droit à cette faveur ?

– Non, mais regarde moi ça comment, il lui bouffe sa queue, on dirait qu’il va la gober… Commente Isabelle. Tania, mets-lui ton doigt dans le cul pendant qu’il le suce.
– Avec plaisir, madame !
– Et toi ? M’apostrophe-t-elle; t’aimes ça te faire sucer la queue par un mec ?
– Quand c’est fait comme ça, c’est super !
– Plus vite ton doigt, Tina fait le frétiller du cul, cet enculé !
– Oui, madame !
– Et parle-lui, on ne t’entend pas !
– Oui, madame !

Tina accélère son mouvement et semble chercher l’inspiration, puis soudain se lâche :

– Alors, Monsieur Charlie, ça vous plait de vous faire foutre un doigt dans le cul par votre bonniche pendant que vous sucez une bonne bite ?
– Humpf, humpf ! Répond l’intéressé qui ne me la lâche pas (la bite)
– Bon, Charlie, c’est l’heure de passer aux choses sérieuses, mets toi en levrette, et Monsieur Ludovic va te prendre le cul ! Ordonne Isabelle.

Ça tombe bien parce que, excité comme je suis, une minute de plus et je jouissais dans sa bouche, ce qui n’était pas le but du jeu. Je m’encapote le zizi, et je rentre dans son fondement comme dans une motte de beurre des Charentes.

– Et ben, dis donc, tu as l’air d’aimer ça, c’est meilleur que le gode ceinture à Maman, non ! Non, mais Carole, tu as vu, j’ai mon mari qui se fait enculer, j’ai un mari pédé, et moi ça m’excite… On doit être un peu bizarre, non ?
– Il n’y a rien de bizarre entre des gens qui s’aiment et se respectent ! répond doctement Carole.
– Oui, mais n’empêche que c’est un enculé !
– Et si tu me suçais la chatte ?
– Dis donc toi, qui c’est la maitresse, ici, ce soir ?
– On s’en fout, suce moi la chatte !
– D’accord, dès qu’ils ont fini je vais te faire un broute-minou d’anthologie ! Allez Ludovic, encule-le bien mon pédé de Charlie. Enfonce-lui bien ta bite dans son trou du cul.

Quel langage, mes amis ! Mais contre toute attente, ça augmente mon excitation, je sens monter mon plaisir et je finis par jouir.

– Alors, c’était bon de se faire enculer ? demande Isabelle.
– Super !

Je suis crevé, je m’affale dans le fauteuil, j’ai soif. Charlie aussi, il demande à boire à Tania, mais Isabelle l’interpelle.

– S’ils ont soif, pisse-leur dessus, Tania.

Sans discuter Charlie s’allonge sur le sol, après avoir soigneusement éloigné les tapis…

– Toi aussi, Ludovic tu te mets à côté de lui, la bouche ouverte.

Pas trop envie, ma libido est retombée et j’aurais plutôt avalé un verre de flotte.

– Ludo, fait ce que te dis la dame ! Me demande Carole.

Bon, celle-ci je n’ai pas envie de la contrarier, je me force à m’allonger, Tania vient au-dessus de nous, quelle magnifique vision que cette chatte dans cette position. J’avais pratiqué l’uro trois ou quatre fois avec une ancienne copine, j’avais trouvé ça amusant sans que cela devienne un fantasme obsessionnel… mais pour le moment la vue de cette chatte réveille (déjà ?) mon plaisir et j’ouvre la bouche. Et voilà que ça coule ! Charlie doit être habitué, il n’en gâche presque pas, moi c’est plus difficile, mais c’est vrai qu’il est vachement bon son pipi à la blackette.

On se relève, et Charlie se dirige vers la table sans doute pour nous verser quelque chose de moins troublant mais plus désaltérant.

– Tsss, tssss… intervient Isabelle, je n’ai pas donné cette autorisation. Je crois Messieurs que vous pouvez encore nous donner du spectacle, qu’en penses-tu Carole ? Si on leur faisait inverser les rôles.
– J’allais te le proposer ! Mais je te signale que j’ai toujours la chatte en feu.
– Justement, il n’est pas meilleur plaisir qu’un plaisir retardé… Allez messieurs, en position.
– Viens ! Me dit Charlie.

Je ne réfléchis plus, me voilà déjà entre les cuisses du gars en train de lui sucer la queue, et il faut bien avouer que je me régale, d’ailleurs je rebande.

– Je vais m’allonger on sera mieux ! Me propose Charlie.

Tania venant d’essuyer les tommettes, je continue donc à me régaler de ma fellation dans cette position, qui permet à cette même Tania de m’introduire un doigt dans le fondement. Voilà une combinaison de plaisir tout à fait insolite. Je cherche néanmoins comment échapper à la sodomie que je n’ai jamais pratiquée. Sans doute, il n’y aurait pas Carole, aurais-je inventé un malaise passager, mais je ne veux pas me dégonfler à mes yeux… Hé, c’est que la Carole, je ne l’ai pas encore baisé, et que cela reste dans mes intentions. Alors je me dis que je vais me laisser faire, et seulement si ça se passe mal, je demanderais d’arrêter. Tiens, je vais même les épater les nanas. Sans que personne ne me le demande, j’arrête de le sucer, et je me mets en levrette.

– Vas-y encule-moi ! Demandais-je à mon partenaire.
– Il aurait pu attendre que je lui demande, cet enculé ! Commente Isabelle.
– Qu’est ce que tu veux, les gens ne savent plus obéir ! Répond Carole faussement désabusée.

Charlie a du mal à entrer, il doit demander du gel à Tania et m’en tartine le cul. Il s’y reprend plusieurs fois, mais ça finit par le faire. Drôle de sensation de se sentir rempli comme ça, et le voilà qui commence à faire des va-et-vient. Mélange de gêne et de plaisir.

– Je ne te fais pas mal ?

Prévenant, le monsieur ! Non, il ne me fait pas mal, alors il accélère. C’est bon, j’e découvre quelque chose à ce point que quand il se retire, je regrette que ce soit déjà fini.

– Alors c’était bon de se faire enculer ? Me demande Isabelle toujours aussi romantique.
– Oui, et maintenant, je peux vous l’avouer, c’était la première fois !
– Non ?
– Si ! Mais ça ne sera pas la dernière, c’était trop bon.
– Il faut arroser ça ! Propose Carole, sers le champagne, Tina et trinque avec nous.

C’est du vrai champagne, cette fois, mais Carole chuchote quelque chose à l’oreille de la soubrette. Je vais pour prendre mon verre, mais la maîtresse de maison (et de séance) intervient :

– Attends on va faire quelque chose.

Tina se plie en avant, et Carole lui verse du champagne sur la raie fessière.

– Vas-y lèche !

Je ne me fais pas prier et je lèche le liquide pétillant répandu sur la peau satinée de la petite soubrette, j’ai du boire le contenu d’une coupe de cette façon.

– Ne te gène pas, tu peux lui lécher le trou du cul, elle adore ça, cette petite garce !

Ben si elle adore ça, pourquoi me gêner, et me voici entrain de lui lécher l’anus avec application. Bien sûr je rebande comme un sapeur. Pendant ce temps Charlie s’est affalée sur le fauteuil et a allumé un petit cigare, tandis qu’Isabelle plongée entre les cuisses de Carole entreprend de la faire jouir tandis que ses longs doigts lui tortillent le bout de ses seins.

Carole finit par hurler son plaisir et ma blackette se dégage en me disant que j’étais un bon suceur de trou du cul.

– C’était très bien, Messieurs, dit alors Isabelle, Je pense que pour les remercier, nous allons nous mettre à leur disposition.
– Bonne idée ! Confirme Carole qui se dirige alors vers le fauteuil de Charlie et lui gobe la queue.

Isabelle fait de même avec la mienne. Retour à des plaisirs plus classiques, après m’être fait sucer par la dame, je lui ai rendu la politesse, et pour ce qui est de la pénétration, elle souhaita qu’elle fût anale, ce qui ne me posa aucun problème.

L’affaire terminée, je m’étonnais de l’absence des autres. Isabelle m’informa qu’ils étaient très probablement en train de se doucher… J’ai pris moi aussi une bonne douche.

On s’est tous rhabillés, on est resté diner, le repas était improvisé, quiche et salade, l’ambiance était agréable mais on avait notre overdose de sexe, nous avons parlé d’autre chose. On s’est fait accompagner à la gare. Dans le train Carole s’est endormie.

On est arrivé vers 5 heures en Gare de Lyon à Paris, elle avait un train à 6 heures Gare du Nord pour Amiens, je l’ai accompagné, puis on s’est séparée, j’attendais qu’elle me roule une pelle, non elle m’a gentiment tendu ses joues pour un double et chaste bisou. Elle ne m’a pas donné sa carte, je n’ai pas osé lui demander, et elle a disparue de ma vie… Ça m’a un peu contrarié… Quand je pense que je ne l’ai pas baisé… C’est pô juste !

Estonius © octobre 2009
Ce récit à eu l’honneur d’être élu 3ème prix de la meilleure nouvelle pour 2009 :

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4 réponses à Construire un pont par Estonius

  1. Bureau dit :

    Ça m’a rappelé quelques souvenirs, quand j’étais en activité il a fallu que je farcisse des réunions chiantes et interminables qui ne servaient à rien. Alors parfois on s’échange des coups d’œil entre participants, et à la pause on va boire ensemble, et à la sortie on va au restau ensemble, et ça se termine dans une chambre d’hôtel.

  2. Messidor dit :

    L’introduction sent vraiment le vécu j’ai assisté moi-même à des choses aussi abominable que ça ensuite ça des vies vers le fantasme c’est tout à fait autre chose mais c’est vraiment très plaisant et très excitant

  3. Chandernagor dit :

    Construire un pont ! En voilà un titre qu’il est bizarre pour une nouvelle érotique.
    Une bonne idée de rééditer ce texte qui est vraiment très bien et très original.
    Estonius a le dont de faire jaillir l’érotisme à partir de situations de la vie quotidienne ou de la vie professionnelle où on ne l’attend pas (ici une réunion de technocrates)
    Un régal !
    Il est génial ce texte !

  4. Orlando dit :

    Fabuleux, c’est tout simplement fabuleux !

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