Alizée par Fomalhaut

Alizée
par Fomalhaut

Elle s’appelait Alizée. Agée de vingt et un ans, elle était belle et elle le savait. Son adorable petit minois et son merveilleux corps faisaient qu’elle sortait rarement sans se faire aborder. Sa mine boudeuse mettait en valeur ses yeux d’un vert profond, et son petit nez délicat. La minceur et la cambrure de son corps mettaient en avant ses petits seins en forme de poire (ou c’est du moins la forme que l’on pouvait deviner à travers ses vêtements) et son adorable petit cul. Mais elle n’abusait jamais de ses avantages physiques et elle refusait de porter des tenues trop sexy.

On s’était rencontré dans le cadre d’une mission professionnelle de longue durée. Elle m’avait semblée tout de suite différente de ces filles belles et qui en sont conscientes : elle en jouait, bien sûr, mais elle savait respecter les autres, elle ne se limitait pas à des choses futiles et elle abordait assez librement tous les types de sujets (hormis celui du sexe…). « Jamais avant le mariage » m’avait-elle dit un jour : information intéressante … et qui renforçait l’attirance qu’elle exerçait sur moi. Elle croyait encore à l’homme idéal, un mélange de célébrités qui pour elles avaient cette « classe » et ce sex-appeal qu’elle recherchait désespérément… Cette naïveté m’étonnait vraiment de sa part. Elle n’avait connu que deux garçons et ces deux fois elle les avait quittés au bout d’à peine deux mois… La routine avait eu raison de leur charme m’avait-elle confié. J’étais bien décidé à changer ça…

Nos liens d’amitiés se sont peu à peu renforcés et elle s’était rendu compte du pouvoir qu’elle avait sur moi … Je me rappelle d’un jour à la fin du printemps où elle m’avait ouvert la porte et ou j’étais resté bouche bée pendant quelques secondes, arrivant à peine à bredouiller quelques syllabes : elle avait mis une de ces petites robes toutes simples qui mettent tellement bien un corps féminin en valeur : le choc ! Elle avait des jambes superbement dessinées (c’était une grande sportive : natation, jogging,…), d’un teint mat des plus délicieux. Pour la première fois, elle avait un décolleté qui permettait d’apprécier la forme de sa poitrine…

Plus le temps passait, plus on faisait d’activités ensemble et plus je pouvais profiter de cette agréable vision. Un jour, alors que nous courrions ensemble dans un parc par temps de pluie, elle a progressivement accéléré comme pour me montrer que le sexe si faible ne l’était pas tant que ça … J’augmentais peu à peu mon rythme jusqu’à la rattraper et arrivé à son niveau je l’entraîne sur le bas côté, en dehors du chemin, et nous nous écroulons tous les deux, essoufflés, dans l’herbe humide. Elle se retrouve allongée sur moi, les jambes emmêlées, et nous rions aux éclats. Nos rires se calment ; je sens la chaleur de son corps contre le mien et la situation devient troublante pour tous les deux.

Le silence…Nos regards ne se quittent plus. J’écarte doucement de ma main une mèche de cheveu, qui, alourdie par la pluie, lui barre le visage. Elle retient ma main et y dépose un baiser des plus sensuels. Nos doigts s’entremêlent. La pluie continue de tomber dans le parc déserté par les passants. Je passe ma main derrière sa nuque, je l’attire vers moi et dépose un baiser sur ses lèvres brûlantes. Dès que ma langue entre en contact avec sa lèvre supérieure, je la sens frissonner. Elle est d’abord hésitante, elle essaye même de détourner la tête mais finalement elle s’enhardit et je sens sa langue rejoindre et s’enrouler autour de la mienne, ce qui me procure une délicieuse sensation. Ma main se détache de la sienne et, alors que je me retrouve à mon tour sur elle, je lui caresse la joue, puis le cou et puis je descends jusqu’à sa poitrine. Je prends son sein gauche dans ma main et je fais de petits cercles avec mes doigts A travers son survêtement, je sens le téton se durcir. Je le pince délicatement et tout en fermant les yeux, elle pousse un soupir de plaisir. Je sens mon sexe se durcir. Ma main droite se pose juste au dessus de son genou et remonte progressivement sur sa cuisse. Elle ferme imperceptiblement ses jambes comme pour se protéger.

Je sens cependant ses mains se poser sur mes hanches et l’une d’elles vient se poser sur mes fesses et réagit à chacune des caresses appuyées sur son corps. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi sous la pluie à nous caresser ni à quel moment nous avons décidé de rentrer (le plus rapidement possible…) chez elle. Je me rappelle du bus que nous avons pris pour rentrer : collés l’un à l’autre durant le trajet dans un véhicule bondé, je sentais son odeur excitante au possible, mélange de sueur et d’excitation….Je lui déposais régulièrement des baisers derrière l’oreille, là où cette odeur était la plus présente ; ce à quoi elle répondait par des caresses appuyées de sa main qui s’était glissée sous mon tee-shirt. Une fois dans la résidence dans laquelle se situaient nos appartements de fonction, je lui dis que je vais chercher quelques affaires pour me changer (et aussi pour prendre des petits capuchons magiques…) et je suis de retour chez elle à peine deux minutes plus tard.

On décide de prendre chacun une douche (séparément ..) et alors que j’expédie ma douche au plus vite et que je commence à enfiler mes vêtements, mon regard est attiré vers un panier en osier : j’en ôte le couvercle pris d’une curiosité soudaine et je tombe sur un tas de vêtements apparemment sales et sur le dessus se trouve une petite culotte …Combien de fois j’avais fantasmé sur Alizée et sur ses sous vêtements ….et là je me retrouvais devant l’objet de mes fantasmes…Je la prends à pleine main et je la place contre mon visage, je respire cette odeur si étrange, celle de son urine séchée, d’autres traces plus foncées auraient pu me répugner, mais non, magie de la passion, je renifle et renifle encore … cette odeur si excitante… si entêtante.

J’entends Alizée s’impatienter et je glisse donc cette culotte dans mon tas d’affaires sales et je sors de la sale de bains…Elle est devant moi, les cheveux trempés tombant sur son visage adorable, dans son survêtement mouillé qui moule encore plus ses formes… Ne pouvant résister je la plaque contre le mur et l’embrasse à pleine bouche et elle répond à mon baiser.

– Je dois vraiment prendre cette douche ! Dit-elle, dès que nos lèvres se sont détachées.

A regret je la laisse entrer dans la salle de bain, n’osant pas lui dire que ce n’est pas si nécessaire. Je vais m’installer sur son lit et j’attends impatiemment… Encore émoustillé par ma découverte dans la salle de bain je ressors la culotte et j’hume à nouveau cette palette d’odeurs entêtantes. Je ne l’avais pas entendue sortir et elle me surprend sa culotte contre le visage. D’abord gêné, je ne lui laisse même pas le temps d’ouvrir la bouche que je la prends par la taille et l’attire à moi.

– Petit cochon ! A-t-elle juste le temps de me glisser entre deux baisers. Tu renifles quoi ?
– C’est ton odeur, c’est magique !
– Fais voir ! Demande-t-elle en m »arrachant (sans brutalité) la culotte

Elle l’examine avec malice :

– Il ya tout ce qu’on veut là dedans, de la vieille pisse, et même des traces de merde ? T’aime ça petit cochon ?
– Oui !

Elle s’offre plus que quelques minutes auparavant, elle ne fait pas seulement que répondre à mes caresses, c’est à son tour de me plaquer contre le mur .Mes mains se posent sur son adorable petit cul bien ferme et nos langues s’entremêlent violemment. Je saisi le bas de son tee-shirt fraîchement enfilé et le soulève progressivement pour découvrir ses seins en partie cachés par un soutien gorge en dentelle. Elle aussi m’enlève mon tee-shirt et s’attaque à la ceinture de mon jean. Je me retrouve en caleçon, le sexe dressé devant la plus belle fille que je n’ai jamais connu. Elle jette un coup d’œil à mon érection et ose même une caresse furtive, à mon plus grand plaisir. Je me mets à genoux devant elle et j’entreprends de lui enlever son jean. Elle se retrouve en culotte et soutif devant moi.

– Ça te plaît ?
– Oui ! Tu es très belle !

Elle se colle à moi, je lui pince la lèvre supérieure, la lèche délicatement et répond à sa langue qui tente de s’enfoncer profondément dans ma bouche. Je laisse glisser mes mains sur son corps nu et doux, je dégrafe son soutien gorge et libère sa poitrine. Je prends Alizée par les hanches, elle m’enserre la taille de ses jambes ; je sens déjà la chaleur de son bas ventre. Je la dépose tendrement sur le dos et commence à déposer des baisers sur ces cuisses en direction de son jardin secret. Je la sens frémir à chaque baiser. J’arrive à l’aine et je colle mon visage contre ce dernier morceau de tissu, dernier rempart. Je sans son odeur chaude et moite et je vois une tache humide dans sa culotte. Je la fais glisser délicatement et je découvre son adorable petite chatte, ses poils mi court et cette fente humide. Je la caresse avec deux doigts, y enfonce légèrement mon majeur et je sens son corps se contracter. Je relève la tête et je la vois, à la fois gênée et pleine d’excitation. Je mets mon visage au contact de sa vulve, je sors ma langue et goûte à ce nectar qui commençait à s’échapper. J’introduis ma langue plus profondément et je recueille tout ce que je peux.

Je la fais jouir en titillant son clitoris, en le suçant avidement, son corps se contracte et je me gorge de cette saveur si agréable. Je glisse une dernière fois mon doigt dans cette fente humide et je remonte vers son minois si agréable. Je présente mon doigt devant sa bouche et elle le lèche avidement. Elle reste bouche ouverte et j’en profite pour glisser ma langue au plus profond de son palais. Ses joues rouges, ses yeux fuyants montrent à quel point elle lutte entre sa timidité naturelle, sa gêne en ce qui concerne le sexe et son désir manifeste. Ses mains glissent agréablement sur moi et s’attardent parfois sur mes testicules. Mon gland humide glisse sur son corps bronzé et mouille l’intérieur de ses cuisses. Ma queue se présente à l’entrée de sa chatte désormais bien lubrifiée et je m’enfonce progressivement dans sa chatte très étroite.

Après quelques mouvements de reins ceux-ci se transforment en cris de jouissance. Je me sens si bien dans sa chatte si tendre que je m’y attarde, alternant des mouvements rapides et plus lents. Elle se mord la lèvre, les yeux fermés et pousse un cri ressemblant à un « oui ! ! ! ». Je lui demande de me regarder, sentant le moment de jouissance arriver. Je me perds dans ses yeux verts, j’accélère une dernière fois le rythme, je vois son visage se tendre puis se détendre rapidement. J’enfonce mon sexe tout au fond de son vagin et je décharge une quantité incroyable de sperme. Quel pied. ! ! Je reprends sa bouche et nos langues se mêlent dans un baiser langoureux. Nous restons ainsi longtemps, le corps moite, l’un contre l’autre. Elle étire ses bras derrière sa tête et son visage s’éclaire d’un large sourire.

Elle se lève alors précipitamment alors que je souhaitais prolonger notre étreinte, mon incompréhension s’accroit encore quand je la vois remettre sa petite culotte; la sale, celle que je humais tout à l’heure. Elle se dirige vers la salle de bain. Intrigué je me lève à mon tour et jette un coup d’œil, je la vois alors s’assoir su la cuvette des toilettes, sans retires sa culotte et se mettre à uriner, la culotte est trempée, elle la retire, l’essore comme elle peut puis viens me rejoindre :

– Je ne l’ai dis à personne, mais Mardi je pars, j’ai une proposition pour prendre la direction d’une équipe en Hongrie, nous ne nous révérons sans doute plus, alors j’ai pensé que ça te plairait d’avoir un souvenir insolite de moi !

J’en ai les larmes aux yeux, pas à cause du souvenir, même s’il me touche, mais parce que nos vies vont se séparer…

Alizée se recouche, moi aussi, mes mains se posent sur ses hanches, je l’embrasse une dernière fois et nous nous endormons l’un contre l’autre, les bras emmêlés.

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5 réponses à Alizée par Fomalhaut

  1. Kriss Baxter dit :

    C’est très humide… tout ce que j’aime

  2. Claire dit :

    C’est une bonne idée, ça d’offrir sa culotte trempée en souvenir !

  3. Lucia dit :

    Vous aller rire, je croyais qu’Alizée était le nom d’un cheval Mais le texte est très beau même sans cheval

  4. Marly dit :

    C’est pas mal torché, dommage que ça manque de dialogue

  5. Avina dit :

    Un très joli récit mêlant érotisme et romantisme

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