Initiation d’un androgyne 1 – À la découverte de ma part féminine par Jhmignontlse

Initiation d’un androgyne
1 – À la découverte de ma part féminine
par Jhmignontlse


C’est l’année de mes 18 ans que j’ai découvert ma part féminine et combien un jeune homme et un homme d’âge mûr pouvaient se donner beaucoup de plaisir. À cette époque-là j’étais hétéro, mais complexé par mon physique. Je n’étais pas ce qu’on appelle un adolescent viril. De taille moyenne, 1m 72, plutôt menu, sans être maigre, j’avais de longues jambes, le cou, les chevilles et les poignets très fins. Mes épaules étaient rondes, ma taille fine également et mes jolies fesses bien cambrées. Ma puberté tardive ne m’avait accordé que quelques poils pubiens clairsemés, je ne me rasais toujours pas le menton. Pour couronner le tout, j’avais un visage d’ange, de jolies taches de rousseur, le teint frais et une bouche pulpeuse.

Bien-sûr, cela ne m’empêchait pas d’avoir quelques petites amies et j’appréciais de les honorer, mais on m’appelait encore parfois « mademoiselle » dans les magasins et cela m’exaspérait. Il faut dire que ma petite amie du moment m’interdisait de me couper les cheveux et mon carré long châtain renforçait le trouble général.

Cet été là, l’été de mes 18 ans mes hormones me travaillaient, j’étais en manque de sexe. Et, phénomène étrange que l’on remarque parfois chez certains garçons pubères, mes tétons gonflaient et me lançaient. Non, non, je ne suis pas hermaphrodite, il paraît que c’était hormonal. Mais cela rajoutait à mon désarroi, et parfois à la confusion des commerçants lorsque je portais un t-shirt moulant.

Et si ce n’étaient que les erreurs de genre des boulangères, il y avait aussi les regards salaces, notamment venant d’hommes mûrs, pour la plupart mariés.

Évidemment, le soir venu, en regardant mon corps tant détesté dans la glace, je m’interrogeais. Parfois, si je faisais l’effort de me positionner en tant que mâle, je n’avais aucunes difficultés à me trouver désirable. Je devais bien reconnaître que mon grain de peau de pêche, ma silhouette androgyne et la sensualité de ma bouche avait de quoi troubler les hommes en quête de nouveauté. Et, je l’avoue, dans la solitude de mon lit, il m’arrivait parfois d’imaginer que mes mains qui caressaient mon corps étaient celle d’un autre homme, mûr et viril de préférence.

Je pourrais d’ailleurs évoquer ici la troublante expérience d’attouchements consentis vécus à jadis avec un vieil oncle lubrique et le plaisir coupable qui s’en était suivi, mais ça n’est pas mon propos et je pense que je serais censuré. Toujours est-il que parfois, ces souvenirs se mélangeaient à mes fantasmes et cela m’excitait beaucoup d’imaginer qu’un homme puisse me traiter comme sa petite femelle.

Malgré tout, si ces fantasmes m’effleuraient quelques soirs, j’étais surtout en manque de sexe en général et de filles en particulier. J’étais, j’avais oublié de le préciser en vacances chez mes grands parents, pour leur faire plaisir, et je m’ennuyais à mourir.

Ce jour-là, il faisait une chaleur à crever et j’avais décidé de me rendre à 500 m de là, dans une villa voisine entourée d’une haute clôture. À cet endroit vivaient, je le savais car je les voyais chaque année, trois sœurs d’à peu près mon âge et nous étions amis depuis l’enfance. De plus, elles avaient une piscine et je comptais bien joindre l’utile à l’agréable espérant me rafraîchir et – pourquoi pas – que l’une d’entre elles daignerait m’accorder ses faveurs.

J’ai sonné au portail… Pas de réponse. Je savais que l’on n’entendait pas depuis la piscine. J’ai donc escaladé la clôture et fait le tour de la maison. Là, personne, mais une serviette traînant au sol m’indiquait qu’il y avait de la vie pas loin.
C’est alors qu’une voix d’homme m’a interpellé :

– Eh, Emmanuel !

Je me suis retourné :

– Ah bonjour, Alain !

C’était le père des filles :

– Tu es venu passer quelques jours chez tes grands parents ?

Il s’approchait de moi, bel homme brun, la quarantaine, sportif, cuisses épaisses et torse large, velu et bronzé. Il me fit la bise. Sa joue était râpeuse et il sentait bon l’eau de toilette pour hommes.

Je lui répondis :

– Oui, je suis là pour 2 ou 3 semaines…
– Ah, tu vas être déçu, les filles ne sont pas là, elles sont toutes les trois en Angleterre jusqu’à la fin du mois…

Déçu, tu parles ! C’était une vraie catastrophe ! Plus de baise, plus de piscine, tous mes projets étaient fichus…

– Allez, ne fais pas cette tête, tu pourras quand même venir te baigner. Regarde, tu as vu le temps qu’il fait : il fait une chaleur à crever ! Allez, n’hésite pas : jette-toi à l’eau !

Et c’est là que je me suis rendu compte que j’étais doublement idiot : j’avais oublié mon maillot de bains et ma serviette chez mes grands parents. Je le dis à Alain qui me répondit, d’un air complice :

– Oh ça va, tu peux te baigner à poil ! On est entre mecs ici !

J’ai du rougir jusqu’aux oreilles. J’étais très pudique et cela me gênait d’être nu devant lui, de plus il dégageait un charme animal auquel j’étais sensible et cela me troublait encore plus.

Comprenant ma gêne, il me proposa d’aller voir dans la chambre de sa fille aînée, qui faisait à peu près ma corpulence si je ne trouvais pas un bas de maillot de bains à ma taille. Je trouvais la proposition saugrenue, mais il m’encouragea :

– Va voir, on ne sait jamais.… »

J’ai fini par me laisser convaincre et je suis monté dans la chambre. Je trouvais 2 ou 3 maillots dans le tiroir de la commode. Le premier était un coordonné string, je ne l’ai même pas essayé. Le deuxième était un maillot une pièce, rejeté aussi. Le troisième, eh bien n’était pas mal. Un peu style « tanga », bleu turquoise à fleurs blanches. Pour le fun, je l’ai essayé. Il m’allait parfaitement. J’avais un petit sexe et des testicules en proportions qui étaient cachés par l’avant du maillot. Quelques poils pubiens dépassaient bien sur le côté et en haut, mais « l’essentiel » de ma pudeur était sauve. Je me suis tourné et retourné devant la glace et je trouvais que cela mettait bien en valeur ma cambrure et mes cuisses fines.

Posé sur le lit, le petit soutien-gorge me faisait de l’œil. J’avais envie de l’essayer, Je l’ai prestement passé. Le résultat dans la glace de l’armoire était troublant. On ne peut pas dire que mes tétons, même enflés comme ils l’étaient, le remplissaient, mais tout de même on sentait pointer un petit quelque chose. Dans la pénombre de la pièce, en y regardant vite, on aurait pu me confondre avec une adolescente. Pris par le délire, je commençai à minauder, à me cambrer en suçotant une de mes mèches de cheveux, à prendre des poses féminines. C’était assez excitant. Jusqu’à ce que j’entende un applaudissement : Alain était entré dans la pièce et m’observait en silence depuis quelques minutes…

Je suis resté tout con ! J’ai piqué un fard et mon cœur s’est mis à battre la chamade. Je ne savais plus ou me mettre, c’était la honte de ma vie.

J’ai tenté une explication lourdingue en bafouillant :

– Euh, c’était pour déconner, hé hé hé…
Alain s’est approché de moi, s’est placé à mes côtés devant la glace et a posé une main sur ma taille :

– Ne sois pas gêné, ça te va très bien.

Il m’a fait tourner sur moi-même et reprendre ma position à ses côtés. «

– Vraiment très bien, tu as un corps superbe…

J’étais rouge de honte et ne savais que dire. Sentant mon embarras, il a rompu le silence :

– Bon, on va se baigner ou on attend qu’il fasse nuit ? »

Il a quitté la pièce, j’ai enlevé le soutien-gorge et je l’ai suivi.

J’ai plongé à l’eau et j’ai nagé 20 bonnes minutes. Alain lui n’est pas resté longtemps dans l’eau et est retourné sur sa serviette. Il en avait placé une grande à ses côtés et je l’ai rejoint au bout d’un moment.

Allongé sur le ventre je me suis laissé aller à la chaleur du soleil. C’était délicieux. Alain a rompu le silence :

– C’est étonnant comme ce maillot te va bien… J’ai honte de le dire, mais presque mieux qu’à ma fille. Tu as vraiment un corps superbe.
– Vous plaisantez ? Je n’ai aucun poil, je ne suis pas très musclé, j’ai l’air d’une fille… Vraiment la honte… Vous, vous avez un corps superbe : costaud, bronzé, viril. Moi à côté je ne ressemble à rien (et encore j’ai évité de parler du paquet troublant qui remplissait son slip de bain).
– Ne dis pas ça : tu as un très joli visage, harmonieux et sensuel, une belle silhouette élancée, la taille fine, de longues jambes et… De très jolies fesses, si je peux me permettre. »

J’étais flatté par son appréciation, mais j’avais envie d’approfondir le sujet :

– Oui, mais tout ça n’est pas très masculin et cela me désespère. Je vous remercie pour vos encouragement, mais ce n’est pas vous qui vivez avec ce corps…
– Ecoute, Emmanuel… Faut-il vraiment « avoir l’air » masculin ou féminin ? Devons nous nécessairement répondre à des critères comme ça ? Je m’interroge souvent là-dessus, quoique tu en penses. Quand je t’ai vu tout à l’heure avec le haut du maillot et tes tétons qui pointaient dessous je me suis demandé « à quoi servent les tétons » ?

J’ai rigolé en l’entendant dire ça :

– Hé hé hé, n’importe quoi ! À allaiter les bébés, évidemment ! Et chez la femme, c’est également une zone érogène très sensible.
– Bien sûr, ça je le sais. Mais chez un homme ? À quoi ça sert ?

Là, j’avouais qu’il me posait une colle. Il continua :

– Est-ce qu’une de tes petites amies t’a déjà caressé les tétons ?
– Euh, non…
– Tu n’as jamais essayé ?
– Non…
– Eh bien voilà, tu es victime de tes propres barrières. »

Il s’approcha de moi jusqu’à presque venir sur ma serviette :

– Mets-toi sur le dos.

Je ne sais pas pourquoi, j’ai obéi immédiatement. Il poursuivit :

– J’aimerais te faire comprendre que l’aspect de notre corps n’est pas très important. Que la nature nous as tous fait comme nous sommes et que nous devons nous accepter comme tel. Et surtout que nous devons apprendre à utiliser la façon dont la nature nous a créé pour en tirer le maximum de plaisir, sans se soucier des idées les plus couramment répandues. Ferme les yeux et concentre-toi sur tes sensations. »

Je fermai les yeux aussitôt et je sentis sa main se poser sur mon ventre :

– Mmmh, ta peau et douce et ton petit ventre plat et ferme. »

Sa main remonta sur ma poitrine :

– Tu vois, je sens un renflement, comme si tu avais des petits seins qui poussaient…

En disant cela il me massait légèrement tout en agaçant légèrement mes tétons. La sensation était délicieuse, sa main était à la fois ferme et douce et il me caressait de façon experte.

– Alors, ça te plaît ? » Il s’était interrompu en attendant ma réponse et déjà sa caresse me manquait. Mes tétons s’étaient raidis et me picotaient.

– Oui, j’avoue que c’était agréable… »

Il s’assit sur sa serviette et me regarda dans les yeux :

– Dis-moi, je peux te poser une question ?
– Oui…

Son regard parcourut mon corps des pieds à la tête :

– Tout à l’heure, quand tu te regardais dans la glace, à quoi tu pensais ? »

De nouveau je me mis à rougir… Il insista :

– Allez, dis-moi, n’aie pas peur, nous sommes entre nous et tu peux parler de tout avec moi.
– Je me disais que je ressemblais à une jolie petite nana… Et, je me trouvais même assez désirable.
– Je confirme, tu l’es. Cela t’a plu de porter le soutien-gorge de ma fille ?
– Euh, oui, assez. C’était une sensation étrange, mais pas désagréable.
– Tu sais ce que je pense ? Je pense que tu as une part féminine en toi qui ne demande qu’à se manifester. Dis-moi, tu accepterais de jouer à un petit jeu avec moi ?
– Lequel ?
– Suis-moi dans la chambre de ma fille.»

Il se leva et sans attendre ma réponse se dirigea vers la maison. À mi-chemin il se retourna, me sourit, alors, dans un élan de confiance, je me suis levé et l’ai suivi. Arrivé dans la chambre de sa fille où régnait une douce pénombre, il me dit :

– Si tu acceptes, je vais t’aider à découvrir ta part féminine, mais attention, cela restera un secret entre nous. Tu veux bien ?

Il faisait chaud, j’avais une après-midi à perdre et surtout Alain me mettait en confiance :

– Tu ne feras rien que tu n’aies pas envie de faire, rassure-toi, ok ? Disons qu’on va jouer à un petit jeu de rôles…

L’idée me plaisait, j’ai accepté. Il me dit :

– Bien, dans ce cas, rends-toi dans la salle de bains, il y a tout ce qu’il faut pour te faire une beauté. J’aimerais que tu t’épiles soigneusement sous les bras et que tu te rases le pubis… Fais-voir…

Joignant le geste à la parole il souleva mon bras, puis baissa un peu mon maillot de bains…

– C’est fascinant, tu n’es presque pas poilu, cela ne prendra pas longtemps. Allez vas-y, je te prépare quelques affaires.

Dans la salle de bains je contemplais mon corps désormais entièrement glabre. C’était fascinant et très excitant de se retrouver plus nu que nu. J’enviais d’un coup les filles qui pouvaient connaître cette sensation en permanence. Sans perdre de temps j’ai passé un petit peignoir rose, me suis enroulé les cheveux dans une serviette comme un turban et suis sorti voir les habits qu’Alain m’avait préparé.

Sur le lit était posés une minijupe, un soutien-gorge et un string assortis, ainsi qu’un petit chemisier sans manches, boutonné devant. Alain s’était assis dans un fauteuil et me regardait :

– Tout ça c’est pour toi, tu peux les prendre et aller t’habiller dans la salle de bains.

J’ai passé les vêtements un par un. La sensation du string était délicieuse, la contrainte du soutien-gorge étonnamment excitante. La jupe me couvrait à peine les fesses, l’air passait entre mes cuisses. Le petit chemisier, très court et moulant, dévoilait mon nombril. Je choisis de laisser les 3 boutons du haut ouverts pour créer un effet de décolleté. Mon reflet dans la glace était fascinant : j’avais l’impression de me trouver devant une jolie petite lycéenne. La salle de bains regorgeait de trésors et je n’eu aucun mal à trouver un peu de fond de teint, de rouge à lèvres et de parfum pour parfaire le tableau.

Après quelques minutes à peine, je m’étais métamorphosé !

Je suis entré timidement dans la chambre où Alain m’attendait patiemment, assis sur son fauteuil, toujours vêtu d’un simple slip de bain. Il se leva pour m’accueillir, me pris par la main et m’emmena devant la glace :

– Splendide ! Vraiment splendide ! Alors ? Tu te plais ? Quel effet ça fait ?
– Oui j’aime bien… dis-je en rougissant. »

Je regardais mes pieds en me dandinant bêtement…

– Regarde comme tu es belle… Je peux te parler au féminin ? Ma petite Emmanuelle… »

Il me fit tourner sur moi même devant la glace. Le contraste de nos deux corps était étonnant : j’étais frêle, blanc et délicat, il était bronzé, poilu et massif, mais nous formions un ensemble assez harmonieux… Il se plaça derrière moi, posa ses mains sur mes hanches et plaqua son torse contre mon dos.

– J’étais sûr que ça t’irait bien… Mmmh, tu me fais de l’effet tu sais

Il m’embrassa dans le cou.

– Tu aimes te faire draguer par un homme ?

Je ne répondis pas mais j’appréciais beaucoup, oui. Il commença à déboutonner le chemisier, et je me laissais faire, fasciné. Contre mes fesses, je sentais son sexe durcir, mais je ne faisais rien pour me soustraire à ce contact, j’étais tétanisé par l’afflux de sensations nouvelles.

Après avoir déboutonné mon chemisier il se mit à masser mes seins par-dessus le soutien-gorge. Instinctivement, je me mis à onduler du bassin tandis qu’il frottait son sexe contre mes fesses. Je commençais à bander.

– Mais c’est qu’elle aime ça ma jolie petite femelle…

Oui, j’aimais ça. Sa main glissa sur mon ventre, sous ma jupe et vint tâter mon sexe à travers le string.

– Regardez-moi ça : son joli petit clito est tout dur.

Il mordillait ma nuque, mes oreilles. J’ai tourné la tête vers lui et nous nous sommes embrassés passionnément. Il m’a retiré le chemisier puis le soutien-gorge et m’a fait faire demi-tour pour être face à lui. Là, il s’est penché en avant pour me mordiller et me sucer les tétons, ce qui m’arrachait des petits gémissements.

Puis il a relevé la tête et nous nous sommes à nouveaux embrassés. Il me serrait contre lui, il était si fort, je me sentais si fragile entre ses bras, j’ai eu envie de m’y abandonner et j’ai fini par me laisser aller totalement. Il caressait tout mon corps, envahissait ma bouche de sa langue, pétrissait mes petites fesses en frottant son sexe contre le mien, je n’étais plus qu’une poupée de chiffon entre ses bras.

IL m’encourageait :

– Mmmh, tu bouges bien, tu aimes ça n’est-ce pas ? Tu veux que je t’apprenne à être une bonne petite femelle ?

En disant ça il avait déjà baissé mon string à mi cuisse et caressait mes fesses. Il m’allongea sur le lit :

– Laisse-toi faire, ma chérie, tu vas voir, je vais te donner beaucoup de plaisir.

J’ai fermé les yeux, j’ai mis mes bras au dessus de ma tête pour m’accrocher aux draps et je lui ai offert mon corps. Alain m’a entièrement déshabillé et a retiré son maillot de bains, puis il est venu s’accroupir entre mes cuisses, en me maintenant au bord du lit. Il a d’abord longuement sucé mon petit sexe raide qui entrait en entier dans sa bouche, tout en me pinçant les tétons. Après quelques minutes de ce traitement, il m’a fait replier les jambes et s’est mis à lécher mon anus. Cette caresse délicieuse me faisait gémir de plaisir. Il mordait mes fesses et l’intérieur de mes cuisses puis revenait plonger sa langue dans mon intimité. Je poussais des petits cris en me cambrant pour lui offrir ma croupe. Nous étions fous d’excitation. Il a fini par venir me rejoindre et s’allonger à côté de moi.

Nous nous sommes embrassés et j’ai enfin pu glisser une main pour toucher son sexe : un barreau magnifique d’une vingtaine de centimètres, bien épais. Je l’ai un peu caressé, et j’ai fini par me pencher vers lui. Il posa une main sur ma nuque :

– Tu as envie d’y goûter : vas y, ne te prive pas.

Son bâton de chair emplissait toute ma bouche et je le suçais avec ardeur. De temps en temps il bloquait ma tête à deux mains et s’enfonçait le plus profondément possible. J’essayais de l’accepter au mieux, il envahissait ma gorge. Mais au bout d’un moment je finissais par suffoquer, j’avais les larmes aux yeux, alors il relâchait sa pression et me laissait respirer. Comme je toussais en reprenant ma respiration, il m’encourageait :

– C’est bien tu es une bonne petite suceuse, tu fais des efforts, allez vas-y ». Au bout de quelques minutes, nous nous sommes à nouveau embrassés, et je suis monté à califourchon sur lui. Je sentais qu’il écartait mes fesses et frottait son membre contre mon anus, alors je me suis bien cambré pour savourer cette sensation.

Son gland allait et venait contre mon intimité et cela me faisait frissonner de plaisir alors que nous échangions un baiser passionné. Entre deux tours de langue, il glissa son index dans ma bouche et me le fit sucer comme un sexe, puis il le glissa entre mes fesses et commença à doigter mon anus. Je m’offris sans résistance à la pénétration de son doigt tandis qu’il murmurait à mon oreille :

– Je vais faire de toi une vraie petite femme, tu veux ?

Entre deux soupirs, alors que son doigt s’introduisait en moi de plus en plus profondément je répondis :

– Oui, j’en ai envie !

Alors, tendrement, il me fit basculer sur le côté et me plaça à quatre pattes au bord du lit. Il prit place debout derrière moi, je l’entendis cracher sur mon anus. De nouveau, son index se mit à fouiller mon intimité, suivi bientôt du majeur. Il me parlait doucement pour m’amadouer :

– Détends, toi, c’est bien, ouvre-moi ton petit cul, c’est bien. Je vais en faire une vraie petite chatte à mecs…

Puis, il retira ses doigts et vint appuyer son gland contre ma petite étoile d’amour. Alors qu’il s’enfonçait en moi en me tenant par les hanches, il faisait des commentaires :

– Putain ! Ce cul, ma chérie ! Un vrai cul de pucelle, mmh que tu es bonne, que tu es belle, regarde-toi !

Il me tira par les cheveux pour me contraindre à regarder notre reflet dans la glace de l’armoire. Ce que je vis était saisissant : un étalon puissant sodomisait sa femelle androgyne soumise qui s’offrait totalement, cambrée et haletante. Chacun de ses mouvements de reins le faisait s’enfoncer de plus en plus profondément en moi, me comblant de douleur et de plaisir.

N’y tenant plus j’ai enfoui ma tête dans les coussins pour mieux lui présenter mes fesses cambrées. Il était maintenant en moi jusqu’à la garde et se mit à accélérer la cadence. Je n’avais plus mal et m’ouvrais comme une fleur. Mon ventre était en feu et un plaisir extraordinaire remontait dans toutes mes terminaisons nerveuses. J’étais en train de vivre les prémices de mon premier orgasme anal. La grosse queue d’Alain me pistonnait maintenant avec énergie, entrant et sortant de toute sa longueur. Il me tenait par les hanches, me gratifiant parfois d’une claque sonore sur les fesses qui, chose étrange, décuplait mon plaisir.

Un orgasme anal est un plaisir beaucoup plus féminin, il est aussi durable que l’orgasme masculin est court, c’est comme une onde qui monte et s’installe durablement, se prolonge pendant toute la copulation.

J’appartenais maintenant à Alain. Toujours raide, il s’allongea sur le lit et me demanda de venir m’asseoir sur lui. Hagard et fou de plaisir je ne me suis pas fait prier pour m’empaler sur son engin dressé. Je lui tournais le dos, je faisais donc face à la glace et je voyais très nettement son bâton de chair coulisser dans mon petit anus rose et distendu. Ses mouvements se sont faits de plus en plus rapide et, dans un râle puissant il s’est vidé en moi en de longues saccades.

Essoufflé il m’a attiré à lui, je me suis allongé sur son torse, alors que son sexe était encore en moi et, tournant la tête sur le côté, je l’ai embrassé. Avec beaucoup de tendresse il m’a rendu un long baiser tandis que sa main glissait sur mon ventre pour me masturber. Il m’a branlé quelques secondes et j’ai rapidement joui entre ses doigts qu’il m’a ensuite fait lécher.
Nous avons roulé sur le côté, enlacés, et nous nous sommes endormis pour une longue sieste.

Voilà comment Alain m’a initié à devenir une petite femelle. Si cela vous a plu, faites-le moi savoir et je vous raconterai la suite de ces vacances inoubliables.

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