Clara au clair de lune par Karamel

Clara au clair de lune par Karamel

Bonjour !

Je m’appelle Clara. Enfin, pas réellement. C’est en quelque sorte mon nom de scène, celui que j’utilise pour mes petites activités lucratives du week-end… La semaine, je suis prof d’histoire dans un lycée plutôt bien côté, quelque part dans le Sud de la France. Désolé de rester si vague, mais je protège farouchement mon intimité. Et ce n’est pas chose facile, compte tenu de mon hobby préféré. Vous ne saurez pas si je suis brune ou blonde, si j’ai les cheveux long ou court, si mes yeux sont bleus, verts ou roses, si je vis en couple, avec un homme ou avec une femme… Non, n’insistez pas, je ne dirais rien.

Ah, si ! je peux vous parler de mon corps ! Une poitrine ferme aux aréoles brunes d’où rayonnent, telles des étoiles, quelques vergetures discrètes ; un ventre plat (et oui, j’ai à peine trente ans et je marche beaucoup !) ; de longues jambes galbées ; un petit cul agréable ; un sexe qui n’est lisse qu’en été ; bref, une plastique plutôt pas mal qui me vaut beaucoup de commentaires enthousiastes… Car oui, mes fans connaissent mon cul et mes seins, mais pas mon visage ! Ça y est ? Vous avez devinez mon passe-temps ? Indices : j’adore la nature, j’adore être nue, et j’adore le mélange d’excitation et d’appréhension qui m’envahissent lorsque je prends certains risques…

Tout a commencé il y a quelques années, lors d’une balade en forêt. J’aime me perdre seule : je me sens aventurière et libre. Libre ? Pas complètement. Ce jour-là, pour être vraiment libérée, il fallait que je retire mes vêtements. Il faisait chaud, alors c’est venu comme un acte naturel. J’étais sur l’un des sentiers qui serpentent à flanc de colline, mais comme je n’avais croisé personne depuis plus d’une demi-heure… j’ai enlevé mes chaussures, mon short, ma culotte en coton pas très sexy et mon T-Shirt « Save Earth : plant a tree! », puis j’ai fourré le tout dans mon sac à dos. Je me suis mise à marcher en tenue d’Eve. Mes pieds foulaient la Terre, conscients de ses moindres irrégularités, le vent glissait sur mon corps exposé, mon esprit s’enflammait de ces sensations nouvelles. Pourtant, à chaque pas, je m’effrayais qu’un randonneur surgisse et m’aperçoive. Et rapidement, j’ai commencé à mouiller. Ne me demandez pas pourquoi, mais moi, cette situation m’excite terriblement. Le moindre son suspect et me voilà entre la panique et la jouissance ! J’ai marché ainsi quelques minutes, pas plus, avant d’arriver près d’une clairière à l’herbe haute. Je vous laisse imaginer la suite. Bien sûr, je n’ai pas résisté : je me suis allongée un peu à l’écart et je me suis masturbée violemment jusqu’à ce qu’un bel orgasme me libère… C’était la première d’une longue -très longue- série d’aventures et de défis que je me lançais pour nourrir mon petit démon intérieur.

Puis j’ai commencé à me filmer avec mon téléphone. Pourquoi ? Parce que c’est excitant, et ça fait des souvenirs ! Parfois, lorsque je visionne ces séquences, je n’en reviens pas de ce que j’ai osé faire. De quoi écrire un bouquin complet, si un jour j’ai le courage…

Mais c’est l’année dernière que mon quotidien a changé. J’ai découvert les sites de cul. A mon âge, vous me direz, il était temps ! Mais ça ne m’avait jamais intéressé jusqu’à ce que je tombe sur un site amateur de partage de photos et vidéos. Cela a été une révélation. Toutes ces vidéos que je n’osais montrer à personne dans mon entourage (et qui pourtant sont tellement Moi), j’allais enfin pouvoir les offrir à tout le monde. Après bien des efforts, j’ai réussi à flouter mon visage, et j’ai publié ma première vidéo de presque trente minutes. On m’y voit à l’orée d’un bois. Je m’étais entièrement déshabillée et j’avais planqué mes vêtements sous un banc, en espérant les retrouver à mon retour. Je me rappelle avoir eu le bas du ventre bouillant en pensant aux internautes qui allaient me mater. Après une bonne marche à poil, je me suis faite jouir en me frottant à califourchon sur un arbre abattu. Bizarrement, j’ai eu, dans cette petite communauté, un succès immédiat… J’adore lire les commentaires excités des femmes et des hommes qui me regardent…

Alors, oui, j’ai fini par monétiser mes vidéos. Et oui, actuellement, ça me rapporte plus que mon salaire de prof. Mais j’en laisse la majeure partie en accès libre, et puis, merde, quoi ! Que celui qui n’a jamais rêvé de gagner sa vie en faisant ce qui le fait kiffer le plus me lance la première pierre ! Je suis sûr que certains d’entre vous, petits coquins, avez déjà maté une de mes escapades…

Bon, alors, mon aventure du jour, vous la voulez ?

On est dimanche soir. Demain, je n’ai cours qu’à partir de 14h (cool, le métier de prof !). Il fait encore bien chaud en ce mois de Septembre, et j’ai une grosse envie de m’exhiber, parce qu’avec la rentrée, ça fait presque deux semaines que je ne me suis pas exposée. L’adrénaline me manque. Pour ce soir, mon défi est simple. Me promener nue dans les rues de *****, une petite bourgade dans les Alpilles, non loin de chez moi. (Oups, j’ai donné une info. Trop tard.). Mais pour corser le tout, j’ai décidé de ne pas emporter de vêtement. Nue, de la porte de ma maison, jusqu’à mon retour…

Pas folle néanmoins, j’attends que la nuit tombe. Il est 23 h et, déjà bien excitée, je laisse glisser ma tunique sur le carrelage de l’entrée. Pour mes fans, j’allume la caméra au bout de sa perche. Je prends une bonne inspiration et j’ouvre la porte. La nuit est calme ; mes voisins dorment certainement ou sont devant la télé. Je risque prudemment un premier pas dehors (c’est le plus difficile !), puis me dirige courageusement vers ma voiture. Ouf, première étape passée. S’il y a une chose que je ne voudrais pas, c’est bien me faire repérer par les voisins !

Je démarre et roule dans les rues désertes. J’adore conduire nue. Vous vous en doutez, ce n’est pas la première fois. La route défile et moi, je me caresse gentiment. Je titille la pointe de mes seins alors qu’une voiture me croise, puis je glisse un doigt dans ma fente déjà bien humide. Les caméras n’en perdent pas une miette (J’ai oublié de vous dire : j’ai toujours une cam clipsée sur le tableau de bord en plus de celle que j’emmène). Ce petit manège dure une dizaine de minutes : autant vous dire que lorsque j’arrive au centre dudit village, mon siège est trempé !

Comme je m’y attendais, le coin semble désert. Je ne me suis encore jamais risquée à “jouer” en ville : je préfère trop la nature. Mais je dois dire que la perspective de déambuler nue dans les rues m’émoustille un max. Impatiente mais pleine d’appréhension, j’attends un instant dans la voiture, à l’affût du moindre mouvement. Je suis garée sur la place principale, à côté du terrain de boules ou tous les petits vieux se rejoignent pour descendre la boisson officielle du coin : un alcool jaune et anisé qui se boit très frais, avec des glaçons, mais il ne faut surtout pas mettre les glaçons avant l’eau, sous peine de se faire lyncher…

Le terrain est entouré de vieux platanes, eux-mêmes ceinturés par les plus vieilles maisons du village. Derrière quelques volets, j’aperçois de la lumière et j’entends le son des TV par ma vitre entrouverte. C’est vraiment risqué; j’appréhende un peu, mais je ne vais certainement pas me dégonfler maintenant ! Doucement, j’ouvre la portière de la voiture. Merde ! le plafonnier intérieur s’allume ! A toute vitesse, je file me cacher derrière un gros platane. Mon cœur bat la chamade, et je trimbale ma perche à selfie de travers. J’espère que je n’ai pas filmé mon visage…

Me voici nue en ville. La situation m’excite de plus en plus et lorsque je suis dans cet état, tout peut arriver ! Malgré mon appréhension, je longe l’allée. La lune n’est pas pleine, mais elle éclaire tout de même suffisamment pour qu’on me devine depuis n’importe laquelle des habitations qui m’entourent. Prudemment, je m’engage dans une rue, puis une autre en rasant les murs. Je trouve un banc, m’y assoie pour me toucher un peu. Il fait encore chaud, et les fenêtres, pour beaucoup, sont ouvertes. De l’une d’elles filtre des soupirs que je reconnais fort bien : un couple est en train de baiser, et la demoiselle gémit fort. Curieuse et un peu voyeuse, je m’approche pour mieux entendre :

“Oui mon salaud, encule-moi maintenant !”

Incroyable, comme les gens peuvent être impudiques ! Mon esprit fertile gambade : j’imagine la cochonne attachée aux barreaux du lit, les fesses relevées et un énorme gland qui force son petit trou. Arghhh ! J’en peux plus : il faut que je jouisse ! Mon démon vicieux me souffle à l’oreille de faire des cochonneries insensées. Je positionne ma cam vers le centre de la rue, puis, sans (trop) réfléchir, je m’allonge sur l’asphalte tiède pour me masturber. Instantanément, ma respiration s’accélère. A l’étage, j’entends des ‘prends-moi, prends-moi fort’ qui me font couler encore plus… Entre les toits, j’aperçois la voûte céleste qui scintille. Mes doigts s’agitent follement. J’en glisse deux, puis trois. Le bassin soulevé, au milieu de la rue sombre, exposée et filmée, je suis sur le point de venir lorsque le bruit d’une voiture me surprend ! Mon sang ne fait qu’un tour : comme un diable sortant de sa boite, je me relève, cours prendre la cam et, paniquée, je cherche un coin pour me réfugier. La voiture se rapproche. Sur ma droite, une venelle. Je m’y engouffre juste à temps pour regarder la voiture passer devant moi… C’était moins une !

L’impasse est sombre. Au bout, c’est la garrigue qui commence. Ça tombe bien : lorsque j’ai peur, ma vessie s’emballe et j’ai maintenant un impérieux besoin de me soulager… Tout en me caressant, je me dirige vers le petit sentier terreux qui s’enfuit dans l’obscurité.

Je n’arrête jamais de filmer, c’est déontologique. Et comme beaucoup de coquines et coquins aiment me voir pisser, je prends un malin plaisir à leur montrer… Je m’accroupis, un peu en retrait du sentier, place la cam entre mes jambes, et lâche la pression. Quel soulagement ! Je filme le liquide doré qui s’écoule et mon doigt qui n’arrête pas de branler mon clito gonflé.

“Bonsoir !”

Je sursaute, tente de me redresser, me pisse sur les jambes avant que le jet ne s’arrête.

Devant moi, le bout rouge… d’une cigarette, illumine le visage d’une femme. Mon cœur ne doit plus fonctionner, car je sens mes jambes flageoler. Pourtant, dans un réflexe professionnel, je maintiens la cam assez basse pour que mon visage n’apparaisse pas. Quel talent, n’est-ce pas ?

La femme reprend :

“Vous vous filmez nue en train de pisser ?”

Je ne réponds pas, à la fois tétanisée et intriguée par son aplomb. Elle écrase sa cigarette contre une pierre (Pas très prudent de fumer dans la garrigue), avant de poursuivre :

“Tu es très belle, comme ça.”

Déjà le tutoiement ? A vrai dire, la plupart des gens qui me tutoient me connaissent moins bien que cette fille ! Elle continue :

“Je rentrais chez moi, quand je t’ai vue dans la rue. Je suis désolé, mais je n’ai pas pu m’empêcher de te suivre. C’était vraiment très excitant. J’en suis toute retournée.”

Je sens l’urine finir de dégouliner sur mes jambes. La femme s’approche. Je la regarde. Mon dieu, je suis tellement excitée que je pourrais la bouffer sur place ! Pourtant, je la laisse prendre l’initiative. Après tout, c’est elle qui a commencé. Elle approche sa main, me caresse le visage. Je tremble. Son regard pétille sous la lune. J’ouvre la bouche ; sa langue frôle mes lèvres. La cam me gêne, et elle semble s’en apercevoir. Elle me chuchote à l’oreille :

“ Pose ta caméra, et filme-nous…”

Je m’exécute, libère le trépied de la perche, et pose la cam. On est “plein champs”, nos visages apparaissent, mais là, je m’en fous royalement.

D’un mouvement d’épaule, elle fait glisser sa robe. Elle a des petits seins tout mignons que j’ai envie d’engloutir, et pas de culotte, ce qui évite une opération superflue de déshabillage. J’entends sa respiration. Elle s’agenouille et passe sa langue depuis mon mollet jusqu’à ma chatte trempée de mouille et d’urine.

“Elle est bonne, ta pisse…”

Je n’ai jamais connu ça. Une excitation pareille, c’est indescriptible. La nuit, l’inconnu, la peur, le courage, le défi, le stress. Sa langue est magique ! Et ses mains ! Ses mains passent de mes seins à mon cul, pétrissent, caressent ; je gémis, elle aussi. Un orgasme irréel me secoue. Je décolle comme une fusée ! Ariane à pleine puissance, je grimpe en orbite ! Mon corps se crispe, j’attrape sa tête et plaque ses lèvres contre mon sexe. Comme je ne contrôle plus rien, des jets de pisse accompagnent mes spasmes. Ça semble plaire à mon inconnue qui ouvre grand la bouche. J’entends sa voix étouffée qui me supplie :

“Vas-y, lâche-toi sur moi pendant que je me branle”.

Aussitôt, elle me repousse et s’allonge au milieu du chemin. Les jambes écartées, elle se caresse frénétiquement. Je l’enjambe ; elle me fixe, le regard enflammé. Je n’ai aucun mal à me laisser aller. J’ai l’impression d’être ivre alors que j’arrose son corps jusqu’à la dernière goutte. Elle est trempée de pisse et je ne peux m’empêcher de goûter ses seins. C’est salé, c’est bon, c’est insensé. Je les lèche goulument, je lèche son ventre, j’aspire l’urine logée dans son nombril, et ses doigts s’activent entre ses jambes jusqu’à ce qu’elle se fasse jouir très, très fort.

Soudain, une lumière s’allume dans la venelle. Un chat miaule et une silhouette apparaît dans la nuit.

“Vite, le vieux Joseph nous a entendus ! On va faire le tour par la Garrigue, et on file chez moi se doucher !”

Je ne peux qu’approuver, j’attrape ma caméra au vol et m’enfuie dans la nuit avec ma belle inconnue.

Voilà comment j’ai tourné une vidéo que vous ne verrez jamais !

Bises à tous, et peut-être à bientôt pour la suite de mes aventures !

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4 réponses à Clara au clair de lune par Karamel

  1. Jacques dit :

    Une histoire merveilleuse …, j’en mouille…. ! Que dis-je, j’en fait pipi de plaisir…..
    Quelle magnifique perversité, j’adore !
    Jacques

  2. Pilouface dit :

    L’histoire est très excitante. Merci pour ces quelques minutes de plaisir.

  3. Tricia dit :

    Des gouines et du pipi ! Tout ce que j’aime !

  4. Claire dit :

    Un joli texte très humide et très excitant

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