Bonne fête Martine ! par Jean-Michel_et_Martine

 

Bonne fête Martine !
par Martine et Jean Michel


Bonne fête Martine » !

Je devais être en poste à l’agence que je devais inspecter lundi 22 janvier à 8 heures. Mon employeur m’avait réservé une chambre à l’hôtel et mon déplacement S.N.C.F me serait remboursé. La voiture de service et notre voiture personnelle restaient donc disponibles. En ce dimanche soir, mon « Corail » était à 18h29.

Après le déjeuner, Martine s’affairait avec attention aux préparatifs de mon sac de voyage.

– Bof… lundi… mardi… ça ne te fait que deux jours là-bas. Et ça n’est pas pour faire la fiesta. Il ne te faut pas grand-chose: nécessaire de toilette… pyjama… pantalon et veste et une chemise en plus. Bloc, crayon et calculette.
– Mets aussi le bouquin qui se trouve sur le bureau.

Et j’ajoutai pensant bien la faire bondir:

– N’oublie pas de mettre aussi des préservatifs… Ca peut servir!
– Quoi!… Il n’y en pas ici. Et s’il y en avait et que tu partais avec, pendant ton absence je ressors mon 18-35!
– Ton 18-35? Qu’est-ce que c’est?
– Mon pistolet de célibataire. Mon vibromasseur de 18 centimètres sur 35 millimètres. Mais je suis tranquille… On tiendra deux jours. Et comme tu reviens mercredi 30, le jour de la sainte Martine… oh là là !… Qu’est-ce qu’on va se mettre! Deux jours en repos, nous serons en forme, ça va être terrible.

Pendant ces élucubrations, le sac était prêt, fermé et attendait dans le couloir.

Habituellement, le dimanche après-midi, nous partions faire un petit jogging, et un petit pipi évidemment, dans les remparts, mais là la météo n’était vraiment pas favorable ni pour l’un ni pour l’autre. Il restait trois bonnes heures à occuper avant que Martine me conduise à la gare. Il y avait bien Ségolène chez Drucker, mais cela ne nous tentait pas. Il y avait bien aussi la corvée de repassage pour elle et la lecture pour moi. Mais Martine avait d’autres idées en tête.

Depuis la salle de bain où elle rangeait le linge, elle annonça:

– C’est vrai on a trois heures devant nous. On peut faire une petite sieste. On va mettre le réveil à sonner à cinq heures, si on s’endormait pas de problème. Qu’est-ce que tu en penses?

C’était d’une bonne logique. Je l’entendis passer de la salle de bain à la chambre. Je fermais mon livre et je la rejoignis.

– Je me mets à l’aise… dit-elle en se déshabillant.

Et bientôt on se retrouve allongés sur le lit. La conversation s’ouvrit sur ce qui m’attendait vraisemblablement en mission. Je dus aussi faire la promesse de l’appeler dès que je pourrais. Elle avait bien noté le planning de mes deux jours d’absence.

Soudain, elle changea de sujet:

– Deux jours sans ta petite pisseuse… elle va te manquer?
– J’y penserai sans doute. Mais j’ai déjà été plus de deux jours sans voir ton pipi
– Oui mais là deux jours sans pipi et sans baise.

Je commençais à comprendre ses intentions dans son idée de faire la sieste. Comment allait t-elle s’en sortir? Je décidai de l’aider en glissant ma main entre ses jambes. Je lui avais ouvert la porte.

– Alors là Jean-Mich’… tu prends un risque. Si tu la réveilles tu vas devoir t’occuper d’elle!

En fait, c’est ce qu’elle souhaitais: que je commence.

Ma main quitta ses cuisses pour pénétrer sous l’élastique du slip. Je sentis un petit mouvement de son ventre mais elle ne m’arrêta pas. Je glissai doucement vers son entrejambe et mes doigts trouvèrent sa fente pendant que ma bouche attrapait un petit téton.

– Ouah!… C’est bon tout çà. Mais je n’ai pas encore pissé depuis le déjeuner. Alors de deux choses l’une: ou je vais me bloquer et je ne pourrai pas jouir, ou si je jouis je risque de pisser en même temps. Puisque tu m’as entreprise, continue et trouve une solution. Celle que tu préfères.

Je l’emmenais vers la salle de bain et l’installai devant le lavabo. Je mis une main de chaque côté et entrouvris sa fente.

– O.K… dit Martine. Si tu veux. Mais comme je suis déjà pas mal excitée, et avec tes mains sur moi… ça va être dur. Mais on y va!

Effectivement le pipi tardait. Je sentais des petits mouvements de son bas ventre qui essayait de se détendre;

– Non… Je bloque… Excuse-moi Jean-Mich’, je remplace tes doigts par les miens et je pense que je suis seule. Je ferme les yeux, mais tu peux regarder toi.

Elle se mit bien sur le côté du lavabo pour que je ne perde rien du spectacle. Encore au moins cinq ou six secondes et un timide petit filet sortit de ses poils, puis le flot s’agrandit pour s’écraser en sifflotant au fond du lavabo,

– Tu vois, c’était un vrai. Tu m’essores un peu?

Je pris un kleenex et avec beaucoup de soins et en prenant mon temps, je ramassais avec trop de zèle les quelques gouttes égarées.

– Vicieux!… Tu en profites hein?
– Mais dis… Trois soirs sans la voir… Je prends de l’avance.
– Elle n’est pas belle avec tous ses poils. Pendant ton absence je vais l’épiler. Tu ne l’as reconnaîtras plus au retour. Mais si on parlait d’autre chose? Montre moi un peu dans quel état est ton petit frère.

En disant cela, elle avait plongé la main dans mon slip et avait attrapé ma queue.

– Ouah!… Il est en pleine forme. Pas la peine de lui demander de me faire un pipi avec une érection pareille. Aussi raide que mon vibro. C’est sa petite sœur qui va être heureuse.

Me tenant toujours par la queue, elle m’entraîna vers la chambre. Je m’allongeai sur le lit attendant ses souhaits. Elle s’installa au-dessus moi et commença à promener sa fente sur mon érection.

– Je me sens prête à jouir comme cela… annonça t-elle. Ca ne fait rien si je te mouille?

N’attendant pas ma réponse, elle augmenta son va et vient et accentua son poids sur moi. Je la sentais vraiment mouillée. Son clito venait taper sur le bout de ma queue. Soudain, elle accéléra encore puis d’un coup s’arrêta, ferma les yeux, et je sentis tout son corps se contracter.

– Ah dis donc… je ne te dis pas comme c’était bon. Et toi, comment tu veux le faire?

Elle se retrouvait allongée sur le dos. Je me mis sur elle. Elle écarta les jambes, ses bras se serrèrent autour de mes épaules et je la pénétrais sans presque m’en rendre compte tellement elle était mouillée.

Mes va-et-vient étaient accompagnés par son souffle rythmé à mes oreilles.

– Ca y est… Je démarre. T’occupe pas de moi.

Après cet aveu, c’est précisément le contraire que je voulais faire: lui donner un second orgasme en même temps que le mien. Je sentais la pression monter en moi. Je ne pourrai bientôt plus me retenir. Je sentis ses jambes se rejoindre sur les miennes pendant qu’elle me confiait:

– C’est bon… Viens !…

Et je me libérai pendant son nouveau plaisir. Au cours du silence qui suivit nos souffles s’apaisèrent. Nous redescendions sur terre. On dit toujours que dans ces moments là, le premier qui parle dit une bêtise. Ce fut Martine:

– Ah oui… là… il y en avait bien pour trois soirées d’absence.

Et son rire mit fin à notre séance.

Après le passage obligatoire à la salle de bain, il y eut la tasse de thé et les derniers préparatifs. Vers 17h30 ce fut le départ pour la gare. Peu de voyageurs en ce dimanche soir. Le guichetier semblait m’attendre. Il me délivra mon billet et sur le quai on comptait aisément les quelques voyageurs disséminés dans le noir de la nuit qui tombait.

Il faisait humide mais pas très froid. Nous échangions Martine et moi des banalités, des heures ou on pourrait sans doutes s’appeler. Du regard elle semblait inspecter l’environnement et faire l’inventaire des voyageurs. Elle plongea la main dans son fourre-tout et en ressortit un petit étui en plastic que je connaissais bien.

– Avec le thé j’ai envie de pisser. Là-bas au bout du quai, je connais bien l’endroit. Il y a une guérite. Avec mon Freelax il n’y a pas de problème. Suis moi quand même comme si nous nous promenions.

Je marchais à son côté doucement pour ne pas éveiller la curiosité des voyageurs. Elle avait sans doutes déjà auparavant repéré et même peut-être utilisé les lieux puisqu’elle les connaissait. Il y avait bien une guérite de signalisation désaffectée que longeait le mur de la rue.

Entre la guérite et le mur, c’était effectivement l’endroit idéal qu’elle semblait bien connaître.

Elle me confia son sac, sorti son Freelax de son étui. En dégrafant son manteau, elle avait accès facilement à la braguette de son jean dont elle descendit la fermeture Éclair. Éclairée par la lumière de la rue, je ne perdais rien du spectacle. Je la vis entrouvrir son collant fendu, tirer sur la jambe de son slip et glisser dans sa fente le Freelax sauveur sans même qu’elle vérifia du regard.

Aussitôt, je vis son jet s’écouler devant elle, tranquillement et sans difficultés. Quand cela s’arrêta, d’une main elle secoua un peu l’engin, pendant que de l’autre elle remettait tout en place.

– Bon… Je le rincerai à l’appartement… dit-elle en le remettant dans un plastic. Merci mon garde du corps pour ta présence discrète et rassurante. Je n’allais pas attendre ton train et repartir faire la route avec mon pipi alors que je pouvais le laisser ici? Pas mal ma cachette hein? Elle fait partie de ma liste des endroits possibles quand je suis coincée en ville. J’y suis déjà venue. Tu vois on devrait décorer l’inventeur du Freelax. C’est une femme d’ailleurs dont j’ai oublié le nom. Tiens, à l’occasion je te ferai une belle démonstration pour toi tout seul. Au fait,… C’est toi qui pourrais me le mettre et le tenir, tu sais comment je suis faite. Mais aujourd’hui c’était un pipi « nécessité ». Alors sérieux.

Puis nous avons regagné comme si rien ne s’était passé les autres voyageurs qui n’avaient même pas remarqué notre petite excursion.

Quelques minutes plus tard le train arriva. Échanges de bises. Signe de la main au travers de la vitre. Un coup de trompe. Les portes qui se ferment. Rendez-vous mercredi matin.

—–o—–
Dimanche soir évidemment il y eu un coup de portable pour confirmer mon arrivée à l’hôtel et dire que tout allait bien.

Même chose lundi avec en plus des commentaires sur ma mission et l’activité professionnelle de Martine chef d’agence par intérim. Tout allait bien. Juste un petit incident.

– Ben oui… sans mon garde du corps… avoua Martine… je n’ai pas osé m’arrêter au croisement de F… me disant que si prés de l’appartement je tiendrai bien un quart d’heure de plus. Et quand c’est comme cela plus on approche du but, plus çà devient dur de contenir. Bon… J’y suis arrivé quand même jusque dans le parking. Et là, entre la voiture et le mur, comme d’habitude, (voir « Vidange interdite ») je n’ai pas pris le temps de sortir mon Freelax de mon sac. J’ai vite ouvert ma braguette et tiré sur la jambe du slip. Mais dans ma précipitation j’en ai foutu plein le fond du jean. Heureusement que j’étais arrivée. J’ai pris l’ascenseur en tenant mon sac devant moi. Tu vois… sans toi, les pipis catastrophes sont foireux. Ce soir j’ai le temps, je me fais une « boule à zéro » à la crème à épiler. Tu verras comme elle va être belle et douce. Tu na vas plus la reconnaître sans sa fourrure. Il est temps c’est la brousse.

Après l’échange de quelques banalités, rendez-vous fut pris pour mardi soir à la même heure.

Ce nouveau rendez-vous ne fut pas banal. Je précisais encore à Martine l’heure matinale à laquelle arrivait mon train

– Huit heures trente?… C’est O.K. C’est l’heure où on arrive au bureau d’habitude. Marie-Hélène ouvrira la porte en nous attendant. C’est toujours d’accord. Je crois que tout le monde m’attend pour la sainte Martine. J’ai entendu des bruits de couloir. Tiens… en parlant de bruit… Je me suis épilée, j’ai une foufoune toute jeune, tu ne la reconnaîtras plus. C’est quand même mieux pour faire pipi. Au moins tu verras ce que je fais. Au fait, pour te faire patienter jusqu’à demain, tu veux que je t’en fasse entendre un au téléphone? Attends… je vais à la salle de bain… Reste à l’écoute. Bon… voilà. Le temps d’enlever ma robe de chambre et comme je n’ai pas de culotte ça va aller tout seul. Je vais faire dans le lavabo ainsi il n’y aura pas le bruit de la chute et tu l’entendras mieux chanter. Tu es toujours là?… Bon… Je mets le combiné tout prés.

Quelques secondes plus tard, j’eus en effet le plaisir d’entendre chanter ma petite source. Un vrai chant de rossignol. Un gazouillis de ruisseau. Un sifflement mélodieux trop bref à mon goût.

– Comment l’as-tu trouvé?
– Super et trop court. Tu m’en fais un autre comme cela demain?
– Sans problème si tu n’oublies pas de me souhaiter ma fête.
– Promis.

Puis ce fut le petit rire habituel quand elle satisfaite de son coup. Et tout contente d’elle elle termina par:

– Bon… allez… à demain 8h30. Et soit en forme pour fêter sainte Martine. Je sens que je vais avoir une méga envie… deux jours sans ton petit frère… dur… il me manque.

Mercredi matin je la trouvais emmitouflée et tout sourire sur le quai. Au buffet de la gare ce fut un café pour moi et un thé pour elle avant de retrouver le bureau et les collègues. Tout le monde nous attendait et en entrant nous fûmes accueillis par un: « Bonne fête Martine » à l’unisson. Une corbeille de fleurs était sur son bureau. Après les embrassades, elle invita tout le monde à prendre un pot le soir après le travail. Puis on reprit les affaires sérieuses après un passage aux toilettes pour évacuer le thé du buffet de la gare. En passant prés de moi ma petite pisseuse me dit à l’oreille:

– Dommage que nous ne soyons pas seuls. Je t’aurais invité. Mais ce soir… tu me fais ma fête hein?

—–o—–
Après le travail notre petit groupe se retrouva au bar voisin. La sobriété étant recommandée, après une coupe de Champagne tout le monde regagna les voitures.

Les retrouvailles, sa fête, le champagne avaient mis Martine d’humeur joyeuse. Elle passait d’un sujet de conversation à un autre, ponctués par ses petits rires d’après Champagne.

Une fois rentrés, vu qu’il n’y avait pas eu de pipi avant le départ de l’agence, non plus au bar et qu’après champagne c’était inévitable, je m’attendais à la voir se précipiter aux toilettes tout comme moi j’en avais envie. Puis, pendant que je vidais mon sac, depuis la chambre elle m’interpella:

– Je prends ma douche la première et je m’occuperai du dîner ensuite.

Et elle arriva toute nue dans la salle de bain. En passant ses mains sur le bas de son ventre elle demanda:

– Comment la trouves-tu sans son manteau de fourrure?

A son entrée, mon regard avait déjà tombé sur cette zone. C’est vrai que seule la fente apparaissait en lui donnant une autre allure. et je réalisais que son pipi en fait, était réservé pour cet instant. Elle marchanda:

– Si elle te fait un beau pipi bien en face pour que tu n’en perdes rien, tu la sèches et tu lui fais un petit cuni ?
– D’accord. Marché conclu. Comment tu me l’offres?

Elle s’installa en face de moi, bien droite, la cuvette entre les jambes écartées, les mains posées sur ses cuisses.

– Tu peux te mettre les yeux en face, elle a tellement envie que cela ne l’empêchera certainement pas de faire.

Mes yeux à la hauteur de son ventre je pus apprécier un joli petit jet qu’elle contenait un peu pour qu’il tombe bien vertical. Je voyais les petits lèvres un peu saillantes vibrer en sifflotant au passage du jet et contenues par les grandes lèvres bien ourlées et fraîchement épilées. Puis la source se tarit.

Sans rien dire, elle avança vers moi et j’exécutai le contrat. Il restait vraiment peu de gouttes à sécher et ma langue s’immisça pour provoquer le petit clito qui m’attendait.

Quelques coups de langue le firent sortir de son repaire. Je pus le saisir entre mes lèvres pour le titiller et sa propriétaire commença à manifester son plaisir. Le goût changea sur ma langue quand je la glissais dans la fente. Soudain Martine poussa un petit cri et m’attrapa les épaules tandis que ma bouche reçu le fruit du plaisir qu’elle lui donnait.

– Bon… et toi maintenant?

Sans hésiter elle déboutonna ma ceinture, ouvrit ma braguette en disant:

– Oh mais… il est en forme aussi ton petit frère! Il mériterait une photo.

Elle avait donc bien préparé son coup comme je le pensais. Elle m’offrit quatre ou cinq va et vient provocateurs.

– Approche-le de ma petite sœur pour voir ce qu’il en dit.

« Et m’attrapant la queue, elle la frotta doucement sur son sexe dénudé.

– Il a l’air d’apprécier… d’aimer cela. Dis-lui de sourire.

Et de l’autre main libre, elle appuya sur le déclencheur. Il y eu un coup de flash.

– Souvenir de la sainte Martine… précisa t-elle. Maintenant il a l’air bien en forme pour faire aussi ma fête pas vrai ?

En disant cela elle prit une de ses positions favorites, les mains sur le bord du lavabo, un peu penchée et jambes légèrement écartées. Je l’ai pénétrais sans peine. Bien lubrifiée, le contact était d’une douceur extrême. Ses petits soupirs rythmaient mes va et vient. Elle se mit à jouer à un petit jeu qui nous amusait.

– Allez… au dixième coup, on y va tous les deux d’accord?

Et elle se mit à compter. J’avais du mal à me retenir. On dit qu’il faut alors penser à autre chose mais moi pas moyen pour l’instant.

Je voulais pourtant qu’elle finisse avant moi. Heureusement, entre six et sept elle abandonna et s’écria:

– Oui… là! … j’y vais… .et je l’ai suivis au même moment.

Comme d’habitude elle avait gouverné le bateau depuis longtemps: le pipi provocateur qui ne voulait pas en avoir l’air sur le quai de la gare et qu’elle pouvait faire seule, mon absence, les appels depuis l’hôtel et son pipi au téléphone, son épilation, ses petites mises en scène, le champagne etc… Tout était prévu. Bonne fête Martine!

Jean-Michel et Martine.

janmich59@wanadoo.fr

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