Bois par Picto

Bois
par Picto

J’habite près d’un bois. Des hectares de forêts, chemins, lacs. Un paradis pour les balades, les sportifs, les rencontres. Il existe des coins à garçons. Jeunes, moins jeunes, passifs, actifs. Des coins où les garçons tournent un peu comme s’ils avaient perdu leur chemin, se regardent, se jaugent.

Dès que le temps le permet je cours en short. C’est un sentiment de liberté supplémentaire. Idéal aussi pour les rencontres.

J’ai pour habitude de courir autour d’un lac. On se croirait en vacances. Des canards, des oies, des poules d’eau et puis des cygnes animent bruyamment le lieu. Les promeneurs marchent lentement.

A mesure que je cours, je matte et je pense à ce que je pourrai faire un peu plus loin.

Et bientôt je me décide à écourter mon jogging. Je quitte les allées principales pour trouver des chemins moins fréquentés. A mesure que j’approche je glisse ma main sous mon short pour remonter mon caleçon de façon à ce que mon sexe et mes couilles pendent. Je sens mon sexe battre le long de ma cuisse et mon gland frotter contre mon short. J’ai l’impression d’être nu. En tirant un peu sur mon short mon gland pourrait dépasser.

Je bifurque enfin vers un coin retiré. Le chemin est étroit, fait de courbes et de lieux en retrait. Un premier tour me sera utile pour voir qui est là. Pour le moment je ne croise personne, mais les mouchoirs à même le sol sont autant de traces de rencontres passées. Je me demande combien de bites ont joui précédemment.

Je remonte mon short pour que mon sexe soit visible. Toujours personne mais cela m’excite.

Je retrouve une allée plus grande et me rhabille maladroitement.

Enfin j’aperçois un homme plusieurs mètres au loin. Une cinquantaine d’années, mince.

A mesure que j’arrive à sa hauteur j’essaye de comprendre la raison de sa présence. Une de ses mains posée sur le haut de son pantalon plaide en une intention de rencontre. Je continue pour reprendre le même chemin et peut-être le croiser à nouveau. Mon deuxième passage le convaincra lui aussi des raisons de ma présence.

Je réajuste mon caleçon pour que mon sexe soit bien libre sous mon short. Je reprends les sentiers en espérant le croiser bientôt. J’aperçois uns silhouette à travers les arbres. Nous nous croisons à nouveau. Cette fois je plante mon regard sur son bas ventre. Sa main est toujours là. Et tire un peu plus sur son pantalon. Alors que je l’ai dépassé je me retourne et constate que lui aussi me regarde. Le prochain passage sera le bon. L’excitation me gagne et mon gland bat rond contre ma cuisse.

Je poursuis les chemins. Je tire sur mon caleçon pour que cette fois ci il me rentre dans les fesses et serre bien la base de mon sexe. Si je pouvais, je courrai entièrement nu, offert à la vue de tous. L’homme que j’ai croisé marche à présent avec ses deux mains agrippant le haut de son pantalon. Alors que j’arrive face à lui il le tire légèrement vers le bas et laisse apparaître la base de son sexe. Ses poils sont noirs, épais. Quelques mètres plus loin je me retourne. Il s’est arrêté. Je reviens sur mes pas et remonte mon short pour qu’il puisse voir mon gland. Lui sort entièrement son sexe déjà gros. Il est épais avec un gland large. Nous restons quelques secondes à nous regarder, nous observer. Puis il me fait signe pour qu’on aille dans un coin plus loin, au secret d’arbres plus gros.

Je le suis et sors complètement mon sexe. Je n’entends que nos pas sur les feuilles et les branches mortes. Je ne sais plus si mon cœur tape d’avoir couru où de ce qui se passe à présent.

Il s’arrête après quelques mètres et m’attends. Il baisse son pantalon au-dessus de ses genoux et prend son sexe dans ses mains. Il me demande de me branler. Je m’exécute, excité d’être ainsi dirigé. J’écarte mon short et sort entièrement mes couilles. Je les remonte dans le creux de ma main tout en branlant ma bite. Doucement je remonte jusqu’au gland. Je l’entends respirer.

Son sexe est maintenant bien raide. Une tige droite, épaisse, remplie. Belle. Il tend sa main pour me toucher mais je me détourne. Il me demande ce que je veux. J’ai envie d’être regardé. D’accord. Je fais glisser mon short et mon caleçon et empoigne mon sexe. Ma main glisse de mes couilles à mon cul. J’enserre la base de mon sexe. Les veines se font plus saillantes. Je me retourne et offre à sa vue mon cul. Je casse un peu mes reins pour donner à voir mes couilles. Et puis je m’incline pour qu’il matte ma fente. Je me caresse les fesses, d’abord doucement et puis n’y tenant plus je les écarte. J’y glisse mes doigts et frottent mon trou. Je me chauffe, excité d’être regardé ainsi, à moitié nu dans le bois. Je l’entends respirer. Il me dit que c’est bon. J’en rajoute. Je lèche le bout de mon majeur et me l’enfonce. Doucement. Je caresse l’intérieur de mes cuisses et tire sur mes couilles. Mon sexe se tend d’avantage. Mon gland bas contre mon ventre. Ma main remonte vers mes seins et je tire sur mes tétons. J’ai l’impression d’être totalement offert à cet inconnu. Totalement libre. Sans limite.

Je me retourne. Mon doigt s’enfonce toujours dans mon cul. Je me plaque contre un arbre. Mon autre main saisit la base de mon sexe et je me branle fort. Ma main tape sur mes couilles à mesure du va et vient. J’accélère. Et serre d’avantage. Je regarde le sexe en face de moi. Je ne vois plus que lui. Je bande. Je bande. Alors que je vais jouir je me pénètre plus loin et sens mon sperme couler sur mon ventre. Chaud. Bientôt j’en sens l’odeur et ne résiste pas à y passer mon doigt pour le lécher. Je sens mon doigt qui m’a pénétré. Comme pour finir de me convaincre de ce que je viens de faire.

L’inconnu se rhabille et me dit merci. Dommage je l’aurai bien branlé. Il s’éloigne. Je reprends mes esprits et mes affaires.

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2 réponses à Bois par Picto

  1. Gus dit :

    C’est tout ? Moi quand je vais aux bois, je suce et je me fais enculer

  2. dunhill dit :

    Avant moi aussi j’allais dans les bois, j’en ai branlé et sucé des bites et quand le partenaire était d’accord je me faisais enculer. J’adorais le faire devant d’autres hommes et je les regardais se branler pendant que la queu coulissait dans mon derrière de salope. Temps béni ! J’ai du faire ça dix ans avant de me marier et de déménager. J’aurais du rester célibataire.

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