Bénédicte et Juliette, petites salopes scato… par ScatAttack

Bénédicte et Juliette, petites salopes scato…
par ScatAttack

RESERVE A UN PUBLIC AVERTI – TEXTE CONTENANT DES PASSAGES SCATOS EXPLICITES

Juliette Garibian était une jeune professeur d’anglais de trente-cinq ans à qui l’on aurait donné facilement cinq ans voire dix ans de moins. C’était une jolie fille au corps harmonieux et aux membres très fins. Une coiffure châtain encadrait un visage au teint mat et aux yeux gris vert qu’elle ne maquillait jamais. Officiellement, Juliette était célibataire mais Bénédicte était certaine que la vie privée de sa prof devait être bien remplie. Le hasard des plannings avait fait que l’heure d’anglais dispensée dans la classe de Terminale de Bénédicte était la toute première heure de cours de la journée et avait lieu chaque matin du lundi au mercredi à huit heures quinze. Juliette arrivait assez souvent en retard de cinq minutes en cours, parfois essoufflée, avec l’allure de celle qui n’avait pas eu le temps de prendre sa douche le matin. Par ailleurs, Juliette avait comme particularité de s’habiller avec des minijupes et des chemisiers décolletés en été comme en hiver ce qui lui valait une admiration sans faille de la part de tous ses élèves et particulièrement ceux de sexe masculin… Son surnom était d’ailleurs devenu « ras-la-touffe », ce qui dénotait le peu d’imagination qui régnait dans l’esprit des élèves du lycée Camus.

La principale occupation de Bénédicte lors des cours d’anglais était de fréquemment laisser tomber son stylo par terre, et d’essayer de deviner la couleur de la petite culotte portée par sa prof d’anglais. Celle-ci était suffisamment à l’aise et naturelle pour s’asseoir sur sa chaise sans faire particulièrement attention à sa pose ou à ses croisements de jambes. Bénédicte avait une place de rêve puisqu’elle occupait seule la table au premier rang face au bureau du professeur : compte tenu de son caractère un peu solitaire et farouche, personne n’avait souhaité la rejoindre sur la place restée libre à sa droite. Les croisements de jambes de mademoiselle Garibian étaient pourtant incroyablement excitants. En grande majorité, Juliette portait de simples petites culottes de coton qui ne laissaient pas apparaître grand chose, mais il lui arrivait également de porter des strings miniatures qui épousaient les reliefs de son sexe et lui rentraient dans la raie des fesses. Une fois même, Bénédicte avait eu la chance de pouvoir admirer sa fente car elle avait dû oublier de remettre sa culotte après une nuit particulièrement agitée. Ce jour-là, deux ou trois croisements de jambes rapides avait laissé apparaître un petit abricot bien charnu aux lèvres parfaitement lisses et glabres. Bénédicte avait eu beaucoup de mal à se retenir de se masturber en plein cours d’anglais. Elle avait dû reporter son attention sur les paroles de Juliette qui évoquait à ce moment-là « l’influence des Beatles sur la musique populaire anglaise ». En rentrant chez elle le soir, Bénédicte avait passé un excellent et long moment en repensant aux attitudes de Juliette, à ses cuisses fines et à son joli sexe et elle avait joui intensément en se caressant.

Cette nuit-là, Bénédicte rêva d’une rencontre privée avec Juliette. Celle-ci lui avait demandé en toute fin de cours de passer la voir à son domicile après sa journée de classe. « Motif personnel et confidentiel » avait-elle dit. Intriguée, Bénédicte s’était présentée le soir au domicile de sa prof qui résidait dans le centre ville à un quart d’heure de tramway du lycée. Juliette la fit entrer dans son salon, lui proposa de s’installer dans un fauteuil et entra immédiatement dans le vif du sujet :

–  » Bénédicte, je t’ai demandé de venir car ton petit manège me tape sur les nerfs. Le coup du crayon qui tombe cinq ou dix fois par cours, tu crois vraiment que ça passe inaperçu ? C’est gênant à la fin ! Qu’est-ce que tu veux ?  »
–  » Vous êtes si belle, je rêve de vous si souvent la nuit… et j’aimerais tant vous voir toute nue… » prononça difficilement Bénédicte.

A sa grande surprise, Juliette ne protesta pas et émit un sourire entendu à son élève. Elle vint lentement s’asseoir dans le fauteuil qui faisait face à celui de Bénédicte, posa ses cuisses sur les accoudoirs offrant ainsi à Bénédicte une vue parfaite sur sa petite culotte blanche. Puis, Juliette se débarrassa lentement de son chemisier et de son soutien-gorge révélant des seins au galbe parfait. Elle dégrafa sa minijupe et ôta sa culotte, puis s’adossa dans le fauteuil. Elle ouvrit encore davantage les cuisses et posa ses deux mains sous ses fesses pour offrir à Bénédicte sa chatte et son cul ouverts. Juliette avait un entrecuisse démoniaque : elle s’amusait avec les doigts qui allaient et venaient entre son anus et son clitoris. Elle jouait avec ses lèvres les écartant et les étirant pour révéler à son élève l’entrée de son vagin qui déjà suintait d’humidité.

–  » Qu’est-ce que t’en penses ?  » fit Juliette.

Bénédicte était bouche bée devant le spectacle offert par sa prof d’anglais et se caressait à travers son jean. Juliette avait relevé les cuisses vers ses épaules et posé ses fesses au bord du fauteuil afin d’exhiber au mieux et sans retenue ses charmes intimes. Elle continua de se masturber sans gêne devant son élève et entreprit d’élargir son vagin à l’aide de ses deux mains, révélant une caverne d’une profondeur vertigineuse. Bénédicte avait maintenant grandement envie de se rapprocher de Juliette pour lui mater le fond du trou.

–  » Ne reste pas comme ça : fais comme moi !  » enchaîna adroitement Juliette.
–  » D’accord  » répondit aussitôt Bénédicte.

Elle se débarrassa prestement de son t-shirt blanc, de son jean et de ses chaussures. Puis, elle dégrafa le soutien-gorge qui masquait ses petits seins et fit glisser sa culotte au bas de ses jambes, révélant à sa prof d’anglais sa nudité intégrale, puis, elle ouvrit ses cuisses. Son sexe et son anus apparaissaient parfaitement lisses sans l’ombre d’une pilosité, ses grandes lèvres charnues laissant à peine dépasser la fine dentelure de ses petites lèvres. Son petit anus était tout aussi admirable avec ses petites plissures en étoile tout autour du petit orifice.

–  » Tu es superbe ! Je voudrais que tu t’allonges par terre. Je vais te faire une petite surprise, je suis certaine que tu vas adorer. » annonça Juliette.

Elle s’absenta quelques instants et réapparut dans le salon avec une chaise étrange que Bénédicte remarqua immédiatement : les pieds avaient été raccourcis de moitié, la chaise était évidée en son centre, et un abattant pour W-C ornait ses rebords. Cette chaise avait été transformée en chiotte portative !

– « Quelle petite salope ! » pensa très fort Bénédicte.
–  » Comment tu trouves ma chaise ? Tu devines pas ce que je vais faire avec ça ?  » demanda Juliette. Elle posa son siège au milieu du salon, s’installa dessus cuisses ouvertes et proposa doucement à Bénédicte de venir la rejoindre. Bénédicte avait compris très vite de quoi il s’agissait. Elle vint docilement s’allonger sous mademoiselle Garibian, le visage exactement au-dessous des parties intimes de sa prof. La chatte et l’anus de Juliette se trouvaient à moins de vingt centimètres de sa bouche.

–  » Tu ouvres ta bouche s’il te plaît ? Et tu regardes bien !  » proposa Juliette.

La jeune femme commença par uriner longuement dans la gorge de son élève. Le goût de sa pisse était puissant et Bénédicte s’en délecta avec avidité. Il était hors de question d’en laisser échapper une goutte. Puis, Juliette ouvrit ses fesses à deux mains pour libérer progressivement un étron incroyablement large, qui peinait à se frayer un chemin au travers de ses intestins écartelant son anus au passage.

–  » Je poussssssse ! Tu bouffffffes !  » grogna Juliette.

Ses boyaux étaient vraiment remplis de merde, elle ne s’arrêtait plus. Les étrons fermes du début avaient laissé place à des matières molles qui se déchargeaient sur Bénédicte. Celle-ci essayait d’avaler la merde de Juliette et de suivre le rythme imposé par sa prof mais elle n’y arrivait pas. Bientôt, sa bouche déborda, son visage fut recouvert d’excréments, on ne distinguait plus ni ses yeux, ni son nez, ni ses lèvres. Les matières fécales la submergeaient… elle étouffait noyée dans le caca de la prof d’anglais.

A bout de souffle, Bénédicte sortit brutalement de son rêve et respira à pleins poumons. Elle se saisit de la bouteille d’eau minérale qu’elle gardait toujours à portée de main et but de longues gorgées. Elle retrouva rapidement son souffle et ses esprits et regretta amèrement que la soirée chez Juliette soit déjà terminée. Il faudrait VRAIMENT provoquer une rencontre REELLE avec cette petite salope de prof d’anglais. Elle avait encore le goût de sa merde dans la bouche…

FIN

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3 réponses à Bénédicte et Juliette, petites salopes scato… par ScatAttack

  1. Honorine dit :

    Le rêve permet tout, mais fantasme-t-on sur un rêve ?

  2. Pulsar dit :

    Le fait de faire dans l’onirique est un procédé un peu facile puisqu’il permet de gommer artificiellement. toutes les faiblesses narratives. J’avoue cependant avoir été infiniment troublé par l’épisode de la chaise percée. Cela m’a rappelé quelques souvenirs, j’ai en effet eu l’occasion d’être volontairement humilié de cette façon, en recevant dans cette position d’abord de l’urine en abondance, puis des choses plus solides.

  3. Claire dit :

    Une initiation en douceur n’aurait-elle pas été plus intéressante (et surtout plus vraisemblable) que cette surenchère crado ? (et croyez moi je n’ai rien contre la scato, mais pas comme ça !)

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