Astrid et Thimothée 1 – par Tyler

Astrid et Thimothée
par Tyler

En rentrant dans la salle je regarde cette masse d’étudiants dissipés qui ne remarque même pas ma présence. Tous les jeudi après midi c’est la même chose. J’essaie de faire cours aux premières années de Commerce international, quarante deux élèves qui n’ont rien à faire de mon cours. Pour eux la gestion ne rentre pas en ligne de compte pour l’avenir qu’ils se sont imaginés. Je dois supporter un bruit de fonds pendant deux heures. A chaque fois je dois faire le même discours sur le fait qu’ils sont étudiants, leurs responsabilités dans leurs études, la maturité dont il devrait faire preuve. Peine perdue, ce sont de jeunes bacheliers qui confondent encore le lycée et les études supérieures. Un portable sonne même à côté de moi. Je vois Astrid se précipiter vers son sac pour l’éteindre. Elle me jette un regard de chien battu et me marmonne des excuses. En temps normal je l’aurai sorti du cours mais elle m’a toujours paru un peu fragile. C’est une grande blonde avec de grands yeux bleus, toujours vêtue du jean’s et d’un petit chemisier. C’est l’élève classique des écoles catho, l’air un coincé et prude.

La sonnerie annonce enfin le moment de liberté. Je n’ai ces élèves que deux heures dans la semaine, mais ils me prennent toute mon énergie. Un troupeau d’éléphant quitte la salle dans un vacarme de chaises et de tables déplacées. Alors que je range mes affaires dans mon sac, je vois une ombre sur le bureau.

– Je suis désolée monsieur, je croyais avoir éteint mon portable.
– Ce n’est rien, mais il ne faudrait pas que cela se reproduise.

Je prends un air ferme en la regardant. Mais elle reste plantée devant moi.

– Je vous remercie de ne pas m’avoir mise à la porte. Mes parents m’en auraient voulu si j’avais eu un avertissement.

Astrid parlait avec une voix douce, on lui donnerait le bon dieu sans confession.

– Ne t’en fais pas ! Je ne dirais rien si tu me paies un verre à la fin des cours.

Je continue à ranger mes affaires en lui souriant. Les élèves ne relèvent jamais ce genre de provocation.

– C’est d’accord, ce sera pour toutes les fois où on vous a ennuyé en cours. Vous finissez à quelle heure ce soir ?

Je n’ose pas répondre. Je regarde la salle, elle est déserte. Les élèves de cette classe sont des farceurs. Si le bruit courre que j’ai proposé un verre à une élève, je vais avoir de gros problèmes. D’un autre côté ça peut être un bon moyen de les comprendre.

– OK pour ce soir, mais personne ne doit être au courrant. Il faut que ça reste entre nous.
– Ne vous inquiétez pas, je le garderai pour moi.
– Bon, je fini à dix sept heures.
– Super, on a qu’à se retrouver au pub en face du château, l’happy hour est jusqu’à dix neuf heures.

Je sors de la salle et elle se retourne dans le couloir en me faisant un grand sourire. Je sens que je vais avoir des emmerdes. D’un autre côté, ce n’est pas avec Astrid que j’aurais des problèmes. Dans le genre coincée on ne doit pas faire mieux. En marchant dans le couloir je repense à notre conversation. Comment ce fait-il qu’une fille de ce genre connaisse les habitudes de ce pub.

En rentrant dans le pub je me dis que cela doit être une farce. Il n’y a que deux types au comptoir. Pas de traces d’élèves, sur ce plan je suis soulagé. En jetant un coup d’œil à la salle je vois une petite pièce dans le fonds. En m’avançant j’aperçois Astrid assise devant un verre de coca.

– Je croyais que vous n’alliez pas venir, me dit-elle en souriant.

Je commande une pinte et nous discutons de la classe, du bahut, des profs. Cela faisait peut être une demi heure que nous étions assis lorsque se pointe à notre table deux élèves, Timothée et Julie.

Je suis carrément embarrassé, et cela doit se voir sur mon visage car tous les deux me rassurent qu’ils sont là par hasard. Je leur demande de garder ça pour eux, et ils s’installent à notre table. Je crois comprendre qu’ils ont l’habitude de se voir dans ce pub. Cela me semble surprenant, j’avais toujours eu l’impression que c’étaient des élèves peu intéressés par ce genre d’endroit. Astrid et Julie sont des modèles d’élèves, studieuses et motivées, et Timothée fait preuve d’intérêt et intervient à chaque cours, même s’il n’a pas leur niveau.

La soirée se poursuit avec quelques pintes et la conversation porte sur leurs préoccupations face à l’avenir.

Je regarde ma montre, il est presque vingt heures. Je m’apprête à quitter lorsque Timothée demande à Astrid si l’on ne peut pas aller chez elle pour commander des pizzas. Dans la discussion j’apprends qu’elle loge dans un deux pièces à quelques rues d’ici. Ses parents le lui ont loué à condition qu’elle se tienne à carreau. Je suis un peu embarrassé mais ils m’entraînent avec eux. L’appartement est spacieux mais un peu vieillot. Le salon est peint en blanc, deux canapés se font face, séparés par une table basse. Tout le monde prend ses aises comme s’ils avaient l’habitude de s’y réunir.

Astrid sort une bouteille de gin et des jus de fruits, Timothée commande les pizzas et la soirée continue. La conversation tourne vers des sujets plus personnel, les questions fusent à mon attention. Tout le monde est un peu ébréché. Ils se demandent à quoi peut ressembler une vie de prof. J’essaie de contourner les interrogations les plus intimes.

Soudain Timothée commence à caresser la cuisse de Julie, et l’embrasse. J’essaie de faire celui qui ne voit rien. Astrid se tourne alors vers moi.

– Et vous, vous avez une copine ?

Là on ne peut pas faire moins directe.

– Tu peux me tutoyer, au point où on en est. Non, je suis tout seul.

Elle me pose plusieurs questions pour en connaître la raison mais je reste évasif.

– Et tu es déjà sorti avec une élève ?

Là ça commence à devenir dangereux, mais avec la tête un peu embrouillée par l’alcool, je lui dis que oui.

Elle me demande de lui raconter l’histoire, ce que je fais en enjolivant les choses.

Le portable de Julie se met à sonner, et après une brève discussion avec ce que je pense être ses parents elle décide de rentrer.

Astrid s’assoit alors à côté de Timothée et commence à l’embrasser. Je les regarde surpris. Où sont passés ces élèves prudes et coincés.

– On va jouer à jeu, lance Astrid en me sortant de mes pensées.

Elle se lève et revient avec un jeu de cartes, le trie et ne garde dans les mains que les têtes et les as.

– Si je pioche une couleur rouge je décide ce que je fais avec toi, dit-elle en me regardant, les noires sont pour Timothée. Si on pioche un as, c’est un joker et on choisit la personne et ce qu’elle va faire.
– Ok, dis-je, mais nous on n’a pas le choix, tu seras toujours désignée.
– Pas forcément, dit Timothée, je n’aie pas complexes.

Je m’enfonce dans le canapé en me demandant où je me trouve. J’ai l’esprit large, mais là.

– Ca te pose un problème ?

J’avoue que je suis un hétéro flexible, et Timothée est plutôt mignon. Il est grand et mince, sûrement sec, un visage juvénile qui lui donne moins que ses 18 ans. Ils sont majeurs mais quand même.

– Allez je commence, lance Astrid en tirant une carte pour couper court à mes hésitations. Dame de cœur. Je vais voir comment embrasse un prof.

Elle se lève et s’assoit à côté de moi. Je regarde ses grands yeux bleus, m’approche d’elle et pose un délicat un délicat baiser sur ses lèvres.

– Non, tu ne vas pas t’en tirer comme ça.

Elle pose une main sur ma nuque et colle ses lèvres aux miennes. Je sens sa langue qui essaie de passer la barrière de mes lèvres. J’ouvre légèrement la bouche, sa langue en profite et vient heurter la mienne. Elles se mêlent, fouillent nos intimités. Je goûte sa salive. Emporté, je prends sa tête entre mes mains et enfonce ma langue dans sa bouche. Après quelques secondes nous nous écartons.

– C’est vraiment agréable me dit-elle. A-t-on tour, prends une carte.

Je tire le valet de trèfle.

– Tu n’as pas le choix, me lance Timothée. Tu dois jouer sinon le jeu s’arrête. Ce serait dommage, non ?

Craignant que je me dégonfle, Timothée s’est levé. Je le retrouve à mi parcours. Je pose une main sur son épaule, nos têtes se rapprochent. Au contact de nos lèvres, sa bouche s’entrouvre et nous échangeons un long baiser. Ses lèvres sont aussi douces que celles Astrid mais sa langue se fait plus curieuse.

– Vous m’oubliez les mecs ou quoi ? A toi Timothée, prends une carte.
– As de pique. Je demande ce que je veux à qui je veux. Je vais t’embrasser les seins ma petite chérie, ou du moins ce qui te sert de seins.
– Sois pas désagréable, lui dit-elle en retirant son chemisier.

Il avait raison, Astrid a un buste d’enfant. Elle retire son soutien gorge, et montre deux petits seins tout rond et tout petit. Une vraie adolescente. Ses mamelons sont contractés et ses tétons pointent déjà.

Timothée se penche sur elle, pose une main sur son sein droit et embrasse doucement le gauche. Je vois sa langue glisser sur la peau blanche. Astrid ferme les yeux et se laisse faire. Les lèvres aspire le téton, le suçote. Elle se met à soupirer.

Je me rassoie dans le canapé et les regarde. Timothée l’embrasse avec douceur. Sa bouche passe d’un sein à l’autre, lèche les tétons. Astrid est une grande et belle jeune fille. Un peu maigre peut être. Ses hanches et ses côtes ressortent légèrement. Son ventre plat ondule au rythme de ses soupirs.

Après quelques instants, Timothée l’abandonne et se laisse tomber dans l’autre canapé. Il affiche un sourire de satisfaction. Tous les deux me regardent comme pour me défier ou plutôt me provoquer. Elle tire une nouvelle carte.

– C’est le roi de pique. Dommage me lance telle, c’est encore au tour de Timothée.

Elle réfléchit en le regardant.

– Retire ton pantalon !

Je n’en crois pas mes oreilles. J’ai l’impression de vivre un rêve. Timothée se lève sans se faire prier, et sans aucune pudeur retire ses chaussures et son pantalon.

– Enlève aussi ton caleçon.

Il s’exécute pendant que nous le regardons faire. Ses jambes sont imberbes et finement musclées. En se redressant il exhibe un sexe fin à peine en érection. Ses poils pubiens noirs ressortent sur sa peau claire. Astrid me jette un regard avant de s’agenouiller devant lui. Elle lève la tête vers lui et pose délicatement ses mains sur ses cuisses.

– J’n’ai pas l’impression de te faire vraiment de l’effet.

Elle se tourne vers moi avec un grand sourire, puis embrasse doucement le membre tendu vers elle. Sa langue caresse d’abords la base du sexe avant de descendre sur le gland encore prisonnier de son étui de peau. Lentement elle le prend entre ses lèvres, le fait glisser dans sa bouche. Timothée la regarde en souriant. Elle l’avale tout entier dans un petit bruit de succion, ce qui arrache un râle au garçon. Toujours aussi lentement elle entame un va et viens. Je peux voir le sexe gonfler et prendre de plus en plus de place dans sa bouche.

– Prends ses couilles dans tes mains et caresse les en même temps, lui dis-je.

Elle se tourne vers moi, un peu étonnée par mon intervention, et finit par me sourire. Elle remonte ses mains sous ces testicules, les masses délicatement et reprend le sexe en érection dans sa bouche. Le souffle de Timothée s’accélère. La bouche qui le pompe l’aspire un peu plus fort. Un léger filet de salive enduit les lèvres d’Astrid et le sexe qu’elle suce. Je contemple la scène qui s’offre à moi. Le gland rougit apparaît et disparaît. Je l’imagine cogner au fonds de sa gorge.

– C’est ton tour, tire une carte me lance Timothée.

J’ai du mal à décrocher mes yeux du spectacle. Je tire une carte.

– Roi de pique.
– j’ai de la chance, lance Timothée en me regardant.

Je m’avance vers lui. Astrid lève les yeux sans s’arrêter, curieuse de savoir ce que je vais faire. Je me penche vers la bouche du garçon et y dépose un léger baiser, avant de me laisser tomber à ses pieds. Une de mes mains vient prendre la place de celles d’Astrid. Ses couilles sont chaudes et lourdes. Je les masse doucement. Tous les deux me regardent. J’approche mon visage de la bouche avide qui le pompe. D’un coup de langue, je lèche la salive qui coule sur son menton, la glisse sur les lèvres jusqu’au sexe tendu toujours dans sa bouche. Je sens la peau soyeuse et humide de se jeune membre tressaillir. Astrid se retire lentement et le pousse vers moi. Je prends le gland gonflé d’excitation entre mes lèvres et l’enfonce doucement dans ma bouche. Il glisse sur ma langue. Je le sens battre comme un cœur. Le sexe est long et fin. Je le sens envahir ma bouche et frotter sur mon palais.

J’aspire doucement le gland, pendant que ma langue en fait le contours, passant et repassant sur le méat déjà très sensible.

Je sens les mains d’Astrid glisser sous ma chemise, et me caresser le dos. Elle se penche sur le côté et commence à défaire les boutons. Ses doigts frôlent mon torse, s’attardent sur mes tétons. Timothée retire son T-shirt dévoilant un torse plat presque juvénile. J’essaie d’avaler son membre en entier mais trop vite il heurte le fonds de ma gorge. Je le ressors lentement préférant laisser ma langue exciter son gland.

Astrid s’est relevée pour retirer son pantalon. Ses jambes sont longues et fines, à peine musclées. Sa culotte en coton tombe sur le sol et elle m’exhibe une toison blonde presque blanche. Elle s’approche de Timothée et l’embrasse pendant que ses mains se baladent sur ses seins. Son ventre se retrouve à hauteur de mon visage. Sans libérer le sexe qui remplit ma bouche, je remonte ma main le long de sa jambe et la glisse entre ses cuisses. Je sens la chaleur de son bas ventre. Mes doigts frôlent son sexe. Ses grandes lèvres sont déjà humides d’excitation. Mon pouce remonte plus haut et presse son clitoris. Je l’entends soupirer. Tout en massant ce bouton sensible, je glisse un doigt dans sa fente. Il pénètre lentement à l’intérieure de son sexe. L’endroit est chaud et trempé. Elle se cambre pendant que je la masturbe doucement.

Timothée se retire de ma bouche et me demande de me lever. Il déboutonne mon pantalon pendant qu’Astrid retire mes chaussures. Mes vêtements tombent sur le sol faisant jaillir mon sexe de sa prison de tissu. Les mains d’Astrid se jettent dessus pour le caresser.

Je me laisse glisser dans le canapé, jambes écartées. Elle s’assoit à côté de moi et c’est Timothée qui tombe à genoux devant moi. Elle me masturbe doucement pendant qu’il s’approche de mon sexe en érection. Je sens d’abords sa langue sur mon gland, qui glisse pour le faire disparaître entre ses lèvres. La main d’Astrid accompagne la bouche avide qui me pompe lentement. Mon sexe épais envahit sa gorge, ses lèvres m’aspirent.

Astrid m’embrasse vigoureusement. J’en profite pour la caresser. Et puis ses lèvres quittent les miennes pour rejoindre celle qui me sucent. Leur langue entame un ballet autour de mon gland. Ils m’aspirent, me pompent à tour de rôle. Je sens le plaisir monter dans mes reins.

Après quelques minutes de ces gâteries buccales, Astrid nous entraîne dans sa chambre. Il n’y a pas de lit, seulement un grand matelas au sol, recouvert d’une couette. Elle s’allonge sur le dos les jambes relevées, s’offrant à nous. Je me glisse devant elle, la tête entre ses cuisses pendant que Timothée s’agenouille à la hauteur de son visage. Je commence à passer ma langue autour de son sexe, d’une lèvre à l’autre, avant de me jeter sur son clitoris pour l’aspirer doucement. L’odeur de son sexe m’enivre. Ses petites lèvres dépassent à peine. Pendant que j’avale ce liquide onctueux, je la vois emboucher la verge fine qui se dresse vers elle. Ma langue fouille tous les replis de chair, lape. Sa bouche tète le gland.

Je passe mes mains sous ses petites fesses pour la forcer à se cambrer, et elle m’offre l’intégralité de son intimité. Je glisse ma langue vers le petit bouton plissé, le lèche, l’enduit de salive avant de retourner sur sa chatte trempée. Mes doigts viennent caresser sa fente pendant que ma bouche se concentre sur son clitoris. J’en glisse un dans sa fente, fouille doucement. Son corps vibre. Je lève les yeux pour contempler sa bouche qui va et vient sur le sexe raide. Timothée nous observe tour à tour. Il tient la tête d’Astrid et l’aide avec de petits mouvements de hanches. Des bruits de succion se mêlent aux soupirs.

Enfin, il se laisse tomber sur le matelas. Je m’écarte d’Astrid et l’aide à se redresser. Nous nous embrassons furtivement avant qu’elle n’aille le chevaucher. Elle s’assoit sur son ventre et frotte son sexe contre le sien. Je passe derrière elle et prend celui de Timothée dans ma main. De l’autre je la caresse, d’abords le dos puis ses petites fesses rebondies. J’enduis me doigts de se jus adipeux et l’étale sur le membre en érection. Astrid se cambre pour ouvrir ses fesses, et je glisse la verge dans sa fente trempée. Elle recule doucement faisant disparaître le gland et se laisse pénétrer en douceur. J’écarte délicatement ses fesses pour faciliter le mouvement. Ses hanches ondulent lentement, puis plus rapidement. Leur souffle s’accélère et Astrid soupire à chaque fois que le gland heurte le fonds de son ventre.

Je me lève et me présente devant elle. En voyant mon sexe tendu, elle ouvre la bouche. Je prends sa tête entre mes mains et pénètre ses lèvres. Sa bouche m’avale au rythme de coups de reins qui secouent son corps. A plusieurs reprises je m’enfonce trop loin dans sa gorge et lui arrache des hauts le cœur. Un filet de salive coule de ses lèvres. Ses joues se creusent pour m’aspirer. Je peux voir ses petites fesses ondulées sur le membre qui la pénètre. Son souffle s’accélère pendant que je baise lentement sa bouche. Mon sexe glisse sur sa langue et baigne dans un flot de salive. Ses deux grands yeux bleus me regardent, comme un signe de soumission.

Je sens le plaisir monter rapidement. Ses lèvres ne cessent de m’aspirer, et je dois sortir de sa bouche avant de ne pouvoir me retenir. Je passe derrière le couple pour me mettre à genoux et jouir du spectacle. Les reins d’Astrid ondulent sur Timothée. Son sexe luisant disparaît et apparaît lentement entre les lèvres fines et roses. Je caresse alors le dos humide de sueur d’Astrid, ses hanches blanches, glisse mes mains entre les deux globes de chair ferme de ses fesses pour les masser. Mes doigts caressent leur sexe et accompagnent leurs mouvements. Elle se redresse pour se coller à moi. J’embrasse son cou, caresse ses seins avant de descendre vers son ventre tendu. Je sens son souffle sur ma joue. Mon ventre se presse contre ses hanches et mon sexe contre sa chute des reins. Je le frotte entre ses fesses.

Elle se laisse alors tomber doucement sur Timothée pour prendre sa tête entre ses mains et l’embrasser profondément. Les jeunes corps glissent l’un contre l’autre. J’ai l’impression de sentir la douceur de leur peau moite. Leur souffle profond s’accompagne de gémissements.

Je m’installe entre les jambes de Timothée. Les hanches cambrées d’Astrid offrent à ma vue leur deux sexes. Je pose mes mains sur ses fesses et glisse ma langue dans sa raie du cul. Mon nez glisse contre sa peau, et je respire l’odeur acre du leur plaisir. Ma bouche embrasse et ma langue lèche. Je goûte la sueur de leurs efforts, avant de darder ma langue sur les plis de son cul. J’entends Astrid pousser un gémissement lorsque j’atteints le bouton de chair que ses fesses écartées m’offrent. Je passe et repasse ma langue sur son petit trou, le lape, avant de descendre et lécher les deux sexes qui s’activent. Mes lèvres recueillent les sécrétions de son plaisir sur le membre dur qui la pompe. Les bourses de Timothée sont tendues par l’excitation.

En voyant ce cul offert, je ne peux m’empêcher de le caresser. J’enduis mes doigts de salive pour enduire lentement ce petit trou serré. J’étale le lubrifiant naturelle en attendant sa réaction, et je suis surpris car elle semble se cambrer davantage comme pour m’encourager. Doucement je pousse mon doigt sur cet œillet clos. Il glisse lentement, écarte les plis de chair et entre dans cette cavité chaude et douce.

Astrid accélère ses mouvements, s’enfonçant profondément sur le sexe de Timothée. Dans les mêmes mouvements elle s’enfonce sur mon doigt qui se fait plus inquisiteur. Toujours avec douceur je fouille son cul, glissant mon index pour assouplir cet orifice encore serré. Je sens, à travers la fine peau, le sexe cogner dans son ventre. J’enduis de nouveau mes doigts de salive avant qu’ils ne retournent assouplir le passage étroit dans lequel j’espère mettre mon sexe gonflé d’excitation.

Mon index entre maintenant avec facilité, alors je décide d’en glisser un deuxième. L’orifice se fait plus souple à mesure que mes doigts l’écartent. Astrid, loin d’être effarouchée, accompagne mes gestes de gémissements. Elle tourne la tête, un sourire aux lèvres, comme pour m’encourager. Il n’en faut pas plus pour me motiver. J’accélère mes doigts et tente d’en glisser un troisième. Je sens une petite résistance mais finit par entrer, ce qui lui arrache un long soupir. Son cul s’ouvre plus facilement et mes doigts glissent sans peine. Les bruits de succions couvrent leurs soupirs et leurs râles.

J’enduis mon gland, rouge et dur, de salive. Je retire ma main de son cul et la pose sur sa hanche. Elle tourne la tête vers moi. Je m’approche d’elle, le sexe tendu vers son petit trou maintenant ouvert. Je presse mon gland contre les plis qui s’écartent sous la pression. Je sens le contact doux et chaud de sa peau. Ma verge glisse lentement vers le trou. Je sens une petite résistance avant que mon sexe ne s’enfonce entre ses fesses. Mon gland disparaît entre ses chairs. Astrid gémit. Son souffle s’accélère. Je pousse mon sexe en avant et le voit lentement entrer. Je m’arrête à mi chemin pour ne pas trop forcer le passage étroit. Je le ressorts doucement mais pas complètement, avant de la pénétrer à nouveau. Je commence un lent va et vient. Son cul emprisonne mon sexe et le comprime. Le contact est doux et soyeux.

Je m’enfonce en elle en essayant de me caler sur le rythme de ses hanches. Astrid gémit de plus en plus fort. Les deux sexes l’envahissent et elle ne se démonte pas. Ses reins poussent pour s’empaler profondément. Ses fesses cognent contre mon ventre. Je les écarte avec mes mains pour jouir du spectacle qui s’offre à moi. Mon sexe épais s’enfonce au plus profond de ses reins.

Je me retire d’elle et laisse un trou béant. Je passe un doigt enduit de salive sur le trou dilaté, avant de le voir commencer à se rétracter. La rougeur de ses muqueuses contraste avec la blancheur de ses fesses. Je saisie ses petites hanches et m’enfonce sans ménagement. Astrid semble au bord de l’extase. Ses gémissements sont de plus en plus aigues, son souffle de plus en plus court. Je sens le sexe de Timothée frapper le fonds de son vagin, à travers la fine cloison de chair.

Soudain le corps de Timothée se raidit et un râle sort de sa gorge. Astrid se penche sur lui et l’embrasse profondément, alors qu’à l’aide de mes mains je continue à maintenir un rythme rapide pour la pénétrer. Probablement excitée par l’orgasme dont elle est le témoin, Astrid commence à gémir de plus en plus fort. J’accélère mes mouvements et m’enfonce dans son cul le plus profondément que je puisse. Chaque coup de butoir lui coupe le souffle et elle s’effondre sur Timothée les fesses en l’air, en lâchant de petits cris. Doucement je ralentis mes va et viens.

Je sens le plaisir monter en moi mais je reste encore loin de jouir. Je me retire d’elle et la laisse tomber sur le côté. Timothée se redresse doucement et plonge entre ses cuisses. Il embrasse et lape son sexe sensible, pour recueillir le sperme blanc qui coule lentement de ses petites lèvres rouges d’excitation. Astrid gémit lorsque la langue passe sur son clitoris gonflé de plaisir. Il se relève pour se pencher sur elle et l’embrasse. Leur bouche échange le liquide salé qui se mêle à leur salive. Les langues se caressent avant de disparaître entre leurs lèvres. Après quelques baisers elle se tourne vers moi et me pousse en arrière. En retombant sur le sol, je peux la voir se précipiter entre mes jambes et prendre mon sexe entre ses doigts. Sa bouche avale mon gland et descend doucement sur mon membre dur. Sans précaution elle mêle le goût du sperme qui la inondé avec celui de son cul. Ses lèvres m’aspirent, et je sens sa langue tourner dans sa bouche, caressant mon gland. D’une main habile elle accompagne le va et viens de sa bouche. Ses doigts me pressent, et lentement je sens monter le plaisir.

Sa main glisse sur mon sexe que ses lèvres enduisent de salive. Je me sens cogner au fonds de sa gorge. Une forte pression envahie mon membre et soudain ma tête explose. L’orgasme se mêle à la sensation de libération que me procure mon éjaculation. Le sperme se déverse dans sa gorge. Elle continue à me branler tout en gardant mon gland entre ses lèvres. Ses doigts presse mon sexe et je la sens m’aspirer jusqu’à la dernière goutte. Elle lève les yeux avec un sourire aux lèvres avant de s’allonger sur moi et de m’embrasser. Sa langue remplit ma bouche et m’offre le goût de nos orgasmes.

Timothée se joint à nous et nous restons allongé, enlacé de longues minutes, nos corps engourdis par l’effort.

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