La dame du cinéma, son mari et sa servante par Estonius – parties 1 et 2

La dame du cinéma, son mari et sa servante par Estonius – parties 1 et 2

Prologue

Il faut toujours que les gens rentrent les choses dans des petites boites, le problème c’est que moi je ne rentrais dans aucune boite, ça m’a longtemps pourri la vie. Je m’explique, j’adore les femmes et quand je dis que je les adore, c’est même pas ça, c’est une obsession. Jusque-là rien d’anormal me direz-vous ? Sauf qu’il se trouve que quand je vois en vidéo ou en photo une belle bite, ça me fascine aussi ! Comment on règle ça ? Hein ?

Remarquez ça ne m’a pas empêché d’avoir une vie sexuelle assez classique avec madame… sauf que parfois je fantasmais sur une belle biroute que je me surprenais à tripoter voir à sucer virtuellement… pour ne pas parler du reste… Le problème c’est que quand madame est partie avec un autre… et que j’ai voulu combler un peu mon désert sexuel en regardant moult magasines et quelques vidéos, je me rendis compte que si mon amour pour le beau sexe ne fléchissait pas, celui pour les verges raides avait tendance à s’amplifier…

Et complètement prisonnier de nos classifications, je me suis dit que j’étais comme on dit en train de changer de bord. Je me confiais alors à un cyber sexologue qui me conseilla de faire un petit test…

Alors le test… Simple ! Une balade dans les rues de la capitale, un petit tour dans le métro, un pot à la terrasse d’un bistrot… Résultat des courses… Les femmes me font toujours autant d’effet ! Et les hommes ? Ben non, pas les hommes ! Leur visage sans finesse, leur peau mal rasée, leur corps sans grâce, tout cela ne m’intéresse pas ! Affaire classée ! Je suis donc bien hétéro ! Me voici rassuré et je rentre à la maison !

Seconde partie du test : Je recherche la revue où je m’étais régalé de la vue de ces jolies bites, une simple photo pleine page, une queue bien bandée… Sur la photo suivante une fille se la met en bouche, alors mon cerveau divague. Et voilà que je m’imagine avec cette queue dans la bouche ! Dans ma bouche ! J’étais pourtant hétéro en rentrant, et me voilà en train de bander à l’idée de pratiquer une fellation. Je veux en avoir le cœur net, je regarde fixement les photos du magazine, les femmes m’intéressent, les hommes non, sauf leur bite !

J’ai pris rendez-vous chez un psy ! Le mec m’a expliqué que ma fascination des femmes n’était qu’un mensonge que je me faisais à moi-même et que je n’osais pas m’affirmer en tant qu’homosexuel. Pas trop convaincu… Il m’a alors conseillé de chercher une relation avec un homme. J’ai laissé tomber, gardant l’analyse en réserve au cas où…

Ça me turlupinait cette affaire, et puis une idée m’est venue, puisque mon attirance sur les hommes se focalisait sur leur sexe, pourquoi ne pas essayer une relation où le point de départ serait uniquement le sexe ! Le monde à l’envers quoi ? Je me suis alors souvenu de certaines scènes vingt ans en arrière, lorsque je fréquentais les cinémas pornos ! Pourquoi ne pas essayer ?

Alors j’ai essayé, je suis allé dans un cinéma X, j’ai laissé un homme s’asseoir à côté de moi sans que je proteste ni ne change de place. Mais lorsque celui-ci m’a mis la main sur la braguette, un réflexe m’a fait me lever et m’enfuir. Je ne voulais pas, je ne voulais franchir aucun pas ! Je me suis raisonné après, il ne s’agissait pas de franchir quelque chose mais de faire une expérience ! J’y suis retourné le soir suivant ! Et je me suis promis que cette fois je ne me dégonflerais pas !

Ça y est, je suis assis, un mec se met à côté de moi, il sort sa bite et commence à se l’astiquer ! Quel bel engin ! Je regarde le mec, brièvement d’ailleurs, je m’en fous de sa tronche, je veux juste savoir s’il n’est pas repoussant, mais c’est sa queue qui m’intéresse, je la lorgne, je vais jusqu’à mettre la main sur ma propre braguette, ça bande là-dedans, ça bande même très fort ! Un moment, le mec lâche son membre et me fait un signe de tête m’invitant à le remplacer ! C’est le moment ou jamais, ou je me sauve, ou j’y vais ! Mais j’hésite à peine ! Ma main est en contact avec ce bel organe si doux et si soyeux ! Et voilà que je me mets à le masturber ! Je n’ai alors qu’une envie : mettre ce sexe dans ma bouche, l’embrasser, le déguster, le lécher, le sucer ! Le mec de son côté défait ma braguette… ben oui, la réciprocité, quoi ! Je m’aperçois que j’en n’ai rien à foutre qu’il me tripote, ça m’indiffère complètement ! Il me tripatouille un peu durement, je lui demande d’être plus doux, mais il ne comprend rien ! Je lui retire sa main, il se lève et s’en va ailleurs ! Ça commence mal tout ça ! Je remballe mes outils et j’attends, mais les  » couples  » si j’ose dire se sont formés et je n’intéresse plus personne. J’ai alors l’idée de sortir mon sexe de ma braguette, ça m’embête un peu car je ne suis pas venu pour cela, mais si ça peut attirer du monde…

Ça ne rate pas, au bout de cinq minutes un type s’assied à mes côtés et commence à me tripoter ! A mon tour de jouer la réciprocité, et je m’évertue à essayer de libérer son propre sexe, il ne m’aide absolument pas, il me branle lui aussi un peu vite, mais sans brutalité, et tout d’un coup alors que j’arrivais enfin à lui extraire son membre de sa braguette, il se baisse vers moi et m’engloutit dans sa bouche ! Tout le contraire de ce que j’espérais, et tandis qu’il me suce, pas mal d’ailleurs, je me contente de le peloter sans trop voir ce que je fais ! Il sait y faire ce bougre, je le préviens que je vais jouir s’il continue à ce rythme, il en a cure, et voilà que j’éjacule dans sa bouche ! Il est content, il approche son visage près du mien, il voudrait peut-être que je l’embrasse avec sa bouche pleine de mon sperme, je lui fais signe que pour moi l’affaire est terminée et je quitte les lieux.

Partie 2

Pour le moment ces branlettes cinématographiques ne me menaient nulle part, mais une sorte de force irrésistible me fit y retourner plusieurs fois de suite, sans qu’il ne se passe quoique ce soit de notable, hormis quelques branlettes et fellations réciproques oui non… Le temps passa… et un jour…

Ce jour-là, je fais un tour dans la salle… pas grand-chose d’intéressant, je reviens sur mes pas scrutant un peu mieux les rangés les plus au fond. Et surprise… une femme, ou plutôt un couple ! Ce n’est pas la première fois, mais ces présences sont en générale plus frustrantes qu’autre chose, soit l’homme va protéger sa compagne de tout contact importun, soit la fille est là pour exciter son copain en acceptant quelques attouchements qui de toutes façons resteront périphériques… Mais bon c’est comme ça, leur présence mobilise une partie des spectateurs qui du coup scrutent, attendent, espérant que quelque chose va se passer. Un spectateur s’est assis juste à côté de la femme, sur sa droite. Je choisis quant à moi de m’asseoir dans la rangée juste devant en oblique par rapport à elle, ce qui me permettra de me tourner légèrement pour regarder ce qui se passe.

Je vois mieux la femme, à présent, la cinquantaine mais de très beaux restes, un joli profil avec un grand nez, et une mise en plis impeccable de fausse blonde. Elle porte un chemisier plutôt sage et une jupe, ses jambes sont croisées et ses cuisses à moitié découvertes, elle n’a ni bas ni collants. Le couple est semi enlacé et ils se parlent, se chuchotent je ne sais quoi. Leur tenue n’a strictement rien de provocante. Probablement des bourgeois qui s’encanaillent !

Un type à sa droite a sorti son sexe et se masturbe vaillamment, je regarde… un bel organe, ma fois ! Je me retourne assez fréquemment, oubliant de regarder le film (un truc italien par ailleurs assez bien foutu et avec des modèles très agréables à regarder, il y avait notamment la somptueuse et plantureuse Elodie Chérie) Et puis voilà que l’inconnu se livre à une première approche, oh pas grand-chose, une main sur la cuisse de la dame ! Elle ne dit rien, il s’enhardit. Alors la femme s’empare de la main inopportune et l’enlève ! Le mec au lieu de laisser tomber attrape à son tour la main de la femme et l’entraîne jusque sur son sexe, du moins il voudrait bien car la dame réussit à se libérer juste à temps. N’importe qui aurait compris qu’il était donc inutile d’insister. Pas lui et il refera ce manège plusieurs fois, et à chaque fois même réaction, et toujours avec le sourire ! Une sacrée patience la nana ! Quant à son compagnon… aucune réaction !

La lumière s’allume, le film est fini, il y a donc un mini entracte avant que la projection reprenne de nouveau. La femme se lève de son siège, je crois un moment qu’elle va partir ! Non !

– J’avais un foulard ?

Et l’autre branleur tout content qu’elle se mette à causer de sauter sur l’occasion !

– Un foulard ? De quelle couleur ?
– Blanc, un petit foulard blanc !

Ils regardent sous les fauteuils, à côté, un peu partout, pas de foulard.

– Soulevez-vous madame, vous êtes peut-être assise dessus !

Elle se lève mais toujours point de foulard !

– Ou alors je l’ai mis dans mon sac !

Elle ouvre son sac, l’objet y est bien, elle le sort se le met autour du cou.

– Voilà, je vais faire un nœud !

Le type lui susurre je ne sais quoi à l’oreille, elle semble amusée, lui répond, semble approuver, bref ils font une mini causette… et la lumière s’éteint… le film va redémarrer.

Le type a donc cru que la glace était brisée, et qu’une intimité s’était créée suite à ce bref échange et il refait une tentative de main baladeuse… que comme tout à l’heure notre spectatrice éconduira, toujours avec bonne humeur. Il y aura encore plusieurs tentatives : A l’avant dernière, la femme consentira à faire un ou deux mouvements de masturbation avant de lui tapoter amicalement sur la cuisse l’air de dire « bon, je t’ai touché la bite, maintenant tu me fous la paix ! » Dernière tentative, cette fois la femme est sèche « Bon, vous me laissez tranquille, maintenant ! J’ai horreur des gens qui insistent à ce point ! » Ce n’est pas dit très fort mais suffisamment pour être entendu de tous ceux qui entourent géographiquement le couple. Le mec, vexé comme un pou, remballe ses outils et déguerpit sans demander son reste.

J’ignore ce qui m’a pris, à ce moment-là, mais voilà que je quitte ma place et que je me précipite pour m’asseoir à celle ainsi rendue libre.

Pas un regard de la femme, je décide d’être uniquement voyeur, si toutefois il y a quelque chose à voir. Non, ils se caressent tous les deux très chastement et se racontent des trucs. Je recommence à m’intéresser au film, dans lequel une ravissante mulâtresse chevauche un type tout en en branlant deux autres, tout cela dans la clairière d’une forêt sous la pleine lune !

Et puis comme ça m’excite, je me dis que situation farfelue pour situation farfelue, autant sortir mon sexe, et me masturber, je suis conscient du fait que cela à peu de chance d’intéresser ma voisine, mon sexe ne pouvant rivaliser avec le gros mandrin de mon prédécesseur.

Il ne se passa rien pendant près d’un quart d’heure, manifestement j’indiffère absolument cette bourgeoise et j’en prends mon parti. Je m’attache donc au film, les modèles féminins sont très bien filmés et les scènes sont très érotiques. L’excitation montant, je déboutonne ma chemise et entreprends de me pincer un petit peu les tétons, j’adore ça ! Un petit bruit furtif sur ma gauche. Madame vient de décroiser les jambes et de se « décoller » de son compagnon. Rien d’important me dis-je, je continue à regarder le film… et c’est alors que je sens un index sur mon torse ! Je rêve ou quoi ? Le doigt de la dame s’approche de mon téton gauche, le frôle, le caresse. Je ne vous dis pas la surprise, et je ne vous dis pas l’érection non plus ! Je me tourne vers elle, lui fait un sourire de connivence, elle me le rend ! Et cette fois elle me pince carrément le bout de mon sein ! Je libère l’autre espérant qu’elle va ainsi s’en emparer également. Non, ce ne devait pas être dans mes intentions !

– Comme ça ou un peu plus fort ?
– Un peu plus fort ! Répondis-je incrédule.

Elle exécute une véritable torsion sur ma pointe, ma verge se redresse toute seule, j’ose à peine la toucher de peur de partir trop vite.

– Vous aimez vous masturber ? Me demande-t-elle.
– Oui ! J’adore !

J’ai répondu par réflexe. Elle avance sa main vers mon sexe ! Ce n’est pas possible ! Que quelqu’un me réveille ! Elle me le touche, me l’effleure plutôt, puis se retire ! Là je comprends qu’il se passe quelque chose…

– Vous êtes bi ?
– Oui !

En fait je ne sais pas trop ce que je suis, mais il me semble que c’était la réponse qu’elle souhaitait entendre.

– Vous sucez les bites !
– Les bites, les chattes…
– Et vous êtes pressé ?

Quelle question ? Je réponds que j’ai tout mon temps !

– Ça vous dirait une petite partie chez nous ?
– Là maintenant ?
– Là tout de suite !
– Pourquoi pas ?
– En fait, on cherche quelqu’un de correct, de bi et un peu soumis !
– Soumis ?

Ça refroidit un peu mon enthousiasme, je n’ai à priori aucune envie de recevoir de mauvais traitements et des humiliations d’un couple de sadiques pervers. Je me renseigne !

– Juste accepter quelques ordres, ça ne va pas très loin, en fait on va jouer, mais tu y trouveras ton compte.

J’hésite un peu, et puis l’idée géniale !

– Euh, je veux bien un peu de soumission, mais je ne veux pas qu’on m’attache !
– On n’en avait pas l’intention, allez viens !

Déjà, elle se lève, j’en fais autant.

On n’a pas trop le temps de discuter, ils hèlent un taxi qui justement passait par-là ! On monte !

– On ne s’est pas présenté, je suis Evy ! Mon mari c’est Pierre.

On s’est placé dans le taxi dans le même ordre qu’au cinéma à défaut d’être dans le même sens. Evy est donc à ma droite. J’en apprends un peu plus sur eux. Pierre est médecin en retraite, vieux célibataire il a rencontré assez récemment Evy par petites annonces, et ils s’amusent à se faire des plans sexe assez chaud ! Ils font passer le taxi dans une rue peu fréquentée bordée d’entrepôts.

– Je voudrais que tu fasses comme au ciné ! Me demande soudain Evy
– Hein ?
– Tu as promis de nous obéir !
– Euh, quand on sera chez vous…
– Si tu veux t’amuser avec nous, tu le fais, sinon je vais demander à Monsieur de te déposer au coin de la rue !
– Mais vous voulez que je fasse quoi ?
– Tu sors ton sexe et tu te branles !

Ce n’est pas discret, le chauffeur entend tout ! Je suis tombé sur des dingues.

– Je crois effectivement qu’il vaut mieux en rester là !
– Tu as tort je sais être très douce ! Me répond Evy en me plaçant sa main sur ma braguette !
– Ne vous gênez pas pour moi, intervient le chauffeur, vous savez, j’en ai vu d’autres… Mais pas d’exhib sur les voies fréquentées s’il vous plait !

J’hésite encore !

– Bon tu veux un coup de main, ou tu sais le faire tout seul ? Insiste Evy.

Je ne sais quelle force m’a alors poussé à sortir mon sexe et à esquisser quelques mouvements de masturbation !

– Vous voulez qu’on tourne un peu dans le quartier, il n’y a jamais personne… Propose alors le chauffeur !
– Volontiers !
– On a trouvé ce jeune homme dans un cinéma porno, on l’emmène chez nous, il va nous sucer tous les deux ! Lui dit Evy.

Je deviens rouge comme une tomate ! Quel besoin lui prend-elle d’aller raconter ça à tout le monde ?

– Eh, ben, il y en a qui ne s’embête pas ! Répond le chauffeur histoire de dire quelque chose.
– Remarquez… Si vous voulez vous joindre à nous ?
– Non, non merci, vous savez, moi j’ai des goûts très classiques, mais enfin, chacun fait ce qu’il veut, moi ça ne me dérange pas !
– Et vous n’avez jamais pensé à essayer des trucs un peu… un peu particulier !
– Non, je suis très classique, je vous dis !
– Et la bite de notre ami, vous la trouvez comment ?
– Euh, au feu rouge on tourne à gauche ou à droite ?

J’ai honte, je ne sais plus où me foutre, je n’arrive plus à bander, je suis tout flasque ! Il faut que je fasse quelque chose ! Evy me caresse le visage !

– Tu me fais goûter à ton petit bout de langue ?

Et voilà que nous nous embrassons ! L’excitation revient, Evy demande au chauffeur de quitter les entrepôts, je range mes outils, et quelques minutes plus tard, nous arrivions dans un appartement plutôt cossu ! Ils me plantent quelques instants seul au milieu du salon puis reviennent. J’aime à ce moment-là le regard chargé de malice d’Evy.

– Bon on va boire un petit coup, mais avant je veux que tu te mettes à poil ! Me demande cette dernière.
– Là tout de suite !
– Ben oui là tout de suite, pas dans trois semaines !

Je me déshabille donc ! J’ai l’ai un peu con, complètement à poil alors que mes deux lascars sont encore habillés !

– Tourne-toi qu’on voit tes fesses !

J’obtempère !

– Hum, joli petit cul ! Qu’est-ce que tu en penses, Pierre ?
– Tout à fait comme je les aime, je m’en doutais qu’il aurait un cul comme ça, ces choses-là je les sens !

Miracle, Monsieur parle aussi !

– Tu aimes te faire enculer ? Demande-t-il.
– Ben, je ne fais pas ça souvent !
– Je ne t’ai pas demandé si tu faisais ça souvent je t’ai demandé si tu aimais !
– Euh, je préfère sucer !
– Je ne t’ai pas demandé ce que tu préférais, je t’ai demandé si tu aimais ! Dis donc Evy, c’est quoi ce lascar qui répond à côté des questions ?
– Je ne sais pas mais ça mérite une punition ! Rétorque cette dernière… Mais commençons par le champagne ! Etienne, vas donc voir dans le frigo, la cuisine est par-là, s’il y a une bouteille de champagne au frais !

Je vais donc voir, il y a pas mal de choses dans ce frigo, ces deux-là ne se laissent pas mourir de faim, mais j’ai beau chercher pas de bouteille de champagne. Je reviens donc bredouille.

– Comment ça pas de champagne ? Je suis sûr que tu es déçu, tu aurais sans doute aimé une bonne coupe ?
– Vous savez, ce n’est pas grave, je me contenterais d’un verre d’eau !
– Un verre d’eau n’importe quoi ? Et si je t’offrais le mien de champagne !

Un instant d’incompréhension, juste un instant, j’ai maintenant compris la manœuvre !

– Ça te dit ? Tu n’es pas obligé !

Encore heureux que je ne sois pas obligé, mais la chose m’excite, la chose et puis cette situation est complètement loufoque…

– Allez… allonge-toi par terre !

Elle roule un coin du tapis, je m’allonge sur le parquet vitrifié. Et puis soudain j’ai envie de demander quelque chose, après tout j’en ai marre qu’on me prenne pour un objet, j’ai aussi mon mot à dire, non ?

– Euh ! Ce serait sympa si vous vous mettiez un peu à l’aise, non ? Demandais-je donc à Evy.
– Bon ! Faudrait que tu comprennes un truc ! Réponds Evy. On joue à l’esclave et à la maîtresse, donc on fait ce qu’on veut, et toi tu n’as pas le droit de demander quoique ce soit, d’accord !

Je ne sais pas trop ce que j’allais répondre, mais Pierre s’en mêle :

– N’empêche, il a raison, montres-y tes nichons ça va l’exciter !
– Non mais, c’est une conspiration, les mecs, là ! A mon avis c’est toi que ça va exciter, gros cochon ! T’aime bien la voir à poil ta vieille pute, c’est ça, hein, gros dégoûtant ?
– Tu sais que t’es belle quand tu me parles comme ça ! Répond Pierre
– Grand cornichon ! Se moque-t-elle !

Elle enlève son chemisier, puis le soutif, ses seins de taille plutôt moyenne, tiennent remarquablement bien et sont terminés par de charmantes petites pointes roses. Je lui demanderais bien de les sucer, mais je n’ose pas sachant que je vais encore me faire rembarrer. Par contre elle n’enlève pas sa culotte, un truc assez anti-érotique qui monte assez haut, je suppose qu’elle a le ventre un peu abîmé.

– Enlève-moi tout ça ! demande Pierre
– Tu sais bien que je n’aime pas ça !
– Tu vas faire comment, alors ?
– Ben je vais l’écarter, gros malin !
– J’ai une autre idée, moi ! On va la sacrifier ta culotte !
– Hein ?

Pierre s’en va je ne sais où et reviens quelques instants plus tard avec une paire de ciseaux, il s’approche de sa compagne, tire sur la fourche de la culotte et donne un coup de ciseau dedans !

– C’est malin !
– Je te la rembourserais !
– Bon, je peux y aller ? Demande Evy qui commence à s’agacer de ces contretemps.
– Vas-y pisse-lui bien dans la bouche à ce vicelard, et après il va me sucer la queue !

Ben voyons !

Evy s’accroupit au-dessus de moi et j’ai bientôt sa chatte poilue sous le nez. Par réflexe, je sors ma langue et donne un timide petit coup de léchouille.

– Non, ne bouge pas ça va me déconcentrer !
– Elle sent bon sa chatte ? Demande Pierre.
– Très bon !
– Mais vous aller la fermer, bande de nazes !

J’attends une bonne minute, plus personne ne souffle mot ! Et puis soudain un petit jet me remplit le gosier ! Un petit peu fort son pipi… mais pas désagréable, j’avale, j’avale, mais elle pisse plus vite que j’avale, j’essaie de lui faire signe que ça va trop vite, mais je t’en fous, elle n’en a rien à cirer, et j’en ai partout. Madame se relève.

– Regarde-moi ce porc, il en a foutu partout, allez viens me nettoyer, viens me servir de papier à cul.

Je me mets à genoux au niveau de son entre jambe. Je constate en même temps que Pierre s’est débarrassé de son pantalon et de son slip et qu’il exhibe à présent une jolie verge convenablement bandée.

Je lèche donc consciencieusement les cuisses de la dame, puis je m’aventure sur son sexe, elle se laisse faire, je donne des grands coups de langue, j’ai toujours adoré sucer les chattes, mais quand je vais pour m’occuper de son clitoris, elle me fait stopper.

– Chaque chose en son temps, pour l’instant tu vas me lécher le trou du cul !

Appréhension, en soi je n’ai rien contre la chose, mais j’espère que c’est propre, et vu l’heure ça ne me parait pas évident. Elle se tourne, me présente ses grosses fesses. De ce côté, c’est nettement moins bien conservé que la poitrine, mais bon, ça passe, c’est juste un peu flasque. J’essaie… Oh… ce n’est pas la devanture du fleuriste, mais ça ira, et passé les premiers instants où l’odeur me semble un tout petit peu limite, ça devient finalement assez excitant…

– Alors il a bon gout mon cul ?
– Ma foi, il est agréable.
– Maintenant, tu vas sucer la bite de mon pédé de mari !

J’obéis sans discuter, en venant je savais bien que ce serait aussi pour ça, non ? Son dard sent un peu le pipi, mais là aussi on s’habitue, J’essaie de faire ça le mieux possible, je lèche le gland l’humectant de ma salive et le contemplant ainsi, tout beau, tout mouillé !

– Tu suces bien, petite salope ! M’invective Pierre.
– Tais-toi, tu es aussi salope que lui ! Intervient Evy. Vous n’êtes que deux pédés qui aiment les bites, deux enculés ! Et moi j’adore vous regarder faire !

Je m’excite en le suçant, je pratique maintenant une fellation en va-et-vient, le Pierre pousse des soupirs. Je suis excité comme un pou et pose ma main sur mon sexe pour me masturber en même temps, mais Evy m’ordonne de ne pas le faire. Cruelle Evy. Finalement j’adore ce que je suis en train de faire, j’aurais dû commencer plut tôt… Je suce à qui mieux mieux, et de plus en plus vite. Un râle, je n’y prête pas attention, et je me retrouve avec tout le sperme du mec dans la bouche. Je ne souhaitais pas ça, je vais à l’évier cracher tout ça et me rincer la bouche.

– Tu n’as pas pu te retenir ! Moi qui voulais que tu l’encules ! Proteste Evy !
– On ne fait pas toujours ce qu’on veut ! S’excuse Pierre.
– Bon, ben tant pis, ce n’est que partie remise, en attendant viens me prendre ! M’ordonne-t-elle.

On sort de la cuisine et on se dirige tous vers une chambre, Evy défait le lit et s’allonge, les cuisses écartées.

– Tu vas me lécher et me faire jouir, et pendant que je jouirais, je veux que tu me pénètres. Enfile-toi une capote !

Pierre s’assoit sur un coin du lit, il sera donc simple spectateur. Je fais comme elle m’a dit et me faufile entre ses cuisses et cette fois j’attaque direct son clitoris. Au bout de quelques instants elle commence déjà à ânonner. Madame m’a l’air d’être une rapide. J’accélère le mouvement faisant autour de son bouton des mouvements circulaires de la langue, puis me mettant à la laper à l’instar d’un chat qui dégusterait son lait. Elle râle de plus en plus fort…

– C’est bon, c’est bon, continue !

Ben oui, je ne fais que ça, son sexe dégouline de cyprine en quantité impressionnante et tout d’un coup elle explose, pousse un cri, et son corps un moment tétanisé redevient flasque.

– Viens !

Je viens, comme elle dit, et la pénètre de façon très classique en missionnaire, j’ai une folle envie de jouir et je pense que pour moi aussi l’affaire ne durera pas très longtemps.

– Vas-y baise-moi, j’aime me faire sauter devant mon mari comme une pute ! Et par un pédé en plus ! Vas-y baise-moi !

C’est beau le romantisme !

Je voudrai bien qu’elle me propose de l’enculer, mais ça n’a pas l’air d’être dans ses plans, tant pis, je ne peux plus me retenir et jouis à mon tour.

– C’était très bien jeune homme, vous nous avez fait passer un agréable moment !

Le ton a changé, sympa mais le trip sexuel est presque oublié, ils me proposent de prendre une douche, j’accepte, puis c’est son tour, et pendant que je me rhabille, le mari toujours à poil et la quéquette à l’air me sert un apéritif, et me tient la conversation, en fait des banalités. Evy revient, en peignoir laissant la salle de bain à son compagnon.

– Ça va ?
– Oui ! Répondis-je.
– On adore ce genre de trip sexuel, vous savez ! (le tutoiement a donc disparu)
– C’était super !
– Euh, si vous en êtes d’accord, vous pourriez partager notre repas, ça m’embête un peu de me préparer pour aller au restaurant, mais par contre nous avons un excellent traiteur, que diriez-vous d’une douzaine d’huîtres ?
– Ma foi, je ne voudrais pas abuser !
– Mais non ce sera un plaisir !
– Alors d’accord !

A table la conversation revint souvent sur le sexe, ces deux-là avaient quelques anecdotes savoureuses à raconter. Cela ne les empêchait pas d’avoir repris une certaine distance qui dura jusqu’au dessert, et alors qu’elle nous proposait un plateau de petits fours, Evy me demanda à brûle pourpoint

– J’aimerais beaucoup que l’on se revoie, Etienne, je peux vous appeler Etienne !
– Oui bien sûr !
– Bien sûr, mais à quelle question répondez-vous ?
– Mais aux deux !
– Ce n’est pas la première fois que nous amenons un homme chez nous, mais avec vous il y a un plus, un courant, vous m’êtes vraiment très sympathique.
– Mais c’est tout à fait réciproque, savez-vous !

Moi aussi j’ai appris les bonnes manières !

– Vous savez ce que j’aime bien faire ? Reprend Evy
– Dites !
– J’aime faire des petits scénarios, dire à une personne, « tu viendras à telle heure, et sans que je t’en parle tu feras ceci cela, ou alors tu t’habilleras de telle et telle façon », par exemple je peux vous demander de venir avec une petite culotte de femme, ou avec un plug dans l’anus… enfin vous voyez le genre…
– Oui…
– Et ça vous dirait ?
– Oui, bien sûr ! Du moment que l’on respecte mes limites !
– Ce n’est pas un problème, tu peux avoir confiance. Décidemment dès qu’on parle de sexe j’ai tendance à tutoyer.
– Ça ne me dérange pas !
– Vous avez Internet ?
– Oui !
– Alors je vous transmettrais nos instructions par mail ! Mais convenons d’une journée.
– Pourquoi pas vendredi prochain ?
– Et bien c’est parfait, je crois que nous nous devons de trinquer à cette bonne nouvelle ! Pierre va nous chercher du champagne ! Il y en plus dans le frigo, je crois qu’il va falloir aller à la cave.

Et pendant que Pierre descendait chercher cette fameuse bouteille, Evy me fit cette étrange requête.

– La prochaine fois, arrange-toi pour qu’il t’encule, ne le suce pas à fond, ça lui fera tellement plaisir, et moi j’aime quand quelque chose lui fait plaisir.

Manifestement elle était amoureuse folle de son Pierrot, j’ai trouvé cela touchant.

On débouche, on verse, on trinque, on goutte !

– Alors Etienne lequel est le meilleur ?
– Pardon ?
– Le champagne de la cave, ou le mien ?
– On peut aimer les deux, celui-ci est très bon, mais j’ai adoré le vôtre !
– Alors vous en reprendrez bien une petite goutte ?

Je rêve, va-t-on repartir pour une nouvelle séance de sexe, mais j’aurais mauvaise grâce à refuser. Alors Evy ouvre son peignoir, se place une flûte sous la chatte et la remplit de son pipi, elle lève son verre, le mire à la lumière électrique comme on le ferait d’un grand cru, puis y porte ses lèvres.

– C’est vrai qu’il n’est pas mauvais, mais maintenant que j’y ai trempé mes lèvres, vous allez connaître mes pensées.

Elle me tend le verre ! Je l’avale pratiquement cul sec !

– Délicieux !

Je crus ensuite comprendre que mes hôtes étaient fatigués et qu’il était temps que je me retire. Je les quittais donc, ravis et déjà impatient de découvrir leur mail.

à suivre

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à La dame du cinéma, son mari et sa servante par Estonius – parties 1 et 2

  1. Kevinbale dit :

    Il n’y avait pos souvent des femmes dans les ciné pornos, et maintenant qu’ils ont disparus et que ce genre de choses de passe dans les arrières salles de sex-shop je n’en ai jamais vu

  2. Moisselles dit :

    Il m’est arrivé un truc dans le genre, un mec rencontré dans un sous-sol de sex-shop a voulu m’emmener chez lui faire une partouze avec sa meuf. En sortant il s’est souvenu qu’il avait je ne sais quel rendez-vous et qu’il me rappellerait le lendemain, il ne l’a jamais fait.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *