L’amant de ma mère par Lazenby
J’ai 22 ans et j’habite encore chez mes parents, (je devrais dire chez ma mère, car le paternel, je ne l’ai jamais vu) je travaille chez un grossiste en matériaux du bâtiments et m’occupe de la gestion des stocks.
Ce jour-là mon patron m’appelle.
J’aurais besoin de toi samedi matin, en échange-tu peu prendre ton après midi d’aujourd’hui !
J’acceptais et à midi j’allais manger un steak-frites au bistrot du coin puis n’ayant rien de spécial à faire, je décidais de rentrer à la maison
Dans la cour une voiture que je ne connaissais pas, sans doute un réparateur de quelque chose ou un représentant… J’entre et perçois des cris provenant de la chambre conjugale.
Je m’approche à pas de loup, la porte n’est pas complètement fermée et par l’entrebâillement je peux assister au spectacle de ma mère en train de se faire tringler par un parfait inconnu.
Ma mère (à poil bien sûr) gémit et transpire sous les coups de butoir du bonhomme, il la prend en levrette, en missionnaire, sur le côté et pour finir il se couche et ma mère le chevauche, un moment ma mère change de trou s’auto-encule sur la bite de son partenaire. Quel spectacle !
Inutile de vous dire que je bande comme un jeune taureau, ma mère a joui plusieurs fois, le type finit aussi par éjaculer. Ma mère le suce et nettoie la bite du sperme agglutiné.
Je redescends l’air de rien. Ma mère et le type descendent à leur tour.
– Bonjour je m’appelle René ! se présente le type
– Tien t’es déjà rentré ! Me dit ma mère !
Je lui explique…
– Il est mignon ton fils,
– C’est un petit cochon ! Précise ma mère, il passe son temps sur Internet à regarder des trucs pornos
Pourquoi dit-elle ça ? Je ne sais plus où me foutre.
– Mais je ne fais de mal à personne !
– Non mais la réalité c’est mieux que le porno.
– L’un n’empêche pas l’autre.! Me défendis-je.
– C’est pour cela que tu nous as maté tout à l’heure ?
Je deviens rouge comme une tomate
– Tu crois que je ne t’ai pas vu dans l’entrebâillement de la porte ?
– Bon, j’avoue !
– T’as aimé me voir à poil ?
– Ce n’est pas la première fois !
– Sauf que cette fois je me faisais baiser ! Et la bite de René tu l’a trouvé comment ?
– C’est une bite !
– Tu aimerais la sucer ?
– Mais enfin Maman…
– Une fois je t’ai vu surfer sur un site gay.
– C’était par hasard !
– Allons on va arrêter les hypocrisies, René montre lui ta bite.
Et le René qui m’exhibe son chibre que quelques mouvements de poignet suffirent à faire rebander.
– Allez, suce !
J’ai englouti la bite de René ! Qu’est-ce que c’est bon de sucer une bonne queue ce n’est pas ma première bite, au cours de soirées entre potes, je me laisse parfois aller à faire des choses un peu (beaucoup) bisexuelle.
– Qu’est-ce qu’elle est bonne votre queue !
– Tu veux que je t’encules ?
– Oui !
– Je vais t’enculer devant ta mère !
Putain qu’est-ce que c’est bon d’avoir une bonne bite dans le cul, il fait ça très bien sans brutalité, c’est un artiste, ce mec !
Mais le voilà qui s’arrête et décule, il ne semble pas pourtant qu’il ait joui !
– On va s’occuper tous les deux de ta mère ! Me propose René.
– Non, non…comment ça !
– Elle va te sucer la queue pendant que je l’encule.!
– Mais je n’ai pas dit que j’étais d’accord ! Intervient ma mère.
– Ah ? Alors tant pis, je pensais que ça te plairais.
– Bien sûr que ça me plairait, mais je préfère qu’on me demande avant !
Et pendant que René lui labourait le cul, ma mère me suçait comme une fée (la Fée Lation bien entendu) . Ensuite on a échangé les rôles, ma mère à sucé le chibre plus très net de René (puisqu’il sortait de son cul) tandis que ma bite se faufilait dans le passage de derrière de ma génitrice.
Le soir, je couchais dans le lit de ma mère et je lui prodiguais une minette mémorable.
Comment ça, j’ai tout inventé ? Et alors ?
On dirait que chez certains auteurs, l’hésitation, la réflexion , l’indécision n’existe jamais, je trouve ça dommage
On ne peut pas dire que la psychologie des personnages soit très recherchée mais tout le monde à bien le droit de délirer