Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 13 – Dans l’espace profond, personne ne nous entend jouir par Nicolas Solovionni
– La version que vous a raconté Rotulo n’est pas la bonne. Commence Surya. Le Swing27 était un vaisseau de croisière léger, on emmenait à son bord 15 rupins pour un petit circuit, la colonne de Kekolo, les étangs bleus de Jaunissar, le canyon géant de Frestopol… il y avait aussi un couple d’animateurs et puis trois filles chargées de distraire ces messieurs dames de la façon que vous pouvez deviner, j’étais l’une de ces trois femmes les deux autres ce sont Blanche et Maelys
– Je comprends.
– Rotulo vous a raconté dans quelles circonstances nous nous sommes retrouvés ici… Quand on s’est posé sur le ventre, les sirènes ont signalé le risque d’explosion imminente. On est tous descendus en catastrophe, je dis bien tous. L’ambiance était nauséabonde, ça gueulait de partout. Un espèce de gros con s’est improvisé leader des passagers et s’est mis à invectiver l’équipage de façon stupide. Quand ils en sont venus aux mains alors que le vaisseau explosait, je me suis planqué avec les deux collègues. L’équipage était en infériorité numérique, la bagarre est devenue très violente, le second du capitaine a été étranglé. Le capitaine et ses hommes ont alors fait usage de leurs armes. Plusieurs personnes sont tombées les autres ont levé les mains en signe de rémission. Et là Rotulo a continuer à tirer. Ça a été une véritable boucherie, tous les passagers ont été tués, le couple d’animateurs aussi. Du côté de l’équipage il ne restait que Rotulo, Ozawa et deux autres dont Malvin. Ils étaient amochés, certains choqués mais vivants. On n’a pas été vaches, on les a soigné, puis on s’est organisé comme vous l’a raconté Rotulo, sauf qu’en ce qui concerne les filles on a continué notre travail de distraction. Je ne suis pas bégueule mais je vous assure que distraire Rotulo était une véritable corvée, si au moins il l’avait bouclé, non, ce type n’arrêtait pas de nous cracher tout son mépris à la gueule. J’ai même pensé à le tuer ou à me suicider, je n’en ai pas eu le courage.
Évidemment Dyane a demandé à Surya de répéter tout ça devant mon staff.
Du coup il m’a semblé salutaire de revenir sur la composition des cabines de façon à ne pas laisser cohabiter Rotulo avec des femmes.
Je n’ai pas eu le temps de mettre cette décision à exécution, les choses s’étant précipitées…
Dans la salle de contrôle, je me livre à un check-up afin d’éviter toute mauvaise surprise au moment du saut de rentrée… Je suis en compagnie de Nerren et d’Ozawa.
Et voici Rotulo qui se pointe comme une fleur…
– Monsieur Rotulo, vous n’avez rien à faire ici, regagnez vos quartiers je vous prie.
– Premièrement je vous prie de m’appeler par mon grade, je suis le capitaine Rotulo et non monsieur Rotulo.
– Foutez-moi le camp !
– Et secundo, j’estime que mon grade mérite une certaine considération, notamment celle de ne pas être traité comme un paria dans cette salle de contrôle.
– Sortez ou je vous promet que ça va mal se terminer.
Et c’est à ce moment-là que Yoyo, le chat du bord entre dans la salle et de façon complètement incongrue s’en va se frotter contre la jambe de Rotulo (allez donc comprendre ces bestioles, vous !)
– Si je comprends bien j’ai moins de droit que ce connard de chat ! S’écrie Rotulo en se débarrassant du matou d’un violent coup de pied
C’en est trop !
– Ce chat ne vous a rien fait ! Nerren aide moi à maîtriser ce connard.
C’est qu’il est costaud ce Rotulo, mais à un contre deux, il n’a pas le dessus, je lui tords le bras, tandis qu’Ozawa se garde bien d’intervenir et que Yoyo effrayé par toute cette agitation s’en va voir ailleurs
– Ozawa, sale traître, je te ferais payer ça ! Fulmine Rotulo
– On en fait quoi ? Demande Dyane.
– On va l’enfermer avec Malvin, ça lui fera de la compagnie.
C’est donc ce que nous avons fait avant de terminer notre check-up
C’est quelques heures plus tard que Dilos nous a averti d’un vacarme provenant de la cabine où nous avons enfermé Rotulo et Melvin, j’accours, arme au poing en compagnie de Dyane.
On ouvre, ahurissant spectacle, Rotulo a le visage en sang et au sol Malvin est inanimé. Dyane vérifie sin état…
– Il est mort !
– Légitime défense ! balbutie Rotulo.
– Il est mort de quoi ? Demandais-je à Dyane.
– Strangulation.
– Légitime défense ! répète bêtement Rotulo
– On va voir.
On referme la porte.
– On fait quoi ? Demande Dyane.
– On applique la procédure.
– Quelle procédure ?
Je n’ai jamais été confronté à une telle situation, je consulte donc le code de la marine spatiale tout en sachant que seul maître à bord je peux faire ce que je veux
Le code indique que le présumé coupable doit passer devant un jury de cinq personnes tirés au sort, qu’il faut un avocat et un procureur…
Je préviens tout le monde, on tire au sort le jury. Dilos, Ozawa, Nadget, Blanche, (l’une des nanas naufragées) et Dyane.
– Maintenant il faut un procureur et un avocat de la défense des volontaires ?
Surya se propose comme procureur, Il n’y a aucun volontaire pour le défendre, je nomme Nerren d’office puis on ne perd pas de temps, je présente les faits, Dyane confirme. On écoute Rotulo qui plaide la légitime défense.
Surya prend la parole et raconte tous ce qu’elle a sur le cœur.
– C’est un assassin…
Et d’insister sur le massacre des passagers exécutés de sang-froid alors qu’il se rendaient… Puis de conclure en demandant qu’il soit éjecté dans l’espace comme le veut la tradition
Nerren ne sait pas trop comment se dépatouiller de son rôle d’avocat de la défense.
– Parfois dans une bagarre on fait des gestes qu’on n’aurait pas dû faire, on peut donc à juste titre retenir la thèse de la légitime défense, je réclame donc un enfermement jusqu’à notre arrivée à destination au terme de laquelle il sera remis aux autorités portuaires.
– Un dernier mot, Rotulo avant que le jury délibère ?
– Merde !
– Merci Monsieur Rotulo.
Les cinq jurés s’en vont à côté et reviennent rapidement.
– Le jury par trois voix et deux abstentions ont jugé l’ex-capitaine Rotulo coupable d’homicide volontaire sur la personne du dénommé Melvin et le condamne à l’éjection dans l’espace.
Je constate qu’il n’y a eu aucune voix contre…
– C’est un simulacre de procès, je fais appel ! Vocifère Rotulo.
Sauf que la procédure ne prévoit pas ce genre de choses.
– L’application de la sentence est immédiate. Monsieur Rotulo vous avez doit à une dernière parole.
Non, pas de dernière parole. Rotulo est blanc comme un linge. Nerren et Dilos le conduisent manu militari dans le sas. On ferme la porte intérieure puis on ouvre la porte extérieure. Rotulo est happé par le vide, la mort est immédiate. On referme le sas.
– C’est pas terrible, terrible, ce qu’on vient de faire ! Me confie Dyane.
– J’en ai bien conscience, mais pouvait-on faire autrement ?
– Je ne crois pas, non !
Nous avons ensuite procédé à l’éjection de la dépouille de Malvin en s’efforçant d’y apporter une certaine solennité. Pas évident…
Une dizaine de jours plus tard…
La voix robotisée de l’écran de contrôle annonce au micro :
« Sortie de l’hyperespace programmée dans 20 minutes standards… »
Je demande à tout le monde de se réunir dans la salle de contrôle.. l’inquiétude et l’angoisse sont palpables sur tous les visages, seul Ozawa paraît serein.
– Bon , l’heure n’est pas aux discours, dans un quart d’heure soit nous serons dans le système de Vargala, soit nous serons au milieu de nulle part sans avoir assez de vivre pour continuer.
– Amen ! Ajoute Dyane qui use parfois d’un humour bien particulier.
Plus un mot n’est prononcé…
« Saut dans 30 secondes, 29, 28, 27… 4, 3, 2, 1 0 »
Des coordonnées s’affichent sur l’écran.
– C’est bon s’écrie ! Ozawa.
Annonce qui me paraît prématurée.
L’écran se complète :
« Système GKU678 détecté, répertorié RDV589A ou système de Vargala, distance à l’étoile 5 heures lumière… »
Et cette fois c’est le délire, on applaudit, on se congratule, on s’embrasse. Blanche me roule un patin.
L’ordinateur de bord me demande notre cap, je lui répond : « Vargala 3 », le moteur ionique se met en branle et je vais chercher du Champagne
On boit on rigole…
Blanche se colle à moi ! J’ai un sacré ticket avec elle je ne vais pas m’en plaindre. Malgré son prénom, elle est très brune et mate de peau.
Les hommes de Rotulo ne sont pas nés de la dernière pluie et connaissent les usages de la marine cosmique. Aussi, c’est le grand relâchement Nadget s’est acoquinée avec un Ozawa, Dilos drague Maelys… Tout le monde se surveille du coin de l’œil. La première bite ou la première chatte exposée devrait donner le signal de la partouze.
Et c’est Blanche complétement barré qui commence à me tripoter la braguette. Je me laisse faire volontiers. Son tripotage a pour effet de me faire bien bander. Elle n’a plus qu’à sortir l’engin. Mais au lieu de faire ça discrètement elle crie à la cantonade
– Oh, regardez ce que j’ai trouvé !
– On dirait une bite ! S’esclaffe Maelys. Ben maintenant que tu l’as trouvé, tu n’as plus qu’à la sucer !
– C’est vrai je peux ? Demande Blanche jouant les innocentes.
Mais elle n’attend aucune permission et fait pénétrer ma virilité dans sa bouche gourmande tandis que Maelys fait de même avec la bite de Dilos. Un dénommé Ludwig semble s’intéresser de très près au physique ambiguë de Nerren. Quant à Dyane et Surya elles semblent être tombées amoureuses l’une de l’autre.
Alors si on a bien compté en doit être dix dans le mess cinq hommes et cinq femmes. Tout le monde se retrouve à poil, et je peux admirer les beaux atours de Suya et de Blanche. Chacun s’est dégoté un ou une partenaire et ça devient de plus en plus chaud et de plus en plus difficile à suivre !
Blanche est montée sur mes cuisses et s’est carrément empalé le cul sur ma bite. La position est peinarde c’est la fille qui fait tout le boulot et moi je peux peloter ses jolis seins et en téter les bouts.. Elle pousse des gémissements de plus en plus explicites tandis que je me sens prêt à décharger. Ça y est je jouis, c’est allé trop vite !
Blanche après m’avoir embrassé goulument se dirige vers Nadget et s’immisce dans le couple qu’elle formait avec Ozawa. Ce dernier finit par lui laisser la place et passe devant moi sa bite en étendard.
– Quelle ambiance ! Me dit-il. Mais dis donc C’est Blanche qui t’as épuisé comme ça !
– On dirait !
– Quand elle est déchainée, c’est une vraie tornade !
– Et toi tu fais quoi… Elle est bien belle ta bite !
– Elle t’intéresse ?
– J’avoue !
– Tu veux la sucer ?
– Volontiers !
Et me voilà avec la bite du monsieur dans la bouche ! Qu’est-ce que j’aime ça, sucer des bites !
– Oh, tu suces bien ! Me félicite-t-il.
– Hummpff..
– Tu aimerais que je te prennes ?
Ben oui pourquoi pas ? Je lui ai donc offert mon cul. Il apprécie l’offrande et après m’avoir léché le troufignon, il m’a enculé en cadence comme un chef. Certains nous ont applaudis mais je ne les ai pas identifié.
Je ne suis pas le seul à me faire sodomiser, Nerren y a droit aussi.
Les femmes sont terriblement excitées. Dyane et Surya ont été rejointe par Blanche et Nadget. Un ravissant mélange goudou dans lequel on ne sait plus qui caresse qui, qui lèche qui, mais les langues sont en action, les doigts également qui vont allégrement de chattes en trou du cul.
Dilos et Maelys dans leur coin sont pour l’instant les seuls à se la jouer hétéro. L’homme en sueur enculant sa partenaire à grands coup de rein.
Yoyo, le chat du bord, vient faire un tour sans doute attiré par l’odeur de stupre mais ne reste pas, rien n’étant prévu pour lui. Pauvre minet !
Pas facile à suivre avec tous ces gens, mais après tout qu’importe ! Tout le monde a fini par jouir, Dyane ne peut retenir son envie de pisser et se soulage dans la bouche de Surya qui se régale comme une cochonne.
Le mess fleure le sperme et la transpiration on se boit un coup sans se rhabiller. Le chat revient et se met à miauler de façon intempestive. J’ai compris, il a soif, mais heureusement il y a une bouteille de lait dans le frigo du mess…
A suivre
Surtout que le son va beaucoup moins vite que la lumière !
Il me plait bien se capitaine Stoffer, j’aimerais bien être à sa place et partouzer avec tous ses amis.
Si si moi je les entends très bien je me régale !
Une délicieuse et excitante partouze cosmique dont l’auteur a le secret