Les joies dans la nature par Verdon
Les joies dans la nature.
Une Femme un peu ronde, au bord d’une rivière,
Soumise sous son mâle dont la bite bien fière
L’outrage joyeusement devant quelques voyeurs
Qui n’ont comme avantage pour combler leurs ardeurs
Que de branler leur pine sans pouvoir profiter
De son cul magnifique qu’ils aimeraient flatter.
Le spectacle grandiose de l’imposant joufflu
Que pourfend vaillamment le licencieux crochu,
Provoque chez les hommes le désir vigoureux
De partager entre eux des gestes bien vicieux,
Quand d’autres courageux défiant le fouteur
Enfournent insolents, leur outil du bonheur
Dans le palais gourmand de la Diane en chaleur
Qui entre bouche et cul succombe à l’impudeur.
Le Mari satisfait, Madame en redemande,
La chose tombe à pic vu que les hommes bandent
Et sont prêts à leur tour pour bonne contrebande
Car la Belle est vraiment une grosse gourmande
Dont le cocu comblé apprécie les tourments
Qu’elle subit tour à tour entre tous ces amants.
Des Biches aux alentours, par le musc attirées
Connaisseuses en amour et vicieuses attitrées
Accourent pourlécher et sans se faire prier
Les belles élégances de ces braves messieurs
Et la fesse nappée du nectar délicieux
Que dégorge en saccades la rondelle étoilée
Ebahie tant elle fut joliment enculée.
La chose ainsi contée peut paraître anodine
Mais j’avoue qu’elle n’est pas forcément très maligne
Car crue du petit trou, c’est pines toutes nues
Et à ce p’tit jeu-là : gros risques à l’affut…
Mais sachant qu’entre nous, la capote est de mise
Couvrons nous et jouons, vive la gaillardise.
Ah : Baiser dans la nature ave le vent qui nous souffle dans les couilles !
Qu’en de mots délicieux
Ces choses là sont énoncées
Frétillons de la queue
Et ne pensons qu’à baiser