Un après-midi avec Isabelle par Lologramme
Isabelle descendit avec élégance les escaliers, perchée sur des talons hauts et engoncée dans une jupe étroite qui l’obligeait à se mouvoir par de petites enjambées. Elle portait des bas noirs soutenus par des porte-jarretelles sexy qu’elle ne portait qu’en ces occasions et un chemisier blanc sans soutien-gorge. Après avoir franchi le hall, elle attrapa son sac posé sur la commode et se dirigea vers la porte d’entrée. Ses seins volumineux gigotaient à chacun de ses pas. Elle raffolait de cette sensation de pesanteur qui lui provoquait de petits picotements dans le bas-ventre et rendait ses tétons durs comme de l’acier. Elle s’accordait ces sorties exhib’ en moyenne une fois par mois. C’était un défouloir, un moment pendant lequel elle oubliait tout et s’abandonnait aux plaisirs les plus extrêmes.
Elle marcha jusqu’à l’arrêt de bus et monta dans le premier venu. Peu importe la destination, il fallait qu’elle se montre et qu’elle jouisse en public. Elle repéra un jeune couple en face duquel elle s’assit en faisant en sorte que sa jupe remonte suffisamment pour qu’apparaisse le haut de ses bas, puis elle sortit un livre de son sac, offrant au jeune homme captivé et à sa compagne outrée une vue imprenable sur son opulente poitrine. De plus en plus excitée, elle en rajouta dans la provocation en croisant si haut les jambes qu’une bande de peau nue séparait le haut de ses bas de sa jupe. Elle jeta un regard furtif pour jauger l’effet qu’elle produisait et ce qu’elle vit l’excita plus encore : le jeune homme avait le regard plongé sur ses jambes et bandait visiblement comme un taureau ; la jeune femme avait une main posée sur la cuisse de son compagnon et regardait la bosse énorme qui déformait son pantalon. Elle sentit une liqueur brûlante couler de sa chatte. Elle décroisa les jambes et les desserra légèrement, juste assez pour que le couple profitât de sa belle culotte en mousseline de soie transparente qui voilait à peine sa chatte fraîchement rasée.
Le bus s’arrêta. Elle se leva puis descendit, laissant seuls ce pauvre homme prêt à exploser dans son pantalon et sa femme qui visiblement ne restait pas insensible à la charge érotique de la situation. Elle imagina la suite : la femme avait dégagé la queue du pantalon, l’avait engouffré dans sa bouche et avait avalé la semence jusqu’à la dernière goutte.
Isabelle était folle d’excitation. Ses tétons dressés lui faisaient mal. Ils semblaient transpercer son chemisier. Elle marcha un moment encore, dégustant les regards lubriques qui l’accompagnaient. Son attention fut attirée par l’enseigne lumineuse d’un grand magasin de vêtements. Pourquoi ne pas y entrer ? Elle avait envie de faire pipi. Peut-être y trouverait-elle des toilettes pour se soulager la vessie et éteindre le feu qu’elle avait allumé dans sa culotte ? Elle décida de franchir la porte d’entrée. Le magasin était immense. Au rez-de-chaussée se trouvaient les caisses et les vêtements pour hommes tandis que l’étage était entièrement consacré aux vêtements et accessoires pour femmes. Elle se dirigea vers l’escalator puis se laissa porter vers le niveau supérieur. Elle arpenta les rayons à la recherche de toilettes mais n’en trouva pas.
L’envie se faisait de plus en plus pressante. Consciente de ne plus pouvoir se retenir bien longtemps, Isabelle se dirigea au fond d’un rayon peu fréquenté où se trouvaient deux cabines d’essayage. Elle prit au passage et au hasard un pull, une petite robe d’été et des dessous pour donner le change. Il n’y avait personne dans le rayon quand elle pénétra dans la cabine. Elle tira le rideau, remonta sa jupe puis s’accroupit au-dessus d’une petite poubelle à papier sans prendre le temps de retirer sa culotte. Elle poussa et la pisse jaillit en de multiples jets à travers l’étoffe. Elle urina de longues secondes puis s’arrêta soudainement : si elle continuait à forcer, elle sentait qu’il allait arriver autre chose…
Elle se releva et se caressa la chatte en se regardant dans le miroir. La mousseline trempée collait à ses lèvres galbées et était devenue translucide laissant apparaître tous les replis de sa fente jusqu’à son clitoris boursouflé. Quelques frôlements du bout des doigts sur ce minuscule phallus suffirent à la faire jouir.
Elle retrouva rapidement et brutalement ses esprits quand elle entendit une voix féminine venue de l’extérieur demander d’un ton inquiet si tout allait bien. Dans un réflexe, elle rajusta sa jupe avant de répondre avec sang-froid qu’elle avait eu un petit malaise mais que tout était rentré dans l’ordre. Isabelle attendit un peu que l’intruse s’éloignât puis elle sortit de la cabine.
L’avait-elle vue ou entendue ? L’avait-elle matée par l’interstice laissé par le rideau ? Elle ne le saurait sans doute jamais, mais cette hypothèse ne la laissa pas insensible. Elle replaça les affaires dans le rayon puis regagna l’extérieur.
Elle marcha en direction du centre-ville. Sa chatte trempée collait à sa culotte. Elle avait joui intensément dans le magasin mais elle sentait remonter en elle un trouble plus fort encore. Ce qu’elle venait de faire (elle s’était comportée comme une vraie cochonne), les risques qu’elle avait pris, tout ceci la rendait ivre d’excitation. Elle chercha un lieu plus propice à ses envies de masturbation. Elle ne voulait pas rentrer chez elle, du moins pas encore.
La vue d’un cinéma situé un peu plus loin la sortit de ses pensées. Pourquoi pas ? C’était un petit cinéma de quartier spécialisé dans les vieux films. Autant dire qu’elle y serait tranquille. Il n’y aurait sans doute pas grand monde dans la salle. Elle regarda les horaires des séances. Peu importe le film. Elle en repéra un qui commençait quelques minutes plus tard. Sans même regarder l’affiche, elle acheta un ticket puis se laissa guider par l’ouvreuse. Elle s’enfonça dans une rangée située au milieu de la salle et se glissa dans un fauteuil. L’ouvreuse et sa lampe de poche disparurent et l’obscurité se fit complète. Puis l’écran s’illumina. Les bandes-annonces éclairèrent la salle et les visages d’une lumière dansante. Isabelle en profita pour regarder autour d’elle.
Le cinéma était quasiment vide. Un couple âgé occupait deux places du premier rang, un autre couple était installé deux rangées derrière et une femme seule se trouvait à quelques fauteuils sur sa gauche. Elle décida de prendre son temps, de profiter de chaque instant. Ses seins réclamaient des caresses. Tout en elle était en érection : de ses tétons jusqu’à son clitoris qu’elle sentait dur comme une bite.
Le film débuta. Les yeux mi-clos, Isabelle frôla ses mamelons du bout des doigts. De délicieux fourmillements envahirent sa poitrine et son ventre. Elle s’allongea presque, remonta sa jupe jusqu’aux hanches puis écarta les cuisses. Après un dernier coup d’œil lancé aux alentours pour vérifier que personne ne pouvait la voir, elle s’abandonna aux voluptueux effleurements dispensés par ses doigts experts. Elle fut très rapidement prise de contractions orgasmiques accompagnées de petits jets de pisse courts mais puissants.
Elle perdit alors le contrôle de tous ses muscles et le pire se produisit : de son petit trou fusa une courte crotte qui vint mourir dans le fond de sa culotte. Elle fut pour le moins surprise. C’était bien la première fois qu’une telle chose lui arrivait. Quelques minutes passèrent pendant lesquelles elle hésita entre le dégoût que lui inspirait ce qu’elle venait de faire et le plaisir d’avoir transgressé un ultime tabou.
La scatologie n’avait jamais compté parmi ses fantasmes. Et pourtant, elle ne pouvait pas nier que la situation l’excitait au plus haut point. Le fait de se trouver dans un cinéma, relativement loin de l’intimité rassurante de son appartement, ajoutait au risque d’être confondue et accroissait son plaisir. Elle chassa ses dernières réticences et décida de profiter pleinement des circonstances.
Elle s’allongea sur son fauteuil de façon à avoir les fesses dans le vide et, tout en se caressant la chatte, Isabelle poussa de toutes ses forces. Un épais et long serpent glissa hors de son anus et s’enroula lentement dans sa culotte. Quelle sensation inédite ! C’était plutôt agréable de sentir cette masse chaude et pesante remplir sa culotte. Isabelle soupesa le paquet d’une main et ne put résister à la tentation de l’écraser contre ses fesses. Elle eut aussitôt un long et violent orgasme qui la laissa complètement assommée. Elle avait complètement perdu les commandes. Avait-elle crié ? Elle espéra que non.
À mesure qu’elle retrouvait progressivement ses esprits, Isabelle fut envahie par une forme de honte mêlée de remords. L’excitation s’était évanouie, volatilisée comme un beau rêve au réveil alors que sa culotte pleine à craquer de merde demeurait comme un témoignage de son abjecte perversité. Elle la fit glisser le long de ses jambes en prenant bien soin de ne pas se salir plus qu’elle ne l’était déjà. Elle entreprit ensuite de s’essuyer les fesses du mieux qu’elle put. Un paquet entier de mouchoirs en papier y passa. Après avoir rajusté sa jupe, elle fourra tout dans un petit sac plastique qu’elle glissa dans son sac à main. Sans attendre la fin du film, elle se leva et se dirigea le plus naturellement possible vers la sortie.
Comme quoi on peut écrire ds choses extremes sans tomber dans le dégueulasse
Qu’en de jolis termes ces choses là sont dites !
Même si l’on adhere pas au fantasme, il faut dire que ce récit est plutôt bien torché
Poème:
Il n’y a désormais rien de plus parfait,
que le bruit et l’odeur des pets
de la ou du partenaire qui nous plaît !
Voluptueusement dégoûtant
Un très bon récit pipi-caca
Pas adepte du truc , mais excitante par la façon dont l’histoire est racontée .
Merci à vous,…