Week-end sensuel
par Manu de Toulouse
Bonjour et félicitation pour votre site qui est un véritable ballon d’oxygène !
Je suis un homme divorcé de 37 ans et j’ai découvert ma bissexualité assez tôt, même si je ne l’ai assumée que tard.
Je suis plutôt fin de visage et mon corps harmonieux et peu poilu a toujours attiré les hommes plus vieux que moi. Très tôt, j’ai commencé à subir les avances des mâles. Bien sûr j’étais choqué, d’autant plus que j’avais toujours des petites copines et que je me suis dépucelé assez tôt avec les filles, mais en même temps j’étais troublé et flatté de plaire aux mecs. Quand j’ai eu 18 ans je suis parti étudier à Bordeaux et ma liberté nouvelle me donnait envie de tout tenter. J’avais oublié les mecs, mais ils se sont rappelés à moi bien vite. Un jour, dans le bus bondé, je me suis fait peloter par un type qui ensuite a frotté sa queue bien raide entre mes fesses. D’abord surpris, j’ai choisi de le laisser faire en accompagnant son mouvement d’une légère ondulation du bassin. Ca a duré bien 10 minutes et je pense que le mec a joui, il m’a semblé sentir sa crispation et un souffle dans mon cou. Malheureusement je n’ai pas vu son visage car il a disparu quand le bus s’est arrêté et je n’ai pas pu le distinguer dans la foule. Frustrant !
Quelque mois plus tard j’ai été invité par des amis de mes parents à leur rendre visite sur la côte atlantique. Ils habitaient une superbe villa isolée avec vue sur l’océan. Le mari, Alain, était vraiment un homme superbe : 45 ans brun, bronzé, viril et assez musclé il mesurait environ 1 m 80 et son torse était recouvert de poils noirs. Il me connaissait depuis mon enfance et je l’avais toujours trouvé très sympathique. C’est lui qui avait insisté pour que je leur rende visite à la mer.
Un week-end j’ai craqué, je les ai appelé et j’ai pris le train pour m’y rendre. C’est lui qui est venu me chercher à la gare. Sur le trajet, il m’a annoncé que sa femme était absente pour la semaine, partie visiter sa famille à Paris et qu’on serait » entre mecs « . Il a dit ça en posant sa main sur ma cuisse, ce qui m’a assez troublé.
Dès notre arrivée, il m’a proposé de se baigner dans leur piscine. J’étais assez complexé par mon corps fin et imberbe aux épaules rondes, à la taille fine et mes fesses cambrées presque féminines. Mon maillot était peu rempli par mon sexe de dimensions modestes et mes petites couilles. Par contre j’étais admiratif du corps d’Alain, puissant, viril avec des pectoraux velus, un ventre recouvert de poils noirs disparaissants dans un maillot qui moulait un paquet impressionnant.
Au bord de la piscine, je sentais bien qu’il cherchait toujours la proximité avec moi, tandis que je cherchais toujours à me dérober à ses regards par honte de mon corps. Mais dès qu’il pouvait il s’approchait de moi, me touchait, me frôlait.
La nuit tombait et je frissonnais. Il me proposa de rentrer dans la maison en m’enveloppant dans un grand drap de bain. J’ai adoré sentir son bras fort autour de mes épaules et me suis laissé guider. Il m’a emmené dans la chambre où le sol était recouvert d’une épaisse moquette. Le lit double faisait face à une armoire à glace. Debout devant la glace, il s’est mis à me frictionner avec la serviette et je me suis laissé faire. Il était derrière moi et me séchait consciencieusement tout le corps. Machinalement il me dit :
– enlève ton maillot il est mouillé
…et je lui ai obéi. J’ai pris conscience que j’étais nu, il a senti ma gêne et m’a dit :
– je te trouve très beau tu sais.
Ses mains caressaient ma peau douce, remontaient sur mes hanches, caressaient mes tétons. Je lui ai dit,
– non, toi tu es beau, moi je suis affreux !
– Tu es tellement plus viril que moi, regarde, j’ai l’air d’une fille, je n’ai pas un poil !
Il m’a dit
– justement, c’est ça que j’aime, ma petite chérie.
En disant cela il m’embrassait dans le cou et caressait mon sexe qui commençait à durcir. Je sentais le sien bien raide contre mes fesses. J’avais tellement de plaisir à m’abandonner entre ses bras viril. J’ai penché ma tête en arrière et nous nous sommes embrassés. Nous avons flirté quelques minutes devant la glace puis il m’a demandé si j’avais déjà fait l’amour avec un homme, j’ai répondu non. Il m’a demandé si je voulais apprendre, j’ai fait un » oui » timide de la tête. Il m’a fait asseoir sur le rebord du lit, a retiré son maillot de bain et présenté sa queue à sucer. Un magnifique braquemart de 19 ou 20 cm bien raide au gland luisant. Il m’a juste dit : suce-moi ma petite chérie, je suis sur que tu es douée pour ça. Je me suis bien appliqué, j’adorais ça et je faisais tout pour lui être agréable. Il régulait mon rythme en tenant ma tête. Parfois il accélérait et m’étouffait presque quand son gland butait au fond de ma gorge. La texture de sa queue était géniale, j’adorais vraiment ça, je sentais que je lui donnais du plaisir et je ne pouvais plus m’arrêter de le pomper. Au bout d’un moment j’ai vraiment eu envie qu’il jouisse dans ma bouche. Il me parlait en même temps pour m’encourager :
– c’est bien ma chérie, tu es une bonne suceuse, mmmh si tu continues, tu vas boire mon jus. Tu le veux ? Hein ? MMmmmh je vais jouir, mmmh petite salope comme tu suces bien.
Il m’a déchargé 5 ou 6 giclées de foutre épais au fond de la gorge et j’ai tout bu…
Mais la soirée ne faisait que commencer. J’ai continué à le sucer jusqu’à ce qu’il se remette à bander, et là il m’a fait m’allonger sur le lit. Il a écarté mes jambes et plongé sa tête entre mes cuisses et m’a sucé à mon tour. Puis il a léché mes couilles et a glissé sa langue entre mes fesses. C’était absolument délicieux. Je m’offrais, impudique et gémissant à sa langue qui me pénétrait. Parfois il se remettait à me sucer et son doigt remplaçait sa langue dans mon anus. Au bout d’un moment je n’en pouvais plus de désir, il m’a maintenu les jambes en l’air et à approché son gland de mon anus. Il a lentement introduit son énorme engin dans mon petit trou vierge qui se distendait sous la pression. Parfois j’avais mal, il s’arrêtait, puis reprenait sa progression. Enfin il était au fond et commença son va et vient. La sensation était tellement extraordinaire que ça a été une révélation pour moi. Il me donnait des coups de reins en me disant :
– Tu aimes ça petite femelle, n’est-ce pas ? J’ai toujours su que tu étais une petite femelle, ça fait des années que j’attends ce moment !
Et moi je m’offrais à lui, heureux de découvrir ma seconde nature. Il m’a pénétré très longtemps, il était très endurant. Nous avons essayé plein de positions devant la glace. Je me souviens encore de cette image : lui, assis sur le lit et moi sur ses genoux, jambes relevées et écartées maintenues par ses bras puissants. Nous pouvions contempler dans la glace le reflet de cet homme mur, puissant et viril dont la verge allait et venait dans l’anus d’un adolescent à la peau blanche et aux traits féminins. Au dessus du trou de plaisir distendu par le membre épais qui le défonçait, ballottait mon petit sexe d’homme en semi érection que venaient tripoter les doigts épais de mon amant. Cette vision d’un érotisme puissant déclencha un orgasme simultané et j’ai joui entre ses doigts alors qu’il se vidait au plus profond de moi.
Ce week-end, pendant lequel j’ai appris à être femelle a été un des week-ends les plus sensuels de mon existence…
(Manu de toulouse)
Alors c’est 19 cm ou c’est 20 ccm ? On voudrait bien savoir ? Ils me font marrer moi tout ces mesureurs de bites !