Triolisme bi à Barcelone
(la suite)
par Iann
Je laisse seuls Jean Pascal et Patricia pour aller aux toilettes, j’ai la poitrine et le ventre couverts de ma semence qui sèche et commence à me tirer. Le frottement avec une serviette humide et le souvenir des ébats d’il y à un moment me font bander à nouveau. Je pisse et nettoie mon gland, l’effet est immédiat et à nouveau en pied de guerre. Je croise une fille à la sortie des toilettes, elle à l’air fatiguée mais satisfaite et tout en passant jette un coup d’oeil sur la bosse qui se devine sous la serviette nouée. Elle sourit et me lance
« Et bien dit donc, l’arme est à nouveau chargée ! »
Je rebondit un sourire et la quitte.
J’arrive au matelas, Patricia et Jean Pascal s’embrassent avec passion, je reste quelques secondes à les observer juste le temps de dénouer la serviette. Ils devinent ma présence et me font la place. Patricia s’allonge sur le matelas, se penche sur ma bite, et avec les mains sépare mes cuisses et commence à lécher.
Il est en pleine forme le petit » glousse-t-elle en avalant la verge.
A mes jus se mêle la salive très abondante. Je ne perd pas le temps et avec les mains je malaxe ses seins, « Dieu mais qu’ils sont durs! » les auréoles des tétons sont fermes et je prend mon temps à les tortiller. Entre-temps, Jean Pascal nous regarde, il se caresse, de son puce il étend ses liquides sur son gland et le long du membre, puis une fois lubrifié se branle, lentement mais durement. Il sourit et je vois comme il est en train de saliver.
« Oh oui Pat, ma belle, tu me mets dans un état …! Laisses- toi faire. »
J’abandonne ses nichons, ma main se promène le long de sa poitrine jusqu’au pubis, pour mieux aider mes caresses elle se met de côté, mois aussi et commençons un 69 côte à côte, une jambe étendue, l’autre en angle. Elle soulève et soupèse mes couilles, promène sa langue jusqu’a l’entrée du trou et lèche, d’une main me prend la bite et la tient fermement serrée. Le gland d’un rouge intense luit de salive et de jus, il bave et le liquide coule sur son poing fermé. Elle fouine mon trou, mais d’une seule main a du mal. Jean Pascal vient se situer derrière moi et m’écarte les fesses, le passage est maintenant plus commode et le trou, humide et lubrifié ouvre bien, Patricia abandonne ma verge et des deux mains se fait un passage pour la langue qui remue dans mon rectum. Ma respiration devient violente, et encore du fait que c’est Jean Pascal qui me branle maintenant, une main avec le va-et-vient, l’autre prenant mes couilles et les enfermant.
J’ai du mal à me concentrer, je serre les fesses de Pat, et ma langue est complètement introduite dans elle, je reste immobile mais des mouvements des hanches me font revenir à la réalité et je recommence mes attaques. Patricia mouille très abondamment, les grosses lèvres sont écartées au maximum et je refais avec ma langue cette zone me limitant aux petites lèvres. Elle halète et souffle, mais Jean Pascal m’encourage
« Vas-y, maintenant c’est mouillé de nos liquides à tous les trois ! Dit en riant ».
Je lance un doigt puis deux jusqu’à son anus, il ouvre bien et rapidement je le masse pour le voir bien béant. J’arrête de fouiner avec la langue pour observer ce trou assez grand et qui permet l’introduction de quatre doigts. Les effluves qui échappent sont enivrantes, je m’excite encore plus et ma verge est tendue à mort.
J’imagine aussi le mien car à la langue de Patricia je ressens un peu de froid: c’est Jean Pascal qui remue ses doigts et me dilate l’anus, une sensation de fraîcheur très agréable, mais courte car il recommence l’introduction.
« T’as vu Jean Pascal ? Deux trous bien ouverts ! S’exclame Patricia, »
« Du moins je veux le mien plein ! »
« Attend, ça vas venir »dit Jean Pascal.
Patricia et moi roulons sur le côté pour nous retrouver en 69 classique moi sur le dos, Patricia me prend les cuisses et les soulève, je devine ce qui va arriver et je mouille beaucoup.
« Oui, vas y, en douceur mais vas y ! »
D’une main Jean Pascal continue à me doigter tandis que Patricia le suce, moi je bouffe sa chatte, son cul, ma langue remue d’un trou à l’autre, mes phalanges travaillent dur.Jean Pascal se sépare, j’imagine qu’il va prendre le lubrifiant et les capotes; Patricia prend la relève, soulève mes couilles et crache sur le périnée, puis étend la salive avec la main, je suis comme un âne et comme elle le sait me dit
« Tu vas voir, c’est super, on va en avoir une belle ! ».
Jean Pascal revenu il se place devant moi, me prend les jambes par les chevilles et les sépare. Patricia, le tube de gel à la main, le situe carrément dans mon cul et y fait rentrer le gel, il est parfumé et sent bon. Je plante ma bouche sur son vagin et j’ai du mal à lancer un
« Vas y putain, je suis sur le point d’exploser ! ».
Ils ricanent,
« Tss tss mon petit, un moment, ça va venir, un peu de calme » lance Pat.
Deux doigts me massent le rectum, encore deux pour dilater le sphincter et le gland de Jean Pascal approche. Le passage n’est ni facile ni difficile, juste l’étroitesse due au gland.
« Tu vois? On y arrive bien, non ? » dit Jean Pascal.
Un mouvement, puis deux, puis trois, et je suis plein. La verge dans mon cul irradie des sensations qui se répandent le long de mes cuisses et jusqu’au diaphragme, des vagues de plaisir s’étendent et ma verge se dresse encore plus et plus dur. A un moment je ressens une petite peur car je n’ai même pas ressenti la capote. J’abandonne le cul de Patricia pour aller explorer ce qui me pilonne, je tâte et ouf ! Jean Pascal est dans moi jusqu’à la hampe ! Oui, il a bien une capote, je lance un soupir .Jean Pascal grogne, sa femme l’embrasse
« Ummm, super, mais vraiment super, on ne pouvait pas deviner une si bonne session, vraiment pas! » dit l’homme, et Pat qui dit « oui, mais mois j’en veux ! ».
Elle se retire et j’ai une vision maintenant de Jean Pascal me pénétrant, mes jambes en l’air, son torse luisant et ma verge dégoulinante. Il m’encule très doucement mais avec vigueur, sa bite ne peut pas pénétrer plus loin et je suis sur le bout d’orgasmer sans éjaculation. Je ne peux pas me retenir et, carrément, je crie:
« Ah, oui, oui, encore, j’arrive, ohhhhh ».
A ce moment je peut voir comme le couple plus proche, sur le matelas d’à coté, est venu s’accoupler à deux mètres de nous, la femme nous regarde en se mordillant les lèvres, l’homme lui presse les seins violemment.
Patricia arrive, elle m’embrasse et rentre sa langue très loin dans ma bouche, j’apprécie bien car cela apporte une fraîcheur très douce.
« Tu vas voir beau brun, le triple mortel ! » puis se retourne, me pend la verge, quelques mouvements et me voilà avec une capote.
J’en profite pour de mes mains m’emparer de ses nichons mais juste pour un moment car elle se retourne et se place à califourchon sur ma bite. Je comprends et je sépare ses fesses, d’une main elle dirige ma verge dans son cul et en quelques mouvements je me retrouve en sodomisant Pat.
L’estampe doit être bien belle car le couple d’à coté change sa position, l’homme pénètre la femme à la chienne et touts deux rient, salivent et s’exclament.
Jean Pascal est collé au dos de Pat, il augmente le rythme, qui à comme conséquence que ma verge de plus en plus dure et grande, s’enfonce profondément dans la cul de sa femme. J’aimerais être une pieuvre à huit bras car mes mains se déplacent du cul de Pat à ses seins. Pat commence à jouir
» Oh, putain, mais que c’est bon, oh la, j’en ai déjà eu un », et je riposte « j’en ai un depuis qu’il me pilonne, et il dure » et Jean Pascal dit « ça vient, ça vient ummm, bon ». »
On va essayer de se synchroniser pour partir les deux en même temps » me dit Jean Pascal, et je lance « OK, mais fait gaffe car je ne sait pas si je vais tenir encore plus ! »
Jean Pascal augmente les ébats, vitesse et intensité, il tient bien le type, pour moi c’est plus facile car le poids de Pat m’aide à retenir l’éjaculation. Patricia en est au délire, elle tremble et rit d’une manière violente
« Alors » je dis « le troisième beau brun, bouf »… la raideur de ses cuisses disparaît un petit peu mais par contre c’est maintenant Jean Pascal, je sens que c’est son moment car sa queue se raidit dans mon cul. « J’y suis » dit il… une petite claque sur les fesses de Pat qui abandonne ma verge et se met sur le coté. Jean Pascal est dehors, il a laissé tomber mes jambes et rapidement ôté sa capote. Il est complètement à bout et serre sa verge, qui me semble géante. « Dieu, je pense, tout cela dans mon cul! » Il s’approche de mon ventre et se branle Pat approche et ouvre sa bouche, le sperme jaillit il atteint mon torse mais c’est le visage de Pat et ma poitrine qui en prennent le plus. « Ahhhhhh » un grand soupir et Jean Pascal tremble, il continue à se branler malgré qu’elle devienne molle, mais crache encore du jus. « Oh que c’était bon! »
Je ne tiens plus, alors Pat retire la capote et effectivement j’ai du jouir dans son cul car un peu de sperme coule le long de ma verge, mais le plaisir continue, tendu. Pat me caresse et me masturbe et j’y vais, mon sperme vise la verge et le pubis de Jean Pascal, et des traits blancs sillonnent son nombril… Je me relève un petit peu et je branle Jean Pascal
« Hyper bon mon vieux » tandis que Patricia s’amuse à me calotter/décalotter le gland.
Nous lançons un grand soupir et nous reposons sur le matelas, au moment ou nos voisins orgasment, nous les regardons, l’homme éjacule bruyamment dans la bouche de la femme, la prend par les cheveux et la maintient un bon moment comme ça. Il nous regarde et nous lance un « gracias » puis la fille nous regarde, le sperme coulant sur son menton et nous lance « joder, vay a caña ».
perparella@hotmail.com (si le récit inspire quelques couples en voyage sur Barcelone, j’attends leurs courriers pour un rv.)
Olé !
Du bon bi à la sauce catalane
Un bon récit bisexuel. Moi aussi j’aime sucer des bites quand j’ai l’occasion, j’aime aussi la sodomie quand le partenaire est délicat.