Textes pour Brigitte
4 – Douche dorée
par Ricky
Je ne sais comment interpréter son regard : malicieux, honteux ? Jamais même dans mes rêves les plus insensés, je n’aurais imaginé vivre quelque chose comme ça. J’avais déjà entendu parler de gens qui jouaient avec leur pipi quand ils faisaient l’amour, mais je ne voyais franchement pas ce qu’il pouvait y avoir d’excitant. La voir ainsi nue devant moi, se caresser avec mon urine lui coulant sur les seins…
Ses mains quittent ses seins qu’elle branlait lentement l’un contre l’autre, et viennent me saisir la queue. Ses doigts sont tous mouillés de pisse, et le contact est assez plaisant. Mais il est de courte durée. Elle me lâche et se retourne pour tirer le rideau de douche.
– « Tu m’excuses, le temps de prendre une douche et je suis toute à toi… »
Mais moi je ne l’entends pas de cette oreille. Je la revoie encore jouer avec le jet, le guider dans sa bouche, l’avaler… Ça m’excite tellement que je commence à me masturber. Elle se penche pour ouvrir le robinet d’eau chaude. Son cul se tend vers moi, ses fesses s’écartent et son adorable petit trou me fait un clin d’œil. Mon sang ne fait qu’un tour.
D’une poussée dans le dos je la plaque contre le mur froid de la salle de bain. Mes mains viennent saisir ses hanches et glisser dans ses fesses. Mes doigts les écartent et les relâchent, ce qui les fait joliment rebondir. D’un bras, je lui enserre le ventre, de l’autre je lui pousse la nuque en avant, l’obligeant à se pencher. Elle se laisse faire comme une poupée de chiffons. La sentir si docile, si soumise me donne encore plus envie de la sodomiser. Ma seule expérience dans ce domaine ne fut d’ailleurs pas une franche réussite, et ni ma copine de l’époque ni moi-même n’avions apprécié la tentative. Mais là, j’ai une furieuse envie de la défoncer…
J’approche mon sexe de son cul, et commence à caresser ses fesses avec mon gland gonflé. Mon index se glisse entre ses fesses et vient titiller son petit trou. Elle écarte les jambes pour me faciliter la chose, mais je me demande bien comment je vais rentrer. C’est si serré… Mon doigt continue à la chatouiller, je sens tous les petits plis de peau qui l’entourent. Doucement, je parviens à insérer quelques cm. A moins de la déchirer, je ne vois pas comment l’agrandir assez. Elle vient alors à la rescousse. D’une caresse sur sa chatte, elle recueille un peu de liquide, cyprine et sperme mélangés qui mouillent encore son clito. Elle vient ensuite prendre la place de ma main et s’humidifier l’anus. Elle s’introduit un doigt, un peu plus profondément que je ne l’avais fait. J’ai compris la technique, en tout cas. Plongeant ma main entre ses jambes, je la pénètre de quelques doigts que j’agite doucement à l’intérieur de sa chatte. Après un bref instant, je les retire pour les planter dans son cul, l’un après l’autre, de plus en plus loin. Le trou s’élargit progressivement, mais ce n’est pas encore assez à mon goût. Cette fois, je passe ma main sur ses seins pour y rapporter toute l’humidité de mon urine. A nouveau, je lubrifie l’orifice, mes doigts pénètrent presque sans effort. Elle se laisse totalement faire, agrippant le rideau de douche des deux mains. L’eau chaude s’écoule toujours sous la douche, ce qui crée de la vapeur et une lourde moiteur qui se pose sur nos corps nus. Un dernier passage sur ses seins… Elle ondule sa croupe sous mes doigts que j’ai fait rentrer de toutes leurs longueurs. Ça va être bon bientôt. Empoignant ses fesses fermes des deux mains, je les écarte au maximum. Elle est maintenant bien ouverte. J’ouvre la bouche pour y cracher entre, la salive coule lentement le long de sa raie, jusqu’à sa moule.
Prenant ma queue en main, je m’approche de sa raie luisante. Le gland violacé vient à nouveau au contact de la peau de ses fesses. Je lui fais suivre toute la longueur de sa raie, jusqu’à sa petite chatte que je pénètre rapidement. Quelques brefs va-et-vient me permettent d’avoir la queue bien humide. Passons maintenant aux choses sérieuses. Appuyant le bout de mon sexe sur l’orifice, je commence par entrer de quelques cm, le plus doucement possible. Mais tellement excité, je ne tarde pas à m’enfoncer de toute ma longueur, assez brusquement pour la faire gémir. Tout son bassin s’avance, comme pour amortir le choc. Je me retire, pour y retourner quasi-instantanément. La sensation est délicieuse, bien meilleure que par devant. Son cul est bien serré, ce qui décuple d’autant mon plaisir. Mais je la pénètre sans effort, et elle commence à m’accompagner dans mes mouvements. Je m’accroche à ses cheveux, je les saisis fermement pour les tirer en arrière. Ainsi agrippé, je la chevauche de plus en plus vite. Mon ventre vient s’écraser sur ses fesses, et mes couilles cognent sur sa vulve que mes doigts viennent taquiner. J’y place quelques doigts, elle recommence à mouiller. Mon autre main se décide à lâcher ses cheveux fins et emmêlés pour attraper ses seins. Je pince ses tétons durs, je les roule entre mes doigts fortement, ce qui lui fait pousser des petits cris entre deux halètements.
Elle tourne la tête vers moi. Ses cheveux s’agitent sur son visage au même rythme que mes coups de hanches. Je laisse ses tétons pour aller jouer avec sa langue qu’elle mordille pour se retenir de crier et de réveiller les voisins. Je sens la jouissance venir en moi, et j’accélère le rythme… Encore, et encore, et encore… Mes doigts qui pincent son clito ressentent soudain une chaude coulée de liquide. Son cul se resserre violemment autour de ma queue, l’emprisonnant comme dans un étau. Son cri est étouffé par mes doigts dans sa bouche. Un instant, je crains qu’elle aille arracher le rideau de sa fixation : l’empoignant de toutes ses forces, elle s’accroche après. Sans répit, je continue de l’enculer. Je la sens toute faible, sans force, entre mes bras. Moi aussi, je vais bientôt jouir. D’un coup, je me retire. Me branlant d’une main, je la fais pivoter de l’autre. Je veux profiter d’elle jusqu’au bout. Plaquant ma queue entre ses seins que j’empoigne à pleine main, je me termine sur elle. Je ne tarde pas à jouir, ma queue toute gluante coincé dans le creux de ses nibards encore plein de pisse. Je lâche tout dans son cou et sur son menton. Le sperme est à nouveau très liquide, presque comme de l’eau. Je jouis fort, tremblant contre elle. Je continue de profiter de la douceur de sa poitrine, j’y suis bien entre ses seins durs. A bout de souffle, je joue un moment avec leurs pointes, tandis qu’elle passe ses doigts sur la peau douce de son cou pour ramener à sa bouche des gouttelettes de sperme translucide. On reste ainsi encore quelques instants l’un contre l’autre, à se savourer mutuellement.
Je me recule pour la laisser se relever. Attrapant mon sexe au passage, elle me passe un petit coup de langue sur le bout, ce qui me fait pousser un petit hoquet de plaisir. Quand je rouvre les yeux, elle est en train d’aller sous la douche. Son cul est encore bien ouvert.
Il fait une chaleur infernale dans la salle de bain, et elle s’empresse de régler le jet d’eau pour le rendre à peine tiède. L’eau coule sur son corps magnifique, plaquant ses cheveux sur son visage. Enjambant le rebord, je la rejoins et tire le rideau derrière moi. On commence à se savonner mutuellement en se faisant des petits bisous dans le cou. Mes mains courent sur son corps, étalant une mousse onctueuse et parfumée sur sa peau douce : une odeur de pomme du dernier gel douche que j’ai acheté, mais qui sur sa peau délicieuse me donne envie de la croquer. Sa main vient masser mes couilles complètement vidées. Moi, je joue avec ses seins, suçotant les petites pointes. Mes mains descendent plus bas, tandis que ma bouche remonte vers la sienne. Fougueusement, passionnément, nos langues se cherchent et s’échangent d’une bouche vers l’autre. Mes mains savonnent vigoureusement sa vulve comme pour la masturber. Combien de fois de suite peut jouir une femme ? Bonne question…
Soudain, je sens une chaleur sur les mains. Un liquide plus chaud que l’eau tiède de la douche… Je me recule pour voir de quoi il s’agit, n’osant pas trop croire ce que j’imagine.
En effet, elle est en train de pisser, les yeux fermés, sur mes mains et ma cuisse. Instinctivement, je me rapproche pour venir coller ma jambe à la sienne. Je sens son urine s’écouler, mêlée à l’eau, tout le long. Ça coule sur elle, ça coule sur moi, sur mes pieds, mon genou glissé entre ses jambes, un peu sur ma bite et mes couilles… Elle me saisit par les fesses et m’attire à elle. Cette fois, ma petite queue minuscule et molle est plaquée sous son jet, toute collée à son bas-ventre. C’est étrange, mais ça me plait beaucoup. Je la regarde droit dans les yeux, sans rien dire. Elle place ses mains sous mes couilles et commence à me peloter délicatement, toujours en m’arrosant le bas-ventre. C’est chaud et très agréable. A mon tour, en la repoussant un peu, je mets mes mains en coupole sous sa moule. Je recueille sa pisse ainsi, mêlée à l’eau, savourant la chaleur qui s’écoule sur mes doigts. Le jet s’affaiblit et ne devient bientôt plus qu’un mince filet qui coule le long de sa cuisse. J’élève mes mains jointes au-dessus de sa tête, évitant la flotte de la douche. Lentement, je laisse s’écouler le liquide doré sur son visage souriant. L’urine fine trace des sillons scintillants sur son front, le long de ses joues, et s’engouffre dans sa bouche grande ouverte, sur sa langue tendue. Elle semble heureuse, rayonnante de bonheur. Je me colle contre elle et commence à l’embrasser dans le cou, tendrement, la caressant de mes lèvres humides. Je vois sa gorge déglutir à chaque gorgée qu’elle avale. Bientôt (trop tôt ?), mes mains ne contiennent plus que de l’eau. Un mince filet doré s’écoule de derrière son oreille, et vient à la rencontre de mes petits baisers. Le goût est étrange, piquant, âcre mais doux aussi. Je suis à la fois dégoûté et avide d’en avoir plus. Mais le tout est rapidement balayé par le jet d’eau de la douche.
Je me recule pour la regarder. Elle a glissé une main entre ses jambes : pour se masturber ou pour jouer encore un peu avec son urine ? Elle est merveilleuse, je la trouve de plus en plus belle de seconde en seconde… Je crois que j’arrive à mettre un mot sur ce que je ressens : ce n’est pas de l’amour, ni un simple désir sexuel, non… C’est la Passion, au sens plein et total, la Passion qui vous tue et vous fait vivre, la Passion qui vous rend fou et vous fait perdre toute notion de la réalité, qui vous entraîne dans un vortex chaotique dont on ne peut sortir que brisé… Oh, Brigitte, jusqu’où vas-tu m’entraîner ?…
<Je n'avais jamais lu cet excellent texte uro, j'avais bien tort et je vous le conseile, si vous aimez ça vous allez vous régaler
Merci, merci pour ce beau texte uro aux mots si savamment choisis
de l’uro comme s’il en pleuvait ! Génial !
Bravo, que voici un texte uro qui nous parle très bien du sujet avec les mots qu’il faut ! bandant !
Effectivement, l’auteur connait son sujet et a le don de nous faire bander en choisissant judicieusement les mots des actes qu’il décrit, ça nous change des textes critérisés uro, ou le passage uro est expédié en deux phrases.
Un très beau texte uro, j’ai vraiment beaucoup aimé