Textes pour Brigitte
3 – Le retour de Brigitte
par Ricky
Le temps ne passe pas. J’essaie de m’occuper mais rien ne détourne mes pensées de ce qui m’attend ce soir. A quoi d’ailleurs dois-je m’attendre ? Va-t-elle se donner à moi ? Va-t-elle plutôt m’expliquer qu’il faut stopper là cette folie ? Son petit baiser de ce matin semble vouloir dire le contraire en tout cas… J’hésite d’abord à aller faire quelques courses : une bouteille de Whisky, des fleurs… Ce genre de truc pour faire un peu ambiance romantique. Finalement non, je crois pas que ce soit une bonne idée…
20 h 30… Bientôt l’heure. Et si elle ne venait pas ?
20 h 50… On frappe. Mon cœur bat la chamade. J’ouvre. C’est elle.
A nouveau je suis pétrifié par sa beauté. Ses yeux légèrement maquillés semblent encore plus grand, encadrés par un subtil liseré noir. Ses cheveux fins cascadent sur ses épaules, entourant son visage d’une auréole dorée. Ses lèvres s’entrouvrent légèrement quand elle murmure :
– « Bonsoir. »
Ma main se pose tel un papillon sur son épaule. Elle descend le long de son bras, doucement, glissant sur le fin coton de sa manche. Je cueille sa main et, l’enfermant dans l’écrin de mes doigts, je la mène vers ma bouche. J’y dépose un baiser tendre, la caressant de mes lèvres.
Quand je rouvre les yeux, son sourire m’éblouit. Refermant la porte, je l’amène au centre de la pièce. Je ne quitte pas plus son regard que sa petite main.
– « Alors comme ça, tu voulais me revoir ? »
– « Oui »
– « Seulement me revoir ? »
– « Non, je… Je veux rester près de toi, te toucher, te sentir, te goûter. Je veux t’embrasser, te caresser. Je veux me perdre dans ton regard, m’étouffer dans ton parfum, mourir sous tes caresses. Je veux tout ça et encore bien plus… »
Sa main libre enserre ma nuque. Elle approche son visage du mien. Sa bouche frôle la mienne, sa langue court sur ma joue. Elle murmure à mon oreille :
« Moi aussi. Je veux te faire jouir comme encore aucune autre ne l’a fait avant… »
J’embrasse son cou. Un instant, je me retrouve dans une profonde forêt : son parfum m’y a conduit. La douceur de ses cheveux me ramène à la réalité. Je les aspire dans ma bouche.
Quelque chose s’agite sur mon torse. Je me recule. Elle déboutonne son chemisier blanc.
Ses seins émergent lentement, emprisonnés dans la dentelle de son soutien-gorge. Mes mains avides viennent les libérer en venant à bout de la délicate fermeture. Son chemisier tombe comme une plume à mes pieds. D’une douce caresse, je fais descendre les bretelles sur ses épaules. Le soutif rejoint son ami le chemisier. Remontant de ses poignets vers son nombril, mes doigts jouent un instant avec l’anneau, pour continuer leur route vers sa poitrine. Je capture les deux globes fermes dans mes paumes. Du bout du pouce, j’en effleure la pointe. Un frisson la parcoure. Elle a la chair de poule. Je souris. Si fragile entre mes mains, je n’ai qu’une envie : la caresser jusqu’à avoir toucher chaque cm² de sa peau…
Elle se retourne, son dos collé à ma poitrine. Mes mains repartent en quête de ses nichons. Je les soulève un peu, appréciant leur rondeur, leur fermeté.
Par des petits mouvements de bassin, elle caresse mon sexe avec ses fesses. Je la sens se cambrer de plus en plus. Ma queue se durcit. Elle défait sa ceinture puis déboutonne son pantalon. Je pince le bout de ses seins, les roulant entre le pouce et l’index, tout en continuant à les soulever l’un après l’autre, à les faire rouler l’un contre l’autre… Elle se penche en avant. Je la lâche, n’ayant plus que ses fesses au contact de mon bas-ventre. Elle se débarrasse de son pantalon, qui glisse sur ses hanches. Son cul bombé revient cogner contre mon sexe. Je sens encore mieux le contour de ses fesses maintenant qu’elle n’a plus que l’épaisseur du tissu de sa culotte sur elle. Mes bras viennent enserrer sa taille fine. Je caresse son ventre et remonte à nouveau vers ses seins. L’autre main, elle, a choisi un tout autre chemin, et se dirige vers son sexe. Le contact est doux et chaud, je sens l’humidité à travers le tissu. Mes doigts pressent plus fort et suivent le contour de son clito. Elle mouille bien, on dirait…Je pince le tissu, l’étire et mes doigts appuient encore plus leur caresse. Je la frotte de plus en plus vite, mon index faisant de plus en plus pénétré sa culotte dans sa chatte.
Mon autre main ne reste cependant pas inactive : elle saute d’un sein à l’autre, effleurant l’auréole rose puis pressant le petit bout qui en émerge… Doucement, je remonte vers son cou. Je prends sa gorge tout en continuant à lui caresser l’entrejambe. Elle gémit doucement.
Son souffle devient halètement. Ses fesses se durcissent contre moi. Je relâche son cou pour aller à la rencontre de ses lèvres. Mes doigts contournent sa bouche, qu’elle entrouvre pour me les mordiller. Je commence quelques va-et-vient dans sa bouche, sa langue entourant mes doigts. Je m’amuse à l’attraper pour la relâcher aussitôt.
Soudain, ses mains viennent se saisir des miennes. Elle se retourne face à moi.
– « Maintenant, c’est à moi de jouer un peu… »
Elle passe ses mains entre ses jambes, elles entrent dans sa culotte et je les vois s’agiter à l’intérieur. Elle ressort l’une d’elle pour l’amener à sa bouche. Ses doigts sont tous brillants de mouille. Sans hésitation, elle commence à les lécher. Voir ça me fait bander encore plus…
L’autre main sort enfin de sa cachette, et encore plus humide, vient à la rencontre de ma bouche. Le goût est divin : indéfinissable, mais tellement délicieux… C’est à son tour de jouer dans ma bouche, capturant ma langue entre ses doigts comme un petit poisson.
Elle ressort, et descend le long de mon torse vers mon sexe.
Brigitte s’agenouille devant moi… Je n’ose imaginer ce qui va se passer. Ses doigts fins et agiles déboutonnent ma braguette. En deux temps trois mouvements, j’ai le froc sur les chevilles. Ma bite tend mon slip à un tel point qu’on dirait une tente d’indien. Elle commence à me caresser. Je pense d’abord qu’elle va se contenter de me branler comme la dernière fois, mais sa bouche se rapproche. Elle sort la langue et commence à parcourir la longueur de ma queue à travers le tissu. Ses mains empoignent l’élastique et tirent sèchement mon slip vers le bas. Ma bite jaillie tel un diable de sa boîte et va se poser sur son nez. Elle rit. Je sens son souffle sur mon gland. Celui-ci est déjà humide d’excitation. Je voudrais lui dire que je n’ai encore jamais connu la fellation… Mais j’ai le souffle coupé : elle vient de me donner un petit bisou sur le bout sensible de mon gland. Sa main vient saisir la hampe et finir de décalotter. Sa petite langue rose se pose sur le méat et commence à me lécher. La sensation est exquise, tellement intense qu’elle est presque douloureuse. Toutes les fibres de mon corps sont tendues, attentives. Sa langue fait le tour du gland, déposant une salive onctueuse partout où elle passe.
Lentement, sa bouche s’approche et vient enfin me prendre. D’abord un peu, elle aspire peu à peu toute la longueur de mon pénis. Son nez vient s’enfoncer dans les poils. Le bout de ma queue vient toucher le haut de son palais. Elle s’enfonce encore et m’avale tout entier, jusqu’au fond de sa gorge… Je sens ses petites dents, sa langue… Mes couilles se posent sur son menton. Lentement, elle me repousse de sa langue. Ses lèvres enserrent le gland tout dur, sa langue en faisant le tour. Je suis au 7ème ciel, je sens que je vais jouir. Elle me reprend à nouveau, moins profondément, mais commence à accélérer. Mon gland est tour à tour aspiré puis rejeté de sa bouche accueillante. De sa main, elle me branle faisant se retrousser le prépuce à l’intérieur. J’ouvre les yeux, je tremble de partout. Je la vois qui me regarde, ma queue entre ses lèvres. C’est divin. Je vais jouir… Haaaaaaaa ! Non ! Pas sur elle quand même…
– « Attention, je vais… »
Trop tard… D’un mouvement du bassin, je parviens à échapper à son étreinte. Mais je lâche tout sur elle, en plein visage. Un long jet de sperme chaud s’étale sur son nez et ses joues. Un second encore plus important monte haut dans l’air pour se poser sur son front et ses cheveux.
Au lieu de s’écarter, elle guide le troisième jet droit dans sa bouche, sur sa langue. Elle me reprend à l’intérieur et je finis de me vider en elle. Je la sens déglutir tandis que sa main accélère sa masturbation, comme pour me vider totalement. Mes jambes se dérobent sous moi, je m’appuie sur ses épaules. De ma main, je lui attrape la tête et lui imprime un petit mouvement pour qu’elle continue de me sucer. Le sperme sur son nez et ses joues commence à couler.
Au bout de quelques instants, je la relâche et elle arrête sa pipe. Elle redresse sa tête et me sourit
– « Ça t’as plu ? »
« C’était merveilleux » dis-je dans un souffle. Ma main quitte l’arrière de sa tête pour passer sur sa joue. De mes doigts, je recueille un peu de sperme que j’étale sur son visage, vers sa bouche qu’elle entrouvre pour mieux les accueillir. De mon autre main, je prends ma bite et commence à la passer sur son visage. D’abord sur les lèvres, puis sur la joue couverte de liquide, je remonte vers son front. Je passe sur une mèche de ses cheveux avant de redescendre, passant sur ses sourcils fins, entre ses yeux magnifiques en suivant son mignon petit nez tout ruisselant. Je retourne à ses lèvres dont je force le passage pour sentir encore une fois la tiédeur de sa bouche. Elle se relève. Voir son visage ainsi recouvert, ses seins nus et tendus, son petit ventre, sa culotte blanche encore à moitié coincée dans sa moule…
Comme un petit chat, elle passe sa main sur son visage et la lèche ensuite. Elle se nettoie ainsi devant moi, les yeux fermés.
– « Déshabille-moi » dit-elle.
Vu qu’elle ne porte plus que sa petite culotte… Je me penche sur elle et attrape le tissu. Je taquine encore son sexe à travers, non sans lui passer furtivement la langue sur les seins. Elle écarte les jambes et je parviens sans difficulté à retirer ce qui reste de vêtement sur elle. La peau de ses jambes est très douce. A genoux devant elle, sa petite culotte dans la main, je contemple sa chatte soyeuse d’où émergent les lèvres roses et appétissantes. Je m’approche pour y passer la langue. Je dépose un léger baiser sur son mont de vénus, pinçant quelques poils blonds foncés entre mes lèvres. Ma langue commence son exploration, descendant doucement vers la fente. Une main tire mes cheveux en arrière, je suis obligé d’arrêter.
– « Attends… »
Elle se retourne et va s’asseoir sur le lit. Elle prend les oreillers et les roule en boule pour s’adosser dessus. D’un mouvement du bassin, elle se couche de biais sur le matelas, laissant dépasser ses fesses. Ses fines jambes s’écartent lentement…
– « Voilà. C’est bon, vas-y, lèche-moi. A ton tour de me montrer ce que tu sais faire… » Me dit-elle avec un clin d’œil.
Je suis toujours agenouillé, sa petite culotte à la main. Je la regarde dans les yeux. Lentement, je passe sa culotte sur mon corps. Je branle quelques instants ma queue ramollie avec, remonte vers ma poitrine et fini par la lécher, comme je l’avais fait avec celle d’Isa. Apparemment, ça commence à l’exciter : elle écarte encore plus les jambes et passe les mains sur ses seins, sur son ventre, toujours plus bas… Pas question de la laisser toute seule comme ça. A moi de la faire jouir…
Lentement, je m’avance vers elle. Je pose mes mains sur ses genoux et, par une douce caresse, je passe sur ses cuisses pour m’arrêter à quelques cm de ses lèvres roses. J’approche ma bouche mais je ne commence pas tout de suite : je m’amuse à souffler légèrement sur sa vulve, sur les poils de son minou tel le mistral sur un champ de blé. Je la sens s’impatienter, sa croupe tendue vers moi, cambrée. Rapidement, je passe un léger coup de langue de bas en haut. Un frémissement parcoure son corps. A nouveau, encore plus furtivement, je la lèche. Je continue à la taquiner ainsi, jusqu’à ce que ses mains viennent s’emparer de mes cheveux pour les tirer vers elle, m’obligeant ainsi à coller ma bouche. Je me lâche totalement : je commence par lui donner des petits baisers, puis des coups de langue cette fois bien appuyés. Ouvrant grand la bouche, je me mets à la dévorer, à la bouffer littéralement. J’aspire, je lèche, je mordille… Elle gémit et s’enfonce dans les oreillers. Ça m’encourage à accélérer la manœuvre. J’écarte de mes doigts ses lèvres humides pour mieux m’y engouffrer. Ma langue cabriole en elle, montant, descendant, parcourant en tous sens chaque recoin de son vagin. Mon index appuie sur son clito, tandis que je mordille ses petites lèvres rouges et humides. S’insinuant entre ses fesses tendues, mes doigts passent sur son petit trou serré pour terminer leur course sur sa vulve. Je m’écarte un instant pour enfoncer deux doigts en elle. C’est chaud et mouillé. Ils rentrent quasi-entièrement et avec une facilité déconcertante. Profitant de cela, je commence à la branler, de plus en plus vite, introduisant trois doigts, puis quatre… Je la caresse de l’intérieur, regardant son visage crispé entre ses deux seins. Je sens la cyprine couler de son vagin. J’arrête de la doigter pour la lécher et m’abreuver de son nectar, comme une petite abeille qui butine. A chaque coup de langue, je la sens frémir. Sa respiration s’accélère.
Je me recule et me relève. Elle ouvre les yeux et me regarde, mi- étonnée mi- frustrée. Elle aurait bien aimé que je termine, mais j’ai une autre idée.
Me penchant sur elle, j’embrasse ses seins durs, mordillant ses tétons dressés. J’approche ma queue pour la poser sur sa chatte. Ses poils me chatouillent le gland. Mon bras enserre sa taille, tandis qu’avec l’autre main, j’empoigne ma bite à nouveau dure pour la passer sur les contours de sa vulve. Mon gland pénètre de quelques cm avant de ressortir puis de recommencer encore et encore. Mais jamais je ne la pénètre vraiment, ce qui a tôt fait de l’agacer.
– « Allez, prends-moi ! Qu’est-ce que t’attends ? »
Mais je continue car je sais que le plaisir n’en sera que plus grand : je passe sur toute la longueur de sa fente, sur le contour humide de ses lèvres, agrandissant l’ouverture… Quelques cm de ma queue entrent en elle, ça la rend folle. Mes dents cessent de mordiller les pointes de ses seins. Je trace un chemin avec ma langue jusqu’à sa bouche, pénétrant un instant à l’intérieur avant d’être repousser par la sienne, j’arrive près de son oreille délicate dont je m’empresse de mordiller le lobe. Je pense qu’ ‘elle n’en peut plus, c’est le moment.
Toute ma tendresse se concentre dans un murmure :
– « Tu es belle »
Et d’un coup sec, je m’enfonce en elle de toute ma longueur. Ses ongles se plantent dans mon dos et me lacèrent, elle crie. Tout en continuant de lui titiller l’oreille, je la pénètre, ressortant à chaque fois pour mieux rentrer chacun des 16 cm de ma bite. Très lentement, mais intensément, je la remplie, sentant sa respiration sur mon cou. C’est le moment pour conclure.
Après une dernière pénétration, encore plus lente que les autres, je me retire. A nouveau, j’imagine sa frustration. Cela me fait sourire. Mais je pense qu’elle ne m’en voudra pas quand j’aurais terminé.
A genoux entre ses jambes une nouvelle fois, mes mains décrivent des ronds sur sa chatte. Celle-ci, toute luisante, suit mes mouvements. J’accélère de plus en plus ma masturbation jusqu’à en avoir mal au poignet. Je l’étire de chaque côté et, rassemblant toute ma salive, je crache pile au milieu pour ensuite étaler le tout de ma langue. Je recommence jusqu’à ce que ma bouche soit toute sèche. Sa moule, par contre, est trempée comme jamais, la cyprine et la salive se mêlant en un jus onctueux qui coule sur les draps comme une petite fontaine. Sortant ma langue au maximum jusqu’à avoir mal, je la plante en elle. A nouveau, je sens tout son corps se contracter. Ses mains viennent prendre mes cheveux et imprimer le mouvement, comme je l’ai fait moi-même avec elle quand elle me suçait. Je me laisse guider pour qu’elle puisse enfin prendre son plaisir. Ma langue plantée en elle comme une dague, mes doigts secouant son clitoris trempé, je sens ses lèvres se contracter autour de ma bouche. Elle jouit, pire, elle explose comme un feu d’artifice. Ses mains pressant mon visage contre sa moule, je sens une longue coulée de jus sortir d’elle : elle éjacule… Je frissonne en sentant son corps enfler comme une vague, sa respiration se bloquer, son ventre se contracter, pour enfin se libérer dans un cri qu’elle tente en vain d’étouffer en mordant l’oreiller. Je me noie presque dans sa mouille, incapable de respirer, mais continuant malicieusement à l’explorer avec ma langue en elle.
Quand enfin elle me lâche, c’est pour s’effondrer totalement sur le matelas. La sueur et le sperme qu’il reste donne un aspect brillant à son visage. J’approche le mien pour la contempler : je suis dans le même état qu’elle, tout luisant de sa mouille. Ses seins montent et descendent au rythme de sa respiration, elle a ramené ses bras derrière sa tête et commence à reprendre ses esprits. Elle ouvre les yeux, la pupille dilatée par le plaisir se fixe sur moi. Brusquement, elle m’enlace dans ses bras et commence à me lécher le visage. Je me laisse faire, acceptant sa langue douce qui me nettoie.
A nouveau, j’approche ma bite de sa chatte et recommence mon jeu de tout à l’heure. Moins longtemps cependant, car je la pénètre bientôt. Elle arrête de me lécher et ne sachant trop que faire, accepte ma queue en ondulant sa croupe. Je ne sais si la sensation de se faire pénétrer juste après avoir jouit est douloureuse ou non, mais j’accélère le rythme. Suivant la cadence, elle m’enserre de ses jambes. Son vagin est chaud, doux et tout humide, ce qui est encore plus jouissif que d’habitude. Je la prends maintenant totalement, sans retenue, plantant ma queue une fois vers la droite, une fois vers la gauche en bougeant mes hanches. Elle me mord l’oreille, ça vient… Je jouis avec une force inconnue jusqu’alors… Paralysé en elle, ma bite profondément enfoncé, je lâche tout le foutre qu’il me reste. Elle gémit légèrement : a-t-elle jouit une nouvelle fois ? Reprenant mon souffle, je m’effondre sur elle, mon visage contre le sien, heureux. Elle recommence à me lécher : le front tout d’abord, puis les joues. Je l’embrasse fougueusement.
Encore tendu en elle, je reprends mes va-et-vient : d’abord doucement, puis en accélérant de plus en plus. Ça m’arrive de temps en temps de me branler une deuxième fois sitôt après avoir jouit. Et là, entre ses petits coups de langue, l’odeur de sa mouille sur moi, le jus mêlé à mon sperme qui remplit toute sa chatte… Je ne me contrôle plus et je bande comme un taureau. J’évolue en elle de plus en plus vite, m’enfonçant par petits coups puis doucement dans ma totalité. Elle gémit de plus en plus fort, je pense que ça lui fait mal, il faudrait que j’arrête. Mais comme d’habitude, quand je suis dans cet état, il m’est aussi impossible de débander que de jouir : la dernière fois, je me suis branlé pendant plus d’une demi-heure après avoir éjaculé.
Je continue encore et encore, je rentre comme dans du beurre dans sa chatte trempée. Je perds la notion du temps mais je pense que ça fait bien dix minutes que je la laboure comme ça. Mes couilles sont toutes molles, vides, mais ma queue est plus grosse que jamais : cruel dilemme.
Je me retire enfin, à son grand soulagement car son visage crispé trahissait une certaine souffrance (ou est-ce une simple impression).
– « Aidez-moi, prend-moi en bouche » lui dis-je.
Elle s’exécute. Ma queue est toute blanche de sperme, collante et gluante à force de baigner dans sa chatte remplie. Mais sans hésitation, elle enfourne toute la longueur dans sa bouche. Le contraste avec son vagin est délicieux, encore plus doux, encore plus chaud. Sa langue fait à nouveau des ronds autour du gland, s’insinuant dans les replis du prépuce.
Mes mains viennent caresser ses seins tendus, jouant avec les pointes et les aréoles, les malaxant doucement pour en apprécier toute la fermeté. Elle continue de me sucer, de me taquiner le frein ultra-sensible… Je croise ses yeux et encore une fois je ne peux leur résister. Je sombre dans un tourbillon de plaisir. Ma main descend vers sa chatte et vient tirer sur les lèvres devenues sensibles à l’extrême. Elle arrête de me sucer instantanément. J’ai de nouveau envie de la pénétrer. Je sors ma queue maintenant tout propre de sa bouche pour l’y enfoncer brusquement dans sa petite moule encore trempée. Mais je ressens de suite que son vagin est plus étroit qu’avant et qu’il se resserre autour de moi. La sensation n’en est que meilleure.
Elle vient m’embrasser : le goût de sa bouche est étrange, l’habituel goût sucré de sa salive se mêlant à celui de sa mouille et de mon sperme. Mais je réponds à son baiser avec d’autant plus de fougue que je sens la jouissance arrivée. Enfin, ça va être la délivrance…
J’accélère une dernière fois mes va-et-vient, sentant son corps vibrer sous mes assauts. Soudain, sa bouche se referme sur ma langue qu’elle vient mordre douloureusement : un bref instant, car les spasmes qui l’agitent m’indiquent qu’elle vient de jouir. Les parois de son vagin viennent se contracter sur ma queue un bref instant, avant de se relâcher. Son souffle court se pose sur mon visage ruisselant de sueur et de reste chaud de cyprine. Au bord de la jouissance à mon tour, je me retire pour me finir à la main. Je domine tout son corps. Et dans une explosion multicolore, j’éjacule. La texture du sperme est très curieuse, toute liquide et translucide. Une pluie fine sort de ma queue et vient se répandre sur son corps, sur le duvet de sa chatte, sur son ventre, couvrant ses seins jusqu’à son front. La seule chose que je vois est une lueur rouge, et un bourdonnement retenti dans ma tête. Quand je reprends mes esprits, je vois son corps superbe recouvert de fines gouttelettes blanchâtres. Elle se met à se caresser et à étaler le tout. Moi, après un plaisir foudroyant, je ressens une douleur atroce dans tout le bas ventre et la peau de ma bite est toute rouge. Pendant qu’elle se caresse, je passe la main dans son entre-jambe, mais de suite elle se cambre et retient sa respiration : sa vulve est rouge vif et ultra-sensible.
Je me couche à côté d’elle et de suite elle pose ses mains sur mon torse. J’embrasse tendrement ses cheveux.
– « C’était très bien… » Me dit-elle.
Je voudrais lui demander si je ne lui ai pas fait mal. Mais je ne sais comment tourner la question pour éviter que ça ne paraisse trop prétentieux, genre ‘bête de sexe’. Au contraire, je me sens presque honteux…
– « C’est vrai que tu me trouves belle ? »
C’est ce que je lui ai dit juste avant de la pénétrer pour la première fois…
Maintenant, je ne sais trop quoi dire, ça me paraît presque con. Mais sur le moment, c’était mon cœur qui a parlé, mes émotions, mes sentiments… C’est sorti tout seul, inconsciemment, de la façon la plus pure qui soit.
Je vois encore un filet de sperme dans ses cheveux : une bouffée de tendresse m’envahie, ma gorge se noue, j’ai presque les larmes aux yeux…
– « Je… Je t’aime… Je sais pas comment dire, mais… »
Elle lève ses yeux vers moi… Interrogateurs, curieux, attentifs… Son visage extraordinaire encore ruisselant semble surpris.
– « Ecoute, je sais pas comment expliquer ça. Je suis pas très doué pour parler, pour m’exprimer. »
Je n’arrive plus à parler tellement j’ai la gorge serré. Je suis tellement heureux, tellement attiré par elle, tellement subjugué par sa beauté… Une larme coule sur ma joue.
Elle approche sa main et vient l’effleurer du doigt.
– « Cette larme est pour toi, Brigitte. Je t’aime tellement que je n’imaginais même pas que ce soit possible. Dans cette larme, il y a tout, tous mes sentiments, mes émotions, ma passion, ma tendresse, mon amour pour toi. Tout ce que je ressens pour toi a créé cette larme. Alors elle est pour toi, parce que je ne sais quoi t’offrir pour te montrer que je tiens à toi. … »
Son visage se tend vers moi, et ces douces lèvres viennent se poser sur ma joue. Son baiser est d’une telle tendresse que je tremble de partout. La petite larme est absorbée par cette douceur et disparaît sur sa langue.
– « Merci… »
Elle repose sa tête contre mon torse et ferme les yeux. Son petit corps doux et chaud est pelotonné contre moi. J’écoute le silence de sa respiration, je respire son parfum mêlé à celui de son corps. Je ne tarde pas à m’assoupir…
Une heure plus tard, je me réveille. Elle est encore couchée sur moi, et sa petite main repose sur la mienne. Flash, instant d’éternité, souvenir gravé pour toujours : et si le bonheur n’était autre chose que la succession de tous ses petits moments ?
Délicatement, je me lève. Il est près de minuit. Je vais à la fenêtre. Je me retourne. La lumière de la lune semble se poser sur son petit visage endormi. Nimbé dans cette irréalité, son corps à demi découvert reflète une blanche lueur fantomatique. Des images se bousculent dans ma tête : statue de marbre, nuage laiteux, perle éclatante… J’aimerais être cette lumière pour venir me poser sur elle, épouser ses formes, la caresser si délicatement.
Les soleils de ses yeux viennent éclipser l’éclat de la lune : elle vient de se réveiller.
– « Qu’est-ce tu fais… ? »
– « Je te regardais dormir, et je me disais que tu étais belle comme le jour, même la nuit. »
Elle sourit et referme les yeux.
Je me dirige vers les toilettes. Je dois pisser. Ma queue me fait encore mal, mais ça va mieux. Je relève la planche des WC.
Soudain, je sens quelque chose passer sur mes fesses. Une main vient se poser sur ma queue que je tiens pour pisser, ce qui me fait arrêter aussi sec.
Sa main commence à me masturber doucement, faisant couler un peu d’urine.
– « Continue de pisser… »
Assez surpris, je contracte mon ventre. Le jet doré continue. Sa main le guide habilement vers la cuvette du WC. C’est étrange de se faire tenir la bite pour pisser.
Elle resserre sa main, ce qui me fait arrêter à nouveau. Ça me fait mal à la fois au pénis sensible et au ventre. Son autre main vient saisir le gland.
– Continue doucement… »
Je reprends. Cette fois, ses doigts filtrent le jet et des petites gouttes dégoulinent sur sa main. Elle commence à jouer avec ma queue, la caressant lentement pendant que je continue d’uriner avec de plus en plus de mal vu que je commence à bander. S’agenouillant devant moi, guidant toujours le fin liquide vers la cuvette, elle approche son visage. Elle pince le gland de ses doigts, jouant avec le méat, faisant éclabousser l’urine en une petite pluie fine et dorée. Entrouvrant les lèvres, sa langue rose darde pour recueillir quelques gouttes. Relâchant sa pression, le jet reprend de sa vigueur et vient arroser directement tout son visage. Elle me prend en bouche et je finis de pisser en elle. Je vois sa gorge déglutir en avalant, et de la pisse chaude et dorée couler de sa bouche vers ses seins. De son front ruisselle quelques gouttes fines, entourant ses yeux de la même couleur, et se perdant sur ses joues. Elle me suce encore quelques instants, bien que j’aie terminé de pisser depuis quelques secondes déjà. Complètement estomaqué, je n’arrive pas à croire ce que je viens de voir.
Ma bite encore toute molle avant vient de tripler de volume dans sa bouche, l’obligeant peu à peu à ouvrir plus grand la bouche pour m’accueillir. Sa langue passe une dernière fois sur toute la longueur et autour du prépuce. Elle se relève, caressant ses seins humides. De sa bouche coule encore un fin filet doré, sur son menton et le long de sa gorge. Une mèche de ses cheveux retient quelques gouttes de mon urine sur son front. Elle se lèche les lèvres, et sourit timidement. Je crois qu’elle vient de m’avouer un de ses fantasmes les plus secrets. En tout cas moi, je suis excité comme tout…
Le fantasme uro est bien amené et bien décrit
Ah ! voilà qui est beaucoup mieux ! Un texte qui commence très classique (on se croirait sur Revebebe) mais qui se termine en fanfare vassilienne pour notre plus grand plaisir