Tentations solitaires : Une journée de branlette par Julien01

Aujourd’hui, après le repas de midi je suis allé chercher le courrier. Et là ça a été le début d’un grand moment de luxure no limite.

En effet je n’ai décacheté qu’une seule lettre, qui était un prospectus publicitaire avec des numéros d’agence de rencontre. Alors j’ai téléphoné puis j’ai passé une heure au téléphone à essayer d’entrer en contact avec des filles bien chaudes. (Aïe la facture de téléphone !…). Sans succès hélas.

Après tous ces fantasmes au téléphone sur des voies plus aguicheuses les unes que les autres, j’étais tellement excité que je me connectai à Internet et recherchais des agences de rencontre. Je tombais sur un site d’escorts particulièrement bien conçu : photos de filles dans l’ensemble plutôt pas mal, petit mot pour mettre l’eau à la bouche, liste des pratiques proposées, mail pour entrer en contact, évaluation des clients précédents bref je me suis caressé pendant une bonne heure le gland et, progressivement débordait sur la zone anale, le périnée et le sphincter externe. Mon excitation dans cette région devint vite proche de l’insoutenable.

Je me suis laissé aller à imaginer combien une bonne bite serait chaleureusement accueillie. J’ai alors décroché à nouveau mon téléphone pour déposer une annonce sur un site de rencontre gay. J’avoue que c’était d’avantage pour le fantasme que ça me procurait que pour passer à l’action. Sait-on jamais… Je n’attendais en réalité qu’une chose : l’appel d’un mec vicieux et bien membré qui serait prêt a me pénétrer. Mais pas le temps d’attendre plus longtemps tellement l’anus me brûlait. Alors, je m’introduis une banane directement dans mon cul à peine lubrifié par la sueur et qui humectait mon entrecuisse.

Ce fut un peu douloureux. Pas longtemps car je découvris à quel point mon rectum était empli de mouille par les caresses qui l’avaient bien préparé. L’excitation à son comble, je m’assis sur ma chaise de bureau face a l’ordinateur avec les cuisses serrées sur mon gode improvisé, et jetai mon corps tout entier afin de sentir sa présence en moi. Tout en pratiquant ce va-et-vient démentiel, je me cramponnais comme une folle à ma chaise happant derechef la banane que j’écrasais, et qui me ramonait le conduit avec frénésie. Ma mouille naturelle la lubrifiait magnifiquement si bien que j’eus la sensation qu’elle ne faisait plus qu’un avec mon cul. Les fesses contractées et la verge tendue, je partis dans un orgasme d’une rare intensité.

Mais mon cul en demandait encore… Je posais alors mes jambes sur mon bureau dans la position d’une femme qui accouche. Je saisis un tube en bois d’une trentaine de cm à le texture poreuse et recommençait le va et vien. Je contrôlais de mieux en mieux mon anus que je contractais plus ou moins pour varier l’intensité de la pénétration. Puis je me relâchais complètement. Je contrôlais aussi parfaitement, dans cette position, la profondeur et la vitesse de pénétration. Variant le rythme, tantôt, je m’empalais en donnant des bons coups de pilon, lentement et bien à fond, puis j’accélérais autant que la souplesse de mon poignet me le permettait. Enfin je m’arrêtais un instant pour reprendre mon souffle. J’empoignais ma verge bien chaude pour me masturber. Cela dura plusieurs heures en alternant. Par moment je sortais mon bâton, et laissais échapper un écoulement de mouille anale dont je contrôlais le flux en contractant mon anus a volonté. Ma chaise était toute mouillée, un peu comme une culotte de femme qui perd les eaux. Je terminais par une éjaculation en rasades puissantes et vigoureuses. Après 5 heures de sodomie, je résolus de m’arrêter car j’étais fatigué, mais a regret tant l’excitation était encore présente, en témoigne mon conduit anal hyper sensibilisé, et qui malgré tout en demandait encore.

Je ne le fis pas attendre plus d’une heure ou deux, et le soir dans mon lit, je m’employais à le stimuler a nouveau avec mon bâton et inondait sans plus de retenue mes draps avec ma mouille anale. Tout de même être passif à du bon. Peut-être un jour tenterai-je une expérience avec un homme actif et viril, qui sache s’y prendre pour me faire mouiller, mais je ne crois pas. J’attends toujours une proposition.