Bonjour,
Je m’appelle Jeanne, j’ai 47 ans, je suis une petite brune de 1,68 m avec encore de très jolies courbes qui ravissent mon chéri. Lui il s’appelle Marc, 45 ans, brun aux yeux bleus avec des cils d’une incroyable longueur qui font pâlir d’envie nombre de nos amies. Nous sommes mariés depuis vingt ans et depuis trois, quatre ans notre vie sexuelle a évoluée d’une manière surprenante. Durant des années notre sexualité été sommes toute classique. J’étais bien souvent comblée par nos parties de jambes en l’air; il faut dire que Marc est un très bon lécheur et un amant endurant. Son sexe est très beau, avec un gros gland luisant, deux belles couilles colées en dessous et un hampe d’une longueur de 18 cm pour un diamètre de 4,2 cm ; un belle bite en somme.
Je disais donc que nos sexualités avait évoluées, un jour j’ai découverts dans notre armoire une revue sur la domination et les femmes qui sodomisent les hommes. J’étais surprise et cette découverte allait me donner matière à réflexion. Je feuilletais la revue et y découvrais un univers jusque là inconnu. J’étais fascinée par les images que je voyais, je sentais ma chatte gonfler dans ma petite culotte et j’y posais ma main. En effet je mouillais. La revue ouverte sur la photo d’une femme pissant dans la bouche de son partenaire, je me branlais frénétiquement le clito jusqu’à un orgasme fulgurant. .Je n’en dis rien à Marc et prenais mon temps pour me documenter sur ces pratiques. Je dois dire que plus le temps passait, plus l’envie de pratiquer avec mon chéri me tenaillait le bas ventre. Lors d’un stage à Paris j’en profitais pour aller dans un sex shop à Pigalle faire quelques emplettes. J’investissais dans un strap on avec deux accessoires de diamètre différents, un joli martinet avec une poignée gode et un chapelet de boules. Bien sur je m’achetais la tenue qui allait avec.
Vendredi 15 heures : je m’apprête à prendre le train pour rentrer. Avant de monter dans le train je téléphone à Marc et lui dis :
– Mon chéri ce soir j’aimerais que tu nous fasse un dîner fin, j’aurais une surprise.
– Une surprise ?
– Oui, tu sais j’ai trouvé ta revue dans l’armoire et j’ai décidé que ce soir tu seras mon esclave sexuel. J’ai le droit de faire ce que je veux de toi. Tu es d’accord ?
– Je sais pas, faut voir…
– C’est tout vu, c’est oui ou non, mais c’est maintenant !
– Bon alors c’est d’accord.
– Bien, si c’est ok tu vas te raser sexe, couilles et ton petit trou. A plus tard.
J’arrive chez moi, et trouve mon chéri dans la cuisine. Il faut que je me lance (tout ceci me paraissait plus simple au téléphone). Je m’approche et lui met la main aux fesses en disant :
– Alors mon petit chéri est prêt à subir tous mes caprices ?
– Oui !
Une bonne tape sur le cul et…
– On dit oui Maîtresse ».
– Oui maîtresse »
Il me sert l’apéritif et nous passons à table. Il assure le service en bon esclave et nous finissons de manger puis il fait la vaisselle. Un verre se brise, je lui dit qu’il sera puni pour la casse et les diverses imperfections du dîner (il faut bien trouver des prétextes)
– Va dans la chambre et met toi nu. Attend moi sur le lit allonge sur le dos.
J’enfilais ma tenue (un body harnais cuir et chaînes) mes cuissardes, mes jouets dans un petit sac de toile. J’entrais dans la chambre et le trouvais bandant la bite en l’air.
– Je vais m’asseoir sur le fauteuil, toi tu lève et tu te branle, allez vas y branle ta bite.
Un peu gêné il commence, moi-même je me caresse ce qui à pour effet de le détendre et de l’exciter. Je sens son excitation monter et lui demande de gicler sur ma chatte. Il s’approche, nous nous regardons droit dans les yeux
– Je vais écarter ma chatte et tu vas gicler dessus. Ensuite tu te mettras à quatre pattes et tu vas lécher. Si tu me fais du bien tu auras une récompense.
Ces mots ont du lui faire de l’effet car à peine j’avais finis qu’il m’envoyait une bonne dose de sa crème, m’inondant la fente que j’avais déjà bien trempée. Il est là devant moi et s’agenouille, s’approche et ouvre la bouche. Il sort un peu sa langue et semble hésiter.
– Lèche bien cette chatte à la crème
Il s’avance et se met à lécher, d’abord du bout de la langue et voyant qu’il n’allait pas plus loin je lui pris la tête et la plaquait contre ma chatte en disant
Lèche petite salope sinon on arrête le jeu de suite!
La menace eut son effet car il se mit a à lécher vaillamment. Je mouillais de le voir faire, il léchait son sperme et avait l’air d’aimer ça. Sa langue fouillait mon sexe, titillait mon clito le plaisir montait dans mon ventre, j’avais chaud, je coulais comme une fontaine, d’un coup il se mit à mordiller mon clito et je jouis dans un long orgasme d’une force inouï. Encore sous le coup de ma jouissance et pour maintenir son état d’excitation je lui dis qu’il allait avoir une récompense.
– J’ai très envie de faire pipi, non reste là, je ne vais pas aux toilettes, c’est toi qui va boire mon champagne doré. Ouvre bien ta bouche car je veux voir ma pisse couler dedans, tiens prends, bois ma petite salope. T’as l’air d’aimer ça, hein ?dis le que tu aimes.
– Oui j’adore boire ton jus de chatte ma chérie.
Le calme revient doucement et il se lève, il bande à mort.
– Je te veux à quatre pattes sur le lit. Tu sais, la soirée n’est pas terminée, car maintenant tu vas voir comment on traite une petite pute dans ton genre, dis moi que t’es ma pute
– Oui ma chérie, je suis ta petite pute
– Je trouve que pour un esclave tu commets beaucoup d’erreurs de langage mais nous allons corriger ça tout de suite. Allez cambre bien ton cul que je vois ton trou (je m’étonnais moi-même du langage que j’utilisais, mais cette sensation de l’avoir à ma merci me grisait).
Je sortis le martinet et mes jouets du sac. J’empoignait le fouet et commençait à faire courir les lanières sur ses fesses et son dos, des frissons le parcouraient puis un coup porté sur la fesse droite le surpris, un autre sur la gauche et enfin une série de dix coups en continu et dont la force allait crescendo. Il ondulait du cul comme une femme en attente
– Tu en mérites d’autres car tu n’a pas respecte ta maîtresse en l’appelant chérie, tu as fait de la casse de vaisselle, la viande manquait de sel, le vin n’était pas assez frais. Pour cela tu vas en prendre dix de plus.
– Non maîtresse s’il vous plait, ça fait mal !
– Tu vas voir, la douleur va passer et se transformer en douce chaleur. Je vais te rougir le cul et après je t’enculerais comme tu aimes me le faire…
– Non je veux pas me faire enculer, j’ai peur d’avoir mal.
– Te fais pas de soucis, à moi tu ne me fais pas mal alors y a pas de raison, surtout que je bien te le dilater.
Je continuais la fessée et voyais ses fesses rougir, cela m’excitais et une nouvelle fois je me sentais couler comme une fontaine .enfin je me penchait sur son cul et commençais à lécher l’orifice plissé qui tressaillait sous ma langue. Mouillant mes doigts je massais le pourtour qui se détendait. J’introduisis un doigt qui entra tout seul, il était aspiré par son cul.
– Mais t’as l’air d’avoir vachement envie. En tout cas ton cul lui, dit oui ! Me dis pas le contraire il s’ouvre tout seul. Tu vas voir comme c’est bon de jouir du cul.
Je continuais la dilatation en lui mettant deux doigts puis trois. Il se tordait et venait à leur rencontre. Je lui glissais le vibro et le laissait ainsi le cul en l’air.
– Ne bouge pas je m’équipe pour la suite. »
J’enfile le strap on en prenant la plus petite des deux bites (20 x 3,5).Je me positionne derrière lui et lubrifie généreusement l’engin, une dose sur l’orifice.
– Détends toi, pense au plaisir que tu vas avoir grâce à ma bite.
Je m’approche et pointe ma queue de latex sur son œillet, je pousse et fait pénétrer un centimètre puis lentement deux, trois je vois son trou se tendre autour de l’engin, il s’ouvre sous la poussée jusqu’à ce que toute la longueur ait pénètre. .Je suis enfin au fond de son cul, je commence de lents va-et-vient, il se détend encore et je l’entends émettre de petits gémissements de plaisir. Lentement j’accélère, maintenant il se donne à fond, je lui défonce le cul
– Oh oui vas y baise moi le cul maîtresse, défonce moi
– Vas y bouge ton cul, fais moi voir comment tu la veux, t’aimes ça te faire prendre par le cul hein ? T’es vraiment une petite salope.
– Oh oui encore, elle est bonne ta bite.
-Oh oui c’est bon une bonne bite dans le cul, t’aimerais bien que ce soit une vrai ? J’aimerais bien te voir te faire prendre devant moi. Ça te plairait hein ?
Je lui bourrais le cul comme une folle, une claque sur les fesses pour ponctuer mes mots et le voila parti, il se branle frénétiquement et jouit dans un grand cri. Je reste en lui et me baisse sur son dos pour l’envelopper de mes bras. Je le sens ravi, il tend doucement ses jambes et je me retrouve allongée sur lui. L’atmosphère retombe un peu, je me retire, enlève mon équipement et me love contre lui, satisfaite de ma performance.
– Je t’aime ! me dit-il
– Moi aussi et je suis contente que tu ais joué le jeu jusqu’au bout. J’espère qu’on recommencera !
– Bien sur ma chérie avec plaisir mais il faudra laisser à mon cul le temps de se remettre de ses émotions car il n’a pas l’habitude !
Depuis nous avons recommence souvent et aujourd’hui nous utilisons l’autre accessoire car son petit cul s’est bien habitue et il prend maintenant 20 x 5.
J’ai maintenant envie de plus. J’aimerais le fister, le baiser avec une amie à qui j’en ai déjà parlé. Je voudrais le voir se faire enculer par un homme mais je crois que cela ne sera pas.
Je reviendrais vous donner de nos nouvelles. Bisous à tous
Merci à VASSILIA pour ce site fantastique et qui nous ouvre biens des horizons
De la bonne domination, ça m’a bien plu !
C’est que c’est pas mal du tout ce truc là c’est très excitant en plus
Bonjour Vassilia, heureux de vous retrouver après toutes ces années.
A propose de ce récit :
Heureux homme. Moi ma femme en veut pas me faire tout ça, alors je vais voir une pro une fois par moi, elle me fais tout ça : martinet, pinces, pisse, gode humiliations. Quand elle a un autre soumis dans son studio, elle me fait lui sucer sa bite et une fois je me suis fais enculer, c’était trop bon !