Tant va le Temps…Tant va le Cul… – 12 – Berthe par Verdon

Tant va le Temps…Tant va le Cul… – 12 – Berthe par Verdon


Nous avons donc fait récemment la connaissance d’Adrien, jeune étudiant vétérinaire et fils d’un toubib installé en province. Il fait des études pour devenir vétérinaire et nous savons déjà qu’il est un peu coincé de la zigounette.

En effet, il est bientôt bon pour le régiment alors qu’il n’a pas encore vraiment fourragé entre les jambes de demoiselles. Il faut dire que très pris par ses études zoologiques, il est intéressé jusque-là, plus par la croupe des pouliches, que par la morphologie de ses copines. Très troublé par ces dernières il les trouve précieuses, fragiles et trop sentimentales. Il ne se préoccupe pas beaucoup pour l’instant d’aller fouiner sous leurs jupes.

Pourtant on a bien vu dans le précédent épisode, qu’entre la croupe et la fesse, il y trouve des similitudes qui ne sont sûrement pas étrangères à cette propension qu’il a, à s’émouvoir quand il aperçoit le postérieur d’une charmante personne, plus âgée et bien équipée côté du bas du dos.

Or justement il connaît bien une fidèle patiente qui vient voir souvent son père. Il la trouve sympa, désinvolte et gaie et pense que son paternel a beaucoup de chance de la recevoir dans son cabinet. Soupçonneux, il se dit que son vieux ne doit pas se gêner avec elle quand elle se déshabille devant lui et qu’elle lui présente son cul pour se faire ausculter la pastille. (Oh le salaud !).

Quand elle sort de son rendez-vous et qu’elle croise Adrien, elle lui fait un petit sourire aguicheur et elle s’éloigne en remuant vicieusement son popotin qui paraît plus gai à la sortie qu’il ne l’était à l’entrée. Elle a dû certainement se le faire réconforter par le bon docteur.

Adrien attiré par cette éloquence fessière et non sans qu’elle lui lance quelques provoquants appels du pied (du cul serait mieux choisi comme mot…) il se décide d’aller voir sa solliciteuse, de plus près. Elle le reçoit chez elle et il la baise avec brio. Mais tout cela ne se passe pas sans difficultés. Le fier matos du débutant ayant du mal à pénétrer le con serré de la bonne dame déchaînée, il se prend à la manœuvre, un sacré échauffement, ce qui l’empêche d’aller œuvrer dans l’œilleton juste à côté.

Les amoureux, vous pensez bien, en sont contrits et déconfis, mais ils se font la promesse de remettre ça, à plus tard….

(Soyez patients, cela fera partie d’une prochaine lecture…).

Revenons donc à ce toubib, le fameux géniteur d’Adrien, Armand Bytthedur, au nom franc et très prometteur. Il a une bonne notoriété dans son village et même ressent une certaine déférence de la part des femmes qui viennent le voir, sans doute grâce à son professionnalisme et à sa bonhomie. (Connaissant la curiosité maligne des dames en général, je me dis que la singularité de son nom patronymique, ne doit pas y être pour rien…). Ajoutons, sans trahir un secret, nous l’avons deviné un peu plus haut, que ce médecin est proctologue (problèmes concernant l’anus en particulier). (Bon ! N’allez surtout pas en déduire des conclusions hâtives et de mauvais esprit en cherchant un quelconque rapprochement entre la spécificité de son métier et la fréquentation de son cabinet par certaines patientes bien souffreteuses. Hé ! Vous qui souriez là-bas… Je ne vous savais pas si soupçonneux que cela… voyons ! Avoir mal au cul ça peut arriver à tout le monde !…).

Tout juste la cinquantaine, ce bel homme de taille moyenne, plutôt replet, bon vivant, mais discret, vit avec son épouse et son fils, dans une jolie villa où il tient son cabinet.

Cette épouse n’est pas la mère d’Adrien. Il est venu au monde suite à une agréable mais brève rencontre de jeunesse qu’Armand a eue quand il était étudiant. Cette personne n’ayant pas voulu garder l’enfant, c’est lui qui, très honnêtement, le prend en charge et l’élève avec amour et en bon père de famille. Aidé en cela par Berthe, une jeune femme qu’il épouse quelques années plus tard.

Plus jeune que son mari, cette dernière est mince, blonde, très sensuelle et amoureuse de son époux qui l’adore et qui la prend bien en main dès leurs premières rencontres… Elle travaille dans un laboratoire.

Ce couple mène une vie aisée et confortable. Tous deux très occupés par leurs métiers savent cependant se distraire et profiter discrètement des plaisirs de la vie car ils ont les mêmes affinités sensuelles et relationnelles. Ils se disent tout, n’ont pas vraiment de tabous et s’ils se font quelques cachotteries, c’est pour ensuite se les raconter pour ajouter un peu de sel dans leur existence.

Quand ils se sont connus, elle est en début d’études de médecine (décidément c’est son terrain de chasse favori !), il est alors jeune praticien. Elle a dix ans de moins que lui, ils s fiancent.

Elle est un peu au courant des lubricités qui se passent dans ce cercle un peu bourgeois de ce milieu estudiantin. Instruite par son chéri, elle sait que les nouveaux étudiants et assurément les nouvelles aussi, sont initiés au vif du sujet par des joyeusetés qui leur apprennent à parfaire leur connaissance de la nature humaine (en profondeur évidemment…). Elle sait donc qu’elle va passer à la casserole comme tous les autres débutants. C’est la règle, elle ne peut y échapper. Curieuse et encouragée par son chéri, elle désire participer avec lui à ces soirées bien spéciales.

Elle est quand même assez inquiète et réservée, mais elle va être rapidement désinhibée, en découvrant (sur le tas, si j’ose dire), les bonnes vicissitudes de l’esprit et du corps humain.

C’est la meilleure façon sans doute (en ces temps-là), d’appréhender la nature humaine quand on fait des études de médecine, d’en découvrir les bons et les mauvais penchants pour emmagasiner beaucoup de connaissances qui serviront plus tard dans l’exercice de la profession. (Méthode recommandée dans les temps anciens par de grands censeurs et mise en exergue par de bons moines, au profit des édiles et connétables, pour soigner et domestiquer épouses, maîtresses et joyeux serviteurs).

Pour en revenir à Berthe, il lui faut donc être initiée au début par quelques séances de dressage raffinées que lui offre Armand pour la convaincre et la soumettre à ces plaisirs inconnus.

Il a le don et les bonnes manières pour l’éduquer et la pousser vers ces expériences vicieuses qu’elle convoite jusqu’à présent que dans son imaginaire mais qui va lui falloir bientôt, concrétiser.

Quand ils font l’amour, il la bouscule un peu. Une bonne petite fessée de temps en temps lui assouplit les fesses et l’oblige à se faire docile. C’est normal, ce beau petit cul il faut le maîtriser, c’est le fleuron de sa féminité, le centre de son intimité, c’est le début de la soumission.

– Eh oui petite garce, ton insolent petit cul il va se faire mater.
– Mais, Chéri c’est mon cul !
– Non mais tu ne vas pas le garder pour toi toute seule, un chef d’œuvre pareil ! Je vois bien que ça t’excite le regard des hommes quand tu le remues petite salope !
– Ce n’est pas désagréable…ça me donne envie.

Quand il rentre du boulot il lui dit :

– Viens vite me sucer la bite, j’ai baisé la Germaine cet après-midi… Elle a bon goût ma pine ?
– Bof… elle est meilleure quand elle sort de mon cul… elle pue, ta bite !

Et elle se prend une bonne claque là où ça fait du bien… non mais quelle irrévérence pour une bite qui lui fait tant de bien !…

Ce soir elle doit lui servir le repas à poil. Il aime la voir se trémousser quand elle fait la vaisselle, elle fait cela si bien en sachant qu’après il va lui faire l’amour. Il aime lui tripoter le cul quand elle lui sert la soupe, ça le met en appétit.

Avant d’aller au lit, elle lui tient la quéquette quand il va pisser bruyamment dans la cuvette des WC. Elle a droit aux dernières gouttes et puis quand il a fini ses grosses affaires, vous pensez bien que ce n’est pas dans l’aquarelle qu’elle va verser notre artiste ! Non, mais ça y ressemble… elle n’a pas de pinceau, mais une putain de langue à rendre jaloux Michael Ange. C’est normal, si elle veut un homme tout propre dans son lit pour lui faire le grand amour…

– Bon sang mais qu’ils sont cochons les hommes !

Mais elle aime le cochon la garce !… C’est là son meilleur défaut.

Elle apprend tout cela avec beaucoup d’application, y met du sien, d’autant qu’elle sait qu’en complément, viendront sodos, fellations profondes, éjaculations sur ses seins, sur son nez ou dans ses cheveux.

Elle fait tout cela avec douceur. Il la ménage, il l’aime trop pour la faire souffrir. Doucement elle s’habitue, elle s’accoutume à ces façons un peu brutales qui l’amènent à rechercher de plus en plus de pratiques vicieuses. Elle est bonne pâte. Il faut simplement l’assouplir un petit peu. Elle sait que l’amour n’est pas toujours très tendre, mais elle est ravie de découvrir combien sont nombreuses et diverses les distractions dans un lit. Elle comprend les désirs de son homme et captivée par les histoires de cul qu’il lui raconte. Ça lui donne envie de les concrétiser. Ça l’excite, ça l’excite…

Chaque fois elle est tellement excitée, qu’elle finit par implorer qu’il vienne la baiser. Mais lui, malin et soi-disant épuisé, ne se presse pas pour la contenter…

– Oh ! baise-moi, viens, baise-moi
– Mais tu m’épuises ! Tu m’as vidé !
– Salaud ! Bite molle ! impuissant ! Je veux une pine, trouve-moi une pine !
– Petite délurée ! Tu veux que je te trouve une pine… oui je vais t’en trouver une… et une grosse !
– Oui une grosse pour mon cul et pour mon con aussi…
– Je vais t’en trouver dix… mais donne-moi ton cul pour l’instant.

Ça y est, il sent qu’elle entre dans son jeu.

Alors, ils jouissent fort tous les deux. Il lui promet plein de pines, elle lui promet d’être sage, d’être sa chose dans les mains des autres… elle s’abandonne ensuite dans ses bras, ils s’adorent, se caressent, se font l’amour encore deux fois dans la nuit…

Quand après de nombreuses séances de ce genre, il estime qu’elle est prête, il lui demande si elle veut aller à une de ces fameuses soirées.

– Oh oui lui dit-elle, tout excitée bien qu’un peu tremblante.
– Alors ce soir Chérie, ce sera ta fête !
– Oh où est-ce que l’on va ? Qu’est-ce qu’on va me faire ? je suis inquiète…
– C’est une surprise, il y aura du beau monde. Alors viens-tu ? C’est comme tu veux. Mais si on y va ce sera pour le pire et le meilleur…
– Oh oui chéri emmène-moi, mais reste avec moi, je ferai tout ce que tu veux. Pour le pire, peut-être, et surtout le meilleur !… Elle a une boule dans le ventre.
– Tout ce qu’ils voudront, se permet-il de rajouter…et à partir de maintenant tu m’appelleras :’Monsieur’…
– Oui Monsieur …je suis prête.

Alors il l’embrasse en lui faisant un patin à lui décrocher la mâchoire. Puis il la repousse et la conduit en un lieu privé, bizarre, discret. C’est à la campagne, dans une vieille grange. Ça sent l’écurie, il y a de la paille et une bonne odeur de vieux fumier.

Dans un recoin, devant son râtelier, il y a un gros bourrin, un cheval de trait. Plus loin au milieu de la salle, une longue table d’auberge, très basse, pas de chaises. Deux gros lampadaires éclairent la scène. Il fait très chaud, on est en juillet.

Il lui dit de se mettre nue, entièrement car il y a les invités qui vont arriver.

– Oh non Monsieur, s’écrit-elle, pas devant le cheval ! Pas avec le cheval !

Elle se jette dans ses bras. Elle veut partir.

– Pas avec le cheval ! qu’elle répète en serrant les fesses.
Ça le fait pouffer de rire l’Armand…Il ne s’attendait pas à cette réaction devant l’animal qui est là par hasard et innocent. Il n’a rien à voir avec la soirée qui se projette pourtant très spéciale.

– Mais voyons petite sotte tu n’as rien à craindre, c’est un vieux canasson ! Tu mérites mieux et tu vas être servie autrement je te le jure !

Pas trop rassurée elle se déshabille quand même. Mais, bien que vieux, l’animal attiré sans doute par quelques effluves féminins, se met à hennir et vous sort sous son ventre, un putain de mandrin à faire pâlir un pape !

Elle s’effraie Berthe et se jette de nouveau dans les bras de son chéri. Non sans regarder quand même avec insistance le gros membre qui l’impressionne bizarrement.

– Calme-toi ma Belle, regarde ce n’est pas pour te rendre des hommages qu’il a sorti son braquemart…c’est pour pisser…et il en pisse une rivière.
– Oh, Monsieur, quelle putain de bite ! Hi ! hi…elles doivent être bien gâtées les juments ! Oh comme il pisse fort !

Voilà qui va rajouter à l’ambiance de la chaude soirée qui se prépare. Cette sacrée fragrance aphrodisiaque qui remplit l’atmosphère va taquiner la sensibilité nasale (mais voyons… je n’ai pas écrit ‘anale’…) et la libido des prochains arrivants.

C’est enfin le moment de la présenter nue, les yeux bandés devant une escouade d’une demi-douzaine de joyeux fêtards aussi nus qu’elle, et chargés de la dévergonder en la soumettant aux ‘meilleures exactions’ qu’elle appréhende, mais qu’elle désire, poussée par sa curiosité, par sa fierté ainsi que par le vice et par amour…

Honteuse, amusée, quelque peu désemparée, elle s’accroche aux bras de son chéri et cherche à se faufiler vers la sortie. Son homme, indifférent, lui barre le passage et l’oblige à s’agenouiller devant ces voyous nus qui bandent et tournent autour d’elle comme des pingouins.

– Oh là ! Doucement s’écrie Armand. Messieurs je vous présente ma future épouse qui n’a pas connue jusque-là, toutes les bontés de la chair. je vous la confie pour que vous l’éduquiez aux joyeusetés du mariage. Il vous faudra avec beaucoup de respect et de tendresse, mais non sans de vigoureuses douceurs, lui faire connaître et apprécier toutes les bonnes règles auxquelles elle sera assujettie par notre prochaine union

Chacun se présente alors devant elle, nu et le nœud tendu vers son visage.

Il y a là de beaux gars, jeunes, bien bandés et couillus comme des porcs. Ils sont musclés, avec de fortes cuisses, des fessiers de reproducteurs. Il y en un qui dénote cependant avec un cul de poupée achalandé cependant d’un joli phallus un peu moins dur que les autres.

Elle tâtonne, attrape une première queue qu’elle caresse et qu’elle suce avec bagout.

– Alors ma Belle, elle te plaît cette queue, elle est bonne ?
– Bof… Oui Monsieur, mais elle a un goût de merde !
– Oh ! voilà qu’elle fait la délicate ! …
– Mais dit-moi, malotru (il s’adresse au merdeux), elle ne s’est pas lavé le cul ta bonne femme ce matin ?
– C’est qu’on était pressé, Monsieur, trop pressé sans doute, on a fait ça dans l’ascenseur ! (c’est si bon dans l’ascenseur !…).
– Et la suivante, ma chérie, la suivante elle a bon goût ?
– Oui, monsieur, elle a le goût d’homme !
– Ça, c’est un impatient qui a dû enculer le pédé de la bande ! je parie…
– Oh et celle-là ! Quelle est longue celle-là, Monsieur, oh putain qu’elle est longue !
– Tu le sais bien grande sotte…plus c’est long, plus c’est bon…
– Tiens suce-moi celle-ci tu m’en donneras des nouvelles !
– Oui Monsieur ! Qu’elle est grosse, qu’elle est grrrrrr….
– Ben oui quand on a la bouche pleine on ne cause pas…mais ne t’en fait pas, quand tu l’auras au cul, tu vas retrouver la parole !

Ils y passent tous les mâles et apparemment la goûteuse n’a pas l’air déçue. Même que la pine molle du petit pédé a un goût de guimauve, un goût de revenez-y.

Toujours guidée par Armand, elle s’approche de la table qui est recouverte d’une épaisse couverture. Puis, soudain, prise en mains par la bande de voyous, elle est soulevée, ballottée et déposée sur la grande table. Elle est à leur merci.

Plus amusée qu’offusquée elle se débat en gigotant de tous ses membres. Mais plaquée sur la couverture elle est maintenue sur le dos, jambes et bras écartelés et les tétons pointés au plafond. Elle crie comme chatte sous matou !

Elle contracte tous ses muscles et soulève son ventre et son pubis en s’arc-boutant sur son dos et ses jambes. Elle serre ses cuisses comme pour défendre sa féminité ou au contraire pour démontrer à ces affamés qu’elle est bien une femelle tendue et attirée comme un aimant vers leurs bites impatientes

Oh oui elle est bien une femelle. Sa chatte ouverte à tous les courants d’air, montre des chairs roses et humides et profondes. Son petit trou à pisse et son clito en érection démontrent les dispositions de la Dame et son caractère. En dessous son anus n’est pas encore à la fête, mais la commissure de ses cuisses, laisse soupçonner des profondeurs vertigineuses.

Ils s’affairent tous ces braves qui lui pelotent les seins, lui pincent les tétons. Certains lui ouvrent la bouche pour vérifier sa dentition comme des maquignons qui estiment une pouliche au marché. Elle a même droit aux doigts dans le nez ou dans les oreilles, (pour le cul, ce sera plus tard…). Plusieurs mains lui tâtent la moule afin d’en apprécier la fraîcheur, la teinte, l’odeur… quelqu’un y enfonce son nez, un autre carrément son poignet tout entier pour en connaître la profondeur.

A ce régime elle a vite fait de mouiller la garce. La main du fouineur ressort dégoulinante de mouille. Son visage exprime déjà une grande excitation qui se traduit par des frissons sur tout son corps, les bouts de ses seins bandent comme de petites pines. Son ventre se contracte, elle a la chair de poule (ben oui vous avez déjà vu une poule plumée, je pense !). Ses genoux s’ébattent et ses cuisses s’ouvrent et se referment aux envies de sa fente. Elle pousse de petits miaulements de plaisir.

Du coup un petit malin profitant de l’ouverture de son puits d’amour, lui gassouille le clito à tel point qu’elle coule comme une fontaine. Elle jouit déjà la cochonne en resserrant sa vulve et en implorant qu’on la baise.

Mais telle n’est pas l’intention de ces braves gars qui veulent la flatter davantage. Ils veulent prendre leur temps, la visite ne fait que commencer. Ils jouissent de la voir se tordre et réclamer la suite. Ils la soulèvent, la retourne et couchée sur le ventre en 69, justement sur le petit pédé, elle lui bouffe le trou de balle en lui écartant les fesses, laissant le sien à la convoitise de tout le reste de la compagnie.

– Oh le beau petit trou qu’ils s’écrient tous ensembles !

Oh oui le joli petit bouton ! Tout rond, un peu boudiné, rouge et bien graissé. On voit qu’il a bien été préparé… on dirait presqu’il sourit d’aise. Elle l’ouvre et le contracte tant elle a l’appréhension et l’envie d’être taquinée en l’endroit.

C’est qu’en effet, chacun veut y mettre son doigt. Ça se bouscule au portillon, ça entre à deux ou trois à la fois, ça écarte et ça pince les fesses et ça ressort un peu charbonneux du cul de la cochonne !

– Ah la souillon ! Il faut la corriger s’écrie un des bougres en se suçant le doigt !
– Oui, oui faisons-lui un lavement à la cochonne, s’écrie un autre !

En fait de clystère, il n’y en a pas alors il y en a un qui débouche un vieux Bourgogne, un gros rouge qui tâche, une bonne bouteille à long col, et il lui fout au cul après l’avoir glissée dans la craquette ruisselante de mouille. Il y a deux bénévoles qui la tiennent par les cuisses et le troisième qui pousse le bon goulot ras du col, au cul de la goulue !

– Oh c’est froid, mais c’est bon… juste à point ! qu’elle dit en serrant les fesses… (Taster les bons vins avec son cul, ne voilà-t-il pas un bel avenir pour la fine connaisseuse…).

Armand qui se régale du spectacle, la maintient fermement toujours par les épaules et le bon pinard se déverse dans l’accueillant boyau.

Et glou et glou et glou…elle se prend un sacré millésime !… (Jamais un si grand cru ne fut si bien logé et barrique bondée !…)

La bouteille vidée est retirée. Ils assistent à un sacré décuvage ! Il y a des fuites… Aussi ils ont la bonne idée, nos nouveaux sommeliers de remplacer la bouteille par un vigoureux robinet qui planté dans le petit trou, permet à chacun d’aller boire à la source le délicieux nectar…

(Oh le joli robinet !.. j’ai l’impression qu’il doit plaire à bien du monde !….).

.Il m’a l’air d’avoir une forme assez complaisante avec certaines fonctions qui à l’origine n’étaient pas prévues…mais tout le monde sait très bien qu’en fin de journée un bon sommelier peut se tromper de trou !….

Et ils se saoulent les mecs, à se rouler dessous la table, à se pisser dessus, à chanter comme des poivrots :

– Boire un petit coup…c’est agréable !… surtout lorsque c’est…. au trou du cul d’une blonde !…Boire un petit coup c’est bon !…

Oh que ça lui fait plaisir à la Berthe ! Que ça l’amuse ! Elle rigole en le bougeant son ‘fût’… mais c’est un peu dur, ça ne vaut pas une bonne bite…le petit trou récalcitrant finit par éjecter le vicieux robinet en laissant ses tripes se vider dans un délicieux soulagement et un bruit de gargouille.

– Hi ! hi ! ce qu’elle rit Berthe !… Elle est contente. Ils sont fous ces mecs… Me foutre un robinet au cul !… Mais qui a déjà vu cela ?

Mais nos fameux vignerons, un petit peu dégrisés et exaltés par la superbe vue de la fesse avinée et du p’tit trou qui se replie de soulagement, n’en n’ont pas fini avec leur bonne amie. Ils remontent sur la table et toujours aidée par Armand qui lui tient les épaules elle va les recevoir, elle va rouvrir sa bonde et chacun à son tour, va y mettre son bouchon.

Le premier…ouille c’est dur !

Le second…ça va mieux !

Le troisième…ça fait ‘plouf-plouf’ !

Les deux autres c’est la pataugeoire !

Et le sixième ?… Eh bien le sixième, en dessous, il écope !

– Oh, avec sa langue dans mon cul…moi il me plaît ce pédé !

Ensuite ça fait des bulles, ça pète, ça déborde de nouveau… c’est la crue du siècle !

Ils n’auront de cesse ces mauvais garçons qu’après lui avoir pissé au cul et vidé leur vessie au fond de son gosier.

Après cette séance, assise au bord de la table, les pieds ballants, elle dégorge de partout la poulette, groggy, épuisée, satisfaite (on le serait à moins). Elle quitte son bandeau de devant les yeux. Éblouie, subjuguée, elle sourit, elle regarde béatement tous ces hommes rassemblés devant elle.

Hi, hi…ne sont-ils pas rigolos nos artistes avec la pine trempée jusqu’aux oreilles et qui se regardent béats, heureux et fiers de leurs prestations ! Admiratifs aussi de cette bonne femme toute luisante de leurs chaudes humeurs. Elle se pourlèche les lèvres avec encore un sourire de défit laissant imaginer qu’elle est toujours dispo face à leurs bites pompettes.

– Qu’ils sont beaux, pense-t-elle…ils ont l’air cons et penauds, mais qu’ils sont beaux !

Elle en a remarqué particulièrement un qui a de bien grosses couilles et une belle queue.

– C’est sûrement celui qui m’a ouvert le cul en premier… Oh la brute, il a dû prendre son pied celui-là ! Et ce salaud d’Armand qui me coinçait sur la table !

Finalement elle se sent honorée, elle n’a pas démérité…Certes elle a le cul un peu cassé, mais c’était bon. Il n’a pas mégoté sur la marchandise, son chéri !… elle en est fière, ce n’était pas des couilles molles et puis son petit trou le voilà bien rôdé maintenant (jolies perspectives en devenir !).

– En fait se dit-elle, un homme c’est bien pour la romance et puis ça vous protège, c’est chouette, mais plusieurs ça vous entretient… (elle devient de plus en plus garce…).

Il va sans dire que salope devenue, il va lui falloir maintenant se soumettre aux tâches quotidiennes.

– Allez, hop ! À la vaisselle petite cochonne, regarde ce que tu as fait !
– Oh oui Monsieur, je vais réparer!

Elle se met à laper goulûment les queues de ses bons diables bienfaiteurs. Elles ont bon goût leurs grasses andouillettes marinées à la sauce de leurs humeurs et au bon vin de Bourgogne, sans oublier cette petite pointe de caviar qui corse le tout. Que c’est agréable de sucer ces bonnes pines qui ne sont plus très dures, mais molles et tendres comme de la guimauve. Et les couilles bon sang ! Ah les jolies burnes qu’ils ont ces bons mâles !

Oui elle aime bien les couilles Berthe.

– Pour elle se dit-elle, ce sont les couilles qui font l’homme ! un homme avec un joli paquet qui ballotte entre ses jambes, ça la fait toujours mouiller.

C’est la fin de la nuit. Il est temps que chacun rentre chez soi pour se coucher et récupérer après une si soirée si mouvementée.

Mais c’est sans compter sur Berthe qui n’est toujours pas rassasiée, d’autant qu’Armand n’a pas encore été satisfait car occuper le rôle de cocu content ç’est bon un certain moment, mais tout de même il aimerait maintenant retrouver ses prérogatives sur les dispositions de sa fiancée… Alors dans un geste majestueux, il se la soulève sa Chérie, il la repose sur la table et il se la baise comme un roi, le magnifique. Il se la baise à fond, elle ouvre en grand ses jambes, pose ses pieds sur ses épaules et elle crie…Oh putain comme elle crie, et lui aussi d’ailleurs ! Ils s’aiment si fort qu’à son tour le bourrin dans sa stalle, hennit comme un étalon, en brandissant de nouveau son imposture raide comme un manche de pioche et sans pisser cette fois…

Armand ne sait plus où il est car il se prend dans le cul un putain de mandrin qui lui turlupine la rosette et lui déclenche une éjaculation magistrale à liquéfier la Berthe… ils se pâment tous les deux !

Quand ils refont surface, ce n’est pas le bourrin qui est sur le dos d’Armand (Oh ! Armand quand même !…), c’est le plus grand des voyous qui bandant encore, le gratifie de ses saintes humeurs afin de bien les marier nos amoureux….

Debout autour d’eux, leurs queues un peu lasses certes, mais rouges comme des carottes qu’on vient d’éplucher, ils sourient tous les fouteurs. Leur quéquette dans une main, dans l’autre une coupe de champagne qu’ils lèvent tous ensemble à la santé des mariés, à la soumission, la docilité et l’exploit de la jeune femme. Elle mérite d’être l’épouse d’Armand elle l’a si bien prouvée avec les autres… Elle a gagné son titre de bonne Salope… Elle ne lui dira plus ‘Monsieur’ mais mon chéri, mon amour, mon mari, mon cocu !

Bravo !

La salle se vide.

Seuls, nos deux amoureux couchés dans la paille se serrent et s’enlacent et continue à se marier pour le meilleur de la vie.

Berthe, divinement baisée par Armand, jouit …

Le cheval trépigne d’impatience au fond de l’écurie…

Il hennit le fameux bourrin… il est jaloux semble-t-il…

Ça l’amuse, Berthe… il lui est sympathique ce vieux cheval… sympa et si bandant !… Pour ça Armand il ne lui arrive pas à la cheville…

– Hi, hi ! Tu n’en as pas une aussi grosse, lui dit-t-elle en pouffant de rire…

Ça lui vaut une gentille claque sur les fesses…

– Attend ton tour, salope ! je vais t’en trouver du bourrin…
– Non, non mon chéri, tu es le meilleur !…et elle contracte sa chatte pour bien lui serrer la pine.

Mais qu’est-ce que c’est ce bruit qui vient du fond de la grange ?…

Ben c’est encore notre petit pédé qui se fait lustrer l’arrière-train par un des invités. Retardataire, il n’a pas pu s’empêcher de flatter le joli petit cul blanc du jeune homme accroupi dans la paille, en pamoison devant la vigoureuse indécence chevaline.

La période de dévergondage passée, remplacée par une vie professionnelle plus calme, plus peinarde. Tout est rentré dans l’ordre et les nouveaux mariés se sont réfugiés dans le train-train de la conformité, accrochés à leur boulot et loin des extravagances de la jeunesse, mais non sans se refuser de temps à autres, quelques gaillardes lubricités…

Pour en revenir au début de cette histoire, avant de la clôturer provisoirement, on sait qu’Adrien le fils de Monsieur Bythedur, s’est fait dépucelé par une de ses braves patientes, Louise en l’occurrence.

Après une baise endiablée qui a laissé quelques traces brûlantes sur le pénis du garçon, elle n’a pas pu se faire enculée la salope, mais ce n’est que partie remise.

Aussi, rentre-t-il chez lui, notre jeune dépucelé pour se pieuter, encore sidéré par ce qu’il vient de lui arriver pendant cette après-midi de baise. La bite en feu, son pucelage ayant quelque peu grippé dans la boîte à ouvrage de sa licencieuse et insatiable maîtresse, il bande encore malgré tout.

Alors il se soulage une dernière fois dans ses draps, laissant à la discrétion d’Anita, la petite bonne, une superbe carte de France qu’elle aura le plaisir de découvrir le lendemain matin en refaisant le lit (à mettre dans les annales des bonnes références de la délicieuse employée).

Il s’endort comme un chérubin……


(25/01/2023)

N.B. Bon je devine et je crains que quelques lecteurs et lectrices très affinés en la matière, me fasse des reproches parce qu’avec le bourrin et la Dame…bon sang ils sont restés sur leur faim !

Humm !…mais que voulez-vous, Armand il ne veut pas l’abîmer sa Chérie ! Elle est toute neuve sa Belle (enfin plus tout à fait…), alors il ne faut pas pousser mémère dans les orties, n’est-ce pas ?…quoique j’en connais quelques-unes…Oups !

Alors si l’impatience ou l’envie les taquinent libre à eux ou à elles, d’essayer…mais attention ce n’est pas la queue qui pose problème…c’est plutôt le trou du cul…à voir qui de l‘une ou de l’autre aura le plus grand bonheur…mais je crois que vous vous y connaissez…profitez-en, et bien à vous !

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2 réponses à Tant va le Temps…Tant va le Cul… – 12 – Berthe par Verdon

  1. Trebeurden dit :

    Evocation d’un temps où les rapports entres les gens étaient moins constipés qu’aujourd’hui

  2. Harivel dit :

    Il faut un sacré talent pour nous faire à la fois bander et rigoler !

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