Nouvelle année
1 – Préparation
par Lovelace
cette série fait suite aux sagas précédemment publiées : Une sortie en mer, Retour à la terre et L’entrée de l’hiver.
Nous ne nous sommes pas revus, depuis ce week-end à cinq de mi novembre. En dehors bien sûr, pour ma part, d’Anne, que je côtoie tous les jours au bureau. Elle sait être discrète et notre petite équipe ne se doute absolument de rien concernant nos vies privées. Ça ne l’empêche pas, de temps en temps, de lâcher, lorsque nous sommes seuls, une petite remarque du style « comment va ta queue aujourd’hui ? » ou bien une attitude; un baiser lancé dans l’air à travers mon bureau, soulever sa robe pour me montrer ses fesses, se toucher l’entrejambe à travers le tissu des vêtements ou que sais-je encore !
Alice pour sa part, n’a pas chômé. Elle prépare activement les fêtes de Noël et du Jour de l’an. Pour ce qui est de Noël, ça se passe en famille, c’est donc vraiment simple ! Pour la fin d’année, la difficulté augmente. Qui invite qui ? Qui sera sur la liste, quel thème sera choisi, quel sera le lieu, autant de questions auxquelles elle s’attache à répondre, sans me consulter, afin de préserver la surprise le plus longtemps possible. Je ne saurai qu’au dernier moment où se passera la fête et avec qui !
Enfin, quinze jours avant la fin d’année, elle se décide enfin à m’en parler en m’apprenant qu’elle a organisé, ce week-end, une petite soirée de préparation avec Anne.
– Pourquoi Anne ?
– Parce qu’Anne est co-organisatrice du réveillon !
– Oui, mais pourquoi elle ?
– Parce qu’elle est pleine d’idées et de ressources en en plus elle m’est fort sympathique ! Et je l’aime bien ! Autre chose ?
Dit comme ça, je n’ai rien à ajouter. D’ailleurs je ne cherche pas; Pour ma part organiser une soirée, me gonfle profondément et je ne suis pas très créatif dans ce domaine !
– Non rien ! Si tu es OK, je suis OK ! C’est pour vendredi ou samedi soir ?
– Vendredi ! Tu n’auras qu’à rentrer avec elle.
– Oui, en espérant que nous serons les derniers à quitter le bureau !
– Ha ! Je n’avais pas pensé à ça ! Après tout, peu importe si vous arrivez ensemble ou pas, vous ferez comme vous voudrez ou comme vous pourrez !
– Bonsoir à tous, bon week-end et ne traînez pas trop ! Lancé-je à la cantonade ce vendredi, voyant que personne ne semble pressé de partir.
– Bonsoir Bernard, bon week-end à vous, me répond Anne un petit sourire en coin.
Je me demande comment je dois prendre ce sourire ! Alice et elle ont organisé ce dîner afin de préparer le réveillon de la saint Sylvestre. Ont-elles imaginé autre chose, ou bien est-ce Anne qui se fait des idées sur la soirée à venir ? On verra bien !
– Bonsoir ma chérie ! Lancé-je en entrant chez moi.
– Ho, bonsoir mon amour ! Mais, tu es tout seul ? Anne ne t’a pas accompagné ?
– Hé non ! Trop de monde au bureau. On aurait dit que personne n’était pressé de rentrer chez soi ce soir.
– C’est toujours comme ça ! Vendredi prochain tu verras qu’ils se tailleront tous à 17 heures !
– Bof, ce n’est pas grave, Anne nous rejoindra dans quelques minutes. Tu me sers un verre en attendant ?
– Ok, vas te rafraîchir, je t’arrange ça.
Je sens vraiment dans le ton de sa voix, que quelque chose cloche. Elle ne se comporte pas comme d’habitude. De plus, je l’ai senti en l’embrassant, elle vient de se pomponner. Je monte me doucher et me changer au moment où la sonnerie extérieure retentit. Anne n’a pas perdu de temps ! Elle a dû m’emboîter le pas quand j’ai quitté le bureau.
Je laisse la porte de notre chambre ouverte afin d’écouter d’une oreille ce qu’elles vont se dire.
– Salut, comment vas-tu ma chérie ?
– Très bien et toi ? Répond Anne. Ton homme est rentré ?
– Oui, il est là haut, il se change.
– Tu lui as dit ?
– Non, non, mais c’est un rituel chez lui. Quand il rentre du boulot, il change de fringues !
Le « tu lui as dit » résonne à mon oreille : elles ont bel et bien préparé quelque chose, mais quoi ?
Je redescends un petit quart d’heure après, seulement vêtu d’un kimono (veste, pantalon) et tongs, comme je le fais lorsque nous sommes seuls avec Alice.
– Désolé, dis-je, à l’attention de Anne, mais j’avais envie d’être à l’aise !
– Pas de problème, me répond-elle, tu es chez toi ! Alors, le père Lhours ne t’a pas trop pris la tête ?
– Stop ! C’est le week-end, le boulot on verra lundi !
– Oui, tu as raison, mais d’habitude, quand j’ai fini ma journée, je n’ai que mon chat à qui parler !
– Je comprends, mais apparemment ce soir, vous avez convenu avec Alice de discuter d’un vaste sujet !
– Exact, répond Alice en me tendant mon verre, tiens ton apéro.
– Merci, à la votre les filles !
– A la tienne, le gars ! Alors de quoi on parle ?
– Ben de ce pour quoi nous sommes réunis ce soir; quel est votre plan ?
– En fait, Anne et moi avons pensé que pour le réveillon de nouvel an ce serait sympa d’organiser une soirée sur le thème de l’orgie romaine.
– Hou là ! Sacré challenge !
– Pourquoi tu dis ça ? Tu penses que ce n’est pas réalisable ?
– Je pense qu’il va être difficile de réunir des invités, parmi nos amis, qui en acceptent l’idée. Vous comptiez inviter combien de personnes ?
– On pensait à une bonne vingtaine. On a déjà sûr : Pierre et Viviane et, comme je les ai contacté par mail, Lucie et Yann qui viendraient passer quelques jours.
– Ça ne fait toujours que sept avec nous !
– Moi, dit Anne, j’ai cinq amis, trois gars et deux filles qui peuvent se joindre à nous et qui ne sont pas coincés !
– Il nous en manque huit !
– Et si, dit Alice, on invitait Martine et Henri ? Ils pourraient venir avec les six ou huit manquants !
– Ce n’est pas une mauvaise idée, mais là attention ! Les jeunes amis d’Anne ont intérêt à tenir la route, parce qu’avec eux ce sera vraiment l’orgie !
– C’est bien le but, non ? Dit Anne.
– Certes, mais tu ne connais pas les zigotos ! Pour te donner une idée, même quand on se lâche totalement, on est des rigolos à côté d’eux !
– À ce point ?
– Oui, c’est vrai, dit Alice. Mais tu verras, maintenant que tu es rodée et que tu y as pris goût, tu ne seras pas déçue !
– Ho, là, là ! Tu me mets l’eau à la bouche, j’ai hâte d’y être !
Nous continuons la conversation en délirant sur le décor qu’il faudra mettre en place, les mets qui seront proposés, bref, en deux heures de temps, l’ensemble de l’organisation est réglé. Il ne reste plus qu’à lancer les invitations.
Je remarque qu’à l’évocation de nos délires sur le déroulement et la tournure que pourrait prendre cette soirée, Anne commence à se chauffer. Moi aussi, j’ai des picotements dans la zone génitale et aux extrémités, doigts, orteils. Seule Alice semble sereine :
– J’ai l’impression que ça vous met en appétit tout ça ou je me trompe ?
– Pas toi ? Demande Anne. Moi, je n’ai pas baisé depuis le dernier week-end ici.
– Mais ça fait presque un mois, ça ! Comment tu as fait ? Demande Alice.
– J’ai utilisé des accessoires ! Mais ça ne vaut pas un vrai sexe ! Depuis les deux jours passés chez vous, je ne pense plus qu’à ça !
– Ça peut s’arranger, dis-je en me levant pour aller aux toilettes. Ici, tu es entre de bonnes mains !
Effectivement, lorsque je reviens quelques instants plus tard, la robe boutonnée sur le devant que porte Alice est totalement ouverte, le chemisier d’Anne également. À genoux sur les coussins, elles se caressent et s’embrassent à bouche que veux-tu. Alice me voit arriver du coin de l’œil.
– Viens avec nous, approches-toi !
En passant devant la table basse, je prends mon verre et me plante devant elles.
– Vous êtes bien deux salopes ! Je n’ai pas le dos tourné plus de cinq minutes, que vous vous gouinez déjà !
– Anne a une grosse envie, je voulais la soulager !
– Bien sûr ! Et toi pas ? Tu fais ça uniquement pour elle ?
– Évidemment non ! Moi aussi j’ai des chatouilles entre les jambes !
Elles tirent sur le cordon de mon pantalon de kimono qui glisse à mes pieds, tout en me regardant un sourire gourmand et un regard lubrique éclairant leur visage.
Je trempe le bout de mon sexe dans mon verre et Anne le saisi et le lèche.
– Encore ! Demande-t-elle
Je baisse mon verre, elle trempe ma queue dedans et la re-lèche.
– Humm ! C’est bon !
– Je peux goûter ? Demande Alice.
– Bien sûr ! Après tout elle est à toi !
Et, tour à tour, elles se passent ma verge qui ne tarde pas, avec un tel traitement, à devenir bien raide.
Anne retire sa jupe et s’allonge sur les coussins, relève ses jambes écartées et Alice se penche sur sa chatte. Se faisant elle se retrouve les fesses en l’air. J’en profite et la pénètre profondément. Elle est déjà bien excitée, ma queue glisse suavement dans sa chatte mouillée. Anne se tord de plaisir sous les assauts de la langue qui lui lèche le clito, et s’insère dans la vulve. Elle pousse des petits cris à chaque coup de dent qu’Alice porte à ses lèvres qui, me semble-t-il, se sont un peu modifiées et paraissent plus sombres et plus gonflées qu’avant.
Anne ne tarde pas à jouir sous les assauts d’Alice qui lèche et avale son foutre. Elle même ne tarde pas à arroser ma queue avec son jus accompagnant l’orgasme qui la secoue vivement.
Je me relève, elles aussi et Anne voyant ma bite luisante de foutre, la prend en bouche et la nettoie.
– Hé, bien mesdames, voici une bonne entrée en matière pour l’orgie à venir !
– Tu as raison, il faut que l’on s’entraîne. En tout cas ça m’a mise en jambes ce petit intermède ! Dit Alice.
– Humm ! Moi aussi, cela dit j’aimerai bien me prendre un bon coup de bite !
– Mais comment tu parles ! Une vraie charretière ! Quand je pense que tu étais si sage et si mignonne !
– Hé, oui ! Vous m’avez révélé ma vraie personnalité et je vous en remercie. Bon, alors, j’y ai droit ou pas ?
– Bien sûr ! Viens là ma chatte, lui dit Alice, la prenant par la main.
Elle la place face à la table, la penche en avant et lui relève une jambe. Puis, elle me tire par la queue, et met cette dernière devant l’entrée de la vulve et me pousse en avant. Elle se place derrière moi et c’est elle qui imprime le rythme de la pénétration, je ne suis que l’objet. Anne se tortille, gémit, râle, de plus en plus fort et atteint l’orgasme en quelques minutes.
– Non de nom ! J’avais oublié comme c’est bon ! Houaa ! S’il te plait mets-la-moi dans le cul, j’en crève d’envie !
– Pas de problème ma cocotte ! Tiens prends toi ça !
Comme tout à l’heure, Alice s’occupe de tout ! Elle lèche la rondelle, me mouille bien la queue de salive et me place devant l’entrée de la caverne divine. Une fois le gland introduit elle me pousse au niveau des fesses et je suis absorbé par l’anus épanoui. Il est loin le temps où il fallait être précautionneux pour ne pas lui faire mal ! Et en plus, elle adore ça.
– Ha ! Oui, vas-y, défonces-moi bien, éclates-moi le cul ! Hooo ! Que c’est bon !
Alice m’impose un rythme soutenu, et la plus grande amplitude possible. Sentant Anne venir, elle me fait déculer et joue à faire entrer et sortir rapidement mon gland, puis, à nouveau, de grandes pénétrations. Anne explose et jouit dans un long cri qui se transforme en feulement. Alice m’éloigne et, se mettant à ma place, lèche le cul béant. Anne tremble de tout son corps. Je vais au salon de toilette me nettoyer et, quand je reviens, la queue entre les jambes, le gland cramoisi et le double de son volume normal, elles sont installées dans les fauteuils devant la cheminée, tranquilles, un verre de get à la main, comme s’il ne s’était rien passé !
– Ha ! Voilà mon champignon vénéneux préféré ! S’exclame Alice.
– Pourquoi vénéneux ? Il est bon !
– Oui, il est bon mais hallucinogène !
– Exact, j’ai vu des étoiles tout à l’heure et j’ai senti des papillons me chatouiller le corps !
Je me sers un verre également et les rejoins.
– Je vais peut-être bien en croquer encore de ce gros bolet !
– Tiens, bonne idée, comme ça il pourra finir ce qu’il a commencé tout à l’heure !
– Qu’est ce que je n’ai pas fini ?
– Tu ne m’as honorée que par devant ! Mon cul est jaloux, il me démange !
Anne se lève et vient entre mes cuisses que j’écarte largement. Elle trempe le bout dans son verre. Aïe ! Ça pique fort l’alcool sur la muqueuse irritée. Ma queue se rétracte, comme un escargot qui se ramasse dans sa coquille !
– Ho, le pauvre ! Attends, je te soigne.
Elle prend mon sexe de sa main libre et lèche le méat du bout de la langue, enrobe le gland de salive et caresse le bout avec un doigt. Elle effleure le frein, tourne autour du prépuce et remet le tout en bouche pour me pomper et bien me mouiller. Le jeu dure bien cinq minutes, pendant lesquelles nous ne cessons de discuter du sujet du jour, la préparation de la fête à venir. Comme on déconne pas mal, je me marre et n’arrive pas à bander.
– Ce n’est pas avec ça que tu vas te faire enculer, dit Anne. Il va falloir trouver autre chose !
– Attends, je reviens. Alice se lève et monte précipitamment au premier. Elle réapparaît quelques instants après avec son gode ceinture préféré. En voilà un qui n’a jamais de panne ! Tiens Anne mets le.
Anne s’exécute et s’enfile le gode intérieur dans la chatte, serre la ceinture et la voilà prête, une belle bite devant elle. Pendant ce temps, Alice s’est enduite de lubrifiant et se branle l’anus avec trois doigts.
Elle est à quatre pattes le cul devant moi. Elle se cambre et Anne la pénètre. Je vois le gode de latex s’enfoncer inexorablement jusqu’à la garde dans son cul ouvert. Cette vision m’excite terriblement et du coup je retrouve ma vigueur.
– Je suis prêt dis-je.
– Attends ton tour maintenant me répond Anne.
Elle s’active de plus en plus vite et fort. Elle a un bon coup de reins et apparemment efficace, puisque Alice lâche un long râle de plaisir couronnant l’atteinte de l’orgasme.
– Allez, à toi maintenant, fais aussi bien !
Je prends Alice par les hanches et l’attire à moi. Elle s’assied sur le vît tendu. Je la tire en arrière par les épaules; elle est allongée sur mon torse. Je lui prends les seins à pleines mains et les caresse, malaxe les tétons raidis; je sais qu’elle adore ça. Je descends mes mains jusqu’à son entre jambes et écarte ses lèvres.
– Vas-y Anne prends la devant maintenant.
– Ho, oui ! Une double, super ! Il y a longtemps que j’en n’ai pas eu !
On accorde nos mouvements et emmenons Alice vers un autre orgasme. Anne se retire et me prend les couilles qui durcissent.
– Humm ! Monsieur ne va pas tarder. J’ai une petite soif, moi !
Alice a compris et se lève, laissant Anne placer sa bouche pour recevoir mon sperme. Elle me branle rapidement et en quelques allers-retours, j’éjacule. Elle n’en perd pas une goutte et avale tout.
– Égoïste, tu aurais pu m’en laisser, lui dit Alice.
– Hé, dis donc, tu en as quand tu veux toi !
Moi, je suis aux anges !
En attendant, nous n’avons encore rien mangé. Alice propose qu’on fasse dînette.
Alice et Anne s’affairent en cuisine et en une demi-heure apportent des plateaux comportant légumes crus taillés, avec leurs sauces, roast-beef, froid poulet froid, mayonnaise et moutarde, fruits frais de saison et secs.
Après ce frugal repas, nous décidons de monter nous coucher, demain nous aurons du pain sur la planche. Nous décidons de dormir ensemble. Une nuit tranquille avec deux femmes, le rêve !
Comme j’aurai dû m’en douter, je suis réveillé en fin de nuit par des caresses subtiles qui me sortent lentement du sommeil. Anne, évidemment, qui a une faim de louve mais qui, au quotidien, n’a rien à se mettre sous la dent, les sens exacerbés, profite de la présence d’un homme à ses côtés. Elle se penche sur mon sexe et, tenant mon prépuce entre ses dents, me décalotte pour me sucer le gland. Je remarque que, de sa main libre, elle masturbe gentiment Alice qui sort elle aussi du sommeil.
C’est doux et tendre, mais à mon avis, ça ne durera pas. Mon érection n’est pas encore complète qu’elle me chevauche et commence à monter et descendre doucement pour ne pas risquer de m’éjecter.
Alice est maintenant totalement réveillée et se mêle à la scène, caressant Anne de la nuque aux fesses en passant par devant, malaxant les seins. L’effet de ma queue enfin en érection totale et des caresses d’Alice l’amènent rapidement à la jouissance. Elle délaisse ma queue détrempée par son foutre et se jette sur Alice qui ne demandait que ça; en soixante neuf, les voilà qui se sucent le clitoris, se lèchent la vulve, s’enfoncent des doigts, devant, derrière, un corps à corps endiablé qui se termine par leur orgasme commun arrivant presque au même moment. J’assiste à la scène tout en m’astiquant le manche afin de garder mon érection; au moment où elles se lâchent, je m’accroupis derrière Anne qui est dessus et, après une feuille de rose bien appliquée, je place ma queue à l’entrée de son cul et la pénètre d’une seule poussée qui lui arrache un cri de surprise et, très vite des soupirs de plaisir. Alice, toujours en dessous me saisi les couilles, les malaxe et les tire vers sa bouche pour les lécher tout en m’introduisant un doigt dans le cul. C’en est trop pour moi et le plaisir commence à monter. Alice le sent et me sépare d’Anne, tire ma queue vers le bas en direction de sa bouche dans laquelle j’éjacule abondamment.
Voilà une nuit qui s’achève de la meilleure des façons !
Au matin, Anne est la première levée et, comme elle connaît maintenant la maison, s’est occupée du petit déjeuner. Quand je descends fraîchement douché, le parfum du café me titille les narines et c’est avec un large sourire que je salue notre invitée tout en la remerciant de sa gentillesse.
– Pour ce que je t’ai fait cette nuit ? Y a pas de quoi ! J’en avais tellement envie !
– Non, pour avoir préparé le petit déj’ !
– Goujat ! Je pensais que tu allais me sauter au cou pour le plaisir que tu as eu !
– Aussi, mais c’était surtout pour toi le plaisir, non ?
– Oui et je recommencerais bien maintenant. Je ne suis pas encore rassasiée. Mais je préfère attendre qu’Alice soit là.
– Elle ne va pas tarder, elle se levait quand j’ai quitté la salle d’eau.
Effectivement la voilà qui apparaît dans l’encadrement de la porte, vêtue d’un de mes tee-shirt.
– Bonjour, vous discutez de quoi tous les deux ?
– Anne me faisait part du fait qu’elle n’est pas encore sevrée et qu’elle a envie de se faire sauter !
– Comme ça, de bon matin ?
– Oui ! Enfin, après le petit déjeuner, quand même ! On n’est pas des sauvages ! Reprend Anne.
Une fois le petit déjeuner englouti, elle grimpe sur la table, s’imbibe le clitoris de confiture et, s’asseyant devant moi, jambes écartées me demande :
– Tu veux bien me lécher ?
– Comment pourrais-je refuser une telle invitation ?
– Ça sent le début de l’orgie ton truc, Anne, dit Alice. Tu aimes le Nutella ?
– J’adore ça.
– Et bien, je vais t’en donner. Alice fait comme Anne tout à l’heure, mais elle se badigeonne complètement la chatte avec le chocolat. Elle se positionne debout devant Anne, me tournant le dos. De ma position j’ai une vue en contre plongée sur ses fesses et, comme elle écarte les jambes, sur son sexe barbouillé.
Je lèche avidement Anne qui prend son pied relativement vite, elle devait être déjà sacrément excitée.
Elle quitte l’entrejambe d’Alice le visage chocolaté !
Je sens que ça va encore dégénérer. Je me lève, retire mon pantalon et leur propose :
– Vous préférez quoi ? Confiture ou Nutella ?
– Moi Nutella, dit Anne
– Moi, confiture ! Dit Alice
Ni une ni deux, je prends les deux pots et me met de la confiture sur un côté et du Nutella sur l’autre !
– Allez-y, il y en a pour tous les goûts, maintenant !
– Et les couilles ? Demande Alice.
Certes ! Je mets donc du Nutella sur la gauche et de la confiture sur la droite !
– Ça ira comme ça ?
– En tout cas, c’est beaucoup mieux, ça fait fini !
Elles sont descendues de la table pour me lécher et comme j’ai les doigts maculés des deux substances, je m’essuie sur leurs seins. Le léchage commence et dure jusqu’à épuisement des douceurs. Et quand il n’y en a plus sur l’un ou l’autre d’entre nous, nous en remettons; sur le ventre, les fesses, les seins, partout où l’on aime lécher ou être léché. Au bout des deux pots, nous sommes collants de sucre et de pâte à tartiner et de plus super excités. Je les baise et les sodomise, l’une à la confiture, l’autre au Nutella ! C’est un foutoir sans nom, et on rit comme des fous. On cesse un instant le jeu, on se regarde.
– Es-tu sûr que ce ne soit que du chocolat sur ta queue ? Demande Alice.
– Bonne question ! Y a rien de moins sûr ! S’exclame Anne.
– Vous n’avez qu’à goûter et vous saurez ! Réponds-je.
– Gros dégueulasse ! Tu es un porc !
– Et vous deux truies en chaleur !
N’empêche qu’Anne se met à genoux devant moi et goûte à ma queue pour en avoir le cœur net.
– Je crois qu’il y a un autre goût, assure-t-elle
– Hé bien, sans moi ! Dit Alice.
– Tu as tord, mélangé ça passe !
– Mais tu vire au scato ! Anne, ressaisis-toi, nom de Dieu ! Allez, tout le monde à la douche ! On reprendra après, mais propres !
– Comment tu vas faire ton orgie romaine, si tu n’aimes pas un minimum de débordement ?
– Disons, que là c’est le petit déj et que le soir je ne vois pas les choses de la même façon. Et puis là, on n’est pas dans le contexte !
– N’empêche ! Il faut bien que tu te fasses à des petites surprises, les partouzes ce n’est pas toujours programmé avec douche préalable !
– Qu’est-ce que tu en sais ? Y a deux mois tu étais encore presque vierge !
– Je me suis documentée !
– C’est bon, c’est bon, les filles ! Allez, on va se faire tout propres et après on bosse sur la soirée. On a du pain sur la planche !
– Oui, patron !
Nous allons vers la douche qui est près de notre salle de sport. En chemin, je porte attention aux deux corps qui me précèdent. Elles sont vraiment crado et ça les rend encore plus belles. Elles ont quelque chose de sauvage. Je me dis également que je dois être dans le même état, bariolé de rouge, brun et jaune, de la tête aux pieds. C’est vrai qu’on s’en est bien donné !
– Tu sais quoi ? Nous dit Alice, j’ai un peu mal au cul ! La confiture ce n’est pas vraiment lubrifiant !
– Le Nutella non plus, dit Anne, moi aussi, ça me pique un peu !
– Et moi, vous croyez quoi ? Que j’ai la queue en acier ?
– Ça se saurait et surtout ça se verrait ! Répond Alice en regardant mon sexe pendouillant entre mes jambes.
Les deux femmes se marrent à la vue de ma bite maculée de chocolat, de confiture et aussi d’excréments.
Avant d’ouvrir le robinet, comme j’ai une petite envie, je me tourne vers elles et prenant ma queue en main, leur pisse dessus.
– Un petit coup de jet pour enlever le plus gros ! Dis-je
– Dégueulasse ! Lance Alice qui, tirant son pubis vers le haut me rend la pareille.
Anne, pour ne pas être en reste nous imite. La douche est devenue pissotière. Nous finissons enfin par ouvrir l’eau et nous savonner avec de grands éclats de rires. Cet intermède nous a quand même pas mal excités. Alice, sort de la douche en m’entraînant avec elle. Je m’assois sur le banc de musculation et elle s’assied entre mes jambes, me prend le sexe et commence une fellation énergique. Malheureusement, je ne sais pas pourquoi, la machine ne se met pas en route; c’est bien la première fois que je rencontre une telle panne !
Elle a beau s’acharner, rien n’y fait, je reste mou !
– Hé, bien qu’est-ce qu’il se passe mon chou ? Demande-t-elle surprise, elle aussi.
– Je ne sais pas, je ne comprends pas; pourtant j’en ai envie !
– Attends, je reviens. Anne prends ma place.
Alice part quelques instants, Anne essaye aussi, mais n’y arrive pas plus ! Alice revient avec du gel et un plug anal. Elle me badigeonne, me pénètre avec un puis deux doigts, je sens de l’excitation, mais aucune raideur ne vient la concrétiser. Elle me plante le plug, je ressens des vibrations mais ça s’arrête là.
– Écoutez, l’acharnement thérapeutique ne sert à rien, passons à autre chose, on verra plus tard.
– Tu as raison, inquiétons-nous de la soirée.
– A ce propos, si on l’organisait ici, dans la salle de gym ? On a le sauna, le Spa, tout ce qui convient à une orgie romaine !
– Ce n’est pas idiot; il y a largement la place d’y accueillir tous nos invités. On mettra des coussins et des matelas tout autour. Mais on va commencer par les invités pour savoir combien sont prêts à venir.
Nous prenons donc nos téléphones et appelons tous ceux que nous avons listés. Pierre et Viviane, les premiers appelés sont bien entendu partants. Lucie et Yann, qu’Alice avait déjà contactés applaudissent des deux mains. Henri et son épouse, Martine, sont tout à fait d’accord et se chargent de trouver trois ou quatre couples de plus, ils nous rappelleront dans la journée. Anne se charge de ses jeunes amis à qui elle doit expliquer ce dont il va s’agir. Un des gars et une de ses copines se font réticents; mais Anne persuasive les convaincs qu’ils vont connaître une expérience unique; les autres, curieux acceptent assez aisément. Elle s’occupera également de rédiger des parchemins confirmant l’invitation et indiquant le chemin à suivre. Alice décide de préparer les tenues, des toges qu’elle confectionnera dans du tissu léger. En attendant elle récupère un vieux drap blanc qu’elle découpe et me fait essayer, pour voir ! L’idée de nudité sous le tissu est assez excitante, d’autant qu’elle choisira un tissu le plus fin possible et qu’il couvrira le moins de chair possible !
Je propose d’agrémenter le décor de quelques colonnes en plâtre et de tissu drapé, tendu le long des murs. Alice qui a un bon coup de crayon dessinera des scènes érotiques et la salle sera entourée de cierges en forme de phallus.
Les scènes sont prêtes, les invités prévenus, ne restera que la mise en place. Je décide que je donnerai congé au personnel de ma boite entre noël et jour de l’an. Nous aurons ainsi tout le temps nécessaire, à trois d’arranger la maison.
Il n’est pas loin de 14 heures, lorsque nous décidons de faire un break et nous restaurer.
Je nous débouche une bonne bouteille de blanc, toujours vêtu de ma toge et me présente au salon, la bouteille d’une main et trois verres dans l’autre, tel Bacchus devant ses adoratrices.
Mon blocage semble se dissiper car je sens mon sexe réagir; est-ce à cause du plug que j’ai toujours entre les fesses et qui fait son effet quand je me déplace, ou bien simplement le fait d’avoir pensé à autre chose toute la matinée, n’empêche que mon sexe réagit au frottement du tissu. Elles s’en aperçoivent les garces !
– Hoo ! Mais il semblerait que césar ailles mieux !
– Ha, oui ! C’est flagrant et ça s’arrose !
Je leur sers un verre et, m’allonges sur les coussins devant la cheminée. Ma toge glisse sur ma hanche et se trouve retenue par mon sexe qui reste couvert. De ma position, vu qu’elles sont assises dans les fauteuils, j’ai la vision des leurs ce qui me met en émoi. J’essaye de rester distant et serein devant cet étalage.
– J’ai une idée pour tes accessoires, toi qui est si à l’aise en travaux manuels, dis-je à Alice.
– Ha, oui ! Et quoi, Par exemple ?
– On pourrait faire des moulages de ta chatte pour en faire des cendriers, non ?
– Oui, tout à fait et du reste je pensais faire un moulage de ta queue pour les cierges.
– Elle est un peu courte pour des cierges, non ? Lance Anne.
– On peu l’allonger après moulage. Ce qui compte, c’est les détails, pour faire réaliste, comme la grosse veine qui parcoure la hampe, ou bien le gland et à sa base les plis de la peau du prépuce. Bref tous les détails !
Nous décidons de manger et de nous occuper de ça après déjeuner.
Vers quinze heures, le téléphone sonne, c’est Martine qui nous appelle pour nous faire le point sur les invités.
Nous apprenons ainsi qu’Henri et Martine seront bien des nôtres, ainsi que Ghislaine et François et Patrick et Corinne, sa musculeuse épouse. Les autres étaient déjà pris.
Nous serons donc seize en tout. C’est finalement suffisant !
Sur ce, pendant qu’Anne et moi débarrassons la table, Alice prépare son plâtre pour les moulages.
Une fois que tout est prêt, elle nous guide, elle seule sait ce qu’il faut faire.
– On va commencer par moi, nous dit-elle en montant sur la table. Vous allez d’abord me badigeonner de vaseline partout où il y aura du plâtre. Ensuite vous placerez les fines bandes que j’ai préparées et enfin, vous appliquerez le plâtre.
Elle écarte largement les jambes, Anne la tartine de vaseline en débordant largement. Elle lui écarte les lèvres et applique les bandelettes en prenant soin qu’elles s’insinuent dans tous les plis pour que le moulage soit le plus détaillé possible et, par-dessus, la plâtre abondamment. En quelques minutes, le premier moulage est fait, il est impressionnant de réalisme ! Il ne manque pas un détail de sa chatte et de son clitoris.
– Pas mal dit Alice en voyant le moulage, on va maintenant s’occuper de faire de même pour les bougies et les cierges !
Je monte sur la table, à sa place, mais là une question se pose à elles.
– Il faudrait peut-être que les couilles servent de base, non ?
– Oui, et placées comme ça, ce n’est pas terrible ! – en effet mes testicules, pendent entre mes jambes, le long de mon périnée.
– Attends, j’ai une idée. On va mettre une planchette et les poser dessus. Dit Alice.
– Bonne idée ! Par contre au niveau de la queue, même dure, on n’aura pas le gland hypertrophié qu’on aime tant !
– Là aussi, j’ai la solution ! Une sodomie fera l’affaire !
– Je m’y colle ! Lance Anne, exaltée.
Alice me pompe le dard pour le raidir. Une fois la rigidité nécessaire atteinte, Anne monte à cheval sur moi et s’embourbe la queue bandée, toute excitée du jeu !
Alice, assiste en spectatrice à la scène, une idée lui vient :
– Attendez, je vais faire un moulage de l’ensemble. Je ne sais pas encore à quoi il servira, mais on l’aura ! Anne, remonte bien pour qu’on ait la longueur de la bite.
Comme précédemment, nous l’avions fait pour elle, elle applique l’emplâtre et moule l’ensemble de la scène de mon cul au pubis d’Anne. Une fois le moulage pris, elle part chercher une planchette de bois dans le garage; en attendant, Anne en profite pour se ramoner le conduit !
Quand Alice revient, elle a réussi à se faire jouir.
– Le but était de gonfler la queue de Bernard, pas de t’éclater ! Lui lance Alice quelque peu frustrée.
– L’un n’empêche pas l’autre ! Lance Anne le regard lubrique. Tu en veux aussi ?
– On verra après, pour l’instant, je moule ! Allez, sors de là !
Anne s’exécute. Ma queue est dure comme du bois et gonflée à souhaits. Anne tient la planchette pendant qu’Alice m’emplâtre le service trois pièces. Ses mains tremblent un peu, elle est visiblement excitée par l’activité « artistique » !
Une fois le moulage retiré, je descends de la table et, la penchant dessus, la prend par derrière. Sa vulve est détrempée, confirmation de son excitation, et je lui ramone la chatte à la hussarde. Elle ne tarde pas à prendre son pied.
– Houaouu ! Ça fait du bien ! J’en pouvais plus de mouler sans en profiter ! S’exclame-t-elle.
– Et moi, je suis content d’avoir retrouvé un fonctionnement normal ! Dis-je.
– C’est vrai que tu nous as un peu inquiétées, tout à l’heure ! Reprend-elle.
– Qu’est-ce que tu fais de tout ça maintenant ? Demande Anne en montrant les moulages.
– Je les laisse durcir et après, je les utiliserai pour faire les objets de décoration. Je te montrerai comment on fait.
En attendant, on va se doucher pour nettoyer les résidus de plâtre et, sortis de la douche, décidons de se faire une séance de Spa qui nous fait le plus grand bien.
Nous commençons sérieusement, profitant des bienfaits des remous et, très vite, exploitons les massages prodigués par les bulles. D’abord assis sur les buses, je me fais masser l’anus et les testicules, puis sur le ventre, je me fais secouer la bite. Les filles ne sont bien sûr pas en reste et se font astiquer le clitoris. Lorsque nous sommes bien chauds, nous arrêtons le jeu. C’est un peu maso, mais faire durer ainsi la montée du plaisir est vraiment délicieux ! Je les prends l’une après l’autre en prenant soin à chaque fois de m’arrêter juste avant l’orgasme. Au bout d’une heure de ce petit jeu, nous sommes en feu; un rien peut déclencher la jouissance. Nous en mourrons d’envie et, en même temps aimons cette situation où nos corps sont électriques, parcourus de décharges; nous sommes trempés par la sève lubrifiante que nous émettons, elles surtout, bien que j’ai l’impression de n’en avoir jamais vu couler autant de mon méat. Nous léchons ce jus délicieux, nous en servant aussi pour nous caresser les bouts de sein et surtout l’anus. N’y tenant plus Anne et Alice se branlent mutuellement et jouissent ensemble d’un orgasme puissant. Je respire un grand coup, histoire de faire passer la montée de sève, mais de les voir ainsi vaincues j’ai trop envie de les rejoindre. Je m’approche et me branle au dessus de leurs têtes. Mon premier jet est pour la bouche d’Alice, le deuxième pour celle de Anne, ma queue n’arrête pas d’avoir des contractions et mon sperme coule en quantité. Elles approchent leurs langues et récupèrent tout ce qu’elles peuvent et s’embrassent fougueusement, s’échangeant mon jus.
Je mets bien dix minutes à m’en remettre ! Dans la joie et la bonne humeur, nous arrosons cette extase atteinte en osmose.
Il y aura bien encore, au cours de la soirée, quelques attouchements, quelques banderilles, mais dans l’ensemble nous restons calmes et retravaillons à la préparation de la soirée.
– J’ai des idées nouvelles qui me viennent, dit Anne. Si on décorait le salon avec des tronçons de corps en plâtre, puisque tu maîtrise la technique ?
– Effectivement, on peut faire des bustes, des bas ventres, des pieds et des mains !
– On fera ça demain ? Demandé-je.
– Oui, là, il est un peu tard. On va aller se coucher, demain il fera jour.
A suivre
Une belle partouze en effet, j’en bande encore !
Une magnifique partouze, décontractée et sans tabous !