A la Ferme
par Mondoi
J’aide mon oncle et ma tante à la ferme pour les vacances et ils s’occupent bien de moi, surtout ma tante qui aime bien les jeunes » bien faits », comme elle dit, elle me touche souvent les cuisses ou les fesses par ce que je suis musclé, dit-elle devant son mari qui rigole de me voir gêné.
De mon côté, faut dire que je n’ai pas de copine sous la main et que ça y va la « veuve poignet », je pique discrètement des culottes à ma tante dans le panier à linge sale et les humes en me masturbant, au début je ne reniflais que les auréoles, la partie de devant si vous voyez ce que je veux dire, l’entre-jambe, parfums intimes de femme, mouille et pipi puis imperceptiblement j’ai glissé vers les tâches plus foncées de l’arrière, le rapport à l’anus, je touchais le mien en me masturbant, un doigt pas plus, en imaginant que c’était ma tante qui me le faisait, j’éjaculais dans la culotte et la remettais en place au linge sale.
Un après midi où je la croyais à faire son potager, elle m’a surprit en pleine action dans la buanderie, la culotte dans la bouche, la verge à la main et un doigt dans le cul, mais contrairement à la réaction de reproches que j’attendais, elle est entrée et a refermé la porte avec le verrou puis me regardant, elle a sourit.
– Ahaaa, c’est toi le petit cochon qui fouille dans mon linge sale, un moment j’ai pensé que c’était ton oncle mais bon, je le connais et il a tout ce qu’il veut avec moi.
– Heuuu… pardon Tatie… je ne le ferais plus…
– Ho, tu peux continuer, ça ne me dérange pas si tu aimes mes parfums, fais-moi voir ton bel oiseau.
Je suis surpris par la tournure des évènements, voila ma Tatie qui veux voir mon sexe que je cache désespérément avec mes mains et sa culotte.
– Enlève ça et fais donc voir ce que tu fais, me dit-elle en m’enlevant les mains. Eh ben dis donc mon neveu, tu as un beau manche de pelle, c’est avec ça que tu fais des grosses tâches dans mes culottes ?
– Heuuu… oui… Tatie… pardonne-moi.
– Il faut bien que jeunesse se passe, dit-elle en me prenant la verge à pleine main.
– Je sais bien qu’il n’y a pas de filles de ton âge par ici et qu’il ne te reste que cette solution pour te soulager mais tu sais que tu peux demander à ta Tatie chérie de te faire un gros câlin ? me propose-t-elle en me massant la queue.
– Vraiment Tatie… je… c’est gentil… mais que va dire Tonton ?
– Ton Tonton est très large d’esprit tu sais, et bien sûr, il faut savoir lui faire plaisir aussi, je peux lui en parler si tu veux ?
– Tu veux dire qu’il aime les garçons ?
– Il aime tout, si tu vois ce que je veux dire, ça va lui plaire une belle chose comme la tienne ?
Tout en discutant, ma Tata a humecté mon prépuce avec de la salive et a glissé un doigt dedans, elle me tripote le gland et l’urètre sans me décalotter et c’est très agréable, j’ai une gaule de fer et j’attends la suite.
– Je lui en parle ce soir si tu es d’accord, pour l’instant, je vais m’occuper de toi toute seule, tu vas voir ce que ta Tatie sait faire.
Joignant le geste à la parole, elle s’accroupit et du bout des lèvres commence à me téter le prépuce puis elle me décalotte avec sa bouche en me prenant les testicules dans une main, les malaxant comme pour en faire sortir le jus, elle me branle de l’autre, alternant suçage, léchouilles, pompage, une vraie gourmande, sa main sur mes couilles remonte dans ma raie et un doigt vient caresser mon anus que j’avais mouillé de salive avant qu’elle ne me surprenne.
– Mais dis-donc mon neveu, je vois que ton petit trou est tout trempé, serais-tu amateur de plaisirs spéciaux comme ton Oncle ? me demande-t-elle en le caressant.
– Heuuu… non… je transpire…
– Ah ouiiii… je vois… lui aussi transpire de là quand il veut que je lui prenne sa température avec mon doigt, tu veux ?
– Ben… c’est que… je ne…
– Aller, laisse-toi faire, je suis certaine que tu aimes ça, dit-elle en me le rentrant dans les fesses.
Effectivement, j’apprécie de suite sa façon de faire, elle me doigte en douceur en me suçant le sexe, elle va plus profond dans mon sphincter que moi pendant mes attouchements solitaires, je ne tiens pas longtemps, la double caresse provoque rapidement la montée de mon plaisir, la situation troublante y est aussi pour quelque chose, je me retiens encore un peu mais la sensation est trop forte, je lui éjacule dans la bouche avec un râle de jouissance bestial.
– Hummm… Hummm… fait-elle… tu avais les couilles pleines mon neveu et quel régal, tu as gâté ta Tatie avec tout ce bon sperme.
– Merci Tatie pour la… enfin je veux dire… le câlin…
– Oh tu sais, tu peux dire la pipe, ne te gêne pas avec moi, il faut appeler une chatte, une chatte, d’ailleurs à ce propos, j’aimerais bien que tu t’occupe de la mienne, tout cela m’a fait mouiller ma culotte et elle est en feu, surement parfumée comme tu aimes.
Elle trousse son tablier et sa robe campagnarde devant moi, m’exposant son sous-vêtement en coton blanc qui pend à l’entre-jambe, alourdit par ses sécrétions, laissant dépasser les poils hirsutes de son buisson non taillé, elle tire vers le haut sur l’élastique de la taille pour faire rentrer le tissu dans sa fente, ses grandes lèvres broussailleuses s’en échappent, sa mouille lui lustre le pelage, sur le devant j’aperçois une grande tâche d’humidité jaunâtre, elle s’est laissée aller depuis ce matin sans doute.
– Viens là… me dit elle en s’asseyant sur le rebord du lavoir, jambes largement écartées, viens sentir ta Tatie qui mouille pour toi.
Me voila penché entre ses cuisses, lui humant la culotte, effectivement, elle sent bon la femelle en chaleur et le pipi, elle me prend par les cheveux pour m’attirer sur sa motte odorante et me fait comprendre que je dois la lécher ce que je fais avec plaisir, pour une fois que j’ai son parfum en direct, à la source, j’écarte le tissu et pose ma bouche sur les chairs brulantes de désir, sa vulve est énorme, ses grandes lèvres sont gonflées comme des pneus et les petites pendent comme des escalopes flétries mais juteuses, de deux doigts, elle décalotte son clitoris qui n’est pas comme la moyenne, c’est un demi cornichon en forme de petite bite qui dégage un parfum entêtant, je mange le tout comme un affamé, fouillant dans ses replis intimes, buvant son jus délicieux, fourrant ma langue dans son puits d’amour qui suinte de liqueur, ma Tatie se met à glousser comme une pintade.
– Ouloulou… ouloulou… comme tu manges bien Tata… ouloulou… n’oublie pas ma petite rosette non plus…
Comprenant qu’elle parle de son anus, je descends lui humer la raie, direction le petit trou, là non plus, ce n’est pas une rondelle ordinaire, la chose est bombée vers l’extérieur, comme un volcan, il n’a plus de plis mais un rebord comme les lèvres d’une bouche en anneau prête à sucer un sucre d’orge, d’après moi, elle doit s’en servir souvent pour autre chose que celle pour lequel il est prévu, l’odeur qui s’en dégage sent bon la campagne si vous voyez ce que je veux dire, c’est supportable, même quand j’y passe la bouche, il est souple et entre-ouvert, on dirait qu’il me parle, j’y rentre la langue continuant à doigter la vulve de ma tante.
– Ouloulou… ouiiii… c’est bien comme ça… plus profond en bas…
Elle réclame une pénétration plus envahissante pour son sphincter et je remplace ma langue par mon index, je le lui enfonce complètement et lui fouille le conduis.
– Plus gros… plus gros… me supplie t’elle
Je rajoute mon majeur dans l’orifice qui l’accueil sans résistance, elle prend bien ma Tata, mon oncle doit lui ramoner souvent la cheminé pour qu’elle soit aussi souple, je me mets à espérer un éventuel coït anal avec elle et recommence à bander rien que d’y penser, j’active mon doigtage rectal et suce son cornichon avec une telle avidité que ma Tatie en est secouée de spasmes, elle m’encourage à garder le rythme.
– Ouiii…ouiii…n’arrête pas…Haaaaaa…bouffe-moi…bouffe-moi…Haaaaaa…
Elle jouit sur ma bouche en laissant échapper de petites giclées de liquide qui m’arrosent le visage, j’en avale pour goutter, ce n’est pas du pipi.
Elle remet le devant de sa culotte sur sa moule dégoulinante en la faisant bien adhérer à sa fente.
– Ca c’est pour ton Oncle, il va adorer l’odeur, il est comme toi.
Elle avise ma nouvelle érection que je n’arrive pas à ranger dans mon pantalon tellement je suis encore excité.
– Oh mais dis donc, tu as encore du répondant, faut que ton Tonton voit ça, je suis sûre que ça va lui donner envie.
– Envie de quoi Tatie ?
– De se la prendre dans le derrière, ton Oncle est un gros cochon sodomite, il aime bien m’enculer mais aussi « se faire enculer » et avec le morceau que tu as, tu vas lui faire plaisir.
– Mais je n’ai jamais fais ça avec un homme Tatie
– L’appétit viens en mangeant, tu verras, tu n’auras qu’à commencer par moi, me dit-elle en me prenant fermement par le bras.
– Viens, ont va le rejoindre dans l’étable, il est en train de changer les litières, m’ordonne-t-elle en accélérant le pas.
Je ne proteste plus, elle est un peu autoritaire et je ne veux pas la contrarier, après tout, c’est les vacances et le temps des expériences nouvelles, un anus est un anus, de la femme comme de l’homme, il sert à la même chose et une fois dedans, on ne voit pas la différence.
Nous arrivons à l’étable un peu essoufflés, Tonton est là, répandant de la paille fraîche avec sa fourche, il nous voit entrer et s’arrête pour nous observer.
– Eh ben…! Vous avez l’air bien pressés…! Qu’est-ce qu’il vous arrive ? demande-t-il.
– C’est ton Neveu, je viens de le trouver dans la buanderie avec une de mes culottes à la main et dans l’autre, je ne te dis pas ce qu’il avait, le cochon !
– Ben si… dis-moi…
– Regarde… dit-elle en m’ouvrant le pantalon, regarde ça !
Elle extrait ma verge bandée de mon slip, la tenant entre ses doigts pour lui présenter l’engin, je suis rouge de honte, je n’ai jamais bandé devant un homme, encore moins de la famille.
– Ha ça alors, il est bien monté mon neveu dit-il en s’approchant, tu y as goutté ?
– Juste une sucette pour le calmer mais ça n’a pas suffit, je crois qu’il lui faut quelque chose en plus, si tu veux bien.
– Pour sûr, on ne peut pas le laisser dans cet état, dit mon Oncle en venant me la prendre dans sa main, un beau truc pareil en plus, ça peut nous faire du bien où je pense, rajoute-t-il en se penchant pour m’emboucher et entamer une fellation.
– En plus, il est encore puceau de derrière, lui précise ma Tante.
– Fais-voir ça mon Neveu dit-il en passant une main entre mes cuisses, un doigt vient immédiatement me titiller la rondelle.
– Dis-donc, c’est toi qui lui as préparé le p’tit trou ? demande-t-il à sa femme.
– Quand je l’ai surpris, il avait déjà un doigt dedans, alors je l’ai aidé comme il a l’air d’aimer ça.
– C’est t’y vrai ça mon Neveu, que tu aimes te faire visiter le trou de balle ?
– Heuuu…ben…Tonton…je ne…
– Soit pas gêné avec nous tu sais, moi j’aime ça et même plus, tu n’as jamais joué avec un garçon ?
– Heuuu…non…
– Hé ben on va te montrer si tu veux ?
– A moi d’abord, dit ma Tante en se troussant de nouveau, il ne faut pas le brusquer c’te jeune, il va venir visiter sa Tata et après je te le laisse pour faire son éducation, si tu veux ?
– Oui, faisons comme ça, allez le jeunot, vas faire un tour dans ta Tatie, je regarde.
– Tiens, prends ça en attendant, dit ma Tante en lui tendant sa culotte souillée, elle est à point.
– Holà, pour sur qu’elle est à point, dit-il en la reniflant, tu as fais ça toute seule?
– Non…il m’a fait minette, c’est un bon p’tit gars qui sait faire plaisir à sa Tatie explique-t-elle en prenant appuis sur la brouette de foin pour me tendre ses fesses.
– Viens là le Neveu, me dit-elle en me désignant sa raie poilue, viens me prendre la température avec ton gros thermomètre.
J’obtempère avec plaisir en lui ouvrant le cul des deux mains, j’ai envie de fourrer et mon dard trouve de suite l’entrée du fourreau à plaisir, pas besoin de préliminaires, l’anus humide m’accueille comme mes doigts tout à l’heure et je m’y enfonce avec délectation, la forêt parfumée de sa raie me frotte le sexe à chaque mouvement, je suis bien dans ma Tatie, les contractions de son sphincter enserrent ma tige et provoquent des sensations délicieuses à chaque fois que je m’enfonce en elle, de son côté mon Tonton a sortit sa queue et se masturbe en me caressant les fesses, il est sacrément bien monté, je crains le pire quand il va vouloir me la mettre, mais ses attouchements dans ma raie sont précautionneux, il y va en douceur, comme sa femme, cela me rassure et me fait me détendre, il trempe même ses doigts dans la graisse à traire les vaches pour me lubrifier, aussitôt et sans forcer, il commence à me faire un touché rectal profond que je trouve très agréable, sans doute avec son pouce car je sens ses autres doigts me masser les couilles.
– A moi maintenant, dit-il en baissant son pantalon et son caleçon, mon Neveu va me faire goutter à son outil, ça fait longtemps que je n’ai pas eu une belle bite dans le derrière.
– Oui, viens prendre ma place, lui dit sa femme en se relevant, il va te remplir.
Mon Oncle me tend son joufflu tout blanc et ma Tante lui écarte les fesses pour lui étaler un peu de graisse à traire sur l’anus, son orifice est plus serré que celui de ma Tata, cerné de poils comme elle, je vois ses grosses couilles velues qui pendent entre ses jambes et la pensée de me faire arroser de sperme m’effleure, je me dis que ce sera pour plus tard sans doute, il va surement vouloir me faire connaître tous les plaisirs, ma Tante vient de lui rentrer deux doigts dans le cul et les fait aller et venir en les vrillant dans le sphincter.
– Allez, viens ici, me dit-elle en me montrant l’orifice entre-ouvert, encule-le bien profond, il aime ça.
Je pose mon gland sur l’ouverture en pensant aller doucement mais ma Tatie me pousse sur les fesses pour me faire comprendre de l’enfiler d’une traite, je donne un coup de rein pour faire passer mon gland et le reste de ma verge suit, écartelant les chairs intimes de mon Tonton qui est beaucoup plus serré que son épouse, il pousse un grognement animal mais ne me fait pas de reproche, au contraire, il se cambre encore plus pour recevoir tout le morceau.
– Tu vois comme il aime ça, me dit ma Tante, une vraie petite pute, baise le bien maintenant, il ne demande que ça, défonce lui le cul mon Neveu, moi je vais le traire.
Je la vois se baisser pour saisir le manche de son mari et elle se met à le masturber d’une main, pendant que de l’autre elle se fourrage la motte, je fais comme elle a dit et entame une sodomie ramonante, sortant ma queue et la replantant dans la rondelle de Tonton qui grogne de plus en plus.
– Rhaaa…Rhaaa…Hummm…encore…
– C’est bien mon Neveu, continue, il ne va pas tarder à lâcher sa purée, mets-lui la tienne dans les fesses.
Je sens monter les prémices de la jouissance et je me retiens en attendant que mon oncle est pris son pied, ça ne tarde pas car je l’entends couiner et son conduis se resserre sur ma bite au moment où il éjacule, je jouis aussi et lui fais dans les fesses avec contentement, mon sperme donne à mes derniers coups de queue un bruit de succion et ressort sur les côtés, ma Tante me montre le jus qu’elle a récoltée au creux de sa main et me le donne à goutter, hésitant j’y trempe seulement la langue, du coup elle me l’étale sur la bouche et tout le visage, elle jouie en se finissant à la main et se met à pisser dans la paille.
– Tiens, bois le jus à Tonton, c’est plein de vitamines me dit-elle en riant
Je goûte et trouve que c’est agréable sur le palais, j’avale.
Nous avons finis les travaux de la journée après avoir récupérés, mon Oncle et ma Tante m’ont remerciés de leur avoir fait plaisir et m’ont promis de s’occuper de moi ce soir après le diner.
Effectivement, à la fin du repas, ma virginité rectale est revenue dans la conversation et mon Tonton s’est proposé pour me dépuceler le petit trou.
– Une fois que cela sera fait, a-t-il dit, tu te sentiras libéré dans ta tête et dans tes fesses.
– Ah ça, avait rajoutée ma Tante, il n’y a rien de mieux qu’une bonne enculade pour finir la journée, viens sur la table, je vais te préparer.
Me voila allongé à poil sur la table, les deux complices me léchant de partout, ça aussi c’est bandant, deux bouches qui te sucent, quatre mains qui te caressent et te branle, vingt doigts qui te trifouillent l’anus pour te préparer à te faire sodomiser, Tatie a été chercher de la graisse à traire pour me lubrifier.
– Ca va aider, dit-elle en me tartinant la rondelle et pousse bien quand ton Oncle va vouloir te rentrer son machin, ça facilitera l’enculage.
Mon Tonton m’a donné sa bite à sucer pendant que ma Tata me rentre deux doigts et je la prends dans la bouche avec plaisir, avec eux je me sens en pleine confiance et prêt à tout essayer, elle est grosse, avec un gros gland qui sent le pipi mais je lui fais une fellation comme ma Tatie me l’a fait, en lui massant les couilles, je me dis que demain je lui ferais une pipe jusqu’au bout pour voir si j’y arrive.
– Maintenant tu es prêt me dit Tata, comment veux-tu qu’il te la mette pour ta première fois, debout à la hussarde, à quatre pattes en levrette, à la missionnaire comme une femme, ou assis sur lui, à la turque ?
– Ben…Heuuu…c’est quoi le mieux ?
– Moi je te conseil de t’asseoir dessus, comme cela c’est toi qui te la rentrera, à ton rythme.
– Oui, c’est le mieux pour débuter dit mon Oncle, après je te ferais ce que je veux, viens là, rajoute-t-il en s’asseyant sur une chaise, la bite dressée vers le plafond.
Je viens devant lui et me retourne lui présentant mes fesses que j’écarte des deux mains en pliant les jambes, il m’attire sur lui en me pointant l’anus de son gland, la chose est dure et chaude, je sens qu’elle cherche son chemin un instant puis commence l’introduction, je pousse comme m’a conseillée ma Tatie, la graisse à traire fait le reste, la verge de mon Oncle me rentre dans le cul, ma Tata m’a bien préparée mais la douleur est vive, je suis envahis, écartelé, son dard est énorme pour mon petit anus vierge, je me laisse quand même glisser petit à petit sur la longueur de chair qui me sabre et bientôt je sens les poils pubiens me chatouiller la raie, ma Tante me branlotte le sexe d’une main secourable en me caressant les testicules.
Je reste un moment sans bouger une fois le morceau entré entièrement, je m’habitue à sa présence et attends la disparition des premières douleurs, je recommence à bander sous les attouchements de ma Tatie qui m’a pris en bouche, Tonton bouge sous moi en donnant des mouvements furtifs à son bassin, c’est agréable et cela m’encourage à tenter une remontée sur le bâton qui m’encule, ça me fait l’impression de me vider comme aux w.c. mais arrivé au bout, j’ai envie de la sentir en moi alors je me rassoie en me l’enfonçant moi-même, je trouve ce manège très jouissif et recommence plusieurs fois, la graisse m’a lubrifiée le boyau culier et ça glisse à merveille, un vrai bonheur.
– Haaa…je vois que tu commence à y prendre plaisir me dit ma Tante.
– Hummm…oh ouiii…c’est bon…une bite dans le cul, Tata.
– Tu vois, je te l’avais dis, maintenant pense à ton Oncle, il a peut-être envie de changer de paysage ?
– C’est pas de refus répond-il, j’le prendrais bien comme une femme, de face, à la missionnaire.
Ma Tante me relève et la queue fait un bruit de bouchon en sortant de mes fesses, elle me fait coucher sur la table en m’écartant les cuisses, le cul sur le rebord et mon Oncle vient me prendre comme cela, il me la rentre d’un coup et commence de suite à me buriner, la encore, ça m’a fait un peu mal mais je retrouve vite le plaisir d’être enculé et masturbé par ma Tante, cela va durer plus d’une demi-heure pendant laquelle ils vont tout me faire, toutes les positions, en prenant son temps, mon Oncle va me ramoner le cul à merveille, je ne suis plus qu’un trou que l’on baise, ma Tatie a pris une courgette dans le cellier pour se donner du plaisir en nous regardant, elle s’astique la moule profondément puis change d’orifice en se la rentrant dans l’anus, quand Tonton annonce qu’il va venir, je suis en levrette sous lui et sur la table depuis cinq minutes, ma Tatie s’encule avec le légume en se triturant les seins et la chatte sous mon nez comme une démente, les deux prennent leurs pieds presque en même temps, mon Oncle m’arrose le conduis de son sperme et ma Tata me gicle au visage, je décharge peut après en me finissant à la main.
Pendant quelques jours, Tonton ne touche pas à mes fesses car j’ai l’anus en choux fleur, par contre, je lui fais quelques pipes ou l’encule quand il me fait comprendre qu’il en a envie, pareil avec Tata, à la différence qu’elle va nous demander plusieurs fois une double pénétration et même un jour, de se faire fister devant puis derrière, plaisirs que nous lui donnerons bien sur, elle est tellement gentille ma Tatie, quand mon trou de balle a retrouvé sa forme initiale, je l’ai offert de nouveau à mon Oncle qui m’a enculé tout le reste des vacances et dans tous les endroits de la ferme, quand ça la prenait, ma Tatie regardait ou se joignait à nous, un jour elle a donné du plaisir à l’âne dans l’écurie pendant que je fourrais mon Oncle, elle l’a sucé et branlé à deux mains et s’est pris une douche de jus de couilles de bourriquot allongée dans la litière sous lui.
La fin des vacances est arrivée et ils m’ont fait promettre de revenir de temps en temps, bien sur ai-je dis, je vais même venir avec quelques copains et copines pour leurs faire connaître les plaisirs de la campagne.
Trop, c’est trop, on frôle l’overdose, et comme si ça ne suffisait pas il faut que l’auteur y ajoute un âne qui arrive comme un cheveux sur la soupe (ça c’est pour démontrer que j’ai tout lu jusqu’au bout)