Melina, travesti amateur
12 – Ma croupe du monde
par Melina
Il me fit monter directement dans sa chambre, sans me proposer un verre ou un café ! L’éducation se perd, ne pas prendre de gants lorsqu’une jeune fille vient pour voir ! Enfin, le monde est ainsi.
Bon, revenons au sujet. Je le suivis dans les escaliers et lorsque nous fûmes dans sa chambre, il se colla à moi et m’embrassa goulûment. Je répondis à son baiser et ma main glissa sur son pantalon pour voir l’état de la bête ! Elle vivait, je la sentais durcir dans sa prison. Toujours en s’embrassant, je défis sa ceinture, sa braguette, fis glisser son pantalon sur ses fesses et pris en main sa queue qui était très fine.
Je le branlais lentement, et n’en pouvant plus, je me laissais glisser à ses genoux pour le prendre en bouche. J’aime sucer des bites !
Il se retira de ma bouche, s’installa dans son fauteuil face à la glace de son armoire et me demanda de me déshabiller. Je fis aussitôt un strip-tease langoureux. J’enlevais mon pull puis fis glisser ma jupe pour lui apparaître en guêpière mauve et noire, string assorti bien entendu.
Il me demanda de me rapprocher de lui, et là me caressa les fesses et écartant mon string, il prit mon « clito » en bouche, il suçait pas mal ce vieux cochon.
Mais, moi, ce que j’aime c’est d’avoir une queue dans le ventre. Me retournant, je lui présentais mes reins et je m’empalais d’un seul coup sur cette queue qui rentra très facilement en moi. Je me voyais monter et descendre sur cette queue dans la glace devant moi et j’aimais cela.
Puis, il me fit arrêter ce manège pour que je me mette à quatre pattes sur le canapé. Les fesses largement ouvertes, il s’enfonça en moi et après quelques assauts il jouit dans mon ventre. Il me retourna, et s’allongeant sur le canapé, il me demanda de me branler au-dessus de lui, ce que je fis, et je l’aspergeais de ma mouille !
Arrivée chez lui, il m’offrit un verre de martini blanc bien tassé, sûrement pour me mettre en condition ! Bien que je n’aie pas besoin de cela, j’ai le feu au cul normalement sans aide extérieure !
Je m’installai donc sur le canapé de son salon, je portais une jupe et un tee-shirt noir, ainsi qu’une guêpière violette.
Nous papotâmes un peu, puis il m’ordonna de m’occuper de lui. Il se redressa et vint se mettre devant moi, j’ouvris sa braguette, fit descendre son pantalon et son slip et je pus enfin saisir dans ma bouche sa queue. Pendant que je le suçais, il me traitait de salope, de pute, ce qui m’excitait un peu plus. Puis se retirant de ma bouche, il me fit retirer ma jupe et mon tee-shirt, il enleva lui-même mon string et prit mon clito entre ses lèvres. Il me suça un peu, tout en me doigtant habilement.
Puis, il m’ordonna de me retourner et prenant un appareil photo il prit des photos de ma chute de reins. Entre chaque photo, il me donnait des claques sur les fesses ! J’aime cela, les sentir devenir brûlantes sous les coups. Il prit aussi un gode martinet et me fessa avec application. Je me tortillais sous les coups, mais ne cherchais surtout pas à m’enfuir ! Vous vous en doutez bien.
Il prit d’autres photos de moi entrain de le sucer, à quatre pattes ouvertes à des assauts virils, etc.
Lorsqu’il eut fini de faire joujou avec son appareil, je pus reprendre le sien et le pomper avec délectation. Sa queue allait et venait dans ma bouche, il me baisait ainsi. Je la sentais taper sur ma luette, et j’avais envie de la sentir s’enfoncer encore plus loin en moi ! Lorsqu’il la retirait de ma bouche, je devais lui dire que « j’étais sa salope de pute qui aimait sa grosse bite et que je la voulais encore dans ma bouche et dans mon cul ! » Bien entendu, je m’exécutais chaque fois, je suis une jeune fille obéissante !
Entre temps, il me faisait boire régulièrement du martini, il croyait peut être qu’ainsi je serai plus vulnérable, mais je m’offre sans retenue, donc pas d’artifices avec moi, soyez nature.
A la fin, il me fit mettre un pied sur un fauteuil, me courber en avant, ainsi mon cul lui était offert. Il m’emmancha d’un coup puissant et s’enfonça jusqu’aux couilles dans mon ventre. Je sentais sa queue vivre en moi, c’était bon, meilleur que les godes qu’il m’avait mit pendant la soirée.
Puis, il quitta mon ventre, me prit par la main et m’entraîna dans sa chambre. Là, il se coucha, je me mis sur lui et nous nous suçâmes mutuellement, puis il me remit en levrette et là, il me baisa jusqu’au moment où il jouit dans mon ventre.
Il me fit me branler devant lui, tout en prenant des photos de moi et je jouis moi aussi. Nous nous quittâmes heureux tous les deux, en espérant nous revoir, lorsque son amie sera de nouveau absente ! Ce que je regrette, car elle est superbe et j’aimerai bien me gouiner avec elle.
Je l’attendais donc en guêpière et avec ce gode autour de mes hanches. Il frappa à la porte, je lui ouvris et il aperçut ce qu’il espérait et redoutait à la fois ! Se faire enculer, lui le mec, sans devenir pour autant un PD. Les hétéros ont de ces crises d’identité que je n’ai pas moi.
Il s’appuya contre le mur, je me collai à lui et je lui roulais une belle pelle. Nos langues se mélangèrent et je lui mordis légèrement la lèvre. Mes mains ne restaient pas inactives pour autant, je le déshabillais, me laissais tomber à ses genoux et engobais sa queue qui prit immédiatement des proportions intéressantes. Elle me remplissait bien la bouche, et tout en la suçant, je l’imaginais déjà dans mes reins.
Il alla s’allonger sur le lit, je me remis immédiatement à la tâche et lui présentais cette queue en latex dont je m’étais harnachée. Il la négligea pour sucer mon clito, ce que j’ai préféré. Je le doigtais délicatement afin de préparer son cul à l’entrée du gode dès qu’il se serait mit en levrette.
N’en pouvant plus de sentir mon doigt aller et venir en lui, il me demanda de le prendre, mais doucement. Je mis donc du gel sur cette queue en latex et m’installant derrière lui, je la posais délicatement sur sa rosette. J’appuyais doucement et je vis cette queue artificielle entrer en lui. Il eut un sursaut, je lui parlais doucement en lui disant des choses gentilles, comme quoi il avait un beau cul, que j’étais heureuse de le prendre ainsi, etc. Il se détendit et se laissa aller. Je me penchais sur lui et lui prenant sa queue, je me mis à le branler en cadence de mes coups de reins. Mais, mon clito se mit à durcir de sentir ses allers et venues dans les reins de Bertrand. Je l’écartais du gode et le posant sur sa raie culière, je me branlais ainsi tout en l’enculant. Je sentis mon sperme affluer dans mon clito et je déchargeais sur ses fesses tout en enfonçant jusqu’à la garde le gode ceinture.
Je quittai ses reins, retirais cet harnachement, plongeais sur sa queue et le suçais jusqu’à ce qu’elle reprenne des formes agréables. Là, je me retournai, je me cambrais au maximum et il appuya sa queue contre mon nid de plaisir ! Je la sentais palpiter contre moi, puis je m’ouvris au maximum en triant sur mes fesses et là, n’y tenant plus il s’enfonça de toute la longueur de sa queue dans mon ventre. Il me pilonna sauvagement, sans doute pour se sentir de nouveau un homme et oublier qu’il était à ma place quelques instants plutôt ou pour l’apprécier, je ne sais, je n’ai pas eu le réflexe de le lui demander. Je pris mon pied et je jouis comme une salope que je suis.
Lui, il se retira et me demanda de me retourner. Il me fit mettre les jambes autour de son cou et m’encula immédiatement. Il me baisa avec force, puis sentant qu’il allait jouir, il se retira de mon ventre et m’envoya tout son sperme sur le corps. Il en avait un paquet, j’aurai préférais qu’il me gicle sur le visage et dans la bouche, mais presque tout tomba sur ma guêpière.
Puis ayant jouit, il s’allongea, je me couchais contre lui et nous nous caressâmes avec tendresse. Mais ayant jouit, comme tous les hétéros adultères, et j’en connais pas mal, il se sentit un peu mal à l’aise et me demanda si cela me gênait qu’il m’abandonne. Je lui dis qu’il pouvait repartir et que j’espérais que la prochaine fois qu’il resterait un peu plus longtemps.
Nous avons discuté un peu autour d’un café, puis il me demanda si je voulais monter dans la chambre. Baissant les yeux, je lui répondis oui d’une petite voix, j’aime jouer à la jeune fille effarouchée, les mecs ça leur plaît. Il m’amena dans l’escalier et me fit monter devant lui afin de voir mon balancement de hanches lorsque je grimpais ces marches. Une de ses mains me tâta les fesses en montant, ce qui me fit me déhancher avec plus de lascivité.
Arrivé dans la chambre, je vis qu’une femme dormait dans le lit. Lucien m’expliqua que c’était sa femme Monique, et que nous allions dans la chambre suivante pour nous aimer. Que cela ne la dérangeait pas, mais qu’elle ne participerait pas, à mon grand regret, puisque j’adore lécher la chatte d’une femme, y glisser ma langue avant d’y mettre mon clito.
Donc, nous entrâmes dans la chambre contiguë. Lucien tira la porte pour que nous soyons seuls. Il s’avança vers moi et m’embrassa tendrement, il est assez doux. Nos langues se mêlèrent dans un baiser langoureux, puis de plus en plus passionné. Nos mains parcouraient nos corps et il commença à relever lentement ma jupe afin que ses mains se posent sur ma chair. Moi, j’avais commencé à lui défaire les boutons de son pantalon pour accéder à l’objet de tous mes désirs, sa queue.
Son pantalon glissa le long de ses jambes, et son slip le suivit peu après. Je pris en main sa queue et la branlais doucement, délicatement.
Lui, avait enfin atteint mon string et il me caressait mon clito à travers ce string. Mon clito s’échappa de ce string et il le prit en main pour le branler.
Sa bouche quitta la mienne et descendit sur mon cou où il me mordilla. Je n’en pouvais plus. Je lui demandais de me déshabiller. Il me retira lentement mon tee-shirt noir et fit glisser lentement ma jupe de mes hanches. Je me retrouvais dans la tenue que j’adore, guêpière et bottes devant lui. Il se recula pour m’admirer, puis ayant fait le tour de mon corps, il me poussa doucement sur le lit. Je me retrouvais assise les jambes écartées et il s’agenouilla devant moi pour prendre mon clito en bouche.
Il me suça lentement, doucement, puis je le sentis s’exciter dessus, il devint vorace me bouffant mon clito comme si sa vie en dépendait. Pendant ce temps, je me tirais, triturais les seins tout en appuyant de temps en temps sur sa tête afin que mon clito s’enfonce entièrement dans sa bouche.
Au bout d’un moment, il se redressa (il n’y a d’ailleurs pas que lui qui était redressée). Il me coucha et vint se mettre contre moi.
Il reprit ma bouche, sa main repris mon clito et j’en fis autant pour lui. Nous nous caressâmes un peu, puis n’en pouvant plus, je partis avec ma bouche à la recherche de sa queue que je trouvais assez vite pour l’engober. Je le suçais avec délice, il avait l’air d’apprécier.
Il me demanda de me mettre sur lui pour un 69. Ce que je fis, mais au lieu de lui donner mon sexe, je m’installais bien au-dessus de lui, et lui offris ma rosette à lécher. Sa langue s’en empara et je la sentis essayer de m’enculer. Je m’ouvris au maximum afin d’en profiter aussi au maximum, c’est si bon une feuille de rose. C’est un truc qui me prépare bien à prendre mon pied. Lorsque j’eus estimé que j’étais prête, je quittais sa bouche, remontais sur son corps et je m’empalais d’un seul coup sur sa queue raide de désir. Je me laissais tomber sur elle, puis je remontais pour de nouveau me laisser envahir totalement par elle, c’était merveilleux et j’eus mon premier orgasme de la matinée.
Il fut étonné de me voir jouir ainsi, mais je jouis vraiment du cul ! Je prends toujours, si je suis bien baisée, mon pied ainsi.
Il se retira de mon ventre, et je lui demandais si je pouvais descendre chercher mes cigarettes et mes gadgets au salon. Il me l’autorisa. Passant dans la chambre de Monique, je vis qu’elle n’était plus là. Je descendis donc en guêpière, bas et bottes dans le salon, j’en profitais pour aller faire un tour à la salle de bain et je me retrouvais nez à nez avec Monique. Elle était, pour mon malheur, déjà habillée, donc je ne pus voir si elle était une vraie ou une fausse blonde. Elle jeta un regard sur ma tenue, me sourit et me laissa la place. Je me lavais vite fait le cul, puis je ressortis pour rejoindre Lucien dans sa chambre. Monique était dans la cuisine, entrain de lire un journal en prenant un café.
Je passais près d’elle, lui fit une bise sur la joue et m’éclipsais pour rejoindre son mari. Lucien était toujours allongé sur le lit, alors je me mis à ses pieds et remontant lentement je repris sa queue en moi. Je le pompais avec ardeur et il éjacula dans ma bouche. Mais j’avais encore envie, alors il prit un de mes godes, me l’enfila dans le cul et me baisa ainsi. Et j’eus de nouveau un orgasme qui me laissa pantelante.
Monique arriva sur cette entrefaite, précisa qu’il était déjà 12h00, et qu’ils avaient rendez-vous à 14h00 à Angers.
Lucien me demanda de me branler avant de partir et de jouir sur lui devant Monique. Lui demandant si cela ne la gênait pas, j’exécutais l’ordre reçu et je lâchais mon sperme sur le corps de Lucien. Il m’indiqua ensuite que si je désirais faire un petit pipi, il me le boirait avec grand plaisir. Je lui pissais donc sur le visage et il se régala à grandes giclés de mon urine tiède.
Je redescendais à la salle de bains avec mes fringues, me rhabillais et je demandais à Lucien et Monique s’ils n’avaient pas vu mon string en descendant derrière moi. Lucien remonta et ne le trouvant pas, me demanda si je ne l’avais pas dans mon sac. Je lui répondis que non, et pour bien montrer que je ne l’avais pas avec moi, je relevais ma jupe, lui montrais mon cul et mon clito. Monique souriait de me voir aussi impudique et pour me rendre service remonta dans la chambre et revint vers moi avec mon string. Je la remerciais, l’enfilais devant elle, leur fit la bise et je les quittais.
Je dois les revoir bientôt avec Laura, une copine travestie. J’espère que cette fois, Monique participera avec nous, au téléphone elle n’était pas contre lorsque je les ai rappelé, et m’a avoué avoir été très excitée lorsque j’ai pissé sur son mari devant elle. Je vous raconterai si vous êtes sage !
Bisous
Melina
Le ton décontracté sauve ce récit en forme de compte-rendu de visite
C’est trop mécanique on dirait une histoire de logos qui s’emboitent
je suis tout à fait d’accord, heureusement que l’auteur a un peu d’humour ça fait passer la « mécanique » 😉