Auto-stop
Une fille trop belle
par Sexnotaboo
J’ai connu pas mal de femmes dans ma vie avec qui j’ai fait l’amour, mais il ne m’était jamais venu à l’idée d’avoir une aventure avec un homme avant ce qui suit.
Je m’appelle Jacques et c’est à 48 ans que j’ai connu cette expérience délicieuse.
Je suis commercial et je sillonne les routes de France tous les jours. Pendant plus de trois mois, j’ai fait aller-retour Limoges/Paris chaque semaine en voiture.
Un après midi vers 15 heures, alors que je rentre sur Limoges, je prends en STOP une ravissante blonde très sexy, 1m75, 72 kg, 95C – 76 – 90. vêtue très court et avec un décolleté d’enfer. Elle porte des bas et des talons très hauts. Elle s’installe à côté de moi, très à l’aise, et me remercie. Elle s’appelle Martine et habite en Sologne, à : La Motte Beuvron à environ 130 km de là.
Nous discutons tout de suite de tout et de rien, elle est enjouée et curieuse de tout. Je dois faire un sérieux effort pour être attentif à la route, j’ai du mal à détacher mes yeux de ses cuisses magnifiques et de son décolleté. Ses yeux croisent les miens à plusieurs reprises et son sourire me fait comprendre qu’elle est parfaitement consciente de mon manège, mais elle ne s’en offusque pas. A force de bouger ses jambes, sa mini- jupe remonte dévoilant la limite des bas et de sa peau, ainsi que les fixations de son porte jarretelle. Elle ne s’en soucie pas le moins du monde, et soutient mon regard lorsque qu’il croise le sien, Timide de nature, je me sens gêné par son regard direct, d’autant que j’ai une super érection qu’il m’est impossible de dissimuler. Nous roulons toujours en discutant de tout et rien avec ma timidité, Il ne serait probablement rien passé, mais le destin en avait décidé autrement.
Tout à coup elle me demande
– « Vous n’auriez pas de kleenex par hasard ? » et, d’autorité, sans attendre la réponse, elle ouvre la boite à gants qui est pleine à craquer. :
Une pochette de kleenex, 2 revues de sexe tombent à ses pieds.
Je ne sais plus où me mettre et je sens le feu dans mes joues qui virent probablement au rouge tomate. Elle sourit en les ramassant, et sans se départir de son calme, elle commence à les feuilleter me lançant des regards entendus. Elle s’intéresse particulièrement à une revue dont je tairai le nom qui offre en gros titre, un reportage sur la bisexualité masculine. « La plupart des hommes sont bisexuels mais plus de 85% d’entre eux l’ignorent ou le renient ».
Après avoir parcouru le reportage, elle me sourit en me demandant
– « Qu’en pensez-vous ? »
Plutôt gêné, feignant ne pas avoir compris, je demande niaisement
– « De quoi ? » sourire ! !
-« De ça ! La bisexualité des hommes ?»
Elle agite devant moi la photo de la page centrale, qui montre un transsexuel, pourvu d’une magnifique poitrine et d’un sexe en érection sucé par un homme à genoux devant lui.
Très gêné, et rougissant, devant son insistance provocatrice, je finis par bredouiller :
« – Je ne sais pas, je n’y ai jamais pensé, peut-être que dans des circonstances particulières, très excité, je pouvais comprendre ceux qui se laissaient aller » Elle répond
« – C’est bien de l’admettre, car moi, je suis entièrement d’accord avec ce reportage, la plupart des hommes sont bis mais refusent de l’admettre ».
Elle regarde ma braguette, et, en posant la main dessus tout en tâtant mon sexe déjà raide, elle dit.
« – En tous cas, il semble que le simple fait d’en parler, vous fasse déjà bander »
Je bredouille vaguement que je conduis, et qu’il n’est pas très prudent de me toucher comme ça. Elle acquiesce et me propose avec un regard très vicieux de tourner dans l’une des fréquentes allées forestières de la Sologne.
Je n’en crois pas mes oreilles, et je m’empresse d’emprunter la première que je trouve pour me stationner dans un coin tranquille. Nous échangeons un long baiser profond, sa main s’active sur ma braguette. Je caresse ses seins magnifiques que je libère pour les sucer, mon autre main s’engage à l’intérieur de ses cuisses pour remonter, mais elle y fait obstacle, je n’insiste pas sur le moment mais chaque fois que je tente de lui caresser l’entre cuisses elle s’y oppose farouchement. Pensant qu’elle pouvait être indisposée, je lui pose la question, mais elle répond que ce n’est pas ça, puis, pour éluder la question, elle plonge sur ma queue raide qu’elle suce divinement.
Comme j’insiste pour lui caresser l’entre cuisses, elle interrompt sa pipe et dit en souriant :
« – Tu veux vraiment ? Mais tu vas avoir une grosse surprise, et tu risques d’être très déçu ! Je t’assure !»
Elle m’excite terriblement cette salope, elle me donne envie de savoir à tout prix. Je pensais à tout, sauf à ce qu’allait dévoiler ma curiosité quelques instants plus tard, et encore moins jusqu’où cela allait me conduire.
Je l’embrasse et pensant à un complexe quelconque de sa part je lui murmure tendrement :
« – Ne t’en fait pas Martine, laisse toi aller, laisse moi faire çà va aller ! ».
A nouveau j’engage la main sous sa minijupe, elle se raidit sensiblement, arrêtant une nouvelle fois mon mouvement mais elle finit par céder à l’assaut suivant.
La surprise fut de taille en effet. Alors que je m’attends à trouver une chatte trempée de mouille, je découvre un sexe d’homme en pleine érection. J’ai un vif mouvement de recul, mais en même temps, et, malgré moi, je suis très excité. Je croise son regard de reproches, qui semble dire
« – Tu vois, je t’avais prévenu, tu as tout gâché »
J’hésite un instant, gêné, un lourd silence s’installe Regrettant mon geste qui semble l’avoir vexée, je reprends ma caresse, ma main remonte lentement entre ses cuisses qui s’écartent et disparaît sous sa jupe. Je retrouve ce sexe qui me trouble bien plus que je ne l’aurais souhaité, Je soutiens son regard en prenant en main son sexe tendu. Elle se détend et me penchant vers elle, je l’embrasse en tenant toujours sa bite en main. Je lui murmure
– « J’ai très envie de voir ».
Martine (je continue au féminin car elle est vraiment très bandante la salope) me murmure dans un langoureux baiser :
« – J’habite à peine à 20 minutes de là, si tu tiens vraiment à poursuivre on sera plus tranquilles chez moi».
Son sourire me désarme complètement, je suis maintenant trop excité par la situation, pour hésiter ou réfléchir et j’accepte sa proposition. Une fois chez elle, Martine me fait installer confortablement et après un Whisky, elle me fait un strip-tease digne d’une professionnelle. Je la découvre en body-porte-jarretelles, bas résilles et string-ficelle, avec en prime un sexe, qui, bien que de petite taille présente une parfaite érection. Il était assez fin mais bien raide. J’ai aussi une formidable érection qui en devient douloureuse.
Elle s’approche de moi en se déhanchant. Trop excité, je la saisis par les hanches, l’attire vers moi et je lui retire son string dévoilant totalement sa jolie petite bite. Je commence à la masturber. Elle me sourit en me passe les doigts dans les cheveux.
« – C’est la première fois que tu touches une autre bite que la tienne ? » me demande-t-elle ?
Je lui avoue que oui, elle m’encourage
« – Oui, oui ! Comme ça c’est bien ! Continue ! Tu branles bien mon salaud ho oui ! Encore, tu m’excites, c’est bon comme tu me fais ! Vas-y chéri, lâche toi, tu es bonne tu sais, ma salope !»
Elle gémit doucement en ondulant du bassin qui progresse doucement vers moi. Hypnotisé par cette créature pourvue de seins magnifiques et d’un sexe d’homme qui fonctionne parfaitement je ne réalise pas vraiment où elle veut en venir. En regardant ses seins je croise son regard qui est devenu dur et autoritaire. Au même moment je sens une pression sur ma nuque, alors qu’elle pousse du bassin en avant. Sa bite raide n’est plus qu’à quelques centimètres seulement de mon visage, visiblement Cette salope veut que je la suce et elle ne me laisse guère le choix.
Je résiste à la pression qu’elle maintient fermement, son bassin suit les mouvements de mon visage lorsque je tourne la tête pour éviter cette bite qui s’approche dangereusement de ma bouche. Mais, au fond de moi je sais déjà que je suis vaincu, je sais déjà que je vais céder. Ce n’est l’affaire que de quelques instants. L’image de sucer ce sexe s’impose malgré moi à mon esprit, malgré les interdits de ma culture judéo-chrétienne. Sa main libre vient prendre son sexe et, tirant sur ma nuque elle guide sa bite vers ma bouche de son autre main. Maintenant le gland effleure mes lèvres serrées, qui, finalement s’ouvrent sur ce sexe raide que je laisse docilement pénétrer dans ma bouche.
Je suis tout de suite très surpris, c’est très doux, chaud, palpitant et très agréable dans ma bouche. Le réflexe de succion s’impose immédiatement à moi. Je trouve ça bon et très excitant, mon sexe ne débande pas. Tout à coup, je reprends mes esprits et réalise pleinement la situation. Moi, Jacques, je me trouve là, assis, avec la bite d’un autre mec dans la bouche.
Je sens tout à coup l’humiliation m’envahir, j’ai la honte de ma vie, mais malgré tout, je sens ma queue durcir encore plus. Je saisis mon sexe et après quelques vas et viens de branlette, j’éjacule avec force une quantité de sperme inhabituelle.
Je n’ai jamais jouis aussi fort en me branlant. Elle commence à s’exciter à gémir, elle me maintient plus fermement la tête et je comprends qu’elle va éjaculer, j’essaye de me libérer mais cette salope me tient bien la tête en s’excitant :
« Non suce encore, je vais éjaculer dans ta bouche de pédale, et tu vas aimer çà ! Pédé ! Tu vois bien que tu es bisexuel toi aussi, tu suces bien mon cochon, je suis sûre que tu aimes ça ! Ça t’a fait jouir ! Hein allez, allez sale chienne pompe moi ! Oui ouiiii comme çà ! C’est bien putain ! Que c’est bon ! Tu pompes trop bien, toi ! T’as vraiment une bouche à pipe ma cochonne je sens que ça vient ouiiii ! Vas y suces encore ouiii comme ça c’est bon tu vas tout avaler grosse salope ! Tu suces mieux qu’une pute hooooouiiiiiiiii … je vais venir putain quelle suceuse tu fais salope ! ».
Ces termes salaces et crus m’excitent terriblement, je découvre que j’aime être dominé, docile, humilié, obéissant et malgré moi je me mets à sucer avec plus d’ardeur. Maintenant j’accepte ma soumission, je sais que je vais recevoir son sperme dans la bouche, je me sens bien dans ma peau de petite salope soumise. Elle s’en rend compte et reprend :
-« Mais il aime ça le cochon !, il suce tout seul, je ne lui tiens plus la tête et il suce encore, ouiiii !, encore, c’est çà oui, c’est bon comme çà, oui encore ! Suce salope, je vais te jouir dans la bouche, je suis sûre que tu n’attends que çà hein p’tit pédé ! »
En effet cette chienne a raison, l’éjaculation dans ma bouche s’impose à moi en conclusion logique de cette délicieuse pipe
Elle ne me tient plus la tête, mais je suce toujours :
– « Avale salope ! » s’écrie-t-elle, en me reprenant la tête à deux mains au moment où le flot de son foutre envahit ma bouche.
Je reste un long moment la bouche collée sur son sexe comme une ventouse, comme une pompe, j’aspire encore et encore tout ce qui coule dans ma bouche et avec un léger effort, pour réprimer un réflexe nauséeux, je me fais violence pour avaler le liquide gluant épais qui me coule en bouche.
Le mois dernier, j’ai fait l’amour avec Chantal, une fille superbe, elle m’a sucé à fond en avalant tout mon sperme. La fois suivante, je lui ai demandé de recommencer à me faire jouir dans sa bouche sans avaler et de m’embrasser aussitôt pour me faire goûter. Elle a été très surprise et m’a dit que c’était la première fois qu’un homme lui demandait çà, d’habitude ils sont plutôt réticents pour l’embrasser après une fellation alors qu’elle avale tout. Mais en souriant, elle m’a sucé bien à fond puis m’a embrassé.
Elle avait la bouche gluante, pleine de mon propre foutre, Elle est restée collée à moi jusqu’à ce mon sperme disparaisse, dissous dans ce baiser réunissant nos deux bouches gourmandes. Elle m’a ensuite avoué qu’elle avait été très excitée par ce baiser gluant.
Plus tard dans la soirée elle m’a avoué avoir été profondément troublée par ce baiser gluant particulièrement au moment ou elle m’avait senti avaler le sperme coulant de sa bouche dans la mienne. Je lui ai dit que j’avais aussi beaucoup aimé. La fois suivante je lui ai demandé de faire la même chose, mais avec son sexe après avoir fait l’amour, quand j’aurai éjaculé en elle, elle m’a regardé étonnée en disant :
-« Eh ben mon cochon, Tu ne serais pas un peu pédé par hasard, pour aimer le sperme comme ça ! Je sais pas pourquoi mais je te verrais bien sucer une bonne bite, toi » ajoutant « hummmmm ! En tout cas ça m’excite déjà mon salaud aller lèche moi la moule lèche ton foutre salope »
Deux secondes plus tard, elle collait sa moule gluante, dégoulinante de sperme sur ma bouche.
Formidable, le mec il prend une nana en stop, il sait tout de suite sa taille, son poids, ses tour de poitrine, de taille et de hanches… mais ne devine pas que c’est une trans.