Martinov 29 – L’archipel de Véga – 2 – Béatrice kidnappée par Maud-Anne Amaro

Martinov 29 – L’archipel de Véga – 2 – Béatrice kidnappée par Maud-Anne Amaro

Gérard et Florentine sont arrivés vers 18 heures. Ils ont apporté une bonne bouteille et des fleurs.

Bisous, bisous, l’ambiance est bon enfant.

– Faites gaffe, leur dit Béatrice sur le ton de la plaisanterie, notre cher professeur est en rut.
– Non c’est vrai ? Répond Gérard !
– Elle est gentille mais elle raconte n’importe quoi.
– On va vérifier ! Reprend Gérard en lui touchant la braguette. Non ça me parait calme là-dessous !
– Remarque, si tu continues à me tripoter, ça ne va plus être calme ! Précise Martinov.
– Je dois prendre ça comment ?
– Comme tu veux !

Du coup Gérard retouche la braguette du professeur mais cette fois la main s’active, ce qui évidemment fait bander notre vert professeur.

– Hé, les garçons vous n’allez pas commencer à faire des cochonneries ? Intervient fort hypocritement Florentine.

Fort hypocritement, disons-nous, car voir deux hommes se faire des choses est une situation qui l’a toujours excité. Et comme Béatrice est dans le même état d’esprit, on sent que l’ambiance commence à chauffer.

Florentine pose sa main sur le sein gauche de Béatrice par-dessus son tee-shirt, le pelote un tout petit peu, cherche le téton, le trouve et le pince.

Les visages des deux femmes se rapprochent, les lèvres se touchent, les bouches s’ouvrent et c’est maintenant le french-kiss bien baveux.

Béatrice entraine Flo sur le divan où elles continuent à se bécoter en mode débraillé

Et pendant ce temps-là, Gérard a sorti la bite du professeur et l’a englouti dans sa bouche. Et il se régale, ce grand coquin ! Au bout d’un moment Martinov lui fait comprendre qu’il aimerait qu’on invertisse les rôles..

Pas de soucis, Gérard se redresse.

– On va monter dans ma chambre, on sera plus à l’aise ! Propose le professeur.
– D’accord on y va, vous venez aussi les filles ?
– On arrive, on arrive !

On se met à l’aise, on se débarrasse des vêtements superflus (y compris les soutifs contrairement à ce qui se passe dans les films américains !)

Certes le lit du professeur est un lit de taille standard pour deux personnes, soit 140 de large. N’empêche que quatre personnes là-dessus, ça fait trop de monde, alors, on se serre, on se gêne, on se bouscule, mais finalement on rigole et on s’adapte.

Béatrice et Florentine sont parties pour un soixante-neuf infernal (et ça en occupe de la place sur un lit de 140 !) Pendant que Martinov se régale de la bonne bite bien bandée de Gérard.

Quelques minutes plus tard alors que les deux femmes commencent à gémir de plaisir, le professeur cesse sa fellation et après avoir indiqué à son partenaire que les préservatifs sont toujours dans le tiroir du chevet, se place en levrette, offrent généreusement son cul..

Pensez-vous que Gérard va baiser le professeur come un sauvage ? Non, il sait faire preuve de délicatesse et commence à faire feuille de rose à cet anus accueillant. Martinov n’a rien contre, il adore qu’on lui lèche la rondelle. Puis sentant que le moment est venu et après s’être recouvert, il encule son ami d’une poussée énergique avant de coulisser comme il se doit..

Action ponctuée par les cris de diablesses en furie de Béa et de Flo qui jouissent comme des malades, avant de s’enlacer tendrement.

Une ambiance qui semble stimuler Gérard qui accélère sa cadence, qui transpire, qui souffle comme un bœuf et qui éjacule avant de se retirer et de se débarrasser de sa capote.

Béatrice ne peut alors s’empêcher d’aller nettoyer cette bite pleine de sperme, de sa petite bouche gourmande.

– Et moi, tu m’encules pas ? Minaude-t-elle.
– Faut que je récupère un peu, je boirais bien un verre de flotte !
– Descends te servir dans le frigo lui ! Répond Martinov.

Florentine s’est approchée du professeur.

– Alors mon Dédé (ben oui, le professeur Martinov se prénomme André) tu ne vas pas rester comme ça, avec ta bite à la peine ! Tu voudrais que je te fasse quoi, une branlette, une sucette ?
– Fais pour le mieux !

Alors Florentine s’empare du sexe du professeur et se met à le branler frénétiquement.

– Suce-moi, suce-moi ! Implore-t-il.
– Mais oui, mon Dédé !

Elle ne se contente pas de sucer, sa main droite est passé derrière et un doigt inquisiteur vient lui titiller le trou de balle.

A ce régime, Martinov ne peut plus retenir son plaisir et éjacule d’abondance dans la bouche de le belle Florentine qui aval tout d’un air satisfait.

Ce petit spectacle a émoustillé Gérard qui se masturbe nonchalamment. Et le voilà bientôt prêt à repartir pour un tour.

– Allez Béa, donne-moi ton dargeot que je mette ma bite au chaud !
– C’est de la poésie ?
– Je ne sais pas mais que tes fesses sont bien jolies !
– Tu peux entrer, c’est libre-service !
– Un bisou d’abord, un gros bisou sur l’anus !
– Mais bien sur mon Gégé, régale-toi !

La feuille de rose est rapide, Damme, il est excité comme un poux le Gégé ! Une capote, et hop ça rentre et ça bouge.

Et bientôt Béatrice se met à couiner de plaisir et à débiter des insanités.

– Oh que c’est bon de se faire enculer ! Continue, défonce-moi la pastille !

Bien sûr qu’il continue, et comme tout à l’heure, il transpire à grosses gouttes, se demandant s’il va finir par jouir. Il s’arrête quelques instants pour reprendre son souffle…

– Ne t’arrête pas !
– Je ne m’arrête pas, je fais une pause.
– Si tu n’y arrive pas, c’est pas grave, ce sont des choses qui arrivent !

Il ne faut pas lui dire ça à Gérard, il a beau dire un peu partout qu’il n’est pas macho, mais là il est vexé dans son honneur de mâle dominant et du coup repart de plus belle en allant chercher des ressources on ne sait où.

Florentine s’inquiète de voir son compagnon le sang à fleur de peau, la respiration saccadée.

– Laisse tomber, Gérard, Béatrice ne t’en voudra pas !
– Je viens, je viens !

Effectivement il est tout proche de prendre son pied, et il termine en hurlant comme un cerf pendant sa nuit de noces, mêlant sa voix à celle de Béatrice qui vient de jouir du cul.

– J’ai soif ! Dit Gérard provoquant le rire de toute la petite assemblée
– Tu veux ma pisse ? Lui propose Béatrice le plus sérieusement du monde.
– Non, je vais descendre boire un verre d’eau gazeuse !
– Moi, je la veux bien ! Intervient Florentine !*
– Oh, toi, t’es une grosse coquine !
– Coquine, mais pas grosse !
– Viens ma belle !

Les deux femmes gagnent la salle de bain, Florentine s’assoit par terre et ouvre la bouche. Béatrice avait une grosse envie, ça dégouline un peu partout sur les seins, sur le ventre, enfin partout quoi, mais surtout dans la bouche… et la Florentine, elle se régale.

Un gros bisou après ça et tout le monde redevient sage !

Béatrice avait craint que le chèque de banque soit trafiqué, mais il fut encaissé normalement.

Et le jour suivant Béatrice et Gérard prenaient la route de Chartres. Moineau les attendait comme convenu devant la gare.

– Gérard Petit-Couture, mon compagnon qui a tenu à m’accompagner. le présente-t-elle.
– Enchanté, on m’avait parlé d’un expert ! Répond Moineau qui manifestement est loin d’être si enchanté que ça par cette présence.
– Je suis un expert en alliages métalliques ! Répond Gérard se raccrochant aux branches.
– Super ! Répond Moineau qui n’en croit pas un mot. Vous êtes venus comment ? En voiture ou par le train ?
– En voiture, on est garé un peu plus loin, là-bas.
– Ah, c’est parfait, j’habite un peu en dehors de la ville, je vous propose de me suivre, mais auparavant, j’ai quelques détails, disons contractuels à finaliser avec Mademoiselle Béatrice, les papiers sont dans ma voiture, c’est l’affaire de dix minutes, vous nous attendez…

Ni Béatrice, ni Gérard ne voient malice dans cette proposition. Ce dernier regagne sa voiture tandis que Béa suit docilement Moineau jusque à son véhicule.

– Voilà, je vous propose deux petites modifications mineures au contrat… ça ne devrait pas pose problème…
– Mais monsieur Moineau, pour l’instant il n’y a pas de contrat, nous sommes juste venus jeter un coup d’œil comme vous nous l’aviez suggéré.
– Oui, mais comme je n’ai aucun doute sur le fait que nous allons faire affaire, autant régler les petits détails sans attendre… si vous pouviez fermer la portière, on va gêner…

Béatrice ne voit pas trop en quoi la portière gênerait, mais la referme néanmoins.

– Je vais me garer un tout petit peu plus loin, on sera mieux ! Déclare Moineau qui démarre le véhicule et sort du parking.
– Oh vous faites quoi ? Gérard ne nous suit pas.!

Moineau sort alors d’on ne sait où une matraque en caoutchouc et assomme carrément la pauvre Béatrice.

Gérard ne réalise pas la situation de suite.

– Mais qu’est-ce qu’ils foutent ?

Quand il voit la voiture sortir du parking il ne comprend pas.

– Mais quoi, ils ne m’attendent pas ?

Il sort à son tour du parking, mais il n’a pas été assez rapide, la voiture de Moineau est déjà loin.

Désemparé, il téléphone à Bea, qui bien sûr ne répond pas. Moineau en profite pour lui subtiliser son portable et le jeter hors du véhicule.

« Un coup fourré, c’était un coup fourré… » S’exclame Gérard qui dans la foulée prévient Martinov.

– …Je te rejoins à Louveciennes, on va voir ce qu’on peut faire, annule tous tes rendez-vous et rassemble tout ce qui peut permettre de localiser ce Moineau.

Moineau s’est arrêté sur le bord de la route, juste le temps de passer la ceinture de sécurité autour de Béatrice qui est toujours sans connaissance, il en profite pour lui ligoter les poignets à l’aide d’un lien de serrage. Il lui administre ensuite une piqure pour l’endormir davantage.

Ce n’est que trois heures plus tard que Béa émerge.

– Putain, j’ai un de ces maux de tête… on est où ? Et pourquoi je suis attachée ?
– Calmez-vous dans une heure on sera arrivé…
– Mais répondez à mes questions, bordel ?
– T’auras toutes les réponses dans une heure !
– Non je les veux maintenant. Et arrêtez de me tutoyer ! Je ne suis pas votre copine !
– Si tu fermes pas ta gueule, je vais être obligé de te bâillonner.

Béa aperçoit alors le panneau sur la route : Limoges 70 km.

– Limoges ? Qu’est-ce qu’on va foutre à Limoges ?
– Acheter de la porcelaine ! Répond Moineau se croyant très drôle.
– J’ai envie de pisser.
– Retiens-toi !
– Je peux pas, je vais faire sur moi.
– Si tu me salis ma banquette, je te fous trois baffes.
– Abruti !

Béatrice parvient à prendre sur elle pour se retenir, mais c’est dur.

Moineau sort de l’autoroute 19 km avant Limoges et s’engage dans des routes tortueuses et peu fréquentées.

– Bon, je vais peut-être pouvoir pisser maintenant ?
– Mais bien sûr princesse, je vais me garer ici.

Moineau sort de la voiture et s’en va pisser contre un arbre, puis ouvre le coffre, en extrait une serviette qu’il parvient à glisser sous les cuisses de Béa

– Allez ma jolie, soulage-toi !
– Mais je vais inonder mon pantalon !
– On s’en tape !
– Vous êtes cinglé !

Elle ne peut plus se retenir et ouvre les vannes, moullant culotte et pantalon en plus de la serviette.

La voiture arrive au niveau d’un lieu-dit « le Jonc d’or » et pénètre dans une vaste propriété dont on ignore la destination première mais qui servait ces derniers temps de dortoirs pour colonies de vacances.

Deux individus libèrent Béatrice de ses entraves et la font sortir de la voiture. On la conduit ensuite à l’intérieur.

Dans une pièce décorée de motifs abscons trône une espèce d’emplumé sexagénaire chauve uniquement vêtu d’un pagne en cordes et paré de bijoux en toc.

Celui-ci regarde Béa d’un signe approbateur et fait un signe de connivence à son voisin de droite.

Bizarre, celui-ci, pas très grand, très brun avec une peau très pâle, le visage respirant la suffisance.

– Je suis Philippe Nalon, l’ambassadeur plénipotentiaire des Oulmars et voici le seigneur Abranka Woland, poursuit-il en désignant l’emplumé.

Béatrice ne répond pas, que voudriez-vous qu’elle réponde d’ailleurs, mais se demande chez quels genre de cinglés elle a atterri.

– Je vous explique la situation ! Reprend Nalon, vous n’allez pas croire un mot de ce que je vais vous dire mais qu’importe, il faut bien contextualiser le travail que vous allez devoir effectuer.
– Le travail ? Quel travail ? vous vous figurez quand même pas que je vais travailler pour des gens qui m’ont kidnappé ? Je ne suis pas votre esclave !
– Taisez-vous donc ! Ridicule créature !
– Vous savez ce qu’elle vous dit, la ridicule créature ?
– Bâillonnez-moi cette salope, sinon on ne va jamais y arriver.

Les gardes obéissent sur le champ et la pauvre Béa est bien obligée de se taire.

– La planète des Oulmars vit ses derniers moments, Véga, l’étoile autour de laquelle elle gravite ne va pas tarder à la bruler. Il faut donc qu’ils émigrent vers une planète de substitution. Cette planète sera donc la Terre. Seulement il n’y a pas la place pour 8 milliards de terriens et 3 milliards d’Oulmars. Les terriens seront donc éradiqués à l’aide d’un virus mortel à propagation rapide. Néanmoins une petite partie devra être épargnée pour des raisons diverses, ça ne devait pas excéder les 100 000 unités. Pour ce faire il nous faut donc un vaccin. Et c’est sur l’élaboration de ce vaccin que vous allez travailler.. Je suppose que vous avez des tas de questions ! Gardez les pour vous, nous ne répondrons pas. Nous allons vous retirer le bâillon, mais attention si vous n’êtes pas sage on le remettra.

à suivre

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2 réponses à Martinov 29 – L’archipel de Véga – 2 – Béatrice kidnappée par Maud-Anne Amaro

  1. Soudeur dit :

    Ah, si le monde était comme celui décrit dans ces jolis textes, avec plein de coquines et de coquins !

  2. Muller dit :

    Rocambolesque et disablement érotique

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