Maîtresse Kriss 3 – Entretien d’embauche par Boris Vasslan
Les lecteurs pourront se reporter aux deux premiers chapitres de cette histoire
Je reçu un texto sibyllin de maîtresse Kriss:
« Tu ne viens plus me voir ? »
« Ce serait un plaisir, mais j’ai un budget. Respectueusement, votre esclave dévoué. »
« On va s’arranger, je t’attends demain ! »
Je résolus de me rendre à ce rendez-vous. Pour mon boulot on verrait. Mais deux absences non justifiées le même mois pour quelqu’un qui ne s’absente jamais… bref on verrait bien…
C’est Angélique l’inévitable antillaise de charme qui m’ouvrit et qui me conduisit jusqu’au bureau de maîtresse Kriss, elle me fit asseoir et Maîtresse entra quelques instants plus tard. Elle était habillée d’un tailleur gris assez strict et faisait comme cela très businesswoman. Elle prit une profonde inspiration et elle me dit :
– Tu m’as bien dit que tu travaillais dans la comptabilité ?
– Oui ! Répondis-je en m’étonnant de la question.
– Tu pourrais le prouver ?
– Oui, mais…
– Il y a tellement de gens qui me raconte n’importe quoi, je voudrais être sûr.
– Ben sûr que je peux le prouver, il suffit que j’apporte une feuille de paie, mais j’aimerais comprendre un peu…
– Mon pauvre biquet, je suis sûr que tu venais te faire dominer par ta maitresse préférée et moi je te parle d’autre chose !
Qu’est-ce que vous voulez que je réponde ?
– Bien ! Continua-t-elle, j’ai de gros ennuis avec mon comptable, en fait, je suis maintenant persuadé qu’il me pique du fric. Je l’ai viré. J’ai une dizaine d’affaires surtout en province, des commerces, des petites boites. Il me faut quelqu’un pour gérer tout cela, quelqu’un qui connaisse la comptabilité, la micro. Quelqu’un qui soit facilement libre, qui accepte de se déplacer et qui accepte aussi d’avoir avec moi des relations autres que professionnelles.
– Je ne peux pas quitter mon boulot comme cela, je suis en plein sur un projet…
– Ce n’est pas un problème, juridiquement j’ai un avocat qui s’occupe de tout, le contrat de travail est prêt, il n’y a plus qu’à mettre un salaire, il sera de toute façon supérieur à ce que tu avais avant…
– Ça demande réflexion !
– Je ne dis pas le contraire, il faut que je m’absente, je serais de retour en début d’après-midi, donc tu pourras réfléchir.
– Ça fait un peu court ! Lui fis-je remarquer.
– Je sais ! Donc tu vas réfléchir pendant ce temps-là. On se retrouvera vers 14 heures, en attendant, tu as le choix, soit tu vas faire un tour, soit…
– Soit ?
– Soit je te mets en cage pour t’aider à réfléchir !
Et la voici partir d’un grand éclat de rire ! Je me demandais si elle était sérieuse…
– Alors, la ballade ou le cachot ? A moins que tu désires répondre « non » tout de suite ?
En disant ces mots elle se leva, contourna le bureau, vint se mettre derrière moi et se mit à travers ma chemise à pincer la pointe de mes seins. Cette caresse a le don de me paralyser et de déclencher un processus d’érection irrésistible.
– Tu veux réfléchir où ?
– Je ne peux pas accepter ?
– Tu veux réfléchir où ? Répéta-t-elle.
Le ton était devenu sec !
– Angélique ! Retire-lui ses lunettes !
– Oui Madame ! Voilà Madame !
La gifle arriva, je ne m’y attendais pas. Les crachat suivirent.
– C’est un exemple du type de rapport très particulier dont je voulais parler tout à l’heure, et que nous aurons si tu acceptes. Il faut que tu le prennes en compte dans ta décision !
M’échapper ! Echapper à cette folle, finalement c’était facile il suffisait de lui dire que j’irais faire un tour, et je disparaissais, oui mais en disparaissant, c’en serait fini de ces séances de domination où j’avais connu l’extase ! Je décide quand même d’aller faire un tour et je le lui dis.
– Ah ! On devient raisonnable, Angélique prépare le pour le cachot !
– Euh…
– Euh quoi ? Tu en veux une autre ?
– Maîtresse permettez-moi d’insister, je me suis probablement mal exprimé, je souhaite aller faire un tour…
– J’ai parfaitement compris, tu ne souhaites pas aller en cage, tu n’iras donc pas en cage… Non tu iras faire un tour… dans mon cachot !
Cette femme joue avec moi ! Il faut que je me reprenne, je ne suis pas prisonnier mais dans cinq minutes au train où vont les choses je vais l’être, je peux encore m’enfuir à toutes jambes, D’un autre côté, je me suis magnifiquement sorti des deux dominations qu’elle m’a fait subir. Alors si tout cela est un jeu pourquoi ne pas y jouer ? D’autant que si je refuse sa proposition, ce sera sans doute le dernier jeu avec elle. Je décide donc de la laisser donc jouer.
– Faites comme vous voulez Maîtresse, je suis votre esclave !
– J’espère bien que tu es mon esclave !
– Il n’y a aucun problème, je suis votre esclave ! Répété-je
– Mets-toi à poil, enculé !
– Oui Maîtresse !
Je me déshabillais, rapidement, pendant qu’Angélique était allé chercher sur ordre de Kriss une petite sacoche contenant des pinces, un martinet et quelques autres accessoires. Maîtresse Kriss commença par me placer un collier de chien autour du cou. Elle me posa ensuite des bracelets de cuir autour des poignets et des chevilles, puis elle choisit d’emblée une collection de pinces à nappes, terminées par des poids. Sans aucun ménagement elle me pinça le premier téton m’arrachant un cri de douleur.
– Ça fait mal, hein ? Enculé !
– Oui maîtresse !
– Mais tu aimes cela souffrir pour ta maîtresse, hein, enculé ?
– Oui maîtresse !
La douleur devint supportable sur mon téton droit, elle en profita pour me pincer le deuxième, m’arrachant un nouveau cri.
– Je te trouve bien douillet aujourd’hui !
Et sans me laisser le temps de répondre, elle m’asséna deux doubles gifles !
– Qu’est-ce qu’on dit ? Esclave ?
– Merci Maîtresse !
– Je ne devrais pas avoir à te le demander !
– Je vous demande pardon, Maîtresse !
– Tu vas être puni !
– Oui Maîtresse !
Kriss saisit une nouvelle paire de pinces, je pensais qu’elle allait les superposer aux autres, mais je m’aperçus avec effroi qu’elle les destinait à mes couilles.
– Non ! Maîtresse ! Je n’aime pas trop aux couilles.
– C’est nouveau, on discute maintenant, mais tu n’es qu’un enculé d’esclave, tu n’es rien d’autre !
Je reçus à nouveau une double paire de gifles
– Merci maîtresse !
– Ouvre ta bouche de suceur de bites !
Sans bien comprendre j’obéissais, Kriss me cracha alors au visage, j’en ressenti un plaisir très trouble.
– Merci Maîtresse !
Ma maîtresse me fixa donc une première pince sur la couille droite, je remarquais qu’elle œuvrait malgré tout avec précaution.
– Tu vas supporter, enculé !
C’était plus un ordre qu’une question.
– Oui maîtresse !
– Ça t’excite que je te traite d’enculé ?
– C’est vous qui décidez Maîtresse, je suis votre esclave.
Kriss me posa la deuxième pince, je me retins de ne pas hurler, elle se tourna alors vers Angélique :
– Qu’est-ce que tu en penses, tu crois qu’il a répondu à ma question, toi ?
– Je ne crois pas non !
– C’est bien ce que je pensais… On va encore être obligé de le punir !
Puis se tournant à nouveau vers moi !
– Bon alors je repose la question : est-ce que ça t’excite quand je te traite d’enculé ?
– Non, maîtresse !
– Et bien, c’est dommage ça devrait !
– Pardonnez-moi Maîtresse !
– Pourtant tu es d’accord, tu n’es qu’un enculé ?
Je ne voyais pas trop où elle voulait en venir
– Oui maîtresse !
– Tu ne repartiras pas d’ici sans t’être fait enculer ! Tu en as conscience, esclave !
– Oui Maîtresse !
– C’est l’une des plus belles récompenses qu’un esclave puisse m’offrir, c’est se faire mettre une bonne bite dans le cul ! T’as aimé cela les autre
– Oui maîtresse !
– T’es bon qu’à cela, sucer des bites et te faire prendre le cul.
– Oui maîtresse ! Grâce à vous !
– Comment cela grâce à moi ? Fit-elle mine de s’étonner.
– C’est vous qui m’avez dressée !
– Ah voici une bonne parole ! J’avais un esclave avant, je ne le vois plus, tu sais ce qu’il faisait uniquement pour me faire plaisir ?
– Non, vous allez me dire, Maîtresse !
– Il se faisait bien défoncer le cul, et après il nettoyait la bite du mec avec sa bouche !
Je ne répondis pas, partagé entre répulsion et fascination.
– Ça te trouble, hein ?
– Je ne sais pas…
– Oui, mais moi je sais, et si tu te mets à fantasmer là-dessus, et que tu as envie d’essayer, ta maîtresse saurait te récompenser !
– Je verrais, maîtresse !
– Bon assez discuté, Angélique, tu m’emmènes cette larve au cachot, tu l’attaches, tu le fouettes, mais tu ne t’attardes pas, j’ai besoin de toi !
– Oui Madame !
Angélique cliqua ensemble mes deux bracelets de cuirs aux poignets m’immobilisant ainsi les mains, puis attacha une courte chaîne autour de mon collier d’esclave, et me fit signe de la suivre. Nous descendîmes ce petit escalier que je commençais à connaître, je pensais que je serais attaché quelque part dans le donjon, mais non, je n’avais jamais remarqué une porte un peu plus loin, donnant vers un couloir voûté, sans doute d’anciennes caves.
C’est là que Kriss emprisonne ces esclaves.
– Il y en a un là-dedans, me dit Angélique en me désignant une porte, depuis trois jours.
J’ignorais si elle bluffait ou pas, mais j’espérais bien ne pas connaître un sort pareil, quand je réalisais que j’étais bel et bien prisonnier, et que je le serais encore bien davantage quand je me trouverais derrière l’une de ses portes. S’il fallait faire quelque chose, ce devrait être maintenant, feindre une chute, me servir de mes jambes pour immobiliser Angélique… mais non j’avais confiance… je n’opposerais aucune résistance… La soubrette me fit pénétrer dans l’un des cachots, et là, m’attacha à une croix de Saint-André, face contre croix. Je ne vis pas venir le premier coup de martinet sur mes fesses, manifestement trop fort, il m’arracha un cri de douleur, le deuxième me fit moins mal, mais j’eus vraiment du mal à supporter le troisième donné dans la foulée. Il y en eut dix comme cela, interminables, jamais on m’avait fouetté aussi fort, je ne comprenais pas, une bonne maîtresse doit sans arrêt mesurer ce que peut accepter l’esclave et surfer sur cette limite, là c’était manifestement trop fort, et volontairement trop fort. Et pourquoi n’était-ce pas Kriss elle-même qui m’avait fouetté ? Sans doute m’aurait-elle demandée après si j’en voulais encore, qu’aurais-je répondu alors ? Je me rendis compte que je n’aurais peut-être pas répondu non. Sans doute étais-je en train de repousser mes limites…
Je perdis vite la notion du temps, je ne sentais plus les pinces, mais je savais que lorsqu’on me les retirerait ce serait insupportable. C’est con d’être attaché, ça n’a rien d’excitant et en plus on ne peut pas se gratter. J’en venais à réfléchir à la proposition de Kriss, alors que tout à l’heure je n’envisageais même pas de l’examiner, je commençais à me dire que tout bien pesé, il y aurait peut-être quelque chose à faire, elle m’assurait un bon salaire, j’aurais en plus le contrôle de ces « affaires ». Au niveau de la sécurité de l’emploi ce n’était pas terrible, mais à bien y réfléchir mon job actuel était lui aussi à la merci de restructurations brutales et inopinées entraînant sa charrette de licenciements. Et puis surtout il y avait Kriss ! Travailler aux côtés de cette femme devait être une expérience unique. J’analysais tout cela dans tous les sens…
…Quand j’entendis une clé dans la serrure, ma décision était prise.
C’était Kriss elle-même qui venait me délivrer, et j’en fus satisfait
– Mets-toi à genoux !
Kriss était nue, elle avait simplement revêtu une sorte de combinaison noire à grandes mailles. Elle était magnifique. Soudain elle s’accroupit très légèrement et – oh ! Surprise – se mit à uriner à même le sol, j’en étais dépité ; Pourquoi ne gardait-elle pas ce précieux liquide pour son esclave, à moins qu’il s’agisse encore d’une punition particulièrement perverse. Elle se fit couler de l’urine sur les mains, puis sans se les sécher approcha l’un de ces doigts de ma bouche, me le faisant lécher, je ne refusais bien sûr pas. Et maintenant son geste prenait tout son sens, c’était une promesse !
– Merci maîtresse !
– Viens !
Elle me retira mes pinces qui étaient devenues complètement indolores. Elle commença par les seins. Le retrait fut douloureux mais néanmoins beaucoup plus supportable que je ne le craignais. Elle me prit les tétons dans ses doigts et se mit à serrer fortement. Ça, j’adore et je poussais un cri où la douleur se mélangeait au plaisir. Elle joua avec mes bouts quelques instants, les faisant rouler entre le pouce et l’index. L’excitation était à son comble et ma bite devint toute raide. Elle s’arrêta brusquement et me fixa à nouveau une pince en prenant soin de la positionner différemment que la première fois. La douleur était toujours là mais, oh combien agréable, Kriss n’attendit pas longtemps pour fixer la deuxième. J’étais vaincu, elle pouvait faire de moi tout ce qu’elle désirait.
Le retrait des pinces accrochées à mes couilles fut lui beaucoup plus pénible, la peau des couilles à tendance à rester collé après la pince et ce n’est pas agréable. Je poussais un cri.
– Tu n’as pas le droit de crier ! Tiens prend cela et excuse-toi !
Deux baffes magistrales atterrirent sur mes joues
– Pardon maîtresse, merci maîtresse !
Le retrait de la deuxième pince fut encore plus douloureux que pour la première mais j’arrivais malgré tout à me retenir de crier
Tirant sur ma chaîne de collier elle me guida jusqu’au donjon. Là, elle me fit grimper à quatre pattes sur une curieuse table dont l’une des extrémités était terminée par un pilori. Je me retrouvais donc tête et poignets coincés par ce drôle d’engin tandis mes chevilles étaient attachées à la table. Je me demandais quelle diablerie Kriss avait encore imaginé quand soudain on me banda les yeux. J’aime pas du tout ce truc, le plaisir sexuel quel qu’il soit est aussi le plaisir des yeux. Mais bon, je n’étais pas en état de protester de toute façon. Je restais quelques minutes ainsi sans avoir la possibilité de faire quoique ce soit. Quelques bruits me parvinrent un peu plus tard, j’avais l’impression que l’on plaçait des gens quelque part, je ne comprenais pas trop. Je sentis qu’on me prenait la main et qu’on la refermait sur quelque chose, quelque chose de vivant et de doux, avant de réaliser qu’il s’agissait d’une bite, très vite j’en avais une deuxième à l’autre main.
– Branle-les !
C’était la voix de Kriss, ce n’était pas très facile, à travers le pilori, mes mains n’avaient pas beaucoup de « mou » mais j’arrivais néanmoins à trouver une certaine cadence. C’est contre mon visage que je sentis la troisième queue !
– Suce !
Cette queue me paraissait énorme, mais le contact dans la bouche était tout à fait agréable. A ce compte-là, je m’attendais avec une certaine appréhension à recevoir une quatrième pine, dans mon cul cette fois-ci, mais non ! Ce serait sans doute pour plus tard ! Je continuais tant bien que mal à essayer de coordonner mes mouvements. Ce n’est pas évident : Branler trop vite conduit inconsciemment à sucer trop rapidement, et vice versa, il faut donc tout faire moyennement…
– Mieux que ça ! Pédé !
Le coup de martinet me gifla le cul ! J’essayais de m’appliquer. Je sentis soudain un soubresaut parcourir la queue que branlait ma main gauche. Un jet de foutre m’éclaboussa. On fit partir de la salle son auteur ! Je sus après qu’il s’agissait du locataire de l’autre cellule, et qu’il clôturait ainsi son passage de trois jours chez notre dominatrice. Je continuais à m’occuper des deux bites restantes, quand on m’enleva mon bandeau. Je pus ainsi découvrir l’heureux propriétaire de cette pine volumineuse : il s’agissait de Fabrice, un grand noir qui manifestement appréciait la fellation que je lui pratiquais, l’autre bite appartenait à un blondinet que l’on avait maquillé et travesti et qui répondait au nom de Ghislain. Kriss tendit un préservatif à ce dernier et lui intima l’ordre de m’enculer. J’appréciais le tact de Maîtresse Kriss qui aurait très bien pu me faire prendre directement par Fabrice. En fait cette femme était constamment maîtresse de sa domination et savait exactement ce qu’il fallait faire au bon moment ! C’était décidément une femme exceptionnelle et travailler pour elle serait décidément pour moi d’un grand bonheur ! La queue de Ghislain était de taille moyenne et il me pénétra sans trop d’effort !
– Ah vous êtes mignons, tous les trois, imaginez un peu si vos collègues de travail vous voyaient en train de faire tout cela !
Ghislain me bourrait le cul avec application, il allait et venait dans mon anus à un bon rythme ni trop rapide, ni trop lent, mais en accélérant insensiblement. Un étrange frisson me traversa tout le corps. J’aurais voulu remercier ma Maîtresse, mais on ne parle pas la bouche pleine… Kriss tournait autour de notre groupe, le martinet à la main, appliquant au gré de sa fantaisie tantôt un coup sur les fesses de Ghislain, tantôt sur celle de Fabrice, puis au bout de quelques instants :
– Bon ! allez on permute !
Ghislain se retira de mon trou du cul, enleva la capote et se mit devant moi, j’entrepris donc de le sucer à son tour, il faut bien avouer qu’une pine de taille normale est quand même plus pratique à sucer et donc plus excitant. Je fus étonné de la relative facilité avec laquelle Fabrice trouva le chemin de mon anus. Ça faisait légèrement mal et il n’avait pas le savoir-faire de Ghislain. Manifestement nous manquions tous les deux d’habitude, je n’étais pas du tout à mon aise et du coup la fellation que je pratiquais devait en souffrir. Fabrice reçut à la volée trois coups de martinet
– Tu vas trop vite, il faut commencer tout doucement de façon à ce que son anus se dilate correctement et après t’accélères !
Effectivement ça allait mieux, et ça commençait même par devenir franchement agréable, du coup je soignais tellement ma fellation que Ghislain éjacula dans ma bouche.
– Avale !
Je le fis cette fois sans réticence !
Fabrice lui s’était remis à me besogner à grande vitesse et finit par prendre son plaisir dans mon cul ! Kriss lui demanda de conserver sa capote et de se positionner devant mon visage.
– Alors c’était bon, tu t’es bien fait enculer ?
– Oui Maîtresse ! Merci Maîtresse !
– Alors maintenant nettoie !
Je pris sur moi, respirait un grand coup, fermait les yeux et me mit à nettoyer les pollutions qui trainaient sur le préservatifs. Le premier pas fut le plus difficile, après ce fut bien plus facile.
– Bravo ! Bon ! On va changer de jeu ! Mais avant, dis au revoir à ces messieurs.
Situation complètement insolite, j’échangeais une poigné de main avec Fabrice et voulut faire de même avec Ghislain, mais Kriss intervint.
– Pourquoi tu ne l’embrasses pas, il est mignon, non ?
J’hésite mais pas lui, il s’approche de ma bouche et s’y colle les lèvres, je le laisse faire, m’amusant pour la première fois de ma vie à rouler un patin à un homme.
– Tu sais que t’es sexy ! Me dit-il en me caressant les fesses, j’espère qu’on se reverra et que la prochaine fois ce sera toi qui m’enculera.
– Dis-moi quelque-chose ! Me demanda Kriss quand les autres furent partis
– Merci maîtresse, j’ai adoré sucer des bites et me faire enculer !
– T’es un choux ! Me répondit-elle en me gratifiant d’un bisou sur le bout du nez.
Quand je vous dis que Kriss est une maitresse atypique !
Kriss m’attacha ensuite les poignets à une sorte de trapèze qui pendait du plafond, puis me fixa une barre entre les chevilles afin de me maintenir les jambes écartées. Je la vis ensuite s’éloigner afin d’aller chercher quelque chose dans un sac en plastique. Elle en sortit des plantes que je n’identifiais pas tout de suite, avant de me rendre compte avec horreur qu’il s’agissait d’un bouquet d’orties.
– Non pas ça !
Les orties comme chez tout le monde évoquent le temps de l’enfance en culotte courte, celui où par mégarde on se fait piquer en pleine forêt, ça démange, alors on se gratte, et plus on se gratte plus ça démange, la peau se recouvre de plaques rosâtres, et il faut attendre d’être à la maison pour soigner tout cela avec une crème pharmaceutique ou avec du vinaigre…
– Quand tu auras essayé, tu en redemanderas ! Elles sont toutes fraiches, c’est Angélique qui les a cueillies ce matin.
– Non ! Maîtresse ! S’il te plait !
Se moquant pas mal de mes protestations, elle me balaya le torse avec le bouquet, immédiatement un picotement m’envahit, réveillant de vieux souvenirs, Ce premier picotement ne tarda pas à disparaître laissant la place à une seconde douleur ressemblant à une brûlure très légère, tout ceci n’était pas si désagréable.
– Les orties ont un secret, un seul, ils ne veulent pas que l’on se gratte après leurs caresses. Si on se gratte, c’est nul, si on ne se gratte pas on peut atteindre l’extase !
Et joignant le geste à la parole, elle mit ensuite les orties en contact avec mes tétons. J’assimilai ce nouveau plaisir avec ravissement. Elle frotta ensuite les orties contre l’intérieur de mes cuisses, puis sur mes bras. Ça me chauffait de partout. Kriss passa alors dernière moi, elle me caressa le dos, puis les fesses avec le bouquet, puis brusquement changea de méthode, et me fouetta carrément avec le bouquet. La sensation était délicieuse, il suffisait de s’y habituer.
– Encore ! Encore ! Merci Maîtresse !
– Elle revint face à moi
– Et maintenant la bite !
– Non !
– Comment cela non ?
Elle plaqua le bouquet sur ma bite, le contact des orties sur ma verge et sur mes couilles renforçait mon érection. Elle détacha du bouquet une unique tige et s’amusa à me frôler le gland avec, ma pine fut atteinte de soubresauts bien connus annonciateur de la jouissance. Il n’était sans doute pas dans ses intentions de me faire jouir comme cela.
– Bon je te laisse un quart d’heure en attendant que les orties se calment !
En fait, il faut plus d’un quart d’heure, la peau attaquée par les orties est atteinte d’ondes de chaleur et de retour de picotements qui sont supportables mais qui n’en finissent pas. Et puis il y a les marques qui elles mettent plusieurs heures à disparaître Mais enfin Kriss à raison, si on ne se gratte pas (et comment le pourrais-je ?) il n’y a pas de quoi en faire un plat. Le quart d’heure dura en fait une bonne heure (il ne faut jamais croire les femmes), et Kriss me détacha, j’ignorais s’il y avait une suite, mais cette fois elle m’enleva mes bracelets, mais pas mon collier. Angélique lui tendit une coupe de champagne vide, Kriss la plaça sous sa chatte et pissa à l’intérieur, puis me la tendit :
– Tu dois avoir soif ?
– Oui merci Maîtresse !
– Nous trinquerons dans quelques minutes, mais avant nous allons faire une dernière chose.
Quelle diablerie était-elle encore allée imaginer ?
– Couche-toi par terre !
J’obéis, elle me chevaucha, s’accroupit de façon à ce que ses fesses viennent au-dessus de mon ventre. J’avais peur de comprendre, elle n’allait pas pisser puisqu’elle venait de remplir le verre ? Ou alors elle allait… Non pas ça !
– Pas ça, maîtresse ?
– C’est un cadeau que je te fais, tu n’aimes pas les cadeaux ?
– Pas celui-ci, Maîtresse !
– Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu n’avais rien dis l’autre jour !
– L’autre jour, vous n’aviez pas fait sur moi !
– Eh bien aujourd’hui, je vais te chier dessus et tu vas aimer :
– Non, on arrête tout, je m’en vais !
– On arrête quoi ? Je n’ai rien fait pour l’instant !
Kriss se releva soudain, et me fit face, je crus alors que j’avais échappé à cette épreuve que je ne souhaitais pas ! Elle se baissa approcha son visage du mien. Quel beau visage elle a, ma maîtresse, elle me regarde en souriant, elle passe délicatement sa langue sur ses lèvres, je sens que je vais me faire avoir…
– Ecoute mon biquet, tu as subi des épreuves autrement plus difficiles que celle-là, alors tu vas être gentil tu vas mettre tes tabous au vestiaire, tu vas arrêter de jouer les chochottes et tu vas te conduire comme un gentil esclave.
– Maîtresse, juste un mot : Quand j’ai rempli le questionnaire, sur la scato, j’ai répondu que je voulais essayer juste un tout petit peu… et on a déjà fait beaucoup de choses…
– Et bien justement ce qu’on fait, c’est juste un petit peu..
– Mais…
– Bon, on ne va pas y passer la nuit, de deux choses l’une : Ou c’est toi qui vas me demander très gentiment que je te chie dessus ou alors tu prononces le mot de sécurité et tu te casses.
Partir ? Ne plus la voir ! J’ai bien failli le faire tout à l’heure, mais n’en ai plus trop envie. Je pris une profonde inspiration, ne me reconnaissant plus, je lâchais dans un souffle :
– Chiez-moi dessus, maîtresse !
Elle se remit en position, je décidais de fermer les yeux, mais Angélique s’en aperçut et vint me gifler !
– Regarde sinon tu ne t’habitueras jamais !
Kriss poussait, un bout d’étron finit par sortir de son cul, puis un long boudin dégringola, tomba sans bruit sur mon ventre. Quand elle eut terminé, elle se recula afin d’amener ses fesses à la hauteur de mon visage !
– Je suppose que tu désires me nettoyer, maintenant !
– Comme vous voulez, Maîtresse !
Je la nettoyais, au moins elle ne me prenait pas en traître, je savais maintenant très exactement tout ce qui m’attendais si j’entrais à son service. Pendant ce temps-là Angélique me débarrassait de la merde qui encombrait mon ventre avant de se lécher ses doigts avec une gourmandise non feinte.
– Badigeonne-moi ! Lui demanda Kriss.
J’assistais alors à cet incroyable spectacle, Angélique s’imprégnant les mains de matière, se mit à tartiner les seins de ma maîtresse, puis son ventre, ses cuisses… et même ses joues. Je me fis alors la réflexion que cette insolite crème de beauté ne parvenait même pas à l’enlaidir. La soubrette lui badigeonna ensuite le pourtour des lèvres, Kriss en profita alors pour se lécher les babines, puis elle quémanda une petite crotte qu’elle prit en bouche et qu’elle suça à la façon d’une friandise en me regardant d’un air vicieux.
Je me surpris de bander comme un cochon.
– Viens me lécher mes seins ! Demanda-t-elle.
J’y avais déjà eu droit la dernière fois. Je n’hésitais pas, je n’étais plus sur terre, j’étais sur une autre planète, une drôle de planète.
– Bon, que les choses soient bien claires, je ne passe pas mon temps à faire de la scato, c’est tout simplement une de mes pratiques qu’il me plait de faire de temps en temps. Si tu restes avec moi pour ce que je t’ai proposé, il te faudra faire avec !
Une fois relevée, Kriss me tendit la coupe de champagne !
– Je suppose que tu as encore plus soif que tout à l’heure ?
– Oui, merci maîtresse !
J’avalais ce curieux liquide au goût de bière tiède d’un trait !
– Tu me dois une réponse !
– Bien sûr j’accepte ! Maîtresse !
– Non celle-là j’en étais sûre ! Mais quand pourras-tu commencer ?
– Le plus tôt possible, Maîtresse
– Lundi ?
– Oui je vais m’arranger !
– Angélique ! Cet esclave vient de gagner une pipe ! Suce-lui bien la bite.
Et c’est une bonne suceuse la petite Angélique, vous pouvez me croire !
© Boris Vasslan 2000/2003/2008/2018
le passage scato autocensuré dans les versions précédentes a été rétabli dans la version 2003
vasslan@hotmail.fr
Une bite dans le cul, une bite dans la bouche tout cela sous l’œil de la belle maîtresse qui est prête à frapper qui m’insulte, qui m’humilie… Mon rêve !
Lécher le caca de sa maîtresse, on ne risque pas d’attraper des MST ?
Le risque est extrêmement minime
1) parce que les dominatrice professionnelles se surveillent régulièrement
2) de toute façon, en principe nous n’avons aucun rapport sexuel « classiques » avec nos soumis
Le court passage scato est très émoustillant
Pour ma part je ne conçoit plus une séance de domination sans un épisode scato
Ce que j’aime par dessus tout, c’est voir un gros boudin sortir du cul de ma maîtresse.
Oh ! Oui ! C’est si beau !
de la domination un peu hors norme ce qui n’est pas pour me déplaire
Pas mal du tout, plein de choses qui m’excite et même un peu de scato (l’auteur devrait se lacher plus)