La revanche d’une femme soumise
Rebellion
par sexnotaboo
Bonjour, je m’appelle Sabrina, j’ai 25 ans, je suis brune, je mesure 1M75, pour 67 kilos, un tour de poitrine de 100 C taille 78 et hanche 90. J’ai rencontré Serge à 19 ans, il avait 26 ans, nous nous sommes mariés c’est lui qui m’a dépucelée.
Au début il était très gentil, très doux puis il est vite devenu brutal et désagréable, il était autoritaire, jaloux, il me diminuait sans cesse, j’étais moche, grosse, coincée, je baisais mal etc… Il voulait m’imposer des tas de choses, et je dois dire que j’aimais de moins en moins le sexe, il me forçait à le sucer, et sans me prévenir il éjaculait dans ma bouche. Ce n’est pas l’acte par lui-même qui me dégoutait, mais c’était la façon dont mon mari me traitait de plus, il me trompait sous prétexte que je baisais mal et pas assez souvent.
J’avais une amie au boulot qui s’est aperçue de mon changement, et un jour j’ai craqué je me suis mise à pleurer dans ses bras et je lui ai avoué mon calvaire.
Elle s’est indignée m’a dit que j’étais superbe, mais que je ne mettais pas assez mes charmes en valeur, qu’elle aimerait bien être aussi belle que moi etc… Elle était très douce avec moi et je sentais un trouble agréable m’envahir lorsqu’elle me consolait.
Il y a un an environ, Serge est parti en déplacement pendant 19 jours, lorsque je l’ai dit à Marine, ma copine de boulot elle m’a dit : « c’est super, je vais m’occuper de toi ma chérie. » Marine a 30 ans, je la trouve très belle et elle est toujours habillée très sexy, bien maquillée, tout ce que m’empêche de faire mon mari.
Au début elle me prête des vêtements, car nous sommes de même taille et même corpulence à peu de chose près sauf qu’elle a un peu moins de poitrine. Elle m’oblige à mettre des bas, des robes très mini, moulantes, des strings, m’oblige à ne pas porter de soutien-gorge, elle est fascinée par mes seins chaque fois qu’on s’habille pour sortir, elle me caresse la poitrine en me faisant des tonnes de compliments ce qui me trouble profondément.
Lorsqu’elle me fait sortir je constate vite que les mecs bavent pour moi et Marine me disait comment faire pour les rendre plus fous encore. Pour moi c’était un jeu, j’aimais mon mari même s’il me faisait souffrir, mais malgré moi, j’étais très troublée par ce que je découvrais. Un soir, à la sortie de la boite, Marine et son mec m’ont invitée pour prendre le dernier verre chez eux, j’étais déjà un peu éméchée, car Patrick, le mec à Marine avait eu une promotion et nous avions fêté ça au champagne. Patrick a prétexté qu’il n’était pas trop en état de conduire et c’est Marine qui a pris le volant, A ma grande surprise, Patrick est monté avec moi derrière. A peine la voiture avait-elle quitté le parking de la boite que la main de Patrick se posait sur ma cuisse. Je portais une mini robe qui était remontée plus haut que mes bas une fois assise, mes portes jarretelles dépassaient de dix bons centimètres dévoilant largement la peau de mes cuisses au dessus des bas.
Je me sentais gênée, car je n’osais pas me défendre de peur que Marine s’aperçoive de la situation, je ne voulais pas être à l’origine d’une dispute entre eux. Je tentais de le repousser timidement et discrètement mais sans succès, je levais les yeux et croisais les yeux de Marine dans le rétroviseur. Elle avait un drôle d’air. La main de Patrick avait progressé, et malgré moi, je sentais une moiteur délicieuse naître entre mes cuisses, Avec mon mari, j’avais oublié cette sensation de désir, Marine jetait sans cesse des coups d’œil dans le retro qui était bizarrement dirigé sur moi. Je sentais mon visage devenir rouge écarlate. Patrick venait d’ouvrir sa braguette, et avait sorti son sexe bien raide il prit ma main pour la poser dessus, je résistais mais il était plus fort que moi et je finissais par céder, je prenais son sexe en main et fut surprise par sa taille, car il dépassait largement la taille de la queue de mon mari qui se vantait toujours d’avoir une grosse queue, ce que j’avais cru sur parole jusqu’à ce soir, car je n’en avais jamais vu d’autre que la sienne. La taille de ce sexe, sa douceur et sa chaleur me saisirent d’un coup et me firent mouiller abondamment. Je n’osais plus bouger et Patrick, qui le devinait, m’imposait un lent va et vient de ma main sur sa bite qui me troublait vraiment beaucoup.
Marine demanda soudain :
– « Alors derrière ça va tous les deux, je ne vous entends plus ? »
En effet je réalisais tout à coup que nos éclats de rire avaient cessé et qu’il y avait un silence pesant. Patrick répondit dégagé :
– « Oui oui ma chérie ça va, la marée se dessale doucement ! »
Je fus très surprise de cette réponse, et du dialogue qui suivit. Je réalisais subitement qu’ils étaient parfaitement complices lorsque Patrick enchaîna :
-« Elle est sur la bonne voie »
En allumant l’intérieur de la voiture, Marine se retourna pour regarder vers nous et découvrir la scène, elle sourit en disant :
-« Détend toi chérie, profites en laisse toi aller. Ce soir tu vas découvrir autre chose que ce te fais voir ton connard de mari on va te montrer ce qu’est l’amour. »
J’étais complètement ahurie par cette situation, mon amie Marine me disait tout simplement de m’envoyer en l’air avec son mec. Je n’eus pas le temps de réfléchir longtemps, nous arrivions chez eux.
Dès notre descente de l’auto, Marine mit la pression en me plaquant contre la voiture pour me rouler une pelle d’enfer qui me fit fondre. Le trouble que j’avais sentis auparavant se manifestait à nouveau, m’enlevant toute volonté de me défendre. Tout en me pelotant seins et fesses, elle avait passé les mains sous ma robe qu’elle faisait rouler au dessus de mes hanches. Je me retrouvais fesses à l’air, avec juste la ficelle du string qui les séparait, C’est ainsi, que je traversais entre eux deux le parking souterrain de la résidence, pour prendre l’ascenseur. Au cous de la montée je perdais mon string et traversais le couloir en bas, porte jarretelles, et escarpins à talons hauts de 12 cm, la robe roulée au niveau de ma taille, j’étais paniquée à l’idée que quelqu’un puisse sortir d’un appartement pour me découvrir ainsi, mais curieusement, j’étais trempée jusqu’à mi-cuisse tant j’étais excitée.
Une fois dans l’appartement, ils se déshabillèrent et Marine m’embrassa langoureusement, puis m’entraîna vers son mec, puis elle me dit regarde chérie et tombant à genoux elle se mit à le sucer avec application tout en me regardant droit dans les yeux. Je ne sais pas ce qui m’a pris, moi qui avait un profond dégoût des fellations avec Serge, j’avais soudain envie de cette queue dans ma bouche, je m’agenouillais doucement les yeux rivés sur cette pipe magistrale. Marine avait les yeux rieurs et se dégageant, elle me prit la nuque d’une main et de l’autre elle guida la bite de Patrick vers ma bouche qui s’ouvrit tout naturellement.
Il était si excité que quelques secondes plus tard, il me fit comprendre qu’il allait jouir, et à ma grande surprise, je réalisais que je n’avais pas envie de laisser cette merveilleuse bite, je continuais de sucer avidement, je savais qu’il allait gicler mais je ne me retirais pas, j’avais envie de recevoir son sperme dans ma bouche.
Je reçu une giclée chaude abondante et gluante, qui me surprit, et que j’avalais difficilement réprimant un réflexe vomitif, puis il y eu d’autres giclées moins abondantes que j’avalais et dégustais avec plaisir.
Je fus ensuite culbutée sur le dos par Patrick, je me laissais aller à mon désir, je comprenais ce soir là que pendant toutes ces années, mon mari avait éteint le désir en moi, et que c’est lui qui m’avait « coincée », ce soir, tout à coup, j’étais prête à tout, et pendant que Patrick m’embrassait, et que sa main remontait entre mes jambes que j’écartais largement, je sentais le souffle chaud de Marine à l’intérieur de mes cuisses qui montait inexorablement vers mon sexe, trempé, gluant de mouille, et largement ouvert. Lorsqu’elle posa sa bouche sur ma chatte, je cru défaillir, et la jouissance s’empara de moi immédiatement, je perdais la notion du temps, et j’ai eu l’impression de jouir non stop pendant très longtemps. Lorsque je suis redescendue sur terre, j’étais vidée, morte, mais je ressentais une plénitude jusque là inconnue pour moi. Je venais de « faire l’amour » pour la première fois de ma vie. Je réalisais que mon mari m’avait dépucelée, puis n’avait fait que me baiser, pour finalement me dégoûter du sexe. Je nageais entre sommeil et veille lorsque je fus tirée de mon rêve par une bouche qui s’occupait de ma poitrine, c’était Marine qui s’allongeait sur moi, sa bouche me couvrait de baisers, puis nos bouches s’unirent, nos langues se mêlèrent puis dans un sourire coquin elle me dit c’est à mon tour chérie ! Avant que je n’analyse le sens de cette phrase, son sexe trempé s’offrait juste à quelques cm de mon visage. J’hésitais, elle se retourna, et posa son sexe dégoulinant juste sur ma bouche.
Timidement, je sortais ma langue pour l’enfoncer dans sa chatte trempée, j’appréciais très vite le goût douceâtre de ce jus de femme et je m’excitais très vite pour lui sucer le clito et lui lécher la vulve. Marine voulu changer de position, elle se laissa aller sur le côté et roula sur le dos m’invitant à passer dessus, je me retrouvais tête-bêche avec elle, à quatre pattes, les fesses en l’air et la tête enfouie entre ses cuisses. Soudain je compris où elle voulait en venir, lorsque j’ai senti Patrick s’installer à genoux derrière moi, je jetais un coup d’œil dans le miroir latéral et découvrais sa queue qui avait repris sa raideur du début, il posa son gland sur ma vulve et me pénétra sans difficulté. C’était formidable, je ne tardais pas à jouir, suivie de Marine pour finalement sentir Patrick éjaculer en moi pendant qu’il me bourrait avec une brutalité qui m’excitait tellement que j’ai joui une seconde fois sous ses coups de boutoirs féroces.
J’ai fini la nuit chez eux et nous avons beaucoup parlé, j’ai découvert que je n’avais jamais connu la jouissance avec mon mari, et Marine me m’expliqua pour l’avenir, comment rendre fous les hommes, Patrick souriait en confirmant ce que Marine disait, ils m’expliquèrent la différence entre la baise et l’amour, Ils s’aimaient, mais cette nuit ils avaient baisé avec moi. Ils m’avaient faite jouir, et ils en étaient heureux. Ils m’avouèrent qu’il faisait aussi des trios avec des hommes car Patrick était aussi bisexuel. Mais quand ils étaient tous les deux ils faisaient l’amour avec beaucoup de tendresse.
Lorsque Sébastien est rentré, je suis redevenue l’épouse soumise et triste qu’il connaissait, mais j’avais compris beaucoup de chose et je préparais ma revanche.
Patrick et Marine avaient décidés de m’aider, et ils l’ont suivi pour finalement découvrir la boite où il sortait régulièrement pour me tromper.
Les circonstances mont beaucoup aidées car quelques semaines plus tard, cette boite organisait une soirée masquée.
Mon mari prétexta un surcroît de travail et une promotion possible pour ne pas rentrer ce soir là. Aussitôt, J’ai téléphoné à mes amis et c’est Patrick qui vint me chercher, Marine était partie en avant pour repérer mon cher et tendre. Je m’étais habillée très très sexy, et nous avons débarqués en boite tous les deux bras dessus bras dessous. Je ne tardais pas à identifié mon cher mari sous son masque d’Arlequin, grâce à ses vêtements que je connais trop bien. Il était avec une blonde platine, très classe, à peu près de mon gabarit hormis la poitrine plus menue. Il roucoulait, et la fille semblait sous son charme. Il y avait beaucoup de monde au bar où ils papotaient joyeusement. Patrick me dit :
-« Va commander deux verres et glisse toi de profil entre eux, face à lui et dos à la fille et regarde le droit dans les yeux en lui souriant et bredouillant tes excuses ».
J’ai senti mon cœur s’affoler, mes jambes ramollir, je rétorquais :
-« Je ne pourrais jamais, et la fille ? »
Patrick rit aux éclats dans le brouhaha de la musique
– « Tu n’as pas reconnu Marine ? Allez ma Chérie vas y elle attend que tu arrives pour s’éclipser. » .
C’est la peur au ventre, que je m’avançais, le Hasard me vint encore en aide car au moment où j’arrivais vers eux, alors que j’hésitais, je fus bousculée et projetée vers eux dans la bonne position et un peu contre lui, très prévenant, il me prit par les avant bras au niveau des coudes pour me retenir. Je m’excusais en rougissant, il me sourit, et me demanda ce que je voulais boire, je lui expliquais que je venais commander pour mon mari et moi en faisant un signe de tête vers Patrick, il me sourit et dit « je vous offre votre consommation ». J’étais de plus en plus à l’aise, il ne pouvait pas me reconnaître, la musique obligeait à crier, ce qui déformait nos voix. Je ne bougeais pas, et le barman ne fournissait pas à servir. Je sentis Marine bouger dans mon dos et me toucher pour m’indiquer qu’elle s’éclipsait et cette cochonne en profita pour me caresser les fesses. Le barman arrivait enfin avec les consommations, que je n’ai pas payées car mon cher et tendre s’y opposa pour faire le beau devant moi. J’allais partir lorsqu’il me retint par le bras avec douceur, mon cœur s’arrêta :
-« Promettez-moi une danse au moins ! »
Je respirais ! :
-« Ce n’est pas impossible, mon mari est assez libre, venez m’inviter ! ».
Son sourire de requin me déplu au plus haut point, mais en même temps, je venais de comprendre que les choses avaient changé. Ce soir ! C’est moi qui le tenais et il allait payer tout ce qu’il m’avait fait, il allait tomber de haut.
Une fois auprès de Patrick, je lui racontais il m’embrassa sur la bouche en me félicitant, lorsqu’il cessa de m’embrasser, en enfouissant sa tête dans mon décolleté, il pouffa en me disant il n’arrête pas de regarder par là, tu le tiens et tu le tiens bien ma belle, mais si tu loupes ton coup ce soir tu n’auras pas d’autre chance. Vint une série de slows, Patrick me dit :
-« Regarde le sans baisser les yeux, et tout en le regardant embrasse moi ! »
Et lorsqu’il vient vers nous, dis le moi. J’étais morte de trouille mais en même temps rassurée par la présence tranquille de Patrick, j’étais aussi très excitée et je prenais un plaisir sadique, il décolla du bar pour venir vers nous, Patrick se leva alors qu’il était sur le point de m’inviter. Je passais devant lui entraînée par Patrick qui me tirait par la main. Je lui adressais un sourire et de ma main libre je lui fis signe « la suivante ». Patrick me dit
-« Maintenant chaque fois que je lui tourne le dos fixe le droit dans les yeux, appelle le du regard ».
A la fin du slow, nous quittâmes la piste pour retourner à notre place. Mon Sébastien, n’hésita pas une seule seconde, et se présenta devant nous, pour m’inviter, j’hésitais, regardais Patrick d’un air interrogateur. Il sourit à cet inconnu et me fit signe oui de la tête en disant
– « Pas de Bêtise hein, avec un rire faussement bête »
Mon mari me prit par la taille pour me serrer contre lui, je résistais un peu pour la forme mais bien vite me collais à lui comme une ventouse, probablement au delà de ses espérances car il paru un peu surpris. Il me parla de moi, enfin je veux dire de celle qu’il croyait avoir laissée à la maison.
– « Elle est grosse, moche, épousée pour des raisons de famille, mariage de convenance, Bourgeoise coincée, nulle au lit, etc. … »
Plus il parlait, plus je l’allumais, curieusement tout cela m’avait fait pleurer, souffrir, mais là, ce soir, le fait qu’il me le dise comme il devait le dire à toute les autres femmes qu’il voulait séduire, alors qu’il ignorait qui j’étais et qu’il le faisait pour me séduire, m’excitait au plus haut point, et je lui faisais comprendre. Ma cuisse se glissait entre les sienne pour mieux frotter son sexe en dansant. Ce salaud bandait, pour une autre que moi, et moi je jouissais cérébralement. Tout à coup il me fit signe de tête,
– « Il ne s’ennuie pas sans vous ! »
Je regardais à mon tour pour découvrir Patrick avec la Blonde du bar. Je lui répondis en souriant
– « Mon mari a toujours eu du goût, il vous a soufflé la place dirait-on ? »
Je senti une tension en lui, je venais de faire mouche, je l’avais touché dans son orgueil. Mais il se reprit très vite, en me disant
– « A sa place, je ne vous aurais pas laissé pour elle ».
Je riais le remerciais et je posais tendrement ma tête dans son cou. Trois secondes plus tard, il m’embrassait à pleine bouche avec une ardeur, un désir que je ne lui connaissais pas. Il profitait du monde sur la piste pour me caresser sous ma robe. Ce salaud savait y faire, il réussit à me faire mouiller ma culotte. J’eus alors une idée sadique, je lui proposais ma culotte en souvenir de la soirée. Il fut surpris mais bien vite se ressaisit en acceptant. Je commençais à me déhancher et je lus la panique sur son visage, « je jouissais » il me dit
-« Maintenant, là ! Tout de suite ? ? ? »
Je lui souriais sans répondre et je continuais à faire descendre mon string, un instant je regrettais ma hardiesse, je commençais à paniquer car j’avais beaucoup de mal à le faire descendre jusqu’à mes genoux, je craignais que la musique s’arrête et qu’on me découvre au milieu de la piste avec mon string roulé à mi-cuisses. Pour finir je réussis à le faire glisser jusqu’aux genoux et ensuite en pliant les jambes ce fut un jeu d’enfant pour le faire tomber aux chevilles. Je sortais un pied, et demandais à mon cavalier de me soutenir pour la phase suivante.
Prestement, je remontais ma jambe le long de sa cuisse en m’accrochant à lui et me penchais un peu en avant pour l’attraper. Avec une honte intérieure indéfinissable, qui m’excitait terriblement j’osais relever la tête pour constater que personne ne nous prêtait attention.
Nous avons fini la soirée tous les quatre à la même table avec un champagne offert par Sébastien, le cocu cocufié par lui même.
Patrick proposa à nos nouveaux amis de venir prendre le dernier verre chez nous mais imposa que nous gardions nos masques, Sébastien accepta et ce salaud de Patrick en sortant me demanda si ça allait ? J’étais aux anges. La vengeance était là, à portée de ma main. Je lui répondais c’est super !
-« Tu es sûre »
– « Oui je suis super cool ! ».
Il sourit en lançant à la cantonade,
– « On va pas laisser Sébastien tout seul, Chérie monte avec lui, je prends Marine avec moi ! ».
Je fus saisie d’un instant de panique mais en regardant Mon mari, je le trouvais soudain petit, insignifiant, lui qui m’avait tant fait souffrir, tant fait peur ne m’impressionnait plus. Sans le savoir c’était lui qui était devenu le jouet de la soirée. Il s’aperçut de mon trouble et me demanda
– « Ca ne va pas ? »
– « Non, non tout va bien » et je me dirigeais d’un pas décidé vers lui.
C’est bras dessus bras dessous que nous nous rendîmes jusqu’à sa voiture. Aussitôt dans la voiture, il posa sa main sur mes cuisses que j’ouvrais naturellement. Je souriais et lui dit :
– « Ne vous laissez pas distancer » en lui ouvrant la braguette
Sa petite queue était bien raide, je fis semblant de la trouver avantageuse et sans hésitation je plongeais en avant pour le sucer. Je le sentais désorienté, et je m’appliquais à le pomper avec un plaisir qui me surprenait moi-même, mon désir et mon sentiment de vengeance commençaient même à me faire peur. Je le sentis près à jouir et je m’arrêtais net. J’arrangeais et ajustais mon masque dans le rétro,
– « Un peu de calme ma fille nous arrivons » dis-je tout haut en me parlant à moi-même et je l’embrassais voluptueusement.
Une fois chez Patrick et Marine, Je repris mon rôle d’épouse et je fis le service du champagne, Patrick mis de la musique très douce, et proposa aux filles de faire un strip-tease intégral. J’acceptais avec enthousiasme, mais Marine (comme convenu) hésita, je lui pris la main pour l’encourager, elle finit par accepter à condition de garder nos masques toute la soirée. Ce qui lui fut naturellement accordé. Pendant notre numéro, je fixais mon mari dans les yeux et je su à ce moment là qu’il était vaincu, plus rien ne serait comme avant. Une fois nue, je me dirigeais vers Patrick pour l’embrasser, il caressait et léchait les seins de Marine qui se tordait de plaisir, j’embrassais cette salope à pleine bouche en lui caressant les fesses, Je surveillais Sébastien qui n’en revenait pas, il se branlait et il finit par oser s’approcher de moi. Je le laissais me caresser à sa guise pendant que je m’occupais de Patrick et de marine. Je m’adressais à Patrick :
-« Vas y Mon Chéri baise cette chienne devant moi, sort ta grosse pine pour lui bourrer le cul à cette salope »
M’agenouillant je prenais la bite de Patrick d’une main et de l’autre, je fouillais la moule trempée de Marine qui cherchait à m’embrasser. Je senti une hésitation de la part de Sébastien lorsque Patrick sortit sa queue pour enfiler Marine, mais il défit tout de même sa braguette pour sortir sa queue vraiment plus petite que celle de Patrick. Sûr de lui il voulu me prendre mais je lui refusais en lui disant que seul mon mari décidait par qui je me faisais baiser, mais qu’en revanche je pouvais bien lui faire une petite pipe sans son accord. A genoux devant lui j’aspirais sa queue et lui caressais les couilles.
– « Ta femme te fais pas ça hein ? »
– « Hummm Non, jamais, elle est trop coincée pour faire ça ! Elle s’habille comme sa grand’mère ! ».
Patrick m’interpella :
– « Alors Chérie tu te régales ? »
Interrompant ma fellation, je répondais
– « Hummm oui, elle est bonne sa bite, » et en articulant bien, j’ajoutais « Petite mais très bonne »
Je sentis une réaction de sa part, et devinait sa contrariété. Je le tenais, j’évoluais à l’aise dans le défaut de sa cuirasse et ce n’était que le début, Je prenais goût à le manœuvrer. Je l’embouchais à nouveau pour le pomper avec ardeur. Il s’excitait et j’arrêtais alors qu’il était prêt à jouir, pour aller caresser Marine et Patrick.
Je proposais de pimenter nos ébats en attachant un couple tiré au sort. Marine et Patrick acquiescèrent avec enthousiasme, alors que mon cher mari faisait la moue, mais devant l’assentiment général il fini par accepter certainement influencé par mon insistance et la pipe que j’avais reprise pour le décider à accepter.
Les quatre prénoms furent jetés dans le seau à champagne, et c’est Marine qui tira au sort. Elle annonça comme prévu : Marine, et Sébastien seront attachés. Il y eu un cri de joie auquel Sébastien participa sans enthousiasme,
Je jubilais, en voyant sa tête. C’est moi qui l’attachais, à genoux, les poignets attachés aux chevilles il était trop beau. Patrick avait attaché Marine sur la table, couchée sur le dos, bras en croix les cuisses largement ouvertes.
Patrick vint vers moi lorsque je terminais d’attacher mon mari, il sourit en me disant :
– «Effectivement, il a une petite bite. »
Sébastien était visiblement mal à l’aise, on lisait la honte et l’humiliation sur son visage, dans un premier temps son sexe perdit de la raideur, j’en profitais pour le faire remarquer
– « Chéri notre ami débande, il faut faire quelque chose, pour moi, j’ai trop envie.
Patrick répondit
– « Désolé chérie mais je suis occupé, moi je ne débande pas et la dame est trempée, fais toi lécher par la p’tite bite, sa langue doit être active »
Je souriais et approchais de sa bouche bassin en avant en disant
– « Lèche-moi salaud si t’es pas capable de bander »
Il était rouge de honte et moi je mouillais comme une folle. Je lui tenais la tête entre mes cuisses trempées, je pris mon pied à deux reprises avant de m’écrouler. Je m’agenouillais devant lui et l’embrassait fougueusement et lui caressant la queue qui avait durci à nouveau. Je m’extasiais
– « Il bande à nouveau »
Patrick s’approcha la bite à la main, en disant il mérite un gage ce salaud, je les regardais tour à tour, Sébastien bien dans les yeux, et puis je matais la bite de Patrick puis à nouveau Sébastien dans les yeux. Je devinais qu’il avait compris le message avant même que je ne parle il se tortillait pour se libérer en disant qu’il n’en était pas question. Patrick et moi avons éclaté de rire en disant
– « Si, Si, Si, » dans un ensemble parfait et j’ajoutais « et tu vas aimer ça petite bite »
Marine toujours attachée criait
– « Oui, oui, je veux voir ça détachez moi »
Patrick me regarda en disant
– « on commence par elle ? »
– « Oui » répondis-je ! « Ça la fera taire et si elle est bonne on la détachera »
Je m’approchais d’elle m’accroupissait au dessus de sa bouche pour lui présenter ma chatte ouverte à lécher. Elle fit la difficile pour le fun mais très vite je jouissais sous sa langue experte. Patrick était ravi et elle fut détachée. Sébastien mon tyran de mari était maintenant le seul attaché et humilié. Nous étions trois autour de lui, et Marine de dire
« Oh mais c’est vrai qu’il en a une petite ! Je plains sa femme »
Je prenais la parole en lui disant c’est à ton tour de nous montrer ce que tu sais faire. Il refusait toujours. Marine s’est alors placée derrière lui pour lui prendre la tête à deux mains, en disant
« Allez chéri un petit effort c’est bon tu sais, regarde sa femme ! »
Je m’agenouillais juste devant lui et Patrick me présenta sa grosse bite bien dure à sucer, je l’avalais et la suçais pendant quelques secondes juste à quelques centimètres du visage de mon cher et tendre. Je cessais ma fellation, et la prenant en main, je guidais la bite à Patrick vers la bouche de Sébastien.
Il cherchait à s’esquiver mais Marine le tenais et je guidais la bite en suivant ses mouvements de tête. Au moment où le gland effleurait ses lèvres serrées, je remarquais qu’il bandait fort, je m’exclamais
– « Je rêve, il bande ce salaud, il aime ça vas y chéri enfonce ta queue dans sa bouche de salope, il aime ça, cette pédale, il fait le difficile mais ça le fait bander ce gros pédé »
C’est à ce moment là qu’il céda, sa bouche s’ouvrit pour accueillir le sexe bandant de Patrick. Je prenais Marine par la main et lui ordonnais tout naturellement
– « Toi la salope, Suce le ! Il mérite bien ça avec la bite de mon mec en bouche »
Je m’approchais du visage de Ma pédale de mari, et lui murmurais encouragements, et propos humiliants
« Allez salope suce ! Je sens que tu aimes ça pédale ! T’es une bonne pute ma salope mais tu le savais pas ! Hummm tu m’excites bien tu sais regarde comme je mouille » et je passais ma main entre mes cuisses pour lui enduire le visage « c’est toi qui me fait mouiller comme ça » et en l’embrassant sur la joue pour lécher ma mouille, je lui disais « Hummm tu me plais toi ma cochonne, il y a longtemps que je voulais voir mon mec éjaculer dans la bouche d’un autre mec, tu es vraiment la salope que j’attendais ! » puis m’adressant à Patrick allez Chéri, vide toi les couilles dans sa bouche de pute, il aime ça, je le sens bien ! Vas-y, éjacule ! Chéri laisse toi bien aller, ça m’excite tellement !» Voyant qu’il cherchait à se dégager, je lui repris la tête bien en main et l’obligeais à sucer encore, à garder la bite à Patrick en bouche en l’humiliant
– « Non, non, non, pas question de s’esquiver salope, tu vas pomper jusqu’au bout tu vas goûter au plaisir suprême, tu vas voir comment ça fait quand tu obliges ta femme à avaler pédé, suce bien ! Bouche à bite, sac à foutre ! Hummm oui . . . continue comme ça tu m’excites tu sais, »
Je compris que Patrick éjaculait et je maintenais la tête de mon mari avec un plaisir sadique évident. Patrick gémissait puis je lâchais mon mari.
Marine avait cessé de la sucer, il avait joui dans sa bouche sans que je m’en aperçoive. Elle ouvrit la bouche pour nous montrer qu’elle l’avait pleine de sperme et elle s’agenouilla pour embrasser Sébastien et lui faire avaler son propre foutre.
Sébastien était humilié, honteux mais il avait aimé ça, Marine nous expliqua qu’elle avait senti monter son excitation au fur et à mesure, et particulièrement lorsque je l’insultais pour l’humilier. J’enlaçais Marine en lui disant merci, que je l’aimais beaucoup que je lui devais ma libération je ne la remercierais jamais assez ! Elle me sourit et s’allongeant sur le dos en ouvrant largement les cuisses elle me fit comprendre comment je pouvais la remercier. Je m’agenouillais pour m’installer tête-bêche et plongeais vers son sexe béant et luisant. Nous avons pris un pied terrible devant les deux hommes, et lorsque nous nous sommes redressées, Patrick bandait à nouveau. Je demandais
– « Et maintenant que fait-on ?
C’est Marine qui répondit
– « Maintenant Bas les Masques ! »
Sébastien était toujours attaché, la queue pendante, Marine lui ôta son masque, puis retira le sien, puis ce fut le tour de Patrick et enfin le mien. J’étais encore avec mes bas, et mon porte-jarretelles, alors que Marine retirait mon masque très lentement, je vis le visage de Sébastien se décomposer, A ce moment là je vécu mes derniers instants de peur, en même temps, j’avais pitié de lui, il était là devant moi, anéanti, humilié, vaincu. Il bredouillait
– « T…TOI… pourquoi ? Sabrina ? »
Il avait perdu son arrogance, son machisme. Je senti en moi un tilt, j’étais libérée, et j’avais envie de conclure en beauté et de l’achever. Je le fixais droit dans les yeux en me lâchant :
– « Alors espèce de gros salaud, de macho à petite bite, ta femme est Moche, grosse, coincée, elle s’habille comme sa grand-mère, … Ah oui… Elle suce pas…, elle est nulle au lit
Je le voyais diminuer, devenir tout petit alors que je me sentais grandir.
Je m’approchais de Patrick et me collais à lui en articulant bien
– « Baise moi chéri, encule moi, fais moi jouir comme tu sais faire avec ta grosse queue, fais de moi ta salope, ta pute je veux qu’il voit quelle salope, quelle chienne je peux être avec un vrai mâle qui me baise. » et je me laissais aller à genoux pour le sucer juste devant mon mari.
Après un instant, Patrick me fit mettre en levrette, toujours devant mon mari pour me prendre comme une chienne, je me laissais prendre comme une vulgaire pute, je me faisais le jouet de cet homme devant mon mari pour mieux l’humilier. Je sentais monter mon plaisir doucement mais inexorablement, je sentais que j’allais jouir plus fort que jamais et je criais :
– «Mon cul chéri prends moi par le cul défonce moi la rondelle hoooo. Oui encule moi fort ».
Tout à coup Marine cria
« J’y crois pas regarde Sabrina il bande, ça l’excite de te voir baisée par un vrai mec »
Cette phrase déclencha un vrai raz de marée en moi, je me mis à hurler
– « Je jouiiiiis ouiiiii c ‘est bon encore encoo.o.o.o.r .e….. ooouiiiii.i.i.i.i » avant de m’effondrer épuisée, vidée, morte de plaisir.
Je récupérais et restais un moment couchée sur le dos, face à mon mari, je le regardais droit dans les yeux et constatais qu’il bandait.
Je lui ordonnais
– « Lèche-moi pédé ! »
Je fus moi même surprise par le ton autoritaire employé, mais encore plus surprise de le voir docile, soumis s’avancer à genoux, et basculer sur le côté pour ramper jusqu’à ma vulve débordante de foutre pour la lécher. Je trouvais encore le moyen de jouir, mais c’était plus cérébral que physique.
Une fois bien nettoyée par sa langue, je le redressais, Patrick le détacha, et l’aida à s’asseoir sur une chaise car il était tout ankylosé. Je m’approchais de lui, l’embrassais en lui disant que j’avais pris un pied d’enfer et je m’agenouillais devant lui pour le sucer. Il ne tarda pas à éjaculer dans ma bouche, je gardais son sperme et l’embrassais pour lui faire avaler. J’ôtais mes bas, mon porte-jarretelles, et lui ordonnais de les enfiler, en lui disant
– « Habille toi salope on rentre à la maison »
Accompagné de Marine et Patrick, je lui imposais cette tenue de leur appartement jusqu’à notre voiture dans le parking souterrain de la résidence tout comme je l’avais fait en sens inverse quelques semaines plus tôt. Une fois à la voiture, il s’installa au volant et Patrick jeta ses vêtements dans le coffre. Nous rentrâmes ainsi chez nous sans rencontrer personne.
Depuis, tout a changé, c’est moi qui le trompe, parfois devant lui , il est docile, soumis, j’adore lui faire sucer mes amants, Il est très excité par la honte et l’humiliation que je lui fait subir devant eux, j’adore le faire venir comme soubrette lorsque j’ai un amant bisexuel. Je l’ai même fait sodomiser par l’un d’entre eux. J’adore m’habiller en cuir, et le dominer, devant eux et en revanche j’adore être traitée comme une pute, une chienne et être soumise par mes amants devant lui.
Dernièrement j’ai eu un amant dominateur soft, à qui j’ai parlé de mon mari. Nous avons convenu d’un rendez vous et il m’a donné des instructions, notamment je devais boire un quart de litre d’eau toute les demi-heures à partir de huit heures le matin jusqu’à ce qu’il arrive à la maison c’est à dire 22 heures. Dès la deuxième heure, je commençais à faire pipi, à partir de midi, je pissais de l’eau. Le soir il m’a attachée à quatre pattes au radiateur avec une laisse et un gros collier de cuir, en m’ordonnant de l’appeler chaque fois que je voulais faire pipi. Il apportait un petit seau et lorsque j’avais fini, il venait avec Sébastien en laisse et lui disait lèche ta femelle qui vient de pisser ça m’excitait énormément, et je constatais que mon petit mari bandait fort. Mon amant m’a baisée à plusieurs reprises puis a fait coucher Sébastien sur le dos en m’ordonnant de m’accroupir au dessus de sa bouche.
Puis il m’a dit
– « Ecarte ta moule avec tes doigts salope, et pousse pour faire descendre mon foutre »
Je m’exécutais mais dès que je commençais à pousser j’avais une très forte envie d’uriner. Je le dit à mon amant qui me dit
– « Ne te gêne pas salope mais fais le par petit jets »
Cette éventualité m’excita au plus haut point. J’avais peur de pas maîtriser, alors je me posais carrément sur la bouche de mon mari et me laissait aller je lâchais tous le mélange de mouille-foutre- urine que j’avais en moi, en jouissant.
Mon amant me fit coucher sur la table les jambes pendantes, cuisses ouvertes et ordonna à mon mari de me prendre comme ça, puis il se plaça derrière lui en disant, « détends toi salope tu vas aimer ça » et il l’encula pendant qu’il me baisait.
Depuis cette histoire, je suis devenue une accroc du sexe, je suis bisexuelle et très branchée cul, j’adore fréquenter les clubs mélangistes, échangistes et participer à des partouzes ou gang bang. J’adore être pleine de foutre gluant et obliger mon mari à me lécher partout pour le nettoyer. Il m’arrive de l’attacher, de partir de la maison en lui montrant ma culotte, pour aller me faire prendre par des amis et revenir lui montrer que j’ai perdu ma culotte et lui faire lécher ma chatte pleine de foutre sans qu’il sache qui m’a baisée. Dans ces moments là il m’arrive d’uriner aussi par petit jets ce qui l’excite par dessus tout.
J’avoue que je suis comblée et qu’après l’avoir haï, aujourd’hui j’aime vraiment mon mari. Qui est devenu ma salope, ma chienne sexuelle… .
C’est plein de bonnes choses, mais outre que le cheminement de l’héroïne me semble aller bien vite, je trouve que ça manque de folie