Mademoiselle de Saint-Hubert
1 – Première rencontre
par Ysan
Ysan c’est moi, artiste peintre au talent reconnu. Quarante ans, dans la force de l’âge, je suis parait-il un très bel homme, c’est en tout cas ce que disent les femmes.
J’habite Paris dans un vaste loft dominant le bois de Boulogne et c’est là que je travaille. Je ne vis pas seul. Il y a auprès de moi Fatima, ma servante depuis plus de dix ans. Fatima est une superbe ivoirienne de trente ans, beauté sculpturale, profil de médaille, pureté de sa race. C’est elle qui s’occupe de tout dans la maison, mais au fil des ans elle est devenue bien plus qu’une simple servante. Elle est ma confidente et même ma complice et ne se prive pas de donner son avis sur tout : ma peinture, mes relations, mes maitresses. Un jour elle a entendu l’une de mes admiratrices assez snob m’appeler « maître », impressionnée par ce vocable prétentieux, depuis Fatima a décidé de l’utiliser elle aussi :
– Maître, la toile que vous venez de terminer ne me plait pas du tout… maître vous sortez avec une fille trop moche pour vous… et maître ceci… et maître cela.
Il en est ainsi à longueur de journées ce qui m’amuse. Il faut dire que Fatima n’éprouve aucune antipathie envers les femmes de ma vie, au contraire il lui arrive de participer à nos jeux amoureux et son avis sur mes nouvelles conquêtes est toujours pertinent. Et puis Fatima a une collection d’amants impressionnante, elle aime bien me raconter ses aventures. Tous ses compatriotes de passage à Paris savent quelle ne se fera pas prier pour leurs offrir ses charmes. Dans l’appartement elle est généralement nue sous sa blouse de travail, mais lorsqu’elle attend l’un de ses amants alors elle a des bas rouges et le porte-jarretelles assorti. Souvent je la taquine :
– Alors Fatima c’est un ancien ou un nouveau que tu attends aujourd’hui ?
– Un nouveau, maître, il arrive du pays. Le pauvre, il n’a pas fait l’amour depuis longtemps sans doute. Il doit être engorgé. Il paraît qu’il a une bite énorme comme je n’en ai jamais vue. S’il m’encule vous allez m’entendre crier mais ce sera bon !!!
– C’est bien Fatima de soulager tes compatriotes, tu es un bon petit soldat de l’amour.
Le studio où elle vit jouxte mon atelier et en travaillant j’ai alors pour fond sonore les ébats amoureux de ma servante ce qui ajoute au trouble de la jeune femme qui pose nue devant moi.
A une époque où l’art abstrait est à la mode, je pratique une peinture figurative que les critiques ont baptisé « le lyrisme onirique ». Très influencé par Klimt, je peints essentiellement des femmes dénudées dans un foisonnement de décors bucoliques ou néoréalistes suivant l’humeur du moment. J’expose dans les plus grandes capitales et mes toiles se vendent à prix d’or.
J’ai beaucoup d’admiratrices et même les plus belles, les plus riches, les plus célèbres sont prêtes à toutes les compromissions pour avoir l’honneur de poser nues dans mon atelier et là elles n’hésitent pas à libérer tous leurs fantasmes.
Pour certaines c’est le fantasme de la prostitution. Je les déguise, bas résilles, jupes fendues jusqu’à la taille, poitrine offerte, maquillage outrancier. D’imagination je peints un environnement glauque et ténébreux : trottoirs humides éclairés par le néon d’un bar, personnages patibulaires sortant de l’ombre. Pour d’autres c’est le fantasme de la strip-teaseuse. Sans pudeur elles m’exhibent leurs dessous les plus érotiques : guêpières en dentelles, nuisettes transparentes, strings provocateurs. Juchées sur leurs talons aiguilles elles prennent la pose comme de vraies professionnelles. Il me suffit de compléter ma toile par une foule d’hommes aux regards concupiscents et le résultat ne manque pas d’érotisme.
Un jour où l’une d’entre elles m’a parue particulièrement excitée, j’ai décidé de pousser plus loin le jeu de la soumission. Avec toutes ces jeunes personnes et quel que soit le niveau de notre intimité nous avions conservé l’habitude de nous vouvoyer. Un moyen pour éviter tous risques d’impairs quand je les retrouvais accompagné de leurs maris dans des soirées mondaines. Là brusquement j’ai changé de ton :
– Avec tes dessous de pute tu me fais bander. Tu es une vraie salope. On arrête la séance de pose, mets toi en levrette sur le canapé je veux te baiser tout de suite !
– Oh maître vous me choquez, jamais vous ne m’aviez parlé ainsi
– Ne discute pas, tu dois obéir.
– Ne me grondez pas maître, je ferais tout ce que vous voulez, je veux être votre esclave, je me mets en levrette tout de suite.
– Ah ! Tu as une croupe magnifique, je vais me régaler dans ton cul de salope
– Oh non pas ça maître ! Pitié ! Je suis vierge derrière, vous allez me déchirer
– Alors tu veux faire la pute et tu n’as jamais été enculée, et bien tu en as des choses à apprendre ma fille !
– Bon, je ne suis pas une brute, on en reste là pour aujourd’hui mais Fatima va t’expliquer comment tu dois te préparer pour la semaine prochaine. En attendant tu vas me sucer à fond pour me soulager.
– Oui maître ça je sais bien faire et j’avale tout.
Effectivement elle m’a sucé avec tout le talent d’une professionnelle. Pendant ce temps Fatima était allé chercher le matériel qu’elle lui a remis avec les explications nécessaires : un gode de petit diamètre pour l’initiation, un plug qu’elle devait porter en permanence, un grand tube de crème et l’indispensable poire à lavements. Rendez-vous fut pris pour la semaine suivante
Elle est arrivée à l’heure dite enveloppée dans un beau manteau de fourrure bien que nous soyons à la fin de l’hiver. Un peu angoissée elle a ouvert sa pelisse et surprise, ne portait en dessous qu’une guêpière en dentelle rose et des bas noirs, pas de culotte mais le plug planté dans le fondement. Elle avait eu le courage de prendre un taxi dans cette tenue.
Jolie poupée, enfant gâtée, un mari cédant à tous ses caprices, elle venait chercher auprès de moi ce qui lui manquait, obéissance, soumission et domination. Autant de bonne volonté m’a ému :
– Tu es très belle et prête à me faire un cadeau magnifique, la virginité de ton petit cul. Alors cesse de m’appeler maître, je suis Ysan ton amant.
– Ysan tu es adorable fais moi tout !
Spontanément elle s’est allongée à plat ventre sur le divan les reins cambrés m’offrant sa croupe somptueuse. Je l’ai sodomisée tout en douceur, elle gémissait de plaisir.
Ainsi femmes du monde ou petites bourgeoises viennent dans mon atelier bien plus pour vivre leurs fantasmes que pour les séances de pose. Les plus perverses ne sont pas insensibles au charme équivoque de Fatima qui vient alors se mêler à nos ébats. J’en profite pour prendre un peu de repos et j’assiste en spectateur au spectacle charmant de ces jeunes femmes qui se caressent voluptueusement. Fatima toujours complice en profite pour se glisser sous sa partenaire qui, à plat ventre offre sa croupe à toutes mes tentations. C’est le moment où j’interviens et bon nombre de mes maitresses ont subi là leur première sodomie.
Toutes ces charmantes jeunes femmes fourmillent d’imagination quand il s’agit satisfaire leurs fantasmes. Un jour la jeune épouse d’un avocat célèbre posait en odalisque alanguie sur le sofa. Dans le studio qui jouxte mon atelier, Fatima recevait l’un de ses compatriotes. On entendait les gémissements de ma belle servante et les rugissements du mâle qui la besognait. Ma charmante bourgeoise semblait troublée :
– J’ai l’impression Ysan que Fatima passe un bon moment.
– Certainement, elle est avec l’un de ses compatriotes qui vient d’arriver en France et n’a pas fait l’amour depuis longtemps.
– Je vais vous poser une question indiscrète, il parait que les noirs ont un sexe énorme.
– C’est tout à fait exact et impressionnant. Si vous n’en avez jamais vu, je suis sur que Fatima sera très fière de vous présenter son ami, vous pourrez même l’essayer.
– Oh non Ysan ! Pas l’essayer comme vous dites, mais j’aimerai bien juste voir.
Sans plus attendre je me suis empressé d’aller chercher Fatima et son amant. Ils ont interrompus leurs jeux amoureux, très excités par ma proposition. Ils m’ont suivi et s’ont entrés nus dans l’atelier, Fatima caressant le sexe énorme de son amant pour le maintenir en érection. Ma belle odalisque était fascinée et spontanément a entrepris une danse lascive pour ensuite s’agenouiller et prendre en bouche l’objet de ses fantasmes. J’ai décidé d’intervenir :
– Non ma chère amie, vous n’allez pas vous contenter de lui faire une pipe, il vous faut aller au bout de vos désirs. Enlevez votre pantalon d’odalisque et mettez vous en levrette parterre, c’est ainsi que les africains ont l’habitude de prendre les femmes.
– J’ai peur Ysan ! Dans cette position il va me sodomiser et vous savez combien je suis étroite derrière.
– N’ayez aucune crainte, Fatima va le diriger. Obéissez, vous en mourrez d’envie.
Elle a pris la position et le male est venu s’agenouiller devant cette croupe offerte. Fatima, toujours attentive, a pris en main la bite de son amant pour la pointer sur la chatte de ma charmante odalisque. Le rut a été somptueux, avec Fatima nous admirions en connaisseurs.
Enthousiasmée par son exploit ma petite bourgeoise c’est empressée de raconter l’aventure à toutes ses amies. Il faut dire que ces dames avaient pour habitude de comparer leurs exploits sexuels sans aucune pudeur. Toutes on voulu connaître les bites phénoménales des amis de Fatima. En peu de temps je me suis retrouvé entremetteur, Fatima mère maquerelle et mon atelier était devenu une maison de passes.
Spectacle étonnant de voir ces femmes du monde, à quatre pattes sur mon parquet, prises comme des chiennes par un colosse africain monté comme un taureau. Eux, repartaient repus, fiers d’avoir baisé une blanche et en plus récompensés par un gros billet, ces dames faisaient aussi la charité. Elles, regagnaient sagement le domicile conjugal. En épouses modèles racontaient au mari avoir pris le thé chez une amie. Et s’il se montrait un peu entreprenant elles savaient le repousser en prétextant une forte migraine, mais certaines m’on dit avoir trouvé assez de force et d’envie pour encore écarter les cuisses et accomplir leur devoir conjugal.
Telle était ma vie dans l’insouciance de l’aisance et des plaisirs jusqu’au jour où un simple appel téléphonique de mon galeriste a bouleversé mon existence.
– Salut Ysan, je ne te dérange pas ? Je serai un peu long.
– Vas y ami je t’écoute, j’ai tout mon temps. Je viens de terminer une toile qui je pense te plairas et je bois un whisky en attendant que Fatima me serve le repas.
– C’est justement de peinture dont je veux te parler Ysan. Cette après-midi la comtesse Solange de Saint-Hubert de Bois-Colombes est venue me voir à la galerie. Elle est passionnée d’art contemporain et en particulier par ce que tu fais. D’ailleurs, elle nous a déjà acheté plusieurs de tes toiles pour sa collection personnelle. Possédant une fortune considérable, elle consacre une bonne partie de son argent et de son temps pour une œuvre caritative qu’elle préside : un orphelinat en Afrique noire. C’est à ce sujet qu’elle voulait me voir. Pour compléter son financement, elle envisage d’organiser une exposition dont tu serais le peintre invité et tes toiles seraient vendues aux enchères au profit de sa fondation. La comtesse qui ne rigole pas tous les matins a choisi le thème «les calvaires du genre humain » mais elle voit grand et veut louer le Grand Palais. A nous de faire venir d’un peu partout des toiles de maîtres sur ce thème. Pour toi ce serait une belle consécration.
– Mais que veux-tu que j’aille faire dans une exposition consacrée aux calvaires du genre humain !!!!
– Ysan réfléchis un peu, c’est tout à fait dans l’esprit de ton style actuel. Quand tu déguise tes femmes du monde en putes, pour vous c’est un jeu. Tu ne crois pas que pour les vraies professionnelles c’est plus souvent un calvaire. Quant aux esclaves enchainées que tu fais maintenant pour tes clients cinglés voilà un bel exemple de descente aux enfers.
Les propos sibyllins de mon galeriste concernant les « cinglés »demandent quelques explications. Il y avait parmi mes clients un personnage énigmatique qui aimait venir me voir à l’atelier. Un jour il admirait une toile que je venais de terminer : une jeune femme nue, nonchalamment adossée au poteau qui soutient la charpente au milieu de mon vaste loft. Après bien des hésitations il m’a demandé si je pouvais modifier mon tableau afin d’enchainer cette jeune femme au poteau.
L’idée m’a parue étrange et de toutes manières je ne pouvais pas réaliser cette transformation sans l’accord de mon modèle Florence, jeune et charmante bourgeoise, bon chic, bon genre, épouse d’un médecin célèbre qui la délaissait un peu. Comme beaucoup d’autres, elle venait chez moi pour se défouler. Je lui ai téléphoné à une heure où je la savais seule. Sa réponse a été étonnante :
– Ysan, voilà une idée excitante, me retrouver ainsi enchainée et livrée à un homme que je ne connais pas. Je viens dés demain pour poser.
Le lendemain, Fatima toujours efficace avait trouvé des chaines chez le quincailler du quartier et j’ai pu saucissonner Florence autour du poteau. La modification du tableau a été rapide. Très excités tous les deux par cette séance insolite nous avons fait l’amour avant qu’en épouse modèle elle ne regagne le domicile conjugal.
Non seulement mon client a acheté la toile, mais il s’est empressé de m’envoyer ses amis qui tous voulaient des esclaves enchainées. J’ai eu vite compris qu’ils pratiquaient en groupe les jeux dangereux inventés par le marquis de Sade. Ma jeune maitresse Florence s’est montrée enthousiaste à l’idée de poser pour eux dans les situations les plus insolites et souvent humiliantes. Elle se voyait livrée à ces pervers, moi j’étais tranquille, par tableau interposé il n’y avait aucun risque. Par contre, j’ai bien profité de ses fantasmes, les séances de pose se terminant toujours par des chevauchées fantastiques sur mon lit. Mon galeriste, lui, appréciait moins mes nouveaux clients, il les appelait « les cinglés ».
Un soir l’un d’entre eux est venu me voir avec des airs de conspirateur. Mandaté par tout le groupe, il avait une question importante à me poser :
– Maitre nous apprécions beaucoup vos toiles, mais vous ne peignez que des corps de femmes. Il y a dans notre association un jeune garçon très beau et tout disposé à poser pour vous. Nous aimerions avoir une toile le représentant disons… euh… euh… c’est difficile à dire… disons… euh… disons… en position de soumission. Vous me comprenez. Bien sûr pour cette œuvre un peu spéciale votre prix sera le notre.
– Le prix n’est pas un problème, mais quel est l’âge de ce jeune garçon ?
– Je comprends votre crainte, maître, mais soyez rassuré ? Ce garçon est jeune par rapport à nous, mais il a quand même vingt-cinq ans.
– Vous êtes tous des clients fidèles, je ne peux pas refuser, mais j’ai peur de vous décevoir. Ce sera pour moi une grande première, je n’ai jamais peint un homme
Nous avons fixé une date pour la première séance et mon interlocuteur est parti ravi. Il me fallait sans tarder annoncer la nouvelle à Fatima :
– Fatima, tu ne vas pas me croire, le modèle qui va venir poser la semaine prochaine ne sera pas une femme mais un homme !
– Non, c’est vrai ? Et comme je sais que vous n’aimez pas les garçons, c’est moi qui vais m’occuper de lui après la séance ….oh ! Merci maître.
La semaine suivante mon nouveau modèle est venu seul à l’heure prévue. C’était effectivement un très bel éphèbe assez efféminé : vêtements moulants, visage glabre, longs cheveux blonds et détail curieux, il portait à l’épaule un grand sac de sport.
Timide et réservé, parlant peu, il s’est déshabillé sans complexe devant moi et a sorti de son sac tout un harnachement de cuir et de métal qu’il s’est empressé d’endosser avant de prendre la pose devant le poteau. Il devait avoir reçu des instructions de ses mentors.
J’avais à peine commencé à dessiner quand Fatima a fait son entrée dans l’atelier au prétexte de nous apporter des rafraichissements. Pour la circonstance elle avait mis son uniforme de séductrice : bas rouges et porte jarretelles assorti, sa blouse de travail largement déboutonnée, elle ne cachait pas ses intentions. Pourtant après avoir déposé son plateau et observé le jeune éphèbe d’un œil inquisiteur je l’ai vue se retirer sans un mot.
Elle n’a réapparue qu’en fin de journée après le départ du jeune homme.
– Et alors Fatima où étais tu ? Toi qui devais d’occuper de ce beau garçon, il t’a fait peur ?
– Maître ne vous moquez pas de moi, vous l’avez regardé ? Pas un poil, une toute petite bite, ce n’est pas un homme, il ne doit jouir que dans son cul celui là!
– Tu dis les choses un peu crument Fatima, mais je pense que tu as raison. Ce pauvre garçon doit être le souffre douleur de tous ces vieux vicieux.
J’ai bâclé la toile en trois séances. Mes clients étaient ravis, moi j’appelais cela ma peinture commerciale. Mon galeriste plus sévère disait que je me dévalorisai.
Cette digression ne m’a pas fait perdre de vue que je lui devais une réponse pour l’exposition envisagée par la comtesse. Je l’ai appelé sans plus tarder :
– Ecoute ami, ma réponse je te la donne tout de suite. En ce moment je suis lassé par ma vie trop facile voilà pour moi l’occasion d’aider les plus défavorisés, je suis d’accord pour prendre en main cette exposition. Organise un rendez vous avec ta rombière.
– Ta réponse me fait plaisir Ysan, mais je te signale que la rombière en question est bien plus jeune que toi, elle ne doit pas avoir plus de trente ans. Elle est célibataire et orpheline, son père lui a laissé en héritage une fortune colossale et le titre de comtesse.
Rendez vous fut pris pour la semaine suivante à la galerie. Quand je suis arrivé, la comtesse m’attendait : tailleur gris de mauvaise coupe, jupe trop longue, chaussures à talons plats, cheveux blonds serrés dans un chignon, visage harmonieux mais regard sévère, pas de maquillage, aucun bijou. Bref l’image du puritanisme le plus austère. J’ai voulu la saluer par une formule assez protocolaire « je vous présente mes hommages madame la comtesse». Sa réponse a été brève et cinglante : « non ! Mademoiselle ». Elle venait de m’informer qu’elle était vierge et voulait qu’on le sache
Heureusement nous avons vite parlé peinture et l’atmosphère c’est détendue. En peu de temps nous étions d’accord en tous points sur l’organisation de l’exposition. Nous voulions en faire l’évènement culturel de la saison parisienne raison pour laquelle nous avons décidé de l’appeler tout simplement « L’EXPO »
Dés le lendemain je prenais l’avion pour un long périple en Europe et aux Etats-Unis vers tous les musées et les collectionneurs susceptibles de nous prêter des toiles.
(à suivre)