La reine Russo 13 – Les plaisirs de la Reine
par Nicolas Solovionni
– Victor !
– Victor, caressez-moi les seins !
– J’ai vraiment cette permission ?
– Mais oui, mon gros loulou.
– Vous êtes une très belle femme…
– Il me manque un peu l’éclat de ma jeunesse.
– Mais non, mais non ! Ils sont très doux, je peux les embrasser.
– Ils sont à vous, vous pouvez leur faire ce que vous voulez du moment que vous ne les maltraitez pas.
Voilà qui n’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd. Et vas-y que je te pelote, que je te lèche et que j’aspire les tétons, Et quand il se lasse du sein droit, il passe au gauche et ainsi de suite.
– Si vous me montriez votre bite, mon beau Victor !
– Elle est en forme ! Répondit-il en entreprenant de se débraguetter
– Mais non, Victor, pas comme ça, faite moi plaisir, descendez-moi tout ça, vous serez plus à l’aise et moi je verrais mieux
L’homme obéît de bonne grâce
– Allez, tant que vous y êtes, mettez-vous carrément à poil et moi je vais faire pareil.
Et voilà la délicieuse reine Russo toute nue en face du « négociateur ». La main de la reine se balade sur le torse de l’homme, pince légèrement le téton, comme ça, pour voir !
– Oui ! Dit simplement Victor.
Du coup elle y va carrément et lui tortille ses petits bouts, mais sans brutalité.
– Tu ne serais pas un peu maso, toi ?
– Non, disons, juste des petits trucs !
– Quoi par exemple ? Non laisse-moi deviner ! La fessée peut-être.
– Ça ne me déplait pas ! Avoue-t-il en rougissant.
– Tu voudrais que je te fesse ?
– Pourquoi pas, j’ai un peu honte !
– Honte, de quoi, ça ne fait de mal à personne ! Juste un peu à toi, mais c’est ton corps, tu en libre !
– Certes !
– Allez, viens te coucher sur mes genoux, mon gros loulou, je vais te faire rougir tes petites fesses.
Et ça non plus, il ne se le fait pas dire deux fois.
– Oh, mais c’est qu’il est joli ton cul ! C’est rare les hommes qui ont si beau cul ! On te l’avait déjà dit ?
– Non !
– Tiens vilain garçon ! Dit-elle en assenant la première claque.
– Aïe !
– C’est trop fort !
– Non c’est bon !
La reine se mit alors à taper sans compter et ne s’arrêta que quand le cul du fonctionnaire eut viré au cramoisi.
– Oh lala, j’ai mal aux mains !
– C’était bon ! Commenta-t-il
La reine poussa le vice jusqu’à lui embrasser les fesses avant de lui faire quitter la position.
– Un trop joli cul, vraiment !
– Vous êtes gentille !
– Et un doigt, t’aimes bien ?
– Un doigt ?
– Tourne-toi tu vas mieux comprendre.
Gariga a déjà compris mais il n’osait pas le dire, parfois les grandes gueules sont autant de grands timides.
– Si je mets un doigt-là, ça te fait quoi !
– Ce n’est pas désagréable.
– Et si je l’enfonce.
– Je ne sais pas ?
– J’essaie ?
– Juste un peu !
« Quel faux cul, c’est le cas de le dire »
– C’est bon ?
– Oui c’est bon !
– Je vais bouger plus vite !
– Oh lala !
– Tu aimes ?
– Ce n’est pas désagréable.
– Et un gode tu as essayé ?
Gariga se demande dans quoi cette drôle de reine veut l’embarquer, il regarde autour de lui, ne voit pas de godemichet et peut donc, pense-t-il faire une réponse vague.
– Y’a longtemps pour voir !
– Et ça t’avais plus
– Ce n’est pas désagréable.
Il ne sait dire que ça, ce doit être un tic de langage.
– Et tu n’as jamais eu l’envie de recommencer ?
– Jamais eu l’occasion !
– Et si j’e t’en donnais l’occasion ?
– Je ne sais pas.
– Allez, forçons le destin !
La reine claque dans ses mains, Tainath apparaît.
– Va donc nous chercher un gode, un pas trop gros ! Lui dit-la reine.
– Euh, elle nous regardait ? Balbutie Gariga !
– Non, elle était un peu plus loin à attendre mes ordres et à veiller à ma sécurité
– Ah bon, le gode, ce n’est peut-être pas la peine.
– Mais ce n’est pas grave mon gros loulou, si tu n’en veux pas je le garderai pour moi.
Tainath revint rapidement et tendit l’olisbos à sa reine.
– Tu veux me regarder pendant que je me l’enfonce ?
– Pourquoi pas ?
– Ou tu préfères m’enfoncer ta bite ?
– Ma foi, si j’ai le choix
– Alors d’accord, mais je vais te la sucer avant, ne fait rien, laisse-moi faire.
La reine rappela alors Tainath.
– Pendant que je le suce, tu vas lui lécher le cul et peut-être enfoncer un doigt, Victor adore ça !
– C’est que…
– Chut, laisse-moi faire, mon gros loulou.
La reine s’empare de sa bite et la pourlèche comme elle aime à le faire en se livrant à se savants va-et vient avec ses lèvres serrées, tandis que ses doigts ont de nouveau attrapé ses tétons et les serre vigoureusement. Joli traitement par devant, joli traitement par derrière. Victor Gariga est au paradis.
Mais la reine stoppe brusquement ses actions et fait signe à Tainath de faire de même
– Maintenant tu peux me baiser !
– Avec plaisir !
– J’ai un petit regret, cependant…
– Dites-moi !
– J’aurais tant voulu que tu t’introduises ce joli gode dans le cul, cela m’aurait fait plaisir de te voir le faire.
Peu en état de réfléchir et soucieux de ne pas contrarier la reine qui jusque-là a été d’une gentillesse et d’une disponibilité exemplaire, il répond immédiatement.
– Passez-moi ce gode, votre grâce ! Je vais me l’introduire dans le trou du cul.
– Voilà qui est gentil ! Tainath va te donner un petit coup de main. Tainath encule-moi ce gentil monsieur avec le gode et pendant ce temps-là, il va me lécher la moule.
La reine se couche, Victor vient entre ses jambes et goute au fumet délicat que dégage la cramouille royale. Derrière lui, la soubrette a introduit le gode facilement, non seulement, l’homme n’a pas émis de protestation, mais le voilà qui dandine du croupion tellement le plaisir provoqué par l’objet devient intense.
– Je le retire ou je continue ? Lui demande Tainath.
– Continuez un peu, je vous prie.
La reine Russo pensait devoir simuler son plaisir, mais à son grand étonnement, l’homme s’acquitte plus que correctement de sa tâche ! Elle sent son plaisir monter, commence à miauler d’aise et finit par gueuler comme une baleine.
Tainath profite de cet instant pour retirer le gode du cul de Victor d’un coup sec, ce qui lui fait pousser à son tour un cri de plaisir.
– Maintenant tu peux me baiser ! Lui dit la reine.
Ce qu’il fit, le coït fut intense mais rapide, les deux amants ensuite s’embrassèrent.
La reine se serait bien passée de ce bisou profond, mais elle s’était bien amusée et avait bien ferré l’homme
Ils restèrent sans rien faire, allongés l’un près de l’autre pendant quelques minutes comme deux ados contents de s’être donnés l’un à l’autre pour la première fois
Et pendant ce temps-là, Tainath s’était accroupie sur le bord du pont et pissait dans l’eau, faisant déguerpir les pauvres grenouilles qui n’avait pas demandé cette sorte de pluie.
– Au fait, Victor, je n’ai pas encore retrouvé l’acte de vente, une déclaration sur l’honneur vous suffirait-elle ?!
– Laissez tomber, je saurais rédiger un rapport qui convaincra mes supérieurs hiérarchiques.
– T’es un amour ! Tainath, apporte-nous de quoi trinquer !
Le départ fut fixé au lendemain matin, Gariga ayant souhaité laisser l’équipage et les mercenaires s’amuser une partie de la nuit.
Le matin, avant que le capitaine ait entamé le compte à rebours, Bernardino entreprit Gariga.
– J’ai réfléchi à un truc, on est en train de se faire posséder par cette reine, elle possède des pouvoirs magiques.
– Pardon ?
– Elle a été capable de transformer Hubert en grenouille, elle a pu nous tromper sur la composition du diamant.
– T’as pris quoi comme substance ?
– Mais je l’ai vu la grenouille, elle me l’a montré !
– Allez, dodo !
Trois semaines plus tard Gariga et Benardino rendaient leur apport au colonel Vonz.
– Autrement dit, la mère Jiker nous a fait perdre notre temps. ! Commente ce dernier.
– Elle ne pouvait pas savoir ! Objecte Gariga. Personne ne pouvait savoir !
– Ce n’est pas parce que vous avez vu un faux que le vrai n’est pas planqué quelque part !
– C’est évidemment une chose possible mais la probabilité en est si faible que je n’y crois pas une seconde. En principe personne d’étranger ne pénètre dans cette salle du trésor, alors pourquoi prendre ce genre de précaution.
– Bon, je vous fais confiance, on va classer l’affaire ! Et Herbert ?
– Il a péri sur Mijarka ! Mentit Gariga en envoyant un bon coup de coude au lieutenant Bernardino.
– Vous en avez eu la preuve ?
– Non !
– Pas de preuve, pas de primes !
– Hélas ! Hélas !
Gariga s’en fichait, il avait agit en service commandé, sa prime n’aurait été que symbolique… en revanche celle de Jiker…
– Et oui, la vie est dure parfois ! Le lieutenant Jiker va l’avoir mauvaise !
– Sera-t-elle maintenu dans ces fonctions demanda Bernardino.
– Evidemment, elle n’est pas toujours très claire, mais elle maintient bien l’ordre sur Vargala. Je vais lui envoyer un message pour la mettre au courant. Au fait cette reine Russo, elle est comment ?
– Très belle et elle suce très bien ! Répondit Gariga.
– Pardon ?
– Non, non je plaisantais !
Ça devait arriver un jour, la Reine Russo me convoqua.
– Bon, ce que je vais te dire ne va pas te plaire, d’ailleurs ça ne me plait pas non plus ! Mais les meilleures choses ont une fin, il faut que nous mettions fin à cette liaison. On ne va pas se plaindre, on en a bien profité, mais il faut savoir tourner les pages.
J’avais beau m’y attendre, ça fait mal, je ne commentais pas sa décision et m’y pliais.
– Je vais préparer mes affaires, le temps de tout organiser, je devrais pouvoir partir dans deux jours.
– Faisons l’amour une dernière fois !
– Je ne vais pas pouvoir bander !
– Mais si !
Mais quand le cœur n’y est pas, la bite ne suis pas ! Comme aurait dit Lao Tseu.
Il pleuvait ce jour-là et nous avions délaissé la gloriette pour la chambre royale.
Déshabillée en vitesse; l’un devant l’autre, j’avais devant moi sa plastique impeccable dont je ne m’étais pas lassé, alors que pour le moment je n’avais à lui offrir qu’un sexe flaccide.
– Caresse mes seins ! Me demanda-t-elle.
Evidemment que je les caresse, que j’en apprécie la douceur et la rotondité, mais j’ai l’esprit ailleurs, je ne bande toujours pas.
Alors quand l’esprit n’en peut plus, il reste la mécanique comme disait je ne sais plus qui. Et la reine l’a parfaitement compris en m’attrapant mes bouts de seins et en les serrant entre ses doigts, en les tortillant, en les tirant.
Et miracle, voilà que popaul redémarre.
Flexion des genoux de la Reine Russo, et ma bite se retrouve dans sa bouche. Je suis écartelé entre m’abandonner au plaisir de cette bonne pipe et l’insupportable de devoir nous séparer. Pas facile à gérer !
Toujours en continuant à me sucer, la reine passe ses mains derrière moi, me caresse les fesses, les écarte, et parvient à me glisser un doigt dans l’anus. C’est vrai que j’adore ce genre de fantaisie.
Et quand elle estima que j’étais suffisamment chauffé, elle se précipita sur le lit, en levrette les cuisses bien écartées, le popotin relevé,
– Encule-moi ! Précisa-t-elle au cas où je n’aurais pas tout compris.
J’enculais ma Reine en m’efforçant de me concentrer sur ce que je faisais, je la fis jouir du cul et quand je me retirais elle procéda au petit nettoyage dont elle raffolait.
Des larmes me virent aux yeux, elle ne les vit pas ou alors elle fit semblant de ne pas les voir.
– Tu vois, ça s’est bien passé, si un jour tu repasse par-là viens me faire un bisou.
– Promis !
– Maintenant j’ai un service à te demander, je n’ai dévoilé à personne pour l’instant, l’identité de la fille qui a tuyauté Corelli pour faire évader Harnoncourt.
– Ah ?
– Je vais la bannir de la planète, tu me la prends dans ton vaisseau et tu en fais ce que tu veux, je sais que tu ne lui ne feras pas de mal, mais qu’elle se débrouille, qu’elle en chie un peu !
Elle appela ensuite Yolaina
– Tu vas me chercher Lizda, je la veux ici rapidement complètement nue et attachée, avec un collier de chien autour du cou. En passant tu demanderas à Nysis de nous rejoindre.
Yolaina trouve Lizda dans les cuisines royales, la fait se déshabiller devant tout le monde, puis lui ligote les poignets et lui passe le collier devant les sarcasmes de ses collègues.
Lizda n’en mène pas large et elle est toute pâle quand elle se retrouve devant sa reine.
– Nysis, tu voulais connaitre l’identité de l’espionne qui a aidé Harnoncourt à s’évader, la voici ! Prends la cravache et donne lui 10 coups sur les fesses; mais ne l’abime pas, je vais l’offrir en cadeau au capitaine Stoffer.
Lizda comprit alors qu’elle allait quitter la planète, son rêve se réalisait donc, alors les dix coups de cravache, vous pensez bien qu’elle n’en avait pas grand-chose à faire.
Crânement, elle se dirigea vers le mur à sa gauche, offrant son dos et ses fesses à sa fouetteuse.
– Non, fouette la devant ! Objecta la Reine.
Non seulement ça allait faire mal, mais voir arriver les coups n’a rien d’agréable, néanmoins elle se retourne crânement.
Elle a alors l’idée de fermer les yeux, ce qui fait qu’elle ne voit pas arriver le premier coup qui lui cingle le ventre, elle crie, rouvre les yeux, regarde à gauche à droite, ne sait que faire.
Nysis la regarde de toute sa hauteur avec un air sadique et une certaine classe, il faut bien le reconnaître, elle arme sa cravache et vise les seins, laissant une trainé rougeâtre en leur travers.
Lizda trépigne, crie et pleure, deux gardes sont prêtes à intervenir au cas où elle ne laisserait plus faire, mais la fille prend sur elle pour se remettre en position de recevoir les coups suivants.
Nysis fait durer le plaisir, espaçant ses coups d’une minute, voire davantage, puis frappant avec force.
– Salope tu me fais mouiller ! Dit-elle en assénant le dernier coup avec une violence sauvage.
Le supplice est terminé, Nysis a rangé sa cravache.
– Votre grâce, puis-je solliciter l’autorisation de me faire lécher par cette trainée, cette petite séance m’a mise dans un état…
– Tu as entendu, Lizda, Nysis veut que tu la lèches. Je ne vais pas refuser cette faveur à une si jolie fille. Allez, exécution.!
Nysis se coucha par terre, jambe écartées, Lizda, obéissante vint donc lui laper le minou inondé de mouille. Cela ne constituait pas une corvée pour elle qui après avoir tété les chairs délicates s’en fut titiller le clitoris et envoyé la fouetteuse dans les étages de l’extase.
Lizda se releva, on eut la grande bonté de lui passer une couverture et de la faire conduire à l’infirmerie où on lui appliqua un baume apaisant.
Deux jours après, le Rosa-Monda réunissait son équipage avec Dyane, Nerren, Nadget et Dilos, ainsi que les rescapés de l’équipage du Serpentaire : Corelli, Pilzer, Sandora et deux autres qui voyageraient comme passagers et bien sûr Lizda.
Greta demanda à rester sur la planète, son flirt avec Yolaina n’étant pas terminé.
On allait être serré mais on se débrouillera, et pour les vivres, la reine Russo avait assuré.
Il fallut bien que rapidement, Lizda me pose la question :
– Tu m’emmène où ?
– Sur Vargala !
– Et ensuite ?
– Il n’y a pas d’ensuite, je te débarque et tu te débrouilles.
– Avec quoi ? Je n’ai rien apporté, je n’ai pas d’argent et les fringues que je porte et qu’on m’a donné ne sont pas à ma taille.
– Je n’y peux rien, ce n’est pas mon problème !
– Arrivée là-bas tu pourras me prêter un peu de sous pour que je puisse manger, dormir…
– Si t’es sage et si je suis de bon poil.
Quelque part, elle me fait mal au cœur, cette pauvre nana, je vais la débarquer sur Vargala, elle va faire quoi ? Proposer ses services dans un restaurant, dans un bordel ? Je pourrais peut-être lui conseiller des adresses où les gens sont corrects. Mais comment lui dire ça ? Bof on en reparlera, le voyage va durer trois semaines.
– En fait je n’ai pas eu de pot, d’abord Gazo qui se fout de ma gueule, ensuite le Serpentaire qui n’a pas pu partir soi-disant parce qu’il n’y avait plus de combustible.
– Moi je trouve qu’au contraire tu as eu beaucoup de chance, après l’affaire Gazo, la reine Russo, pouvait t’emprisonner ou t’envoyer au bagne, elle ne l’a pas fait, elle t’a juste envoyé en cuisine, et pour la seconde affaire c’était le bagne ou l’exil, tu aurais préféré le bagne ?
– C’est une façon de voir les choses !
– Et d’abord, pourquoi vouloir quitter Mijarka ?
– A cause de cette salope de reine !
– Qu’est-ce qu’elle t’a fait ?
– J’étais sa favorite et du jour au lendemain, elle m’a laissé tomber pour une pétasse. Alors je me suis jurée de m’éloigner d’ici par n’importe quel moyen. Les vaisseaux ravitailleurs n’avaient pas de place, alors j’ai attendu l’occasion !
– Une histoire de cul, en somme !
– Justement, tu le trouves comment, mon cul ?
Je la sentais venir, celle-ci ! Mademoiselle va me faire une opération sexe avec comme contrepartie le fait que je ne l’abandonne pas à son sort une fois débarquée sur Vargala.
Le souci, c’est qu’à part des adresses, et apparemment ce n’est pas cela qu’elle cherche, je ne vois pas ce que je pourrais lui proposer.
– Bon, tu me fous la paix, s’il me vient une idée, je t’en parlerais.
– Tu ne veux pas passer un petit moment avec moi ?
– Non !
– Tu n’aimes pas les femmes ?
– Si !
– Je ne suis pas ton genre ?
– Bon tu arrêtes !
– Je suce bien, il parait !
– Comment peux-tu dire ça ? A part Gazo tu n’as connu aucun homme, et il n’allait pas te dire que tu suçais mal.
– Tu ne serais pas un peu mufle, toi ? Laisse-toi faire, je vais t’étonner !
– Non !
– Je vais te dire un truc, j’ai déjà quitté Mijarka une fois. Un beau capitaine aux yeux bleus comme le ciel est tombé amoureux de moi, je me suis laissé faire et il m’a embarqué. On a vécu deux mois de folie, puis il m’a largué comme une vieille chaussette sur une planète pourrie, il a bien fallu que je survive, alors les pipes ça me connaît.
– Et t’es revenue comment ?
– Un coup de bol, j’ai galéré plusieurs mois et je suis de nouveau tombée sur le beau capitaine. Il n’a pas été vache, il devait retourner sur Mijarka, alors il m’y a reconduit. Alors tu te laisses faire ?
– Non !
A suivre
J’espère qu’on retrouvera la Reine Russi dans d’autres épisodes
Ouin ! Si j’ai tout bien compris Stoffer va quitter la Reine Russo, je l’aimais bien moi la reine Russo, une belle cochonne qui a bien alimenté mes fantasmes, elle va me manquer