La fille du bus par Firmin Dumigron
Depuis quelque temps, la jeune femme qui prenait l’autobus avec moi tous les soirs me regardait avec un drôle d’air. Au tout début, je ne comprenais pas pourquoi, mais plus les jours se suivaient, plus je me rendais compte de plusieurs petites choses. Au tout début, ce n’était que des détails : prendre l’autobus en même temps que moi, porter des jupes un peu plus courte tous les jours, me regarder dans les yeux, etc.
Mais plus les jours avançaient, moins je pouvais me tromper: elle voulait effectivement quelque chose. Je décidais donc de descendre un soir, vers 18 heures, à son arrêt, par la même porte qu’elle. Au tout début, elle sembla surprise et mal à l’aise. Mais lorsque l’autobus tourna au coin, elle se retourna vers moi et me dit :
– Bonjour ! Sans doute faut-il que je me présente, je suis Consuela
Elle avait les cheveux longs et droits, châtain, une poitrine bien fournie sans être trop grosse, des jambes à faire rougir un coureur de fonds et de beaux yeux verts… Nous engagions ainsi la conversation pour nous retrouver devant son appartement. Elle m’invita donc à monter prendre un verre. Comme vous le devinez bien, j’acceptai volontiers.
Une fois entrée dans son appartement, elle me servit un cocktail dont j’ai oublié le nom, mais c’était délicieux et un peu fort. Nous parlions de nous et vint cette question :
– Tu as l’air en plein forme ! Tu pratiques une activité ?
– Tout à fait, j’excelle au cunnilingus et à la course à pied !
– Les deux en même temps ?
– Pas encore essayé.
– Ça ne me déplairait pas d’avoir une petite démonstration.
– De course à pied ?
– Je préférais l’autre activité !
Je cherchais une réplique mais je restais bouche bée quand elle se leva, ôta son haut puis son soutien-gorge, puis sa jupe et sa culotte et me laissa admirer son superbe corps.
Elle était magnifique. Des seins ronds avec des mamelons foncés, de jolies cuisses, une toute petite boucle d’oreille prise sur son nombril et une chatte et un mont de vénus compétemment glabre. Aucun poil. Ne sachant pas trop quoi faire et quoi ne pas faire devant cette déesse, je tentai le tout pour le tout. J’approchai donc ma bouche de ce superbe vagin sans rencontrer de résistance, et je le léchai consciencieusement avec ma langue pour ensuite le sucer avidement. Consuela aimait beaucoup ce que je lui faisais et se coucha sur le tapis du salon. Je descendis donc et continuai à la manger goulument. J’approchai ensuite un doigt et la pénétrai de mon majeur tout en continuant de sucer son clitoris.
Pendant que je la mangeais, la porte de l’appartement s’ouvrit et une autre femme, entra. Je notais la ressemblance avec Consuela.
– C’est ma mère ! Me précise cette dernière.
Nous étions sur le tapis du salon, Consuela, nue comme un vers, tout en sueur, et moi, rouge comme une tomate, ne sachant pas trop quoi faire.
– Salut les coquins, je m’appelle Dolores ! Et toi ?
– Euh, Fernando.
– Je peux me joindre à vous ?
– Pourquoi pas…
Elle se déshabilla donc et je commençai à sucer Dolores pendant que Consuela me déshabillait. Sa mère, beaucoup trop excitée, était déjà mouillée. Consuela pris alors goulument la relève et suça l’entrejambe de sa mère. Elle la léchait, la suçait alors que je caressai son vagin. Dolores s’excita de plus en plus et je ne pu m’empêcher d’approcher mon doigt de son anus. Ruisselant de sueur et d’excitation, j’enfonçais mon index dans cet anus accueillant pendant que Consuela suçait et pénétrait sa mère avec le sien. Dolores cria et jouit avec beaucoup de force.
Consuela et moi étions maintenant extrêmement excités. Elle se tourna vers moi et me donna en offrande son vagin tandis qu’elle prenait mon membre dans sa bouche. Nous nous sucions ainsi au gré de l’excitation de l’autre. Je margeais son vagin, son clitoris, la pénétrai avec un puis deux doigts. Excitée au plus haut point, elle demanda alors à sa mère de faire la même chose que ce qui lui était arrivée quelque instants plus tôt. Sa mère prit donc la relève et la mangea avec appétit. Je me levais donc et décidai de faire à ma nouvelle amie une belle surprise. Je lui demandais de se mettre à quatre pattes et, pendant que sa sœur mère son vagin, j’introduisis dans son petit anus mon pénis ruisselant. Tout doucement, je l’enculais. Au tout début, elle gémit, puis elle commença à apprécier cela de plus en plus. Après trois minutes, le mouvement de va-et-vient était si intense que la mère de Consuela avait peine à suivre. Dolores profita donc de la situation et se retourna pour faire un 69 avec sa mère. La mère et la fille se mangeaient donc mutuellement pendant que j’enculais la maman. Nous jouîmes tous les trois après plusieurs minutes de plaisir et de bonheur intense…
Le lendemain Consuela n’était pas dans le bus, le surlendemain non plus et la semaine suivante pas davantage. J’essayais de prendre un bus avant, un bus après, Consuela semblait avoir disparue.
Je n’avais été qu’un coup d’un soir, mais je ne regrette rien, je me suis bien amusé.
fin
J’adore ces histoires incestueuses de mère et fille salopes!!
Voici une Maman très libérée et compréhensive
Petit délire sympa !
N’importe quoi, mais c’est marrant
Une traduction un peu boiteuse ?