Je m’appelle Philippe, j’ai 35 ans et je fais régulièrement pipi dans mon
caleçon. Cela me complexe et me culpabilise énormément. Des sentiments de
honte alors m’envahissent et je suis tenaillé par la peur que cela ne se
remarque, surtout des filles. Prenant mon courage à deux mains, j’ai décidé
de prendre un rendez-vous chez un médecin pour trouver une solution. Je suis
très rarement malade et depuis mon dernier déménagement, je n’ai plus de
médecin traitant. J’ai donc téléphoné dans un centre médical et l’on me fixa
un rendez-vous avec… une doctoresse. Le jour du rendez-vous, je me rendis au
centre médical où je fus reçu directement. La doctoresse me fit entrer dans
son cabinet et m’invita à m’asseoir.
– Que se passe-t-il ? Me demanda-t-elle. Eh bien, voilà, je… j’ai un
problème d’incontinence, je fais pipi dans mon caleçon, dis-je, gêné.
Je sentais que je devenais tout rouge et cela lui était agréable
apparemment.
– Bien, je vais vous examiner, cela risque de prendre du temps.
J’espérais en fait un examen rapide car ce sujet me gênait beaucoup, mon
espoir s’évanouissait donc. Elle me fit boire un grand verre d’eau puis me
fit passer dans une autre pièce. Celle-ci ressemblait à une grande salle de
bain totalement recouverte de carrelage blanc avec quelques motifs de fleurs
sur les murs. En entrant, dans le coin gauche en face de la porte se
trouvait un bureau, puis juste à droite un paravent, un peu plus loin sur le
même pan de mur, une grande armoire, l’évier et la baignoire dans le coin
droit. Dans le coin en face de la baignoire il y avait comme une douche sans
rideau dont le bac était assez large, puis près de la douche,
perpendiculaire au mur, la table d’examen suivie d’une armoire aux portes
vitrées pleines d’instruments médicaux. Il faisait frisquet dans cette salle
de bain car la fenêtre en vitre opaque à gauche de l’entrée était ouverte.
– Déshabillez-vous ! me dit-elle en refermant la fenêtre
Je passai derrière le paravent et retirai tous mes vêtements sauf mon
caleçon et je les disposai sur la chaise prévue manifestement à cet effet.
Puis, le cœur battant, je me présentai devant elle pieds nus sur le
carrelage froid en petit caleçon bleu clair, je frissonnais et j’avais envie
de faire pipi. Trop intimidé je n’osais pas demander où se trouvait la
toilette. Elle souriait gentiment et me tendit un verre d’une solution
blanchâtre et pétillante.
– Buvez ceci ! dit-elle
Je le bu d’un trait.
– Bien, maintenant, vous allez vous installer sur la table, couché sur le
dos, pour que je vous examine !
Mon cœur battait toujours dans l’appréhension de je ne sais quel désastre…
et j’avais de plus en plus envie de faire pipi. Pourvu que cela aille vite
pensais-je. Je m’installai donc sur la table. La doctoresse m’observa avec
attention. Je ne voulais pas croiser son regard, il me semblait que la honte
m’envahissait à mesure qu’elle me détaillait. Elle posa ses mains sur mon
ventre et le palpa. J’étais crispé car mon envie était pressante et ses
mains froides sur mon ventre n’arrangeaient rien, au contraire, je suppliais
en moi-même que cela finisse. C’est alors que j’entendis la voix d’une jeune
femme.
– Madame puis-je prendre… oh pardon ! fit-elle en m’apercevant
Cela devait être une secrétaire ou une infirmière. Je ne l’avais pas entendu
arriver et la surprise eut raison de mes efforts pour me retenir. Je ne pu
empêcher un jet d’urine de s’échapper et je m’aperçus, désespéré, qu’un grand
cercle humide se dessinait sur mon caleçon. Heureusement j’avais réussi à
stopper l’écoulement et je maîtrisais à nouveau mes sphincters. Je me
morfondais sur cette table d’examen. Cette femme était plus jeune que moi,
une trentaine d’années environ, et elle pouvait maintenant m’admirer étendu,
dans mon petit caleçon bleu clair que je venais de souiller par sa faute. Je
sentais la honte m’envahir à nouveau. Pourvu qu’elle s’en aille, pourvu
qu’elle s’en aille… pensais-je.
– Reste ici Nathalie ! Dit la doctoresse à la jeune femme qui avait déjà
fait demi-tour. Tu vas m’aide !
J’étais au désespoir. C’est ainsi que Nathalie s’avança vers la table et
s’arrêta à distance quelque peu embêtée. Pendant ce temps, je l’observai et
m’aperçusque c’était une très jolie fille.
– Je suis sûre que ça va t’intéresser » lui dit la doctoresse, à la suite de
quoi celle-ci pencha de nouveau son regard vers moi.
– Mais qu’est-ce que c’est que ça ? » dit-elle tout à coup
Elle venait de remarquer l’auréole dans mon caleçon.
– Tu as fais pipi dans ton slip ? » dit-elle tout à coup en changeant de ton
et en me tutoyant
– Regarde Nathalie, ce garçon fait pipi dans ses culottes !
La jeune femme s’approcha alors plus près de la table et pencha son visage
au-dessus de mes cuisses, elle pouvait donc voir de près le désastre. Elle
sourit et visiblement cela lui plaisait, elle me contemplait, elle
contemplait mon petit caleçon bleu souillé par mon pipi au travers duquel
elle pouvait aisément deviner mon zizi, je rougissais et je la voyais se
délecter de ce spectacle.
– Que fait-on fait Madame ?
– Ce qu’on fait avec tous les sales garçons, on va le déculotter et vider sa
vessie » lui dit-elle.
J’étais atterré. Me retrouver tout nu, devant ces deux femmes et faire pipi
devant elles : jamais. Puis sur-le-champ, j’entendis la sentence :
– Déculotte-le Nathalie « , lui dit la doctoresse
Je vis alors passer dans le regard de la jeune femme une sorte de
jouissance. Elle contemplait l’auréole de mon caleçon.
– Vas-y Nathalie, tu peux lui baisser son slip !
J’étais désespéré et de nouveau les crampes me reprenaient, j’avais envie de
faire pipi. Nathalie porta ses mains à l’élastique de mon caleçon et d’un
geste tendre le fit glisser sur mes genoux. Mon petit zizi humide se coucha
sur une de mes cuisses. Cela l’excitait car elle émit une sorte de
gloussement.
– Maintenant Philippe, couche-toi sur le côté vers la douche et tiens-toi au
bord de la table » dit la doctoresse.
Cette familiarité avec laquelle elle me parlait m’humiliait. Nathalie vint
se placer au bon endroit pour ne rien perdre du spectacle.
– Va chercher la bassine qui se trouve dans la baignoire lui dit la
doctoresse !
Nathalie revint avec une grande bassine métallique en émail blanc et comme
elle devinait où voulait en venir la doctoresse, la plaça juste sous mon
zizi.
– Voilà, Philippe, tu n’as plus qu’à te laisser allez » me dit la doctoresse
! et donner ton pipi à Nathalie !
J’étais rouge de honte, cette salope excitée comme une puce dont la
jouissance se lisait dans ses yeux tenait le bassin et guettait mon zizi. Je
n’allais tout de même pas la contenter quand même. Comme l’attente durait un
petit peu la jeune femme commença à s’impatienter.
– Allez Philippe, fais pipi » dit-elle d’un ton exigeant, suivit d’un
« pisssuiiisssuiiisss » comme pour provoquer ma miction
Mais je me retenais vaillamment. La doctoresse s’en aperçu, et se dirigea
vers l’évier où elle rinça ses mains sous l’eau froide puis revint sans les
avoir essuyées me les appliquer sur le dos, le ventre et le haut des
cuisses. Ces mouvements faisaient gigoter mon zizi pour le plus grand
bonheur de Nathalie. Le résultat ne se fit pas attendre. Quelques gouttes
s’écoulèrent dans la bassine sous l’exclamation victorieuse de Nathalie :
– On l’a eu Madame, on l’a eu, il pisse !
Les quelques gouttes de pipi étaient maintenant un petit jet régulier qui
faisait entendre son clapotis en tombant dans la bassine. Ma honte était à
son comble, rouge comme une tomate, tandis que Nathalie était en extase
devant le spectacle dont elle ne perdait pas une miette. Distendue par une
retenue trop longue, ma vessie ne laissait s’échapper mon pipi que par un
petit jet peu puissant et le spectacle s’éternisait. C’est alors que
Nathalie chercha mon regard, de ses yeux victorieux. Elle me toisait d’un
air arrogant pendant que je continuais à pisser dans la bassine… j’étais
humilié. Le petit jet de pipi faiblissait et bientôt ce ne furent plus que
quelques gouttes rapides puis plus espacées. Je fis aller mes sphincters qui
produisirent encore deux petits jets puis plus rien.
– Très bien » dit la doctoresse, nous allons procéder autrement maintenant.
On va lui faire un lavement dit-elle.
Je compris alors que je n’étais pas au bout de mes peines. La doctoresse
alla me chercher un nouveau verre d’eau que je bus presque d’un trait car
j’avais soif.
– Bien » fit-elle, maintenant tu vas patienter un moment avec Nathalie, le
temps que je prépare ton lavement.
Puis elle disparu dans l’autre pièce.
commença alors à tirer sur l’élastique, l’étendre, observer l’auréole de mon
pipi. Puis elle regarda dedans et enfin elle colla son nez dessus pour
sentir mon pipi. De nouveau je rougissais de honte à tous ces mouvements
d’autant plus qu’elle me regardait régulièrement pour voir sans doute mes
réactions.
– Tu es un sale garçon » dit-elle, tu mérites que je te tripote ton zizi !
Et sans plus attendre, elle porta pour la première fois ses mains à ma
petite verge qui allait maintenant devoir subir ses assauts. Sur ces
entrefaites, la doctoresse revint dans la pièce.
– Ah ! Je vois que tu te régale, c’est bien, continue » dit-elle.
En me tripotant la verge, Nathalie me décalotta et porta sa bouche à mon
gland. Un plaisir intense m’envahit. Je senti mon sexe durcir et grandir,
j’étais à la merci de cette jeune femme qui me suçait. J’étais troublé mais
c’était bon. Je haletais. Puis je commençai à gémir. Nathalie se mit alors à
caresser mes petites boules. Je gémissais maintenant à pleins poumons.
Cuisses écartées, je m’offrais à une femme plus jeune que moi. Mon visage se
crispa et Nathalie se retira. Secoué par une vague de plaisir, je m’inclinai
vers elle et aussitôt mon zizi expulsa ma semence par saccades. Comme
j’étais au bord de la table et secoué par le plaisir, ma semence giclait en
tous sens sur le carrelage. Nathalie était ravie, elle exultait en me voyant
verser ma semence. Quand mon zizi se calma, elles me laissèrent seul pour
récupérer. Je gisais sur la table, je m’étais remis sur le dos. Un dernier
écoulement de semence sur ma cuisse sortait lentement de mon zizi…
Dix minutes plus tard les deux femmes revinrent dans la pièce. Nathalie me
lava soigneusement, me remis une culotte de femme en coton, me rhabilla et
la doctoresse me dit en sortant de venir la voir dans quinze jours… pour
faire le point. Je sortis de là un peu étourdi, détendu et content.
Première publication sur Vassilia, le 16/09/2001
Amusant a défaut d’être vraiment excitant. Il est dommage que l’épisode du lavement soit resté dans le tiroir de l’auteur