Nous fêtions l’anniversaire d’une amie et Léa (ma femme) s’était habillée pour l’occasion : robe courte moulante noire, string noir et chaussures d’été. Léa n’est pas ce qu’on pourrait appeler une femme libertine et s’est toujours cantonnée aux joies simples du sexe (en couple).
Ce soir la nous avons rencontré une jeune homme assez sportif, belle gueule et pas idiot. Je sentais que Léa était conquise par la présence de ce jeune homme et s’arrangeait pour discuter avec lui. La fête battait son plein, l’alcool coulait a flots continus et tout le monde commençait a être enivré. Nous étions en terrasse dehors et chacun allait de sa bonne blague et riait de bon cœur. Cela faisait quelques temps déjà que Léa s’était mise un peu à l’écart du groupe avec le « p’tit jeune » leur discussion semblait des plus sympathiques. Léa riait souvent et se trémoussait sur sa chaise. On pouvait voir ses jolies et longues jambes nues.
Je trouvais son attitude agréable mais nouvelle et surtout je ne savais pas ce qui m’attendait dans les minutes qui suivraient.
Au bout de quelques autres verres, je regarde vers là ou était assise ma femme et oh surprise, elle n’y était plus ainsi que son jeune ami. Je n’en fais pas cas et décide d’aller aux toilettes. Au fur et a mesure que j’avançais dans le couloir, j’entendais des gémissements provenant d’une des chambres.
Etant curieux par nature, je m’approche et tends l’oreille. Des bruits de succion accompagnaient les soupirs de plaisir. Je me penche pour regarder par le trou de la serrure et m’aperçois que ces bruits excitants étaient émis par ma femme.
Le jeunot était en train de lui sucer les seins. Elle était assise sur une petite table, les cuisses écartées et lui tenait la tête.
Mon coeur battait la chamade et ne savais pas comment réagir.
Devais je être jaloux ? Continuer à regarder ? Intervenir pour faire cesser cet adultère ?
Alors que je me questionnais en regardant toujours par la serrure, je vis Léa se mettre debout, prenant le mec par les épaules et le faire s’asseoir contre la table. Elle s’accroupit, faisant remonter encore plus haut sa robe, ouvrit la braguette du mec, en sortit une queue dont la taille me troubla et la mit dans sa bouche.
Avec délicatesse et volupté, elle entreprit une fellation dont je pensais être le seul bénéficiaire.
Partagé entre l’angoisse et l’excitation, je sentis ma queue se raidir dans mon caleçon.
Je voyais ma femme prodiguer une belle pipe à un autre et prenait visiblement beaucoup de plaisir à le faire.
Lorsque je fus certain que personne ne rodait dans la maison, je me mis plus à l’aise pour observer la situation.
Ma femme se caressait par dessus son string pendant qu’elle avalait cette superbe queue. Jamais je ne l’avais vue aussi coquine. J’avais le sentiment de voir une autre personne et me délectais de la scène. Elle se releva au bout d’un moment, puis après avoir embrassé goulûment le mec, elle se pencha légèrement sur la table et lui demanda de venir la « sodo ».
Le mec très troublé vint derrière elle et plaça sa queue contre elle.
Je ne voyais pas en détail ce qui se passait mais je devinais aux gémissements de ma femme qu’il avait trouvé l’orifice.
– « Doucement » fit elle
Il écarta un peu les jambes puis avança doucement contre ses fesses.
Ce jeunot sodomisait ma femme!
Puis vinrent de lents va-et-vient, il la tenait par la taille. A chaque nouvelle intrusion, les gémissements évoluaient en petits cris. Léa posa ses coudes sur la table et écarta encore plus ses cuisses. Les claquements du bas ventre du mec sur les fesses de Léa se firent de plus en plus forts et les cris suivirent. Elle avait la main sur la bouche pour étouffer les cris de plaisir. Le mec lui dit :
– « Je vais jouir. »
Elle lui répondit
– « Reste en moi. »
Ils jouirent à l’unisson et les quelques spasmes d’éjaculation firent sursauter Léa qui semblait maintenant hyper sensible.
J’avais la main sur ma queue restée dans mon pantalon et elle était bien raide.
J’étais hyper excité par ce que je venais de voir mais il fallait que je me résigne à retourner dehors avant de me faire surprendre.
Je retournais donc parmi les convives comme si de rien n’était et attendit que ma femme et son amant nous rejoignent.
J’eux le temps de boire un verre de punch lorsqu’ils apparurent. Léa me regarda d’un œil interrogatif et je lui répondis en lui souriant. Rassurée elle vint me voir et m’embrassa goulûment.
J’avais encore la tête pleine d’images et l’excitation remonta d’un coup.
J’étais cocu mais content (comme le dit si bien Serge Lama)
Cette nuit la je lui fis l’amour mais refusa une intrusion anale. Je suppose que le sexe démesuré du mec lui avait un peu trop dilaté l’orifice et qu’elle avait eu son compte pour la soirée.
Je ne lui ai jamais dit que je savais ce qu’elle avait fait et souvent je me prends à rêver d’une nouvelle soirée ou Léa trouverait un jeune homme à son goût pour réitérer l’adultère.
J ai fait l Amour et sodomise Nathalie la femme de mon ami.
Elle était très demandeuse.
Je n aurai jamais cru qu elle soit autant portée sur le sexe.
J ai appris par la suite que c était une spécialiste du cocufiage.
Du candaulisme comme je l’aime !
PS : La fille sur la photo me fait bander
un peu expéditif, mais j’ai bien aimé
Elle est courte mais elle est bonne (l’histoire, pas le queue de l’amant)