Hôtel
par Picto
Je suis l’amant d’un homme marié. Notre histoire est comme une petite musique, à la fois douce et précieuse. De nos premiers rendez-vous clandestins nous avons fait une histoire qui dure, sans fin pour le moment.
Nous nous retrouvons dans une chambre d’hôtel. Je réserve à mon nom. Pour lui pas de trace.
J’arrive le premier. Toujours. Je l’attends.
Un sms pour lui donner le numéro de la chambre. Je me sens comme une putain amoureuse.
La chambre est lumineuse malgré les rideaux tirés. Une légère pénombre.
On frappe. Léger sursaut. J’ouvre la porte. Mon homme est là.
Il entre, je le suis. Ses épaules me plaisent toujours. Moi qui les connais nues.
Il tient dans sa main un sac d’une marque de lingerie. Léger pincement. Sa femme reste toujours entre nous.
Nous nous faisons face. Sourires qui montent. Larges, offerts. Il me tend le sac. Ses yeux brillent.
-C’est pour toi.
J’ouvre le sac. Une belle boite avec un joli ruban prune. Je m’assois sur le lit. A l’intérieur je découvre un body avec de la dentelle fine. Noir. Léger comme une caresse. Chaleur sur mon ventre.
Je l’embrasse. D’abord tendrement. Comme un premier baiser. Sa bouche me cherche d’avantage, je la lui donne.
Je lui souris et me rends dans la salle de bain. Avec son cadeau.
Je me déshabille. A mesure que j’enfile le body je me regarde dans la large glace. Je glisse la lingerie le long de mes cuisses, l’enfile sur mes fesses et le remonte jusqu’à mes épaules. J’ajuste la découpe sur mes hanches. Il a choisi un body string sans armature. J’ai l’impression d’avoir les fesses déjà fendues. Je me plais ainsi.
Je reviens dans la chambre. Il est assis sur le lit. De son costume il n’a retiré que sa veste. Le voir encore habillé et moi presque nu m’excite. L’impression de me donner totalement.
Je m’approche et lui fais face. Je force ses genoux. Ses mains prennent mes hanches. Je sens ses mains qui découvrent le toucher du body sur ma peau. Mes reins. Mes fesses nues. Je l’embrasse à nouveau. Mes doigts glissent dans ses cheveux. Ses mains glissent le long de mes cuisses. Je me sens totalement offert à lui.
Je défais sa cravate et goûte à sa peau sous sa chemise blanche. Je l’entends respirer. Fort. Je finis d’enlever sa chemise. Son torse est beau, doux. Je lèche ses seins. Mes mains descendent dans son dos. J’ai le cul fendu par l’effet string du body.
Il se lève et me demande de me mettre à quatre pattes sur le lit. Les yeux rivés sur la lumière du dehors je peux entendre ses chaussures tomber sur le sol, son ceinturon et son pantalon glisser par terre. Cette attente finit de me décomposer. Totalement.
Il s’agenouille et me lèche les fesses. Il descend doucement. Sa bouche devient langue alors qu’il goûte à ma raie. Baiser humide. Lèche humide. Il écarte le body. Il glisse jusqu’à mon trou. Il écarte mes fesses et me fraye avec sa langue. Il m’ouvre avec sa langue qui n’en finit pas de tourner, de me laper. Son visage s’enfonce au fond de mes fesses.
Je respire à la mesure de sa langue. Rythme qui me fait chavirer.
Il dégrafe le body. Mon sexe libéré pend. Je bande. Je mouille.
Il fait tomber du lubrifiant sur ma raie. Piqûre glacée.
Je lui demande d’aller doucement.
Il pose son gland sur mon trou. L’impression que son gland me donne un baiser.
Il pousse doucement. S’arrête. Laisse mon cul se faire à la mesure de son gland. J’ai l’impression d’être punaisé au bout de son sexe. Il me tient.
Il pousse plus loin. Je le sens glisser. Les centimètres de son sexe défilent en moi. Son va et vient commence. Doucement. Je l’avale goulument avec mon cul.
Il finit d’arriver au bout. Son ventre tape sur mes fesses.
Je gémis. Je me cambre un peu plus. J’ai envie qu’il me remplisse. Entièrement. Loin. Profond. Largement.
Il accélère. Je le sens me forcer. Avec détermination. Avec envie.
Je serre les draps dans mes mains. Il butte en moi.
Ses mains prennent mes reins. Il me force d’avantage. Je me laisse prendre. Cul offert.
Sa respiration est forte. Il gémit. Je le sens.
Son sperme coule. Chaud. Saccadé. Mon cul est chaud de sa bite et de son sperme.
A mesure qu’il se retire je sens mon cul ouvert. Encore.
Je me retourne. Son sexe pend. Je le regarde. Je l’avais en moi.
Je me lève. Lui demande de s’agenouiller. Je lui pose mon sexe sur sa bouche. Il lèche mon gland. Ma verge. Mes couilles.
Je prends son visage dans mes mains et lui ouvre la bouche avec ma bite. Je lui baise la bouche.
Son sperme coule de mon cul, le long de mes cuisses. Je lui remplis la bouche.
Je fouille sa bouche avec ma bite. Sa bouche devient mon trou. Je le tiens au bout de ma bite. Je le tiens avec ma bite.
Ses mains pincent mes seins. Cela finit de me faire jouir.
Je l’entends déglutir. Il me mange entièrement.
Je l’embrasse. Baiser anisé.
Il me prend dans ses bras. Me serre.
Je ne veux pas penser à tout à l’heure. Plutôt à la prochaine fois.
Quelle délicieuse liaison, exactement comme j’aime ! Ce garçon empressé qui attend et reçois dans une clandestine chambre d’hôtel celui qui le comble, s’ouvre à la verge merveilleuse de son amant, il pourrait être moi. je me reconnais en lui !