Deux Femmes Dominantes par Dave

Vous vous souvenez sûrement de moi, Éric, l’homme de 26 ans qui a récemment
découvert qu’il était fétichiste des bas nylons, maintenant je suis soumis à
mon adorée compagne. Notre relation de couple a pris un autre tournant,
Karine (ma femme) est maintenant aussi ma Maîtresse, j’ai le devoir de lui
obéir, elle me domine aussi bien mentalement que physiquement. Certains de
vous diraient que ce n’est pas très sain dans une relation de couple
normale, et bien sachez qu’elle n’est plus normale et que le plaisir que mon
épouse a à me dominer est complètement réciproque dans la mesure où pour moi
la soumission est fortement appréciée.

Il y avait déjà une semaine de passé depuis mon initiation ou devrais-je
dire notre initiation, Karine prenait son rôle de Maîtresse très au sérieux,
les preuves d’amour ne manquaient pas mais celles que j’étais devenu son
petit esclave amoureux non plus. Elle ne touchait désormais pratiquement
plus aux tâches ménagères, sauf peut-être pour les repas, question de ne pas
tomber malade… Je porte maintenant des bas nylons presque tous les jours,
nous avons acheté ma propre garde-robe, des collants, des portes jarretelles
et aussi de biens jolies petites culottes très féminine, j’adore porter
cette lingerie, je me sens plus fragile ainsi vêtu, plus beau, plus soumis…
Karine adore me voir faire le ménage vêtu ainsi, et moi aussi je dois dire,
malgré la honte que je ressens.

Mardi matin, je sors dehors pour prendre le courrier dans la boite postale,
je regarde les quelques « factures » qui s’y trouveront éternellement, mais
une enveloppe se démarque des autres, elle est d’un rose foncé, « qu’est ce
que c’est que ça » ? Sur l’enveloppe on peut lire « A l’attention d’Éric », je
retourne à la maison afin de l’ouvrir, Karine attend dans le cadrage de la
porte…

– Alors Éric, quelque chose d’intéressant ?
– Non rien Maîtresse de mon cœur, seulement une lettre pour moi.
– Apporte la moi !
– Mais c’est une lettre à mon nom.
– Et alors, tu vois un problème à ce que je l’ouvre, tu as des choses à me
cacher ?
– Eeee, non Maîtresse.
– Alors apporte la moi toute suite !
– Bien Maîtresse.

Karine et moi sommes retournés à l’intérieur, Karine pris un fauteuil dans
le salon et moi je pris place par terre à ses pieds (endroit que j’adore
particulièrement). Karine ouvrit donc l’enveloppe…

– Puis-je savoir de quoi il s’agit Maîtresse ?
– Mais bien sur petit impatient, elle est de Sara, tu sais cette nouvelle
secrétaire au bureau, elle demande si tu ne pourrais pas lui donner une
petite formation sur les ordinateurs.
– Oh! J’appel toute suite au bureau alors…
– Non Éric, tu vas lui téléphoner et gentiment l’inviter ici pour lui donner
la formation.
– Mais Karine…
– Pardon, j’ai sûrement mal entendu.
– A vos ordres Maîtresse.

Pourquoi m’avait elle demandée d’inviter Sara ici, je n’en connaissais
malheureusement pas la réponse, mais je décidé quand même d’obéir et
téléphona au bureau. Ce qui me surprit c’est que Sara paru contente à l’idée
de suivre sa formation à mon domicile, il faut dire que j’avais du user de
bons arguments pour faire valoir la raison de ce changement de procédure. Le
soir venu, Karine avait exigé que je porte une paire de petite culotte rose
bonbon en satin sous mon jeans, très humiliant vous me direz, mais j’aimais
bien le sentiment de honte que cela me procurais et de plus seul moi et
Karine savions ce léger détail. Karine, elle, avait revêtu une tenu très
chic mais tout de même sexy, elle consistait en une jupe très courte, des
talons ainsi que d’élégant bas nylon noir, et un chemisier blanc sans
soutient gorge, même si le chemisier était légèrement transparent, j’étais
certain qu’elle avait fait ça pour me plaire.

Vint l’heure de l’arrivée de Sara, je me rendis dans l’entrée de la maison
pour l’accueillir, elle était magnifique, elle portait un tailleur bien
ajusté rouge qui s’harmonisait fort bien avec ses longs cheveux blonds, un
nylon blanc caressait toute la longueur de ses jambes et pour finir de jolis
escarpins noirs.

– Bonsoir Sara, je vous en prie, entrez.
– Merci Éric !
– Alors Sara votre ordinateur vous fait des misères ?
– Non il va très bien, mais j’aimerais apprendre à mieux m’en servir.
– Bonjour Sara, je suis heureuse de faire votre connaissance, je m’appelle
Karine et je suis la compagne d’Éric.

Karine était intervenue rapidement, tellement que j’en avais presque
sursauté, Sara regardait Karine d’un sourire presque forcé, mais Karine eu
tôt fait de lui redonner sa sincérité avec un de ses agréables sourires
comme seule Karine sait les faire.

– Et si nous allions prendre un verre au salon avant que vous commenciez
Sara ?
– C’est une très bonne idée Karine, j’avoue que j’ai eu une dure journée au
bureau cela me fera le plus grand bien.

Nous nous rendu au salon, je me suis assit sur le divan aux côtés de Karine
et Sara face à nous, avant même que je puis dire le moindre mots, Karine
entreprit la conversation…

– Puis-je vous dire que vous êtes très belle ce soir Sara.
– Oh, mais merci beaucoup Karine, mais tu sais que tu n’as rien à envier à
personne.
– Merci beaucoup tu es gentille, nous essayons chacune à notre façon de nous
mettre en valeur n’est ce pas ?
– Oui c’est bien vrai.

Mais qu’est ce que je faisais là moi, une parure, un meuble, c’est comme si
je n’étais pas là. Ces deux femmes se regardaient maintenant de plus en
plus, avec un regard des plus complice.

– Vous savez Sara, Éric m’a raconté au sujet de vos jolies jambes.
– Ah oui ?
– Oui il m’a dit à quel point il les avait regardé et comment il les avait
aimé.
– C’est vrai qu’elles avaient l’air de le troubler.
– Pour ça oui, elles ont éveillé en lui un sentiment nouveau.
– Mais Karine qu’est ce que tu lui racontes là ?
– Seulement la vérité Éric, tu m’as dit comment elles t’avaient fait bander
tu ne te rappel pas ?
– Eeee oui mais franchement ce n’est pas des choses a dire.
– Tais toi ! je dirai bien ce que j’ai envie.
– Mais Karine…
– Pardon ?
– Je ne peux pas faire ça Karine.
– Non seulement tu vas le faire mais tu vas le faire à genou devant moi et
demander pardon pour cet écart de conduite en présence d’une Dame.
– Mais Maîtresse.
– Suffit, tu joues ou tu ne joues plus !

Je ne pouvais plus reculer, la seule chose qui me restait à faire étais
d’obéir sous peine de ne plus jamais me soumettre, mais qu’allait penser
Sara de ce choquant spectacle, elle allait sûrement nous dénoncer au premier
hôpital psychiatrique qu’elle trouverais sur sa route… Mais moi, je n’avais
pas le choix je devais m’exécuter ! Je me mis donc a genou devant ma
Maîtresse pour lui prier de m’excuser de m’être comporté de la sorte devant
Sara …

– Non Éric, tu dois dire Dame Sara
– Oui Maîtresse.
– … Devant Dame Sara

La situation pris une toute autre allure auquel je ne m’attendais pas du
tout, derrière moi Sara c’était levée, elle se tenait debout, je sentais sa
présence tout près de moi. Elle fit alors un geste inattendu, elle caressait
mes cheveux…

– C’est un mari bien dressé que tu as la Karine, un peu vilaine mais on voit
toute suite qu’il veut s’en repentir.
– Merci Sara, il est vrai qu’il débute son dressage, mais il s’efforce de
bien me servir.
– Alors Éric, n’est ce pas que tu es une vilaine fille ?
– Oui Maîtresse je suis vilaine.
– Tourne toi et demande pardon à la Dame.

Faire de nouveau face à Sara allait être pour moi une épreuve terrible, je
savais maintenant que la domination n’était pas pour elle une chose
inconnue. Donc péniblement je me suis retourné pour lui faire face,
complètement humilié, j’arborais un air plutôt abattu. Je regardais ses
souliers, ils me faisaient envie, ses jambes si parfaites étaient pour une
véritable torture, je bandais à en avoir mal…

– Veuillez je vous prie bien vouloir pardonner mes écarts de conduite Dame
Sara, je verrai à ne plus commettre ce genre d’erreur en votre présence.
– Quand je t’ai vu pour la première fois à mes pieds sous mon bureau j’ai
toute suite vue que tu étais une petite salope, mais à ce point la jamais je
ne l’aurais jamais imaginée.
– Tu vas te déshabiller maintenant Éric et garder seulement ta culotte, je
veux que tu montres à Sara comment elle est jolie.
– Je suis impatiente de voir ça Karine, il doit être très mignonne la
dedans.

J’allais perdre ce qui me restait d’orgueil, me montrer à Sara dans ce petit
sous-vêtement rose allait être la fin de ce qui me restait de virilité. Sous
le regard sévère de Karine j’enlevai mes vêtements, rapidement je regardai
vers Sara pour m’apercevoir qu’elle arborait un sourire rempli de malices.
Voilà je me tenais debout, la tête basse et je ne portais maintenant plus
que cette petite chose, ma queue sortait fièrement du rebord, comme prête à
quelque chose qu’elle n’aurait pas. Karine se releva et vain ce placer aux
côtés de Sara pour admirer le spectacle dont j’étais l’acteur principal.

– Alors qu’en penses tu Sara, il te plais mon petit soumis ?
– Il est superbe, sa queue fait un intéressant contraste avec le rose de la
culotte.

C’est alors que Sara s’approcha de Karine et la pris par la taille, elle se
pressa contre elle et la regardait dans les yeux. J’ai de la difficulté à
vous d’écrire cette image et à quel point je pouvais la trouver belle, elles
étaient si parfaites, d’une sensualité infinie, je les regardais comme on
regarde des déesses. Karine regardait Sara profondément dans les yeux, on
aurait dit qu’elle avait volontairement ou involontairement oubliée ma
présence. Sara approcha sa bouche de celle de Karine et commença un lent
baiser, elle avait l’air de lui dévorer les lèvres, je savais comment les
lèvres de Karine étaient bonne, mais pour la première fois depuis que je la
connaissais elle embrassait quelqu’un d’autre que moi, je ne savais pas ma
compagne bisexuelle, mais je ne pouvais le nier, elle adorait ce que Sara
était en train de lui faire.

Je pensais que cette scène hautement érotique allait vite finir pour revenir
à moi, mais non elle se poursuivait, Sara défaisait lentement la jupe de
Karine et celle-ci entrepris de faire la même chose, presque parfaitement
synchronisé les jupes frappèrent le sol, encore une fois la chaleur me monta
au visage quand je vue leur féminité dévoilée à mes yeux, elles portaient
toutes deux un porte jarretelle assorti à leur bas. Mais une différence
frappait pourtant entre elles et moi, ce que je portais moi, elles, n’en
portait pas, je pouvais voir leurs culs parfaitement arrondis, lisses comme
une boule de cristal, à la différence près que Sara avait la peau beaucoup
plus pâle que celle de Karine. Ce qu’elles pouvaient être magnifiquse ces
deux femmes à s’enlacer de la sorte, mais vint le moment que j’appréhendais,
elles finirent par se tourner dans ma direction, si j’avais pu je me serais
caché sous le tapis, sans dire un seul mot elles me regardaient, je pouvais
voir leur pubis parfaitement lisse, libre de toute pilosité, comme si elles
avaient voulu ajouter à leur perfection déjà complète.

– Alors Éric, comment ça fait de voir sa jolie femme embrasser une autre
femme avec autant de passion ?

J’aurais voulu parler mais aucun son ne sortait de ma bouche.

– Tu sais Karine, tu ressembles à une amazone, tu ferais mourir de désir
n’importe quel homme ou femme.
– Merci, mais toi tu es si douce, un plaisir dont je ne soupçonnais pas
encore l’existence.
– Et toi Éric, à genou et embrasse mes pieds, que ta Maîtresse puisse
constater à quel point tu as aimé le spectacle que nous t’avons offert.
– Oui Dame Sara…

Je me mis a genou sans attendre mon reste et embrassais le haut du pied
droit de Sara, je sentais ma queue gonfler de plaisir et Sara eu vite fait
de s’en rendre compte…

– Mais il bande, tu as vue Karine comme il est Salope, je me demande si
c’est de te voir embrasser une femme ou est-ce seulement d’embrasser mon
pied qui le met dans cet état ?
– Répond Éric, qu’est-ce qui te faire durcir, c’est moi ou le pied ?
– Eeee Maîtresse, c’est vous bien sur (avec un ton légèrement hésitant).
– Comme tu as envie de me mentir, parce que je sais que tu me mens, nous
allons te bander les yeux !
– Mais Maîtresse je vous assure que je dis la vérité

– Ferme la !

J’allais connaître une sensation nouvelle, après avoir passé un foulard de
soie sur mes yeux, on m’amena dans la cuisine (je le sais parce que je
pouvais sentir le carrelage froid sous mes pieds), j’entendis alors un
tiroir s’ouvrir, on allait m’attacher les poignets, ensuite on me fit
coucher par terre, sur le dos. Je pouvais à peine voir la lueur de
l’éclairage transpercer à travers la soie du foulard, j’avais les mains sur
mon ventre et bien sur, la ridicule petite culotte rose qui cachait à peine
mon intimité.

Je ne savais maintenant plus à quoi m’attendre, qu’est-ce qui allait
m’arriver, j’entendais les talons cogner contre le sol, j’avais peur.
L’appréhension peut parfois devenir la pire des tortures et au point où j’en
étais, elle se faisait de plus en plus forte et intense. Sans trop savoir ce
qui se passait, je pouvais sentir qu’une de mes Dominatrice m’avait
enjambée, elle s’asseyait sur mon visage, je savais que c’était Sara, les
fluides intimes d’une femme ne trompe pas. Elle sentait tout de même très
bon, la chatte de Sara, mais elle écrasait de plus en plus fort sa moule sur
mon visage, ma bouche autant que mon nez, je commençais à avoir de la
difficulté à respirer, elle bougeait à peine pour me laisser un peu d’air.

– Je t’interdis de me lécher sale garce, si je sens le moindre mouvement de
ta langue me toucher je vais dans la chambre avec Karine et nous te laissons
tout seul ici.

C’est alors que je sentis Karine placer ses pieds de chaque côté de mon
bassin, mais cette fois aucun contact, elle devait être debout et ne
regardait sûrement pas Sara vu l’orientation de ses talons.

– Tu sais ce que je vais faire maintenant Éric, je sais tu ne peux pas
répondre, je vais montrer à ta jolie petite femme ce que c’est d’être bien
léché, tu sais en ce moment je peux voir son joli cul et presque
complètement sa fente, elle mouille, je crois qu’elle à très envie de se
faire prendre, malheureusement tu n’auras cette chance.

Le son qui s’en suivi ne trompait pas, elle étaient en train de faire
minette à Karine et à entendre ses gémissement, cela ne lui déplaisait pas
du tout. J’avais si honte, j’aurais voulu user de ma force physique pour me
lever et prendre ce qui était à moi, mais j’en était incapable, comme
hypnotisé par les effluves sexuelles de Sara.

– Tu entends Éric, elle adore ça, je pense qu’après ça elle pourra
facilement se passer de toi.
– Alors il sent bon mon cul, tu aimes qu’il t’empêche de respirer comme ça,
en tout cas le cul de Karine est exquis.

Puis elle se remit à la lécher, il semblait que Karine était sur le point de
jouir, son souffle était court et elle gémissait de plus en plus. Après la
jouissance je pensais que ce jeu pervers prendrait fin, mais je me trompais…

– Allez, il est temps Karine, fais ce que je t’ai dit dans le salon, ne
t’inquiète pas, je suis certaine qu’il va adorer…

De quoi voulait elle bien parler, un pénible silence envahi la pièce.
Soudain je sentis qu’on versait sur ma queue un chaud liquide et on en
versait beaucoup, je sentais la culotte se mouiller, qu’est-ce que ça
pouvait bien être, la seule chose que j’entendis quand on eu fini était le
rire de Karine et de Sara qui ne faisait qu’ajouter à ma peur une intensité
déjà trop forte…

Dave

toybabe666@hotmail.com

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Une réponse à Deux Femmes Dominantes par Dave

  1. Lepretre dit :

    on peut être maso et travesti y compris dans vie de couple, mais applet sa femme « maitresse » à longueur de journée , où est-ce que l’auteur a été chercher cette ânerie ?
    Sinon la jolie blonde sur l’illustration m’a fait bander sévère

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