Des consultations spéciales par François_urophile
Le patient finissait de se rhabiller et je complétais son dossier avec la mise à jour de ses prescriptions dans son dossier sur mon ordinateur. L’imprimante ronronna pour éditer les différents documents nécessaires. J’enchaînais les gestes presque machinalement, puis je terminais la consultation avec le paiement des honoraires.
Mon assistante, Sophie, entra dans la pièce pour raccompagner le patient et gérer les prochaines prises de rendez-vous. Je la regardais : petite, brune, cheveux courts, yeux bleus. De belles formes féminines, bien moulées dans une blouse blanche ajustée et courte. Ses jambes nues et ses pieds nus chaussés de tongs fines laissaient présager une nudité partielle et totale sous le vêtement. Et j’appréciai. Je la regardais sortir de la pièce et admirais ses fesses bien formées. Professionnellement, elle était parfaite et c’est pour cela que je l’avais embauchée. Mais le physique ne venait que compléter agréablement l’ensemble.
Je suis installé comme médecin dans cette petite ville de la côte Atlantique depuis déjà 6 ans. Passionné d’équitation, j’ai connu ma femme dans un club de la région et nous sommes mariés depuis 4 ans. Native de la région, elle m’a fait découvrir toute la région, des grandes plages à l’intérieur des terres. Nous avons fait construire une assez grande maison avec une piscine, isolée à côté d’un petit village. Nous avons découvert ensemble le naturisme, très pratiqué sur ces plages et nous en avons fait une règle de vie. Nous vivons toujours nus à la maison et la plage.
Une fois installé comme médecin, la clientèle a très vite augmenté, dû notamment à l’absence de médecins dans ce secteur un peu isolé. Pour faire face à cette croissance, j’ai dû envisager le recrutement d’une assistante. Assez naturellement, je proposai à mon épouse de tenir ce rôle et elle accepta. Sophie travaille donc avec moi depuis environ 4 ans.
Sophie et moi nous entendons très bien à tous les niveaux. Comme moi, elle a de gros besoins sexuels et nous multiplions les rapports. La pratique de la nudité permanente ainsi que l’absence d’enfants, nous permettent d’être toujours disponibles l’un pour l’autre. Nous avions convenu dès le début que si l’un avait une envie, l’autre ne pouvait refuser sauf raison majeure. Elle était assez ouverte à toute sorte de pratiques, et acceptaient en tout cas d’essayer plusieurs fois avant de décider s’il elle aimait vraiment. C’était la même chose pour moi. Nous avons ainsi petit à petit enrichi les pratiques classiques – fellation, cunni, rapport vaginal – avec des pratiques plus coquines – sodomie, anulingus, nourriture, voire plus extrêmes : uro, SM, …. Par exemple, pendant ses règles, nous pratiquons exclusivement la sodomie.
Nous avions même intégré quelques couples dans nos jeux. Nous passions des week-ends entièrement nus dans la maison, multipliant les expériences, entre nous ou avec des couples ou femmes seules.
Je sentais Sophie de plus en plus adepte de l’exhibition et de la soumission. Elle ne mettait plus de sous-vêtements, écartait les cuisses ostensiblement sur la plage, traversait nue le parking quand nous revenions de la plage, … Et je sentais qu’elle aimait être forcée ou du moins contrainte pour véritablement jouir. Nous avions ainsi établi des règles : elle aimait les mots crus – » cochonne, chienne, pute … « , je devais lui tirer les cheveux ou pinçait les seins quand je la sodomisais ou la prenais en levrette… etc.
Puis, petit à petit, j’eus envie d’aller plus loin dans cette approche de soumission. Et j’eus une idée.
Un week-end, nous avions invité une amie avec qui, après un barbecue naturiste, nous avions fait l’amour à trois. J’avais fini par les sodomiser à tour de rôle puis par jouir sur leurs seins et elles s’étaient léchées mutuellement pour tout avaler. Cette amie, Nadia, voulait absolument recommencer. Je lui proposais de venir se présenter au cabinet médical, comme une patiente normale, pour profiter d’une consultation spéciale. Elle accepta. Et pris rendez-vous dans la semaine.
Voyant Sophie raccompagner le patient, une onde de chaleur m’envahit. Je savais que la prochaine patiente était Nadia. Elle entra et je lui demandai de s’assoir et je complétais son dossier. Sophie entra :
» Sophie, merci de préparer mademoiselle pour l’examen… « .
Sophie s’approcha et invita Nadia à s’installer sur la table d’examen. Sophie ôta sa blouse et ses tongs, et était maintenant intégralement nue. Elle invita Nadia à se déshabiller et ne garder que ses sous-vêtements. Celle-ci apparut en soutien-gorge ¼ de seins, les tétons quasiment apparents et en string ficelle blanc sur peau bronzée.
Je m’approchais avec mon stéthoscope et commençait l’auscultation.
» Je dois maintenant faire une palpation des seins « , dis-je.
Sophie lui ôta son soutien-gorge et je commençais à palper la poitrine de Nadia … 95 D.
» Sophie, préparez la suite de l’examen « .
Elle vint se mettre à genoux devant moi, baissa mon pantalon et saisit mon pénis pour le masturber et le sucer avec gourmandise. Je continuais ma palpation et je sentais les tétons se durcirent. Le jeu était de faire comme s’il s’agissait d’un examen normal.
» Tout va bien du côté des seins… les tétons sont bien sensibles… « , dis-je en donnant des coups de langues sur les pointes excitées. » Maintenant, je dois examiner vos organes génitaux. Sophie, merci de préparer l’examen « .
Elle s’approcha de Nadia : elle tira sur les ficelles du string et le retira. La vulve lisse et bronzée apparut, déjà apparemment un peu humide. Sophie s’approcha, lui fit replier et écarter les jambes sur la table d’examen et commença un cunni, avec sa langue et ses doigts. Nadia gémissait en se caressant les seins de manière très sensuelle. Après quelques minutes de ce traitement, Sophie se tourna vers moi :
» Elle est prête, docteur « .
Je m’approchais et la pénétra directement avec mon sexe tendu dans son minou trempé. Je m’enfonçais au maximum et commençais les va-et-vient.
» Il faut que la patiente se détende au maximum « .
Sophie d’approcha d’elle, lui suça les seins puis l’embrassa sur la bouche, avec la langue, tout en pinçant les tétons. Elle était vraiment détendue et jouit rapidement.
» Il me faut maintenant une analyse d’urine « , dis-je.
Nadia demanda un gobelet, mais je lui dis que nous avions une autre méthode. Sophie se mit à genoux, bouche grande ouverte.
» Mademoiselle, asseyez-vous au bord et urinez dans sa bouche… « .
Les premiers jets sortirent, ils atteignirent le visage et les seins de Sophie, puis le jet, mieux maîtrisé, se dirigeait vers la bouche ouverte. Sophie avalait ce qu’elle pouvait, mais cela finit par déborder. Une fois le pipi terminé, je demandais le résultat :
» Chaud et sucré, analyse correcte » répondit Sophie.
J’écoutais en me masturbant, pour maintenir une bonne érection.
Je poursuivis :
» Bien. Nous allons maintenant faire un examen rectal… « .
Sophie s’approcha de Nadia, et la fit mettre à quatre pattes. Elle prit du gel sur ces doigts et commença un massage anal et vaginal. Elle finit par entrer deux doigts dans l’anus de la patiente. Nous savions que Nadia était folle de pratiques anales, Et en effet, elle se pinçait les lèvres pour ne pas gémir et se faire entendre des autres patients de la salle d’attente.
» J’ai besoin de faire un examen des selles « , dis-je à mon assistante.
Celle-ci demanda à la patiente de pousser pour déféquer directement. Nadia, surprise, restait cependant très excitée par le contexte et la situation. Elle respira et s’exécuta. Je vis le petit trou s’ouvrir et se fermer à plusieurs reprises, signe qu’elle poussait pour vider son rectum. Sophie mit ses mains en coupe sous les fesses. Un étron sortit de l’anus et vient remplir les mains de mon assistante. Elle vint ensuite lécher l’anus pour le nettoyer, puis elle se mit à genoux. Nadia s’était assise pour la regarder. Sophie se caressait les seins avec les matières fécales encore tièdes, et sa poitrine fut bientôt redécorée. Je m’approchais et donnais mon sexe à sucer. Nadia, sans s’en rendre compte, se masturbait avec deux doigts dans le minou.
» Quels sont les résultats de l’analyse ? » dis-je.
» Les matières sont correctes, bonne consistance « , répondit-elle.
Humm, la situation était de plus en plus excitante.
» Je dois maintenant lui prendre la température »
Sophie installa Nadia sur le dos, les jambes relevées. Elle écarta les globes fessiers, dégageant la rosette encore un peu souillée par la récente défécation. Je m’approchai et lui enfonçai mon thermomètre de chair dans son petit orifice, en m’avançant régulièrement jusqu’aux couilles. Sophie eut le réflexe de mettre la main sur la bouche de Nadia pour étouffer son cri, qui mêlait jouissance et douleur. Une fois à fond, j’attendis quelques instants puis commençait des va-et-vient profonds et de plus en plus rapides. Jusqu’à ce que Nadia » jouisse du cul « , comme disait Sophie quand je la sodomisais dans notre lit, ou dans tout autre endroit de la maison. Après cette jouissance, je confirmai :
» Température normale « .
Je sortis mon sexe de l’anus en ébullition. Sophie approcha spontanément sa bouche pour le nettoyer entièrement.
Toujours en érection, avec le gland décalotté, je demandais à mon assistante :
» Préparez un lavement pour finir l’examen « .
Elle alla chercher l’appareil. Pendant ce temps, je demandais à la patiente de se mettre à quatre pattes, les fesses orientées vers le haut. Sophie inséra l’embout dans l’anus, puis brancha le tuyau à fois sur la seringue et sur l’embout. La seringue était remplie d’environ d’un litre d’eau tiède. Le piston avançait dans la seringue et bientôt les intestins furent remplis. Je regardais la scène en me masturbant. J’attendis quelques minutes, et je voyais Nadia qui commençait à se tortiller, signe que l’expulsion était proche. Nadia était toujours à quatre pattes. Sophie vint se placer derrière elle, la bouche à la hauteur de l’anus, grande ouverte. N’y tenant plus, Nadia se vida en plusieurs jets et Sophie en absorba une grande partie, le reste s’écoulant sur ses seins, toujours maculés de caca. Une fois vidée, Sophie vint lécher l’anus pour finir le nettoyage.
» Humm, mon assistante a besoin qu’on s’occupe d’elle, pour la récompenser. « .
Je l’attrapais par les cheveux et la fit se pencher à plat ventre sur le bureau. J’ouvris un tiroir et invita Nadia à choisir : le tiroir était rempli de sex-toy de toute taille.
» Choisissez-en un et enculez-la, elle n’attend que ça… « .
Sophie, écarta elle-même ses fesses et suppliait
» Enculez-moi j’ai trop envie… « .
Nadia choisit un gode noir réaliste assez gros. Elle s’approcha et me demanda du gel.
» Non, pas la peine, ou alors un peu de mouille de sa chatte ! « .
Elle choisit de l’enculer sans rien et lui ramona le rectum pendant plusieurs minutes… Sophie » jouissait du cul » et j’aimais la voir ainsi.
Nadia ressortit le gode, sans oublier de le faire sucer par Sophie.
La scène m’avait beaucoup excité. A mon tour, j’avais envie de ressentir la sensation de l’anus rempli. Entièrement nu, je me penchai sur le bureau, en invitant les deux femmes à venir me sodomiser. Sophie me mit beaucoup de gel et me prépara l’anus avec deux doigts. Elle savait comme j’appréciais cette pratique. Elle retira ses doigts que je remplaçai aussitôt par les miens, pour poursuivre l’agréable masturbation rectale. Pendant ce temps, je vis Sophie aider Nadia à enfiler un gode ceinture, composé d’un pénis réaliste de belle taille pour le sodomisé, et d’un petit gode pour lui remplir le minou en même temps. Elle s’approcha de mon derrière, et je sentis un frisson quand l’objet pointa sur mon anus. Sophie se mit derrière Nadia et lui poussa les fesses pour que l’objet rentre d’un coup. D’un seul coup, mon rectum explosait sous la taille du gode. Je me pinçais les lèvres pour ne pas crier et inquiéter les autres patients dans la salle d’attente. Puis, Nadia commença des va-et-vient profonds, en me claquant les fesses… J’adorais la sensation. Sophie me masturbait par-dessous, elle savait que lors d’une sodomie, l’érection est moins vigoureuse et nécessite d’être entretenue, par la main ou la bouche… ou les deux. Le gode que Nadia avait dans la chatte finit par faire son effet : elle accélérait d’elle-même le rythme pour se faire jouir. Les fesses remplies, le pénis stimulé par une bouche gourmande, j’étais au top. Ayant joui, Nadia se retira de mes fesses. Sophie se mit à genoux pour nettoyer le sexe artificiel qui portait quelques traces de matières intestinales.
Pour finir, je devais répandre mon sperme. Je choisis d’éjaculer dans la bouche de Nadia, pour qu’elle puisse ensuite partager le sperme dans un baiser profond avec la langue. Ce qu’elles firent…
Tandis que je me rhabillais, elles allèrent rapidement prendre une douche et revinrent nues dans le cabinet. Elles me félicitèrent pour la qualité de l’examen et se montrèrent prêtes à recommencer.
Pour finir, je confisquai les sous-vêtements de Nadia et ses chaussures. Elle dû repartir nue sous sa robe et pieds nus. Elle les retrouverait à la maison lors de son prochain week-end naturiste.
Il était temps de recevoir le patient suivant.
De retour à la maison, nous dinions nus sur la terrasse. Elle me parla de la séance » spéciale » et me confia son excitation et sa grande jouissance. Elle me demanda d’approcher : elle se pencha pour me sucer, puis répandit du yaourt sur le gland pour continua sa fellation. Le doigt qu’elle me mit dans l’anus me fit jouir : sortant le sexe de sa bouche, elle dirigea les jets de sperme dans le reste du yaourt… et finit de le déguster en souriant.
Après une introduction assez maladroite, nous avons droit à un délire parfaitement maîtrisé, évidemment il ne faut pas avoir peu de la scato !
Ce récit m’a terriblement excité, c’est sans doute le meilleur de son auteur. La description des fantasmes extrêmes est particulièrement bien travaillée. Bravo à son auteur 😉