Dans le square
par UnD100
Je ne suis pas vraiment une exhibitionniste dans l’âme mais j’aime ressentir le souffle frais de l’air entre mes jambes lorsque, par exemple, je monte dans ma voiture en jupe plissée mini-mini.
Voici ce qui m’est arrivé quand j’étais jeune.
Pour réviser avant mes examens j’emportais les cours à revoir et je m’installais dans un square dans le quartier de ma chambre d’étudiante. A force de me retrouver toujours au même endroit, j’ai lié connaissance avec Mireille, la cinquantaine, brune grisonnante, svelte mais avec quelques rondeurs que j’admirais à chacun de ses mouvements.
Au fur et à mesure de nos rencontres nous avons sympathisé et, les dimanches où j’étais seule, j’aimais bien aller chez elle ou c’était elle qui venait chez moi dans mon modeste deux-pièces. Elle me disait que le temps passait plus vite en ma compagnie.
Quand nos discussions ont eu fait le tour des banalités d’usage, Mireille a abordé un jour le sujet ultime : la vie intime ! Ceci en toute simplicité et franchise, pas de tabous entre nous.
J’étais avide de savoir comment ça se passait entre elle et son mari, comment son corps abordait la cinquantaine. Je lui faisais part de mes premiers fantasmes lesbiens.
Elle m’a avoué qu’il lui arrivait, dans ses jeux intimes, seule ou avec son mari, de rêver qu’une autre femme s’emparait de son corps. Mais son truc, à Mireille, c’était de faire l’amour dans la forêt ou en pleine nature.
Alors, après avoir pris les précautions nécessaires et lui avoir demandé dans des termes non blessant, j’ai suggéré de nous retrouver toutes les deux dans le square pour une expérience hors du commun : profitant de la nuit, toutes les deux en petite tenue sous un grand manteau, je la butinerais, à l’abri des regards indiscrets.
L’idée lui fit briller les yeux. Elle savait à l’avance quand elle serait libre car son mari, allant à la chasse le dimanche, elle se retrouvait toute seule ces journées là.
Sachant qu’en hiver la nuit tombe plus tôt j’ai décidé de fixer une date.
Cinq heures trente de l’après midi, je suis bouillante de désir, en bas couture noir et culotte de satin couleur chaire. Je porte une robe en lainage qui descend juste à mi cuisse.
Je passe au bureau du gardien lui filer cent euros pour lui demander de ne pas fermer les portes du square tout de suite et veiller à ce que personne d’autre n’entre.
Mireille et moi avons rendez vous dans notre petit recoin habituel. Sa ponctualité montre son envie. Elle frétille elle aussi. Nous nous faisons la bise machinalement. Elle a piqué à son mari un imperméable gris qui descend jusqu’à ses genoux, me laissant deviner des bas résilles… et elle porte des escarpins avec une chaînette de cheville, petit détail qui me fait vaciller. Mes mains ne tardent pas à ouvrir son imperméable, me permettant de découvrir sa poitrine au travers d’un bustier en dentelle blanche tendue au maximum. La lumière complice d’un réverbère nous permet de passer à l’œuvre rapidement, n’ayant plus rien à nous dire.
Il fait un peu frais en ce dernier dimanche d’octobre mais le fait de nous savoir à l’abri nous fait faire des choses impensables : assise sur le banc j’écarte les jambes et fixe Mireille d’un air de garce allumée par l’envie. Elle ne peut pas détourner son regard de ma culotte au satin taché de ma mouille. Je lui offre de venir me sentir, m’embrasser.
Elle, les fesses à l’air après avoir quitter son manteau qu’elle étend par terre pour pouvoir se mettre à genou, vient se compromettre entre mes cuisses, léchant le satin, me touchant le ventre avec ses mains un peu fraîches. Le mélange entre l’air frais qui parcourt mes jambes, mes seins, et le visage aux joues brûlantes de Mireille me donnent encore plus l’envie de prendre une pose salace.
Alors je m’offre sans retenue à Mireille dont j’arrive à douter qu’elle en soit à son coup d’essai… A genoux sur le banc je prends appui sur le dossier et entre ouvre les cuisses pour que ma partenaire d’un soir puisse me donner des coups de langues là où elle en a envie : elle écarte violemment ma culotte et commence à lubrifier un doigt en le passant sur son sexe humide avant de me le faire sucer. Ensuite elle me baise violemment sans ménager ses coups de poignets dans ma chatte ouverte. Elle se précipite, comme si elle craignait d’être surprise.
Je retiens mes cris de plaisirs en mordant sa culotte qu’elle m’a mise sous le nez comme pour m’étouffer.
Je lui offre de prendre ma place mais elle refuse, préférant se plaquer, dos contre un tilleul, en pliant le genou comme le font les prostituées le long des murs. La vue de sa cuisse toute blanche et charnue tranche sur le noir de ses bas, donnant un effet très excitant. Je me colle face à elle et l’embrasse fougueusement jusqu’à lui faire perdre le souffle. Le bruit de la succion est limite obscène. Je plaque ma main sur son sexe que je pétris tout en me frayant un passage vers l’entrée de derrière… elle écarte les jambes, je m’introduis un peu difficilement mais là, elle pousse un peu, ce qui libère son petit trou.
Elle jouit à son tour, les jambes pantelantes.
Pour le remercier, nous laissons chacune notre culotte au gardien dans une petite boite et repartons cul nu dans la nuit pour une douche chez moi… Mais c’est une autre histoire !
Un gentil récit très excitant qui n’a rien à faire dans les oubliettes du site
J’ai vraiment adoré !
Bonjour je ne sais pas qui vous êtes Agnès mais je suis content que vous aillez pris le temps de me lire (oui oui c’est moi l’auteur). Je reviens sur ce site cet après-midi par curiosité, je l’avais perdu de vue.
Très ému par mes propres récits…