La conversion de Paul
chapitre 1
par Urso21f
Paul, j’ai 25 ans, je suis beau, musclé, épile et bronzé intégral, et je suis gay. En effet depuis l’âge de 17 ans, malgré un corps sportif bien foutu, un sexe long et épais, qui aurait pu plaire aux femmes (les tentatives de celles ci n’ont pas manqué, sans réel succès), les hommes m’ont toujours attiré et donné du plaisir. J’aime malaxer leurs muscles, fermes et rebondis, surtout leurs pectoraux, bras ou fesses. J’aime sentir leur bouche, leur langue sur mon anus pour l’assouplir avant de me faire pénétrer. J’aime leur bite vibrante et chaude dans ma gorge et dans mon fion. J’aime aussi leurs mains qui fouillant ma rondelle, s’enfoncent progressivement pour me dominer et me faire pleurer, couler et pisser de plaisir. J’aime aussi jouer des mêmes plaisirs à mes amants réguliers ou de rencontre.
J’allais donc voir mon oncle Georges et sa compagne Suzon qui m’accueillaient dans leur maison de campagne avec piscine. J’allais aider Georges pour des transformations. J’arrivais très tard, rapidement ils m’accueillaient, me montaient ma chambre et se retiraient pour dormir.
Je rejoignais néanmoins la piscine dans la pénombre de la nuit. Ne connaissant pas Suzon mais sachant mon oncle naturiste, j’en profitais pour me baigner nu et faire une centaine de longueurs. Fatigué je m’allongeais sur la margelle et laissait le vent du soir me caresser. Couché sur le dos, les jambes repliées, bien écartées, la fraîcheur me faisait frissonner, les tétons, le sexe, la raie des fesses et l’anus. Que n’avais-je descendu mon pot de gel avec moi, je me serai bien paluché dans le noir.
C’est alors que j’entendis des râles de plaisir venir de la maison. C’était Georges. Je m’approchais. Une bougie éclairant la scène, c’est en effet Suzon qui, une bouteille d’huile dans la main, s’appliquait à masser son amant. C’était un nid d’amour car les étagères de la pièce portaient de nombreux appareils de plaisir, des godes de toutes sortes, des fouets et même un sling était accroché dans un angle.
Autant j’étais fin et totalement imberbe, autant Georges était massif et poilu. Le dos, les fesses, les jambes, tout disparaissant sous une toison dense et noire. Les deux amants me tournaient le dos. A quatre pattes, Georges tendait les fesses vers les mains huileuses qui lui malaxaient le sexe. Puis les mains, après avoir caressé les globes charnus, s’engagèrent dans la raie pour masser délicatement l’anus qui s’ouvrit progressivement. Un doigt, puis deux puis, n’en croyant pas mes yeux, je vis la main féminine s’enfoncer doucement dans le cul masculin. Ce type de pratique existait aussi chez les hétéros ? L’autre main vint rejoindre bientôt la première augmentant les râles de la nuit. Les mains entraient et sortaient de manière saccadée tandis qu’un flux continu de liquide séminal inondait la couche. Soudain Georges se retourna dévoilant un sexe tendu sur lequel Suzon s’empala conduisant à une jouissance partagée. Ne sachant ce qui m’excitait le plus, ma main avait rejoint mon sexe en érection et je jouissais rapidement envoyant mon sperme dans l’herbe.
Le lendemain, je me réveillais au son des travaux qui avaient débuté. Je rejoignais Georges qui travaillait à poil au soleil. Suzon était partie pour 2 jours. J’enlevais mon short et commençais à bosser. Après 5 heures intensives la pause arriva et nous allâmes prendre une douche dans le jardin. Du fait du soleil, j’étais rouge vif, Georges me proposa de me passer de la crème solaire ce que j’acceptais.
– Tu as du nous entendre et nous voir hier soir me dis Georges. Je t’ai aperçu dans la pénombre. Eh oui nous sommes naturistes et libertins, et même bi rajouta-t-il avec un sourire. Nous partageons toutes les expériences avec Suzon. Et toi tu dois être gay rajouta-t-il en me flattant la croupe et le reste. Le corps tout lisse, pas un poil. Tu es superbe et j’ai même observé, quand tu étais sur l’échelle, que tu avais la rondelle bien en fleur. Sont-ce les bites ou les mains de tes amants ?
– Les deux répondis-je un peu gêné mais complètement émoustillé par la grossièreté du langage.
Il s’approcha et m’embrassa longuement, nos lèvres se touchèrent, nos langues se mélangèrent déclenchant un frisson d’excitation.
Mon sexe se tendit et Georges sans vraiment demander s’agenouilla et le prit dans sa bouche. Il faisait glisser mes vingt centimètres dans le fond de sa gorge, c’était merveilleux. Ses mains exploraient mes couilles toutes lisses, mes fesses musclées, un puis plusieurs doigts me pénétrait profondément, facilités par le savon de la douche sur mon cul et la crème solaire sur ses mains. L’autre main remontait vers l’un de mes tétons pour le pincer, le malaxer, le torturer. Je ne voulais pas jouir tout de suite aussi je m’écartais quand j’étais sur le point de m’abandonner.
Le sexe de Georges était aussi tendu, complètement rasé, seule partie de son corps à ne pas disparaître sous les poils. Plus petit mais beaucoup plus épais que le mien et je ne pouvais l’entourer de ma main ou l’avaler. Je le léchais, faisant aller et venir le prépuce, descendant jusqu’aux couilles pour les enduire de salive. Ensuite je le faisais me tourner les dos, pour me retrouver avec ces deux globes charnus, fermes et poilus. Il se pencha en avant écartant les jambes et s’écartant lui-même les fesses, me donnant accès à sa rosette, noire de poils, que je m’empressais de bouffer à pleines lèvres et à pleines dents.
Nous allâmes tous les deux rejoindre la « chambre des plaisirs ». Il m’installait sur le sling, me remonta les jambes et offrant à sa vue la totalité de mon périnée imberbe. Il prit du gel et m’en enduisit l’anus, le rectum, le sexe et les couilles, quel délice. Il enfila une capote et enfonça dans mon fion son chibre à la largeur gigantesque. Putain, malgré mon habitude, quelle épaisseur, quelle dilatation. Doucement, il l’enfonça jusqu’à la garde puis accélérant ses mouvement il me bourra comme un forcené. Gorges s’immobilisa et je sentis les spasmes remplir la capote. Echangeant les rôles et les places, après avoir copieusement enduit de gel le cul de mon amant, je fis à mon tour grincer les montants du sling. Je me retirais à temps pour couvrir sa toison fessière d’un blanc laiteux.
– Au boulot, dit Georges en saisissant deux gros plugs ronds sur une étagère.
Il s’en enfonça un tandis que je me pénétrais du second. Et c’est les fesses à l’air, toutes humides de gel et de déjections, dûment dilatées par les plugs, que nous retournions sur le chantier.
A SUIVRE