Articho
4 – Dans la forêt
par très_curieux
Depuis quelques semaines, Sophie n’était plus sûre de rien.
D’une part elle pensait toujours intensément à Articho, de l’autre son expérience dans le train montait en puissance en elle et commençait à l’obséder.
Alors animal ou homme? Une chose était sure: sa libido était débordante, dévorante. C’est simple, Sophie avait l’impression de toujours mouiller. Elle n’était plus cette jeune fille bcbg, elle qui n’avait plus que le sexe en tête.
Sophie se décida à mener une expédition dans cette forêt qu’elle avait repérée depuis le train. Un dimanche soir d’octobre, elle fit monter Articho dans sa voiture et prit avec elle des chaussettes pour les pattes du chien, et une couverture.
Le ciel qui était couvert lorsqu’elle partit, se mua en une légère pluie. Lorsque Sophie sortit de la voiture, elle constata que le terrain était humide, voire franchement boueux en certains points. En outre, elle ne savait pas trop où aller dans la forêt.
L’endroit semblait désert, et la luminosité déclinait rapidement. Peut-être lui restait-il tout au plus une heure de jour avant la pénombre. Après quelques hésitations, Sophie se lança et emmena le chien avec elle. Elle marcha une dizaine de minutes puis quitta le sentier.
A l’amorce d’une légère descente, la végétation se fit plus sombre avec davantage de résineux. L’odeur d’humus se mêlait à un parfum de résine. Lorsqu’elle arriva à une souche retournée, elle décida que ce serait là qu’elle laisserait Articho la prendre.
Sophie constata qu’elle avait oublié la couverture à la voiture. Qu’importe. Après un coup d’œil circulaire pour s’assurer de sa tranquillité elle décida de se dénuder totalement. La pluie se faisait plus forte, et le fond de l’air était frais.
Nue, elle enfila les chaussettes sur les pattes avant du chien pour ne pas qu’il la griffe. Mais Sophie, toute à la préparation de la scène, n’était pas vraiment excitée. Son joli minou blond ne secrétait guère de nectar et elle se demandait comment Articho allait se comporter? Sophie mit ses mains à terre, puis ses genoux et présenta son sexe au chien. Celui-ci ne manifesta pas le même intérêt que la fois précédente.
Toujours à quatre pattes, Sophie flatta donc son chien, caressa son fourreau et l’attira à elle. Le temps passait et le jour déclinait quand le chien daigna donner quelques coups de langue. Sophie commençait à mouiller, elle était enfin excitée et le chien le ressentait. Sa langue se faisait plus lourde et incisive sur son clito… aussitôt Sophie sentait son ventre se nouer de désir et lâchait quelques gémissements, mais aussitôt Articho s’éloignait pour aller lécher son dos ou ses seins. La tension retombait, et le chien revenait. Il la montait, la pénétrait à peine, ressortait, léchait, etc… Ce manège rendait folle Sophie qui de plus en plus était au bord de l’orgasme, et à chaque fois plus frustrée de le voir s’éloigner à nouveau.
Au comble de la crispation, elle saisit à pleine main, feuilles morts, terre, boue et s’en pétrissait les seins et le minou. C’était une sorte de communion païenne avec la terre, la nature, le chien.
Articho s’arrima enfin solidement à ses hanches, elle le guida vers sa fente et prit sa bite dans toute sa longueur. Subitement Sophie se trouva emplie comme jamais elle ne l’avait jamais été. Sous le poids d’Articho, ses bras plièrent et elle se retrouva face contre terre, avec le chien qui désormais pompait furieusement. Les jappements du chien s’entremêlaient avec ses gémissements à elle, et elle sentit alors le nœud se former en elle, à l’intérieur d’elle. Elle avait ça qui écartait ses parois vaginales, la dilatait… le chien pulsait le sperme en elle.
Un bruit lui fit aussitôt relever la tête et dégriser: un homme se tenait devant elle. La soixantaine passée, pas grand, en barbour. Il la regardait avec stupéfaction lorsqu’il hésita puis sortait son sexe. Sophie imaginait déjà le pire, le viol, le viol qu’elle garderait pour elle car comment raconter la scène à la police?
Elle vit son sexe court, épais, le gland violacé et gluant, visqueux de pré-sperme. Il se masturba silencieusement devant elle qui était nouée au chien. Et soudain il éjacula abondamment, sur le tas de feuilles mortes à ses pieds. Se remettant de son orgasme, confus, il s’excusa puis partit à travers les bois. Dans le même temps, Articho se retira. Sophie n’avait pas jouit et la tension était à son comble en elle.
Elle resta interdite quelque secondes, puis à quatre pattes se précipita vers la semence humaine déposée sur ces feuilles. Elle observa qu’elle était presque jaunâtre et grumeleuse. Elle saisit à pleine mains ce foutre pour s’en masturber frénétiquement le clitoris. Remuant comme une salamandre clouée sur planche, elle cherchait désespérément l’orgasme. Il ne vint qu’au bout de longues minutes.
Sophie se retrouva là, dans la nuit, au beau milieu de la forêt et maculée de boue, d’humus, et de spermes mêlés humain et animal. Elle poussa un long soupir en pensant à ce qui venait de se passer. Clairement non satisfaite, frustrée, elle comprit qu’il lui faudrait beaucoup plus à l’avenir.
La zoophilie quand elle est festive, je veux bine, mais c’est glauque de chez glauque, Berck !
Après un décevant chapitre 3 l’auteur revient à ses fondamentaux pour notre plus grand plaisir