Françoise et Snoopy – 1ère partie par Françoise Z
Françoise et Snoopy
Je me prénomme Françoise, j’ai 46 ans, j’habite en Auvergne, je suis mariée. Mon mari, fort heureusement, ne connaît pas tous mes fantasmes, ni mes pensées les plus secrètes. J’aime ressentir une certaine liberté dans mes actions extraconjugales, elles sont nombreuses, car je suis insatiable : malgré ses efforts, mon mari ne me suffit pas.
L’histoire un peu spéciale que je vais vous conter s’est déroulée au mois de juillet dernier. Personne de ma famille n’en a rien su, ni à l’époque ni maintenant d’ailleurs, fort heureusement pour ma réputation.
Un jour de juin de cette année-là, ma meilleure amie, Catherine, me téléphone pour me demander de garder son chien, Snoopy. C’est un splendide Golden Retriever de couleur crème. Il est âgé de cinq ans, très gentil, très affectueux, un peu expansif. Elle souhaite me confier son animal durant ses trois semaines de vacances d’été.
Ce n’est pas la première fois que je le lui garde, mais je ne l’ai jamais eu pour une si longue période, seulement quelques jours par-ci par-là, surtout le week-end, toujours en présence de mon mari. Je suis plutôt contente de sa demande. Je la rassure donc. Bien au contraire, je suis ravie de lui rendre ce service. Cela me fera un compagnon pour mes longues journées solitaires de l’été, mon mari ne prenant ses congés qu’en août. Comme je suis femme au foyer, sans enfants, j’ai tout de même un peu de temps libre. Parfois, je me sens un peu seule. Même le surf sur certains sites très coquins ne suffit pas toujours à me distraire et surtout à me combler. Mon mari n’y verra sûrement aucun inconvénient, de toutes les façons, ma décision est déjà prise, j’en ai trop envie.
À la date convenue, Catherine amène donc Snoopy à la maison. Nous sommes le vendredi 9 juillet dans l’après-midi. Il est convenu qu’elle couche le soir pour ne prendre la route de ses vacances qu’après le petit-déjeuner du lendemain matin. Elle aura ainsi tout loisir de me donner les détails pour que cette cohabitation se passe au mieux, pour nous, comme pour son chien. Pendant l’apéritif et le repas du premier soir, un excellent barbecue préparé par mon mari, Snoopy est en permanence près de sa maîtresse, souvent sous la table, couché à ses pieds. Il sollicite en permanence des caresses dont elle ne le prive pas. Le chien et sa maîtresse me semblent très proches l’un de l’autre, très complices apparemment. Je remarque également qu’il vient fréquemment poser son museau sur la cuisse de mon amie, recouverte du fin tissu de sa robe fleurie. À aucun moment elle n’esquisse un geste de refus, ni ne le repousse. Son chien se comporte un peu comme si son instinct canin lui faisait comprendre le prochain petit abandon dont il va faire l’objet. Cette marque de tendresse animale me trouble énormément. J’en éprouve comme un début de jalousie. J’aimerais bien que Snoopy me montre à moi aussi qu’il apprécie ma présence, en venant poser sa tête sur ma cuisse nue.
J’ai toujours été très attirée par nos amis à quatre pattes, mais par les chiens, bien plus que par les chats. Cette passion est née à mon adolescence et ne m’a plus quittée depuis. Il est malheureusement difficile dans notre société hypocrite, de faire partager cet engouement un peu excessif. Peu de gens sont aussi sensibles que moi à la sensualité et surtout à la vigueur d’un beau et grand chien.
En attendant, un peu perdue dans mes pensées, je me console en me disant que je vais avoir le chien de mon amie pour moi seule, pendant au moins trois semaines, en dehors de tout témoin. Cette perspective me comble de bonheur. Je sens comme un début d’humidité sur le gousset de ma petite culotte. Lors des allées et venues du chien autour de la table, je ne me prive pas du plaisir secret de lorgner les lourds testicules gonflés, qui apparaissent au milieu des poils fauves de son arrière-train. Ces grosses glandes me font vraiment rêver. Je les imagine pleines d’un abondant sperme chaud. Cette pensée ajoute à mon trouble. Si j’avais été seule, à n’en pas douter, Snoopy aurait eu droit à une gentille amabilité manuelle de ma part ! J’ai très envie de les presser délicatement dans mes doigts et pourquoi pas, les porter à mes lèvres, humer leur forte odeur… Je suis vraiment une incorrigible lubrique ! Ah ! si ce gentil toutou pouvait sentir les doux effluves évocateurs de mon entrecuisse ! Mais pour l’heure, seule Catherine est l’objet de ses attentions. En les regardant tous deux, je me demande si mon amie a la même attirance que moi, si elle s’est déjà livrée sexuellement à son chien… Il faudra que j’en aie le cœur net, que je fasse ma petite enquête.
En toute fin de soirée, nous prenons congé, tous trois un peu fatigués par l’excès de boisson et de nourriture. Après les bises d’usages et les caresses au chien, Catherine et Snoopy se dirigent vers la chambre d’ami, où tout a été préparé pour eux par mes soins. La panière du chien est au pied du grand lit qui attend Catherine.
La nuit s’écoule calmement. Avant de sombrer dans le sommeil, j’ai beau tendre l’oreille pour déceler des bruits venant de la chambre qui jouxte la nôtre, je ne perçois aucun son suspect. Au matin je constate cependant que la panière n’a pas été utilisée. Snoopy a donc dû dormir avec Catherine ! Cette constatation évidemment me ravit, mais je me fais peut-être des idées fausses.
Tout le monde se retrouve au petit déjeuner que nous faisons un peu traîner pour retarder le douloureux moment de la séparation entre Catherine et son compagnon.
Vers 10 h 30, bien plus tard qu’elle n’escomptait, elle nous fait un dernier signe de la main avant de passer la grille de notre propriété, au volant de son auto. Le Golden regarde s’éloigner le véhicule en gémissant un peu, mais cependant, il reste à mes pieds, comme le lui a ordonné sa maîtresse. J’apprécie énormément l’obéissance de ce chien, remarquablement bien dressé, voilà qui promet de bons moments.
Le week-end se passe sans histoire. Nous prenons nos marques, Snoopy et moi faisons mieux connaissance. Dès le départ de Catherine, il ne me quitte plus, me suit de partout. Dès que je me lève pour telle ou telle raison, il fait de même et me colle aux talons. Il semble avoir fait un transfert de Catherine vers ma personne. Mon mari, lui ne s’en occupe pas le moins du monde, il me laisse l’entière responsabilité de la garde, ce qui ne me contrarie guère, bien au contraire.
Le lundi, je me lève vers 8 heures, mon mari est déjà parti au boulot. Je trouve Snoopy sagement allongé sous la table de la cuisine. Il se lève à mon apparition, remue la queue, viens me faire fête. Je suis en long tee-shirt, sans aucun autre vêtement. Le chien cependant redevient vite calme après cette petite effusion de bienvenue. Pour tester son état d’esprit, je saisis sa tête et dirige sa truffe entre mes cuisses, sous mon tee-shirt. Il me renifle longuement, mais ne semble pas y prendre goût. Je n’insiste pas, un peu dépitée. Me serais-je fait de stupides idées à propos des relations de Catherine avec son compagnon.
Je m’installe pour le petit déjeuner que mon mari m’a gentiment préparé. Snoopy s’allonge sagement sous la table, entre mes pieds nus. De temps en temps, je lui caresse le sommet du crâne, il me montre sa satisfaction en me léchant les doigts, ce qui me fait un peu frissonner, mais je résiste. Entre deux biscottes je caresse son ventre de la pointe de mes orteils nus. Il les lèche également, mais sans grande conviction, comme une simple politesse. Je suis de nouveau un peu déçue de ce manque d’enthousiasme. Malgré tout, j’apprécie ses délicieux petits coups de langue de soumission entre mes orteils. Ma collation terminée, je me lève, me dirige vers la salle de bain pour prendre ma douche. Pendant que l’eau gicle sur mes seins, Snoopy assis sur le pas de la porte me regarde faire, sans broncher.
Je me caresse un peu, mais sans insister, j’ai bien mieux à faire.
Je ferme les robinets, me sèche soigneusement. Snoopy est toujours aussi attentif, à l’entrée de la salle de bain. Il doit sentir que ce domaine ne lui est pas réservé, il m’attend donc sagement. Toujours nue je m’approche de la porte. Le chien se lève pour me livrer passage. Je me dirige vers la chambre, il me suit. Je m’allonge sur le lit, mais une fois encore, il demeure sur le pas de la porte, comme intimidé. Dès que je l’appelle, il remue la queue et vient au pied du lit.
Je le regarde, il me regarde, essayant de comprendre ce que j’attends de lui. Du plat de la main, je l’invite à monter sur le lit. Il n’ose pas, malgré mon insistance. J’ai beau le solliciter du geste et du verbe, il est encore intimidé ou tout simplement trop bien dressé. Pourtant, je suis sûre qu’il couche avec Catherine, cela ne fait plus aucun doute dans mon esprit.
Je vais devoir l’attirer d’une façon ou d’une autre. Je passe mes doigts sur ma chatte et les lui présente, tout parfumés de mon désir. Il renifle sans enthousiasme, donne un coup de langue rapide, simple politesse et repose son arrière-train sur la moquette.
Il va me falloir utiliser les grands moyens. Je me lève, me dirige vers la cuisine, Snoopy me suit. Je fouille les placards et finis par dénicher un pot de beurre de cacahuètes, dans le bas du réfrigérateur. Je le passe quelques secondes au micro-ondes, histoire de le ramollir et de le réchauffer un peu.
Je plonge mon index dans le beurre, l’enduis grassement, le présente à Snoopy qui ne se fait plus prier… Ravie de ma bonne idée, je fais un bref détour par la salle de bain, me saisis d’une serviette, retourne dans la chambre où je l’étale sur le lit. Il est à présent bien plus empressé, la queue battant la mesure, il ne me quitte plus d’une semelle, lorgnant le pot avec intérêt… La gourmandise va être ma meilleure alliée, tant pis pour les recommandations de Catherine au sujet de son régime.
Je m’allonge sur le lit, cuisses ouvertes, je me tartine la chatte de beurre encore tiède, sur le pubis, entre les lèvres, dans le vagin, sur mon anus que j’enduis copieusement, sans oublier la raie des fesses. Cette tartinade consciencieuse me chauffe un peu les sangs. Je présente dans un premier temps mes doigts gras au chien qui se charge de les nettoyer en trois coups de langue…
Il est à ma merci !!!
Snoopy me regarde pour en avoir encore. Je n’hésite pas, je m’allonge sur la serviette, au bord du lit, j’écarte les jambes au maximum et j’attends sa truffe avec excitation. Mes seins sont tendus, je sens que je coule, ma mouille se mélange au beurre d’arachide. Je caresse ma poitrine, je pince légèrement mes tétons, tire dessus, les graissant de cacahuète. Snoopy lèche timidement, au début. Son museau appuie sur mon sexe, sa langue large et puissante se régale, moi de même. Par moment elle vient frôler mon bouton, me procurant un long frisson de bonheur. J’ouvre mon sexe de mes doigts. Je sens la langue du chien sur mes lèvres coulantes, mon clitoris est bandé comme un arc, je le sens durcir, la truffe de Snoopy le titille avec rudesse, ce qui déclenche des spasmes de plaisir dans mon ventre. Je ne veux pas que cela cesse, je donnerai tout pour qu’il poursuive son délicieux festin.
Mes scrupules initiaux se sont envolés ! Je deviens folle mais c’est trop bon.
Avec une main j’essaie de maintenir les lèvres ouvertes, pendant que je calme mes seins avec l’autre. Mon complice me procure une volupté extraordinaire. J’ouvre ma raie, la langue du chien lèche entre mes fesses, une nouvelle extase m’envahit lorsqu’il insiste sur mon anus. Snoopy se retire, je le prie de continuer :
– Allez, Snoopy, sois gentil, lèche-moi bien mon toutou !
Il replonge son museau entre mes jambes, je pense que je vais défaillir de bonheur, m’évanouir peut-être. Je me glisse au pied du lit, la croupe relevée, fesses offertes, fesses ouvertes, à quatre pattes, la joue sur la moquette, comme une chienne en chaleur. Snoopy tourne autour de moi sans comprendre ce nouveau jeu, me laissant dans un état de frustration insupportable. Je l’incite à revenir entre mes jambes, avec de petites claques sur mes fesses.
Il revient, et repart, revient, repart, c’est horripilant. Toujours à quatre pattes, je glisse une main entre mes cuisses, enfonce trois phalanges dans mon vagin et me masturbe pour parer à l’urgence. Snoopy cherchant mes doigts encore parfumés, se place derrière moi. Je ne le vois plus, je suis absorbée par ma branlette. Soudain je sens de nouveau sa langue, il me lèche l’anus et l’ensemble de l’entrejambe. Je me masturbe plus violemment, sa langue insiste alors sur mon anus qui n’est pourtant plus enduit de beurre. La joue posée sur la moquette, je glisse mon autre main entre mes jambes et titille mon bouton. Une explosion de jouissance me secoue, cela part de mon entrecuisse et remonte à l’intérieur de mon ventre, vers mes seins.
Je bave de plaisir, c’est trop bon. Snoopy entre deux coups de langue tourne autour de moi, indécis. Je reste dans cette position, à le regarder. Il est beau, avec ses muscles saillants, ses grands beaux yeux tendres. Je reprends mes esprits après un long moment. Mon calme revient peu à peu, il s’allonge près de moi.
Je m’assois à côté de lui, enserre son cou entre mes bras. Il se redresse sur ses pattes, me lèche le visage. Sans aucune répugnance, je mêle brièvement ma langue à la sienne puis me relève en embrassant sa truffe.
Alors qu’il est près de moi, je profite de son calme pour passer ma main sur son ventre. D’abord près de la base de son poitrail, puis comme il semble n’y trouver rien à redire, de plus en plus bas entre ses pattes arrière. Ma main caresse son ventre à présent. Ses poils se font de plus en plus doux au fur et à mesure de la progression de mes doigts. Ma main passe près de son sexe, le contourne sans le toucher. Elle atteint ses testicules, je les presse doucement avec une infinie précaution, j’en rêvais depuis hier ! La queue de Snoopy qui battait l’air cesse soudain son mouvement de métronome. Le chien s’immobilise, attentif, peut-être étonné de cette caresse incongrue. Mes doigts malaxent doucement ses glandes grosses comme de belles prunes. Elles sont couvertes d’un fin duvet très agréable au toucher. Je les sens vivantes sous mes pressions. Mes sens chavirent, je ne sais plus ce que je fais. Les papillons familiers investissent mon bas ventre qui se contracte. Je me sens devenir femelle en chaleur au contact de ce mâle qui se laisse docilement tripoter. Il a un peu écarté les pattes arrière. Ma main glisse timidement vers son fourreau poilu. Je crains tout de même une réaction de refus. Il n’en est rien. Je le saisis, il est d’une incroyable douceur. Je le presse en un lent mouvement de masturbation. Snoopy lève un peu la patte gauche en un mouvement saccadé, il a l’air d’aimer ça. Je presse davantage, j’accélère encore, j’ai une furieuse envie de voir sa petite pointe rose sortir de son étui de peau poilue. Mes souvenirs d’enfance, chez mes grands-parents me reviennent. A chaque fois que leur chien se grattait, je voyais cette petite pointe rose qui m’intriguait énormément, déjà à cette époque.
Mes efforts sont enfin couronnés de succès lorsque je la vois enfin pointer, faisant un magnifique contraste avec ses poils fauves.
Le regard fasciné, la main gentiment crispée sur le sexe du chien, j’ai des contractions d’envie dans le bas ventre. Les papillons de plaisir et d’envie que je connais si bien. J’essaie de calmer mes ardeurs, pour ne pas blesser Snoopy et ainsi profiter pleinement de cet instant tant attendu, maintes fois fantasmé. Le chien halète un peu plus fort, sa langue rose gluante, pend un peu plus, mais il ne fait aucun geste de replis, bien au contraire, se laissant bien volontiers manipuler par cette main amicale dispensatrice de plaisirs inattendus.
Il reste aux aguets, attendant la suite. Je suis assez rassurée par son attitude patiente qui laisse bien augurer de la suite. Je serai vraiment trop déçue d’avoir à faire à un chien trop pressé et expansif, il me faut du temps et dans ce domaine particulier j’adore aller progressivement, prendre mon temps pour le plaisir, telle est ma devise. Sous mes caresses et pressions, la jolie bite rose veinée de magenta se fait de plus en plus volumineuse. Elle est absolument magnifique, c’est mon tour de commencer à saliver… mais je ne sais pas encore si je vais oser une telle caresse buccale sur un animal… il me reste encore de très grosses réticences. Mais l’idée ne me rebute plus autant que par le passé. Je me fais lentement à cette idée de me soumettre totalement à mon nouvel ami et de lui donner un maximum de plaisir. Après tout, les vraies chiennes doivent bien lécher le sexe des mâles qui vont les saillir ou qui viennent juste de le faire, pourquoi devrais-je déroger ? Sa verge est douce et brûlante sous mes doigts, bien plus chaude que celle d’un homme. Quelques gouttes claires, giclent en petites saccades chaudes, évidentes prémices de bonheurs proches. La moquette est tout auréolée de ces giclettes désordonnées. Tant pis, je ferai le ménage plus tard.
Peu à peu, son fourreau poilu dégage l’ensemble du sexe qui apparaît enfin à mes yeux curieux. Rien à voir avec celle d’un humain. La pointe est effilée, alors qu’un homme possède à cet endroit le renflement du gland entouré du prépuce. Le sommet du sexe ressemble à une pointe de lance, percée en son sommet d’un discret petit trou. La verge bien gonflée s’évase à partir de la pointe. La hampe elle-même est veinulée de rouge vif. La base est ornée d’une énorme excroissance, comme un gros bulbe de jacinthe, le bulbe pénien, qui ressemble un peu à des testicules d’homme auxquels on aurait épluché la peau du scrotum.
Je graisse ma main en recueillant le liquide pré séminal qui n’arrête pas de sourdre. Encore une différence par rapport aux hommes, un chien peu éjaculer pendant la totalité d’un rapport. D’abord ce liquide clair qui sera peu à peu remplacé par du sperme bien plus épais, en vue de la fécondation. Les doigts gras, je caresse doucement, je suis attentive à ses réactions… j’ai maintenant très envie qu’il me prenne, je sais qu’il va me saillir, j’en ai envie ! Peut-être pas aujourd’hui, je ne suis pas encore prête à franchir cette barrière morale. Mais je sais déjà que je vais adorer qu’il me prenne. Pour le moment, je continue ma lente câlinerie. Certains chiens sont réticents au début à ce genre de caresse à laquelle ils ne sont pas habitués. Mais ils s’adaptent très vite au comportement étrange des femmes, bien différent de celui de leurs congénères naturelles.
La verge du chien coule de plus en plus au fur et à mesure de mes caresses. Je dois avouer que cette masturbation m’excite moi-même au point de me liquéfier l’entrecuisse. Snoopy docile se laisse faire, allongé de tout son long, la tête dans le prolongement de l’échine, une de ses pattes postérieures en lévitation pour me faciliter la manœuvre. Je suis à présent persuadée qu’il est accoutumé à ce genre de manipulation.
Mon excitation va crescendo, elle s’amplifie au fil de mes découvertes. Notre sexuelle complicité semble grandir au fur et à mesure de mes attouchements. Snoopy, très docile s’abandonne en toute confiance, pattes largement écartées. Je continue mes caresses avec beaucoup de délicatesse. Mais je sens venir le moment où il me faudra lui donner plus, me donner entièrement, sans restriction. Comme pour lui apporter une nouvelle preuve de ma propre soumission. Je me sens devenir Golden Retriever moi aussi. Je suis à sa disposition pour son plaisir, tout autant que le mien. Je veux le mettre au mieux de sa forme pour la suite irrémédiable qui s’impose à mes sens. Je ne peux désormais plus reculer, je n’y songe même pas. Si ce n’est pas pour aujourd’hui, il ne fait aucun doute dans mon esprit que je ne pourrai pas lutter très longtemps contre cette furieuse envie qui me tenaille le ventre. De plus, je ne l’ai que trois semaines à ma disposition, je n’ai guère de temps à perdre avec des futilités. Je sais que mon abandon est programmé, le cheminement intellectuel s’est fait dans mon esprit, j’y suis prête, absolument consentante, ce ne sera pas un viol.
Je m’approche un peu du bas ventre de mon nouvel amant. J’ai une furieuse envie de mieux détailler son anatomie. Pour le moment, je la tiens gentiment serrée entre mes doigts poisseux, elle est brûlante. Je sens parfaitement l’odeur de son sexe. Une émanation forte et sauvage, mais pas aussi désagréable que j’aurai pu l’imaginer. Mon visage n’est plus qu’à quelques centimètres de la pointe cramoisie, de laquelle, par intermittence, sourdent de petites giclées qui s’écrasent sur mes cuisses nues. C’est chaud, gluant. De ma main libre, je viens délicatement prélever quelques gouttes de ce liquide odorant. Je les porte à mes narines puis à mes lèvres. C’est olfactivement puissant. Je dépose ma cueillette sur ma langue… Hum, ce n’est pas mauvais du tout, bien différent du sperme humain. Le goût est très particulier, mais sans être absolument rebutant ! Cette découverte me rassure un peu. Elle fait encore tomber les quelques barrières psychologiques qui auraient pu résister malgré tout dans mon esprit de femme bien sous tous rapport. Si le sperme de Snoopy est tout aussi goûteux que son liquide pré séminal, je ne vois vraiment pas pour quelle raison je me priverais de cette envie qui me tenaille. J’ai vraiment envie de le sucer comme j’ai toujours adoré prodiguer cette caresse à mes amants. Mais lui, va-t-il aimer le contact de mes lèvres et ma langue ? Il a bien dû se lécher à maintes occasions, ou se la faire lécher par un de ses congénères. Je ne sais pas si Catherine suce son chien…
Cette idée m’excite un peu plus, je dois l’avouer. D’imaginer mon amie de toujours, très classe, femme d’affaires impeccable et implacable, irréprochable, qui fréquente la bonne société de la ville se livrer à de telles pratiques, condamnées par la société bien-pensante, me liquéfie de plus belle. Ma chatte dégouline franchement. Des images puissamment excitantes me viennent à l’esprit. Je l’imagine en tailleur strict, le chignon impeccable, avec ses lunettes d’intello branchée, agenouillée entre les pattes de son chien, en train de le téter, se délectant de ses giclées, les buvant sans réticence ni dégoût. Si je continue dans cette voie des pensées lubriques, je vais me faire jouir toute seule, sans l’aide de Snoopy, ce qui serait franchement dommage !
De plus en plus échauffée par mes idées salaces, je m’enhardis quelque peu. J’approche encore mon visage de la verge écarlate, juste pour la sentir un peu mieux… sans plus… Je me le promets, sans y croire un seul instant. Le bout de mon nez est maintenant collé à la pointe du sexe du Golden. L’odeur, sans être le summum des fragrances, ne me rebute pas plus que ça ; de ma main, emprisonnant la verge, je fais glisser le bout plus bas, contre ma lèvre supérieure, je la caresse et l’enduis du liquide poisseux et chaud, comme avec un bâton de rouge à lèvres. Je m’enduis ainsi largement la bouche. Je darde le bout de ma langue à chaque passage de la pointe, sans oser plus. Je joue quelques secondes avec. Le chien ne bronche pas. Attentive à ses réactions, car je ne voudrais pas qu’il se méprenne et devienne agressif, j’entrouvre doucement les lèvres puis enfonce tout doucement la verge animale. A peine un centimètre, puis je la ressors. Le chien étant toujours aussi docile, je l’introduis un peu plus. N’y tenant plus, ma langue s’enhardit… elle caresse le bâton de chair maintenant, largement enfoncé.
Je deviens folle ! Moi qui aurais été scandalisée, il y a encore quelques années, si l’on m’avait décrit pareil comportement. J’ai franchi un nouveau seuil, je suce un chien, pour la première fois de ma vie.
J’ai un peu honte, mais j’aime ça, c’est indubitable. J’ai de longues traînées brillantes et humides le long de mes cuisses tremblantes d’envie. Mes mouvements et ma succion s’accélèrent, mais je reste sur le qui-vive. Je ne veux surtout pas que Snoopy jouisse dans ma bouche. J’aurai sûrement un haut le cœur. Je poursuis ma fellation avec plus de mesure. Je m’applique, comme si ce chien allait ensuite me donner une appréciation sur ma prestation. Mais je ne me fais guère de souci, bien que ne sachant pas parler, son comportement est explicite. C’est le total abandon.
Soudain la sonnerie de la porte d’entrée retentit à trois reprises.
– Merde, merde, merde… qui peut bien me déranger, alors que je suis si agréablement occupée ?
Je laisse ma proie. Snoopy qui avait tendu l’oreille au premier retentissement de la sonnerie se redresse sur ses quatre pattes en grognant un peu. Je lui intime l’ordre de se calmer. Il se calme, mais son sexe en érection, pend, toujours aussi écarlate au milieu de ses pattes postérieures. Pourvu que mon visiteur ne le voie pas ainsi…
Je me recompose à la hâte une tenue décente, me couvre de mon long tee-shirt de nuit, mais reste nue dessous. J’ai la ferme intention de me débarrasser rapidement de cet importun. Snoopy, toujours sur le qui-vive, me suit jusqu’à la porte d’entrée, bien décidé à identifier la menace. À mon grand soulagement, son sexe a réintégré son fourreau. Il est de nouveau décent.
Un peu agacée, j’ouvre brusquement la porte. C’est ma voisine. Elle est plantée sur le perron de notre villa, un large sourire aux lèvres. Elle a comme un mouvement imperceptible de recul en voyant Snoopy.
– Excuse-moi de te déranger Françoise, j’ai besoin d’un service… Tu as du monde ?
– Non, non, je suis seule. Entre, si je peux t’être utile, il n’y a pas de problème Nicole.
– Il est à vous ce chien ?
– Non. Entre, n’ai pas peur, c’est le compagnon de mon amie Catherine.
Elle hésite encore alors que Snoopy s’approche d’elle pour la renifler. Cette fois cependant, elle ne recule pas.
Ma voisine Nicole est une belle quinquagénaire, fort bien conservée, tout aussi « oisive » que moi. Son mari, directeur d’une agence bancaire lui permet de se laisser vivre sans trop de soucis matériels. Elle ne s’en prive pas. Mais je la soupçonne de s’ennuyer un peu à la maison. Secrètement, elle trompe cette inactivité avec des jeunes gens bien trop jeunes pour elle. Je ne vais pas lui jeter la pierre, il faut bien que le corps exulte. Nicole n’a guère de difficultés pour assouvir ses penchants. De belle taille, plus que la moyenne féminine, svelte et sportive, blonde aux cheveux mi longs, une poitrine que ne renierait pas madame Bellucci, un sourire ravageur à faire péter les boutons de braguettes. De plus, elle cache fort bien son jeu. Madame l’hypocrite est assidue à la messe, fait régulièrement le catéchisme pour les gamins du quartier, fréquente la bonne société bien-pensante de la ville. Je pense qu’elle repère ainsi ses futures « victimes », des petits puceaux catholiques tout juste adultes, de bonne famille, à déniaiser sans tarder, mais dans la plus grande discrétion.
Depuis que nous avons fait connaissance, il y a maintenant quelques années nous sommes devenues peu à peu des amies, je dirais même des confidentes, malgré nos dix années de différence. En fait, c’est plutôt elle qui me livre ses turpitudes qui tournent invariablement autour du sexe. Ce ne fut pas évident au début. La dame ne se livre pas aussi facilement en public qu’elle écarte les cuisses en privé. Mais j’ai su la mettre en confiance. Petit à petit, elle m’a laissé accéder à son petit monde secret. Si tous ceux qui la fréquentent savaient !!! Nul doute que le curé du coin lui retirerait la charge du catéchisme !
Ce matin, elle est vêtue d’une courte jupe écossaise, d’un haut très fin, qui moule bien ses deux gros seins, qui me paressent libérés de tout soutien-gorge. Je distingue parfaitement deux belles pointes érigées. Il faut dire qu’elle n’a nul besoin de soutien, en plus ce serait vraiment dommage… J’espère qu’elle ne fait pas le caté dans cette tenue sinon les aspirants à la première communion de la paroisse risquent d’éjaculer dans leurs slips Petit Bateau !!!
Snoopy, un peu curieux glisse sa truffe sous le tissu écossais, en remontant vers le haut de ses cuisses. Nicole devient cramoisie. Elle plaque brusquement sa jupe pour empêcher une plus indiscrète investigation.
Je saisis le vilain fouineur au collier :
– Allons Snoopy, en voilà des manières !!!!
Nicole bredouille :
– Je suis désolée, il doit sentir que je suis… comment dire…
– indisposée… ?
– Oui…
Pour la rassurer, je rétorque innocemment, un léger sourire au coin des lèvres :
– Ah oui, c’est fort possible. Il a un odorat assez développé, rien ne lui échappe !
Je tire Snoopy en arrière, puis invite une nouvelle fois Nicole à entrer. Elle s’exécute sans perdre le chien de vue. Comme il semble plus calme, je le libère. Il nous suit sagement jusque dans le salon. Nicole s’installe sur le canapé, le regardant craintivement. Le chien s’allonge voluptueusement à mes pieds près de la chauffeuse où je me tiens. Cette attitude rassure un peu ma visiteuse.
Je reviens au but de sa visite :
– Dis-moi comment vas-tu… Au fait, tu voulais un service ?
– Oui, voilà… j’ai besoin d’un peu de farine.
Je me demande si Nicole n’a pas trouvé ce prétexte foireux pour venir me voir seule à la maison, car elle enchaîne :
– Tu es seule avec le chien ?
– Oui, toute seule, enfin la journée. Catherine mon amie est partie en vacances, elle me l’a laissé en pension…
– J’ai toujours eu un peu peur des chiens. C’est pour cela que nous n’en avons pas. Mais celui-là, je le trouve très beau, très soigné. Je t’avais vu hier avec lui dans le jardin. Je me demandais si vous l’aviez adopté.
Nous y voilà, la curieuse Nicole est venue aux nouvelles !
J’enchaîne :
– C’est un Golden retriever. Cathy le fait toiletter régulièrement. C’est préférable d’autant qu’il couche dans sa chambre.
– Tu ne penses pas qu’il couche dans son lit tout de même ?
– Ah ça… je ne sais pas, elle ne m’a pas fait de confidences… Je ne pense pas, elle est si maniaque !
– Moi je serais bien trop stressée de savoir cette grosse bête dans la même chambre que moi. En plus, ça doit laisser des poils partout… Tu parles d’un boulot !
Le chien est toujours à mes pieds, ignorant la conversation dont il est l’objet. Il a posé son museau sur mon pied nu. Nicole m’en fait la remarque :
– En tout cas, il a l’air de bien t’apprécier !
– Oui, il est très affectueux, bien plus qu’on ne peut l’imaginer au premier abord.
Nicole le regarde, pensive.
Je romps le silence :
– Dis-moi Nicole, prendrais-tu un thé avec moi ?
– Oui je veux bien…
J’ai très envie de me retrouver seule avec le chien, mais mes devoirs de bon voisinage m’empêchent de mettre Nicole à la porte trop brusquement. Je me lève pour me diriger vers la cuisine. Snoopy m’imite. Je lui intime l’ordre de rester dans le salon. Il m’obéit, mais en profite pour se rapprocher de Nicole, qui n’en mène pas large.
Je la rassure :
– N’ai aucune crainte, il sait que nous sommes amies maintenant. Il veut simplement une caresse, il adore ça. En plus, il a horreur de rester seul.
Timidement Nicole passe la main sur la tête de Snoopy qui, ni une ni deux, pose son museau sur sa cuisse.
Voyant que tout se passe bien, je les laisse faire plus ample connaissance pour aller préparer le thé.
Ma cuisine ouverte me permet de surveiller tout ce qui se passe dans le salon. Par contre, Nicole qui me tourne le dos ne fait plus vraiment attention à moi. Je sors le thé, la théière et les tasses. Je pose la bouilloire sur son socle et attends que l’eau chauffe. Dans le salon Nicole caresse toujours la tête de Snoopy, mais de moins en moins timidement ! Sa main progressivement parcourt son encolure, caressant longuement les poils soyeux… Je me demande si elle ne s’est pas foutue de ma poire en me disant avoir peur des chiens !
– Tout va bien Nicole ?
– Oui, oui, ne t’inquiète pas Françoise, nous faisons connaissance. C’est vrai qu’il est gentil ce chien…
Je fais un peu traîner les choses, juste pour voir.
Nicole caresse maintenant le dos jusqu’à s’enhardir vers les reins du chien qu’elle flatte longuement, sans oser plus. Je ne vois que le train arrière de Snoopy, mais il semble ravi de cette nouvelle amie. Sans bruit, dès que le thé est prêt, chargée de mon plateau, je retourne vers les deux nouveaux amis.
Quelle n’est pas ma stupeur de constater que le museau de Snoopy est une nouvelle fois entre les cuisses de Nicole ! Sa truffe disparaît très loin sous sa jupe, bien plus loin que la fois précédente. Mais cette fois, ma blonde voisine n’a manifestement fait aucun geste pour l’en empêcher !
Par contre, quand elle m’entend arriver, elle repousse Snoopy en rabattant prestement sa jupe.
– Je vois que vous avez fait plus ample connaissance tous les deux !
Nicole, très troublée, me répond brusquement :
– Oui, mais ce chien est vraiment très indiscret…
– Je ne te le fais pas dire ! Mais dis donc, tu es moins choquée que tout à l’heure, il me semble !
– C’est vrai, j’aurai dû lui interdire de me renifler. J’avais surtout un peu peur qu’il se rebiffe.
C’est cela oui… Elle me prend vraiment pour une truffe ! J’ai bien flairé son manège… Elle est curieuse de tout cette Nicole, rien ne l’arrête !
– En tout cas, il avait l’air d’aimer, il me semble.
– Euh… tu plaisantes, Françoise ? Je ne crois pas qu’un chien puisse être attiré par une odeur de femme !
– Détrompe-toi !
– Non ? Ce n’est pas possible !!!
– Si, si !!!
– Tu penses que certaines femmes qui ont des chiens chez elles…?
– Je ne pense pas Nicole, j’en suis sûre ! Bien évidemment, elles sont l’exception du genre mais il y en a. Dans l’absolue discrétion bien sûr.
– Mon Dieu… quelle horreur !! Mais c’est contre nature ! En plus, c’est interdit par la loi !
– La maltraitance est interdite par la loi… Nicole, pas l’affection entre un humain et son animal !
– Attends… attends… il y a affection et affection ! Là, tu me parles carrément de sexe !
– Ben oui… Généralement une grande affection mène parfois dans un lit !
– Mon Dieu… Je ne te crois pas ! Pas chez nous. Pas dans nos civilisations. Chez les primitifs, les sauvages, je veux bien, mais pas ici…
– Bien plus que tu ne penses, tu sais.
– Tu crois que ton amie Catherine…?
– Écoute, je la reçois de temps en temps, elle et Snoopy, j’ai bien vu qu’il y avait comme… comment dire ? Comme une certaine osmose entre eux !
– Mon Dieu…!
– Arrête de dire « Mon Dieu » à tout bout de champ !
– J’ai du mal à le concevoir !
– Moi si…
– Non ????
– Si !!!!
– Non ???? Depuis qu’elle te l’a laissé, il t’a manifesté de l’intérêt ?
– Bien plus que de l’intérêt !
– Non ????
– Si !!!!
Nicole me regarde bizarrement, le teint un peu rouge, les yeux brillants. Son regard va de moi au chien, comme une petite partie de ping-pong. Elle semble pour le moins interloquée.
Soudain le téléphone sonne.
Je m’éloigne vers le vestibule pour aller décrocher, je disparais à la vue de Nicole qui reste seule, une nouvelle fois avec Snoopy. C’est ma belle-mère… Que veut-elle cette emmerdeuse ? Zut, en général, j’ai un mal fou à m’en défaire.
Je réponds poliment et évasivement à la mère de mon mari qui m’expose un nouveau problème qui vient de surgir dans sa vie, un homme en l’occurrence. Elle souhaite me consulter avant toute décision irrévocable.
– Mais oui belle-maman, je vous écoute… Expliquez-moi !
Je me penche un peu tout en écoutant mon interlocutrice, pour voir ce que manigance Nicole avec le chien… Elle est penchée sur lui, je ne vois que son dos et l’arrière-train de Snoopy. Cette fois sa queue ne bouge plus…
P… je suis sûre que cette hypocrite est en train de tripoter le chien de mon amie… J’en mettrais ma tête à couper; elle va me le piquer, si je ne fais rien !
Non, je me fais un film, la voilà qui se rassoit correctement. J’ai juste le temps de me reculer avant qu’elle ne jette un regard inquiet dans ma direction.
Après le long monologue de ma belle-mère, je lui sors quelques banalités, lui donne rendez-vous pour le lendemain, pour que nous parlions de son problème sans témoin, car j’ai une visite à la maison, que je ne veux pas la laisser seule, etc.
Pour une fois elle n’insiste pas et clôt le coup de fil par un sonore « Bien Françoise, comme tu voudras, à demain ! »
Je raccroche.
à suivre
Hummm jolie ton histoire bb
Un très beau texte ! le fantasme est rigoureusement décrit et l’érotisme qui s’en dégage est… comment dire… d’une efficacité contagieuse
Formidable récit qui brise un tabou en le dédramatisant ! Bravo
Quelle belle écriture, on sent le vécu, l’action est décrite au millimètre, c’est très bandant