Triste soirée
Alice et le pays des merveilles
par jimi10
La pluie se met à tomber.
Lentement tout d’abord, puis sans relâche. Le paysage se remplit d’eau. Mon cœur lui est déjà noyé. Noyé de mes larmes. Noyé de chagrin. Je suis déprimé. J’ais envie de me suicider. Pourquoi m’a-t-elle quitté ?
Je sors faire un tour. Je ne me soucis guère de la pluie. Je n’ais qu’une envie : marcher. Marcher sans me retourner. Sans penser à ce qu’elle m’a fait. Quelle salope tout de même ! Me planter comme ça ! Après tout ce que nous avons vécu ensemble. Tout le chemin parcouru. M’annoncer sans me prévenir qu’elle ne m’aime plus ! Quelle salope !
La pluie ne tarde pas à me faire greloter et je cherche un endroit, où m’abriter. J’aperçois la lumière d’un bar devant moi. Je m’y engouffre sans y réfléchir à deux fois. Il est deux heures du matin et je ne trouverais sûrement par meilleur choix.
C’est un petit bar. Rien d’extraordinaire, mais plus que convenable pour les circonstances. Je me rends compte que ne suis jamais entré dans ce bar auparavant, alors qu’il est à deux rues de chez moi. La vie est étrange parfois. Je m’assois.
Je ne veux pas m’isoler. J’ai besoin de compagnie. Besoin de parler. Je m’attable au comptoir et commande à boire. Il n’y a pas grand monde ce soir. Uniquement les clients habituels, les insomniaques, les visiteurs de la nuit. Je me penche sur mon siège pour observer ces gens si particulier et c’est alors que je la vois.
A l’écart dans le noir. Seule devant son verre, pleurant dans son mouchoir. Je ne sais pas qui elle est, ni ce qu’il lui arrive, mais sa peine me touche. Je comprends parfaitement ce qu’elle ressent. Je m’assois à côté d’elle et tente de la réconforter.
– Ce n’est pas bon de trop pleurer vous savez ?
– Ah ? Oui ? Me lance-t-elle d’un air surpris. Et bien tant pis !
– Qu’est ce qui vous est arrivé ?
– Mon copain m’a largué !
Mon cœur se resserre. Sa peine me renvoi à la mienne et je commence moi aussi à avoir envie de pleurer.
– Bienvenu au club…
– Quoi ? Vous voulez dire… Elle me regarde déconcerté. Que vous aussi ?
– Oui, répondis-je avec dépit. Il y’a moins d’une heure. Je suis venue ici pour essayer de l’oublier.
– C’est trop dur. Je l’aimais tant ! Pourquoi les gens sont ils obligés d’être si méchant ?
– Je ne sais pas. C’est la vie, je suppose.
– Quelle vie de merde !
Nous continuons notre conversation. Nous échangeons nos opinions. Nous nous racontons nos relations : comment ça c’est passé, pourquoi on s’est fait larguer. J’apprends son nom : Alice. Elle est brune et porte une robe noire, renforçant l’air triste de son visage. Son corps est vraiment très attirant. J’ai du mal à m’empêcher de jeter un œil à son décolleté. Elle doit bien faire un bon 90 C. J’essaye cependant de ne pas trop divaguer : nous sortons tous les deux d’une relation compliqué.
Nous buvons plus que de raison. Nous oublions notre chagrin dans la boisson. Nous nous relâchons. Devons plus familier.
Le temps passe et la pluie s’est arrêtée. Elle habite elle aussi juste à côté et lui propose de la raccompagner. Nous sommes un peu bourrés et avons du mal à marcher.
On arrive devant sa porte d’entrée. Elle m’invite à entrer. Je ne suis pas en état de refuser.
Elle habite un petit appartement, sans trop d’ornement, juste ce qu’il faut pour vivre convenablement. Elle me sert un verre et nous continuons notre discussion dans son salon. Nous nous dévorons littéralement des yeux. Nous nous embrassons. Ses lèvres sont chaudes et pulpeuses.
Nous savons tout les deux ce qui arrive après : ce qui va ce passer. Je décide donc de prendre les devants.
– Nous ne sommes pas obligés, tu sais…
– Oui, je sais, mais j’ai envie. Mais juste une nuit. Je t’apprécie, mais ne veux pas encore m’engager.
– Je te comprends parfaitement. Juste une nuit alors ?
– Oui, une nuit. Une nuit sans lendemain. Sans conséquence.
Je lui fais signe que j’ai compris et passe ma main sous sa robe. Ses seins sont merveilleux : doux et moelleux. Un bon 90 C, comme je le pensais. Elle se lève et m’emmène dans sa chambre. Je n’en peux plus. Mon sexe est depuis longtemps au garde à vue. Elle m’allonge sur le lit et retire mon pantalon. Elle sort ma bite de son étui et la malaxe avec ses doigts. Elle joue un peu avec, avant de la prendre entièrement dans sa bouche sans ménagement. Une gorge profonde ! Je n’y pensais vraiment pas, cela faisait tellement longtemps qu’on ne m’en avait pas fait. Je me retiens pour ne pas décharger et profite de cette sensation, unique au monde.
Elle ressort ma queue de sa bouche et commence à me branler gentiment, me léchant le gland de temps en temps. Je ne tiens plus et jouis dans un râle profond. Elle ne semble pas déçue et se rapproche de mon jus. Elle me nettoie le ventre avec sa langue, ne laissant aucune goutte de sperme trainer.
– Tu as aimé ?
– Oui, c’était magique.
– Je dois te dire…
– Oui ?
Elle semble gênée et n’arrive pas à ce décider.
– La raison pour lequel mon copain m’a quitté… Oh, et puis merde : mieux vaut directement te montrer.
Elle fait glisser sa robe à ses pieds, me dévoilant un corps splendide. Je reviens vers elle, ivre de sexe et dégrafe son soutien gorge, libérant sa poitrine proéminente. Je la touche et la suce goulûment. Ses seins me rendent fou. Je glisse ma main lentement dans son entre jambe, sentant que plus je descends, plus elle se raidit. J’arrive enfin au niveau de son pubis… Et là qu’est ce que je sens ! Un gros morceau de chair, au lieu d’une petite fente humide. Cette femme a une bite ! Je n’en crois pas mes yeux !
Elle me regarde, inquiète de ma réaction.
– J’aurais du te le dire, je suis désolée.
Je ne sais pas qu’elle attitude adopter et je sens qu’elle va recommencer à pleurer. Je ne suis pas pédé, c’est vrai, mais je n’ai rien non plus contre les gays. Dans mon enfance, je jouais beaucoup avec mon anus, découvrant de nouvelles sensations, une nouvelle manière de me masturber. Mais le temps a passé et mes habitudes ont changé… et me voilà devant une belle bite en érection. Je lui enlève sa culotte et contemple son engin : il est bien plus gros que le mien. Il fait bien dans les vingt centimètres : moi qui croyais que les transsexuelles avaient de petites bites, à cause des hormones.
Alice voyant que je ne m’enfuis pas en courant, commence à se détendre. Son sexe m’attire. Je n’ai rien vu de semblable de toute ma vie. Je ne trouve pas ça dégoûtant ni révoltant. Ce sexe est en totale harmonie avec son corps de femme : à croire qu’il n’y a rien d’anormal. Je prends son sexe en main et commence à le branler. Quelle sensation bizarre ! Je n’ai jamais touché d’autre bite que la mienne !
Alice est totalement détendue désormais. Elle s’est allongée sur le lit et me laisse la branler. Je semble plutôt doué. Normal d’un côté après toutes les heures que j’ai passé à m’entrainer ! J’arrête mon va-et-vient et me penche vers son engin. Les choses sérieuses commencent. Je suce son gland : le gout n’a rien de spécial. Je dirai même que c’est assez agréable. Je l’enfonce plus profondément. Je la suce goulument. Je l’entends qui pousse des petits gémissements.
J’accélère le rythme, tout en jouant avec ses bourses avec mes mains. Je la sens se durcir et comprend qu’elle va jouir. Je ne bouge cependant pas : je veux garder ce sexe en moi. Elle jouit dans ma bouche. J’avale sa semence, sans protester, tout en gardant un peu de côté. Elle se relève et me regarde, un éclair de joie dans les yeux.
– C’était merveilleux !
Elle m’embrasse. J’en profite alors pour lui rendre le sperme que j’ai gardée, à sa plus grande surprise.
– Je ne savais pas, si tu accepterais.
– On n’a qu’une vie. Il faut savoir être ouvert d’esprit.
– Bien dit. Tu veux que je te fasse jouir, comme tu n’as jamais encore joui ?
Je discerne un peu de malice dans ses yeux. Je sais ce qu’elle va me proposer : elle veut me sodomiser ! Au point où j’en suis, il ne sert plus à rien de reculer. En guise de réponse, je m’accroupis et lui tend mes fesses. Son visage rayonne.
– Attend, je reviens ! Je vais chercher de quoi ne pas te blesser.
Elle sort du salon et revient presque aussitôt, du lubrifiant dans la main. Elle me pose le gel à l’entrée de mon cul et me masse l’orifice délicatement avec celui ci. Je sens mon anus se détendre, sous ses caresses. Cela me rappelle mon enfance. Je me laisse faire gentiment. J’aime qu’elle me triture le fondement. Mon cul s’élargit.
– Je pense que ça suffit.
Elle se débarrasse du lubrifiant et se penche au dessus de moi. Je sens son gland forcer contre mon anus. Je pousse mes sphincters pour lui faciliter le passage. Son gland rentre sans trop de difficulté. Ma bite se redresse immédiatement, toute excitée. C’est si bon ! Je pousse des petits cris, tandis qu’elle rentre plus profondément en moi. J’accueil son membre avec joie et envie ! Je ne vis plus que pour cette sodomie.
Elle entame une série de va-et-vient, me défonçant le cul assez violement. Je sens ses couilles frapper sur mes fesses. Elle me prend entièrement, me sodomisant sans ménagement. Je ressens une forte envie de me branler ! Ma bite s’excite comme jamais auparavant. Je commence à m’astiquer, mais cela ne change rien. Le désir est toujours là : il ne vient pas de ma bite, mais de mon cul.
Je ne peux rien faire, sinon laisser Alice me défoncer. Ses coups de pine ne sont pas assez rapides.
– Plus vite ! Plus vite ! Fais-moi jouir ! Lui dis-je dans un râle.
Je n’en peux plus. Je ne pense plus qu’à mon cul : au moyen de satisfaire ce désir qui me tiraille. Alice augmente alors la cadence, me défonçant sauvagement. Je sens la jouissance me parcourir tout entier. Je continue de me masturber comme un taré.
Je finis par de nouveau décharger, sentant ma prostate gonflé et mon cul se resserrer. Un frisson de jouissance me parcourt et toute la tension de mon corps se relâche d’un coup. Je m’écroule sur le lit, incapable de tenir encoure debout.
Alice est encore dans mon cul à me labourer, ne se souciant pas du fait que je me sois allongé. Je sens sa bite se durcir dans mon anus : je comprends qu’elle aussi vient de jouir.
Elle commence alors dangereusement à se retirer de mon cul.
– Non, reste dedans !
Je lui ais dis spontanément sans réfléchir. J’aime trop la présence de son membre dans mon cul, je ne veux absolument pas qu’elle se retire maintenant.
Alice surprise, ne pose cependant pas de question et se renfonce dans mon anus jusqu’à la garde.
Nous nous allongeons sur le lit, et nous endormons comme cela : emboité l’un dans l’autre, suant de désir, ayant chacun oublier nos malheurs de la soirée.
La fin est à tomber sur le cul ! L’auteur sait-il au moins de quoi il parle ?