Confessions d’exhibitions
Fesses à l’air au bureau
par Jocelyne_C
Lisant un récit à propos de la fessée imposée à une femme par son employeur, ça m’a fait penser à mon cas personnel et m’a incité à vous le raconter. Je travaille depuis près d’un an dans une agence d’une grande entreprise d’assurances, et je suis satisfaite de mon emploi bien payé et de mes conditions de travail assez particulières.
Nous sommes quatre à travailler dans les mêmes locaux, trois femmes dont moi qui m’occupe du standard et notre chef direct, Roger, un homme d’une cinquantaine d’années.
Lors de mon entretien d’embauche, le chef en question a été très direct et m’a dit que j’avais le choix entre être payée le smic ou un salaire de 2.300 € brut. Quand je lui ai demandé sur quoi reposait cette différence de salaire pour un même job sans qualification particulière, il m’a expliqué sans se démonter que je gagnerais les deux mille trois cent roros si j’acceptais de venir travailler tous les jours en jupe… et sans culotte.
Bien sûr, j’ai été d’abord soufflée du culot du type et j’ai commencé par refuser énergiquement en menaçant d’aller de ce pas porter plainte contre ces méthodes sexistes et machistes. Mais il m’a rattrapée et s’est mis à rire en me disant que les deux femmes qui travaillaient ici étaient déjà elles-mêmes sans culotte sous leur jupe, qu’elles ne s’en portaient pas plus mal, et qu’il n’exigerait strictement rien de plus. Il m’a laissé jusqu’au lendemain pour réfléchir.
Rentrée chez moi, j’ai mal dormi en pensant toute la nuit à cette proposition aussi bizarre qu’indécente. Un fils de 8 ans à charge, j’étais au RMI depuis plus de six mois, et les 2.300 € mensuels étaient dans ces conditions bien alléchants. Le lendemain matin, Roger me rappelle et me demande si j’ai réfléchi. Comme je ne sais toujours pas quoi répondre, il me passe l’une de ses employées qui me raconte qu’effectivement, elle-même ne porte jamais de culotte, que c’est la condition pour bosser et qu’à part ça l’ambiance est sympa, Roger n’exigeant rien de plus. Je ne sais pas pourquoi mais cette situation commence malgré moi à m’émoustiller, et je décide de retourner là-bas pour voir de plus près comment est l’ambiance de travail.
Je suis reçue par les deux femmes (sans le chef) qui se montrent très gentilles et très persuasives, n’hésitant pas à relever leurs courtes jupes pour me montrer qu’en effet… Bref, je passe sur les détails et mes dernières hésitations.
J’ai finalement accepté de tenter l’expérience, et j’ai effectivement été engagée à 2.300 € (pour un job de standardiste !). Ce que mes collègues ne m’avaient pas dit à l’époque c’était que Roger avait tout de même les mains très baladeuses, et j’ai pu m’en apercevoir très vite. Il ne se passe jamais un jour sans qu’il nous colle les mains aux fesses sous les jupes, mais c’est exact qu’il ne cherche jamais à aller plus loin. Aujourd’hui, je suis très satisfaite de ce travail cool et très bien payé, d’autant plus que le fait d’avoir les fesses à l’air et de ressentir une main s’y balader de temps en temps me maintient dans un état d’excitation permanent très agréable.
Mon petit ami ne sait évidemment rien de cette situation, mais il trouve que je suis devenue beaucoup plus portée sur le sexe qu’avant que je trouve ce travail ! Je sais que ce genre de situation peut être considéré comme du harcèlement sexuel (c’est d’ailleurs ce que j’ai pensé au début), mais il est des fois où ce « harcèlement » peut être très agréable, surtout s’il correspond à des fantasmes que l’on a, et si le chef est habile et sympa.
Je suis sûre que d’autres femmes pensent comme moi et connaissent ce genre d’expérience au boulot.
Bisous à tous les lecteurs.
Au bord de la rivière par Mike67
C’est le printemps, nous allons souvent au bord d’une petite rivière passer l’après-midi. Tandis que je pêche, ma copine Yolande lit et bronze au soleil. L’endroit est très isolé, nous y sommes seuls tout le temps
Ce jour-là avant de partir, je lui suggère d’enfiler un débardeur très court et une minijupe ample très raz des fesses. Elle est nue dessous mais elle sait qu’où nous allons il n’y a personne. (du moins c’est ce qu’elle croit)
Je descends son sac pour le ranger dans le coffre, dans le garage je l’ouvre et vérifie ce qu’elle emporte. Il y a un maillot de bain et une serviette, je les retire du sac et les cache puis referme le sac et le remets dans le coffre.
Elle me rejoint et monte en voiture. Tandis que nous roulons je la félicite pour sa tenue sexy et la rassure de nouveau en lui rappelant que toutes les fois l’endroit est désert, elle me répond que c’est pour cette raison qu’elle a accepté de garder cette jupe sans culotte sinon elle n’aurait pas cédé car c’est vraiment trop court.
Nous arrivons à la rivière, je me gare et prends les sacs dans le coffre. Yolande est déjà engagée dans le petit sentier qui mène à la crique, elle s’est hâtée pour éviter d’être vue sur la route. Il y a 5 mn de marche encore à travers des buissons, je la regarde marcher, sa jupe est vraiment courte elle couvre à peine le pli des fesses et le vent qui s’est levé la lui soulève facilement découvrant ses rondeurs généreuses. Enfin nous arrivons, j’installe nos tapis sur les galets ronds, elle ouvre le sac et s’aperçoit qu’il n’y a pas de maillot:
– J’ai oublié mon maillot et les serviettes ! Dit-elle
– Ma pauvre, tu n’as pas de tête !
– C’est que tu étais tellement pressé de partir…
– Ça y est, ça va être de ma faute…
Elle ne répond pas et s’assoit sur son tapis.
– Tu vas pas rester comme ça ! Lui dis je
– Ben si, puisque je n’ai pas de maillot !
– T’as qu’à te foutre à poil ! Y’a personne !
Elle se met debout et quitte ses vêtements en les rangeant soigneusement dans le sac et va s’allonger au soleil sur une pierre plate au milieu du ruisseau. Je reste près des sacs à l’ombre pour lire un peu. Le temps passe, je vais voir Yolande et comme elle ne répond pas je lève ses lunettes de soleil, je constate qu’elle s’est assoupit, je la laisse dormir, le soleil est faible et avec la crème elle ne craint rien. Je me replace sur mon tapis et reprends ma lecture.
Un homme surgit, il me salut en passant. Tandis qu’il continue de descendre la rivière , je fais mine d’être plongé dans ma lecture et l’observe discrètement. Il est debout sur la berge juste en face de Yolande et la regarde en se tripotant la braguette. Yolande est sur le dos, ses cuisses légèrement ouvertes dévoilent ses lèvres intimes, son pubis rasé la rend indécente, ses seins lourds aux larges aréoles roses sont bronzés mais invisibles pour le moment.
– Ne la réveillez pas ! Lui dis-je doucement en m’approchant.
Il se recule un peu gêné en me souriant et se sauve rapidement dans les buissons. Je reste seul déçu qu’il ne comprenne pas. Me retournant, je vois Yolande assise sur la pierre:
– Il est parti?’ demande t elle
Elle m’avoue s’être rendu compte qu’on l’observait et par peur elle est restée immobile.
– Tu vois c’est pas difficile de s’exhiber ! Lui dis je
– Oui, bon ! On ne va pas épiloguer…
Je m’approche et la caresse entre les cuisses, elle est vite excitée
– Tu as apprécié d’être matée on dirait ?
– Oui j’avoue… un peu… Mais tu ne vas pas me demander de recommencer ?
– Disons que c’est un jeu !
– Tu exagères !
Je lui pelote les fesses, elle se laisse faire en gémissant.
Un homme sort des buissons, il s’approche timidement. Je lui fais signe de venir plus près, sa braguette est ouverte.
– Tu ne la touches pas, mais si tu veux te branler, tu peux.
Le mec à sorti son chibre et se masturbe frénétiquement. Ça ne dure pas longtemps et il envoie son sperme sur les fesses de Yolande.
– Cochon ! Lui dit-elle.
L’homme disparaît.
– Salaud qu’est-ce que tu m’a fait faire ? me reproche-t-elle
– Mais je ne t’ai rein fais faire tu avais toute liberté pour l’envoyer promener , tu ne l’as pas fait!
– Ah, c’est vrai !
– Tu vas faire quoi maintenant ?
– Je vais attendre, dès fois qu’l vienne un autre cochon !
Glups !
Rue du Faubourg St Martin : Paris X :
Fréquentant quelque temps cette rue au 6ème étage d’un vieil immeuble dont la fenêtre donnait sur la rue, j’eu la surprise plusieurs fois pendant l’été de l’an 2000, de surprendre une belle asiatique au même étage mais de l’autre côté de la rue pendre du linge à sa fenêtre sans se presser et les seins à l’air.
Dans la forêt de Senart, il y a des coins exhib, il y a un mois j’ai croisé un couple le mec habillé tenait sa copine en laisse toute nue, collier de chien et menottée une superbe femme dans les 45 ans avec une belle poitrine. Le mec m’a proposé de la caresser, je ne m’en suis pas privé mais ça n’a pas duré très longtemps.
Je trouve que la deuxième histoire aurait mérité un traitement long. Ici la femme devient exhibitioniste un peu trop rapidement
Les féministes vont hurler ! Mais je ne pense pas qu’elles viennent lire par ici !
Bravo Jocelyne
Bravo Jocelyne
Bravo ! Tout simplement bravo !
Il en faut des textes comme celui-ci, ça fait du bien, comme contre courant !
A défaut d’être de la grande littérature, ces textes sont de jolis pieds de nez au prêt à penser féministe ! En ce sens ils sont est salutaire ! Non mais dès fois ! Quand même !