Nouvelle année
4 – Le café est prêt
par Lovelace
Comme à l’accoutumée, maintenant, le café est prêt lorsque nous nous levons ! Anne nous attend simplement vêtue d’un très joli déshabillé blanc, transparent qu’elle à acheté hier avec Alice. Cette dernière porte quasiment le même, mais noir. Très sexy mes femmes dès le matin !
Nous sommes installés depuis une demi-heure, devisant sur l’organisation de notre journée, lorsqu’Anne pousse un petit cri.
– Qu’y a-t-il, Anne ? Demandais-je.
– Quelqu’un dans le jardin, là-bas ! Tendant le bras en direction du mur de séparation de la propriété. Il a sauté le mur !
– Non de non !
Je me lève d’un bond, j’ouvre la baie vitrée et me précipite, pieds nus dans la direction indiquée par Anne. J’aperçois un jeune homme, un ballon à la main qui s’en défait en le lançant de l’autre côté du mur. Je le hèle.
– Hep, vous là bas ! Attendez un peu !
Le jeune homme ne cherche pas à s’enfuir, me fait face et s’approche.
– Que faites-vous chez moi ? Est-ce une façon d’entrer chez les gens ?
Excusez-moi, monsieur, me répond-t-il, je suis désolé, mais je suis au pair chez vos voisins et je récupérais des jouets que leurs enfants ont envoyés par dessus le mur !
– Venez à l’intérieur ! Nous allons régler cela.
Nous rentrons donc, je referme la baie vitrée tout en expliquant ce qu’il fait chez nous et, je vois notre intrus, interdit, les bras ballants devant les deux grâces qui lui font face, debout. Il est vrai que les voir ainsi, quasiment nues, peut interloquer !
– Excusez-moi, mesdames, heu.., je suis heu… con…, confus ! Balbutie-t-il, le visage empourpré.
– Vous excuser ? Certainement pas ! Aboie Alice. Vous entrez chez les gens, comme ça sans vous annoncer, comme un voleur, en sorte et vous voudriez qu’on vous excuse ?
– Je comprends bien, madame, mais je ne voulais pas vous déranger. Continue-t-il de sa voix hésitante. Il est cramoisi.
– Et c’est pourtant ce que vous avez fait ! Nous déranger ! Reprends-je. Je sens que je vais porter plainte, ça vous apprendra à vous comporter civilement !
– Ne faites pas ça, je vous en prie ! Mes employeurs ne me garderont pas, j’ai besoin de bosser pour payer mes études ! Non seulement il bafouille, mais en plus il est totalement affolé.
– J’ai une idée, dit Anne, tentant de calmer le jeu. Vous n’avez qu’à lui proposer un travail d’intérêt général !
– Ha oui ? Et quoi, par exemple ?
– Il pourrait venir nous donner un coup de main à déménager la salle de sport. Les engins de muscu sont lourds et il a l’air bien bâti ! Reprend Alice qui a perçu qu’une idée avait germé dans la tête d’Anne.
– Bonne idée ! Prévenez vos employeurs et revenez dans un quart d’heure !
– Bien, monsieur, merci, merci beaucoup, merci madame dit-il en s’adressant à Anne. Heu.., bon…, et bien…, j’y vais…heu !
Il se retourne comme pour sortir par le jardin, se rend compte que c’est idiot ! Le pauvre, ne sait plus quoi faire, se dandine, m’implore du regard. Il en est touchant ! Je le prends par le bras et le dirige vers l’entrée. Il me suit mécaniquement tout en regardant Anne et Alice. Il n’arrive pas à détacher son regard des deux bombes qui le toisent et le jaugent !
A peine la porte refermée, un fou rire nous prend à la pensée de ce grand garçon, gauche comme c’est pas permis.
– Il faut dire que ce n’est pas évident, de se retrouver délinquant, jugé par deux belles femmes quasiment à poil ! Dis-je pour tenter de le dédouaner, mais je ne peux m’empêcher de me marrer quand même.
– D’abord, nous ne sommes pas à poil. Nos tenues sont un peu transparentes, c’est tout !
– Et très provocantes ! Tout de même !
– Et alors ! Nous sommes des femmes, non ? Ça ne te dérange pas toi, que l’on sache !
– Moi non, mais vous êtes mes femelles !
– Hé, ho ! Le macho, ça suffit ! On n’est pas TES femelles, éventuellement, tes maîtresses ! Tu n’as pas l’exclusivité !
– Non, c’est vrai, mais j’ai votre préférence !
Cette petite conversation, pleine de bonne humeur, nous met en joie pour la journée. Elle est interrompue par la sonnette du portail. Je vais ouvrir, c’est notre jeune étudiant qui respecte ses engagements !
– Entrez, jeune homme. Suivez-moi.
– Oui, monsieur.
Je le précède dans la salle à manger où Alice et Anne sont installées.
– Voulez-vous un café avant de commencer ? Demande Alice.
– C’est que…, heu…, je ne veux pas vous dé-déranger ! Décidément il n’arrive pas à se décontracter.
– Calmez-vous, lui dit Anne, détendez-vous ! On n’est pas des sauvages ! Allez, soufflez un bon coup, ça ira mieux après !
– Qu’est-ce qui vous gêne ? Demande Alice. Sont-ce nos tenues ?
– Un peu, oui, madame. Être accueilli par deux jolies femmes dans cette tenue, c’est troublant !
– Haa ! Et bien voilà ! Quand vous êtes plus détendu, vous cessez de bafouiller ! Lui dis-je. Quand on vient chez nous, il ne faut pas s’offusquer, surtout le matin. Nous vivons libres et sommes souvent dévêtus !
– Je comprends.
– Et vous, parlez-nous de vous. Comment vous appelez-vous, quel âge, quelles études ?
Anne pose un flot de questions, elle ne semble pas désintéressée par ce jeune éphèbe.
– Je m’appelle Mickaël, j’ai dix-neuf ans et je prépare un DUT en informatique. Je viens de la région parisienne et, comme je n’ai pas droit à une bourse, j’ai trouvé ce boulot de garçon au pair.
– Ok ! En tout cas vous êtes mignon ! Vous êtes seul ?
La remarque d’Anne le fait à nouveau rougir.
– Heu, merci ! Comment ça seul ?
– Je veux dire, vous n’avez pas de petite amie ?
– Hé, non ! Mes études me prennent tout mon temps et ce qu’il m’en reste, je le passe avec les enfants de vos voisins.
– Dis donc, intervient Alice, tu n’as pas fini avec tes questions ? Tu le mets encore mal à l’aise, tu vois bien qu’il est timide ce garçon ! Je ne serai pas surprise qu’il soit puceau !
Mickaël est de nouveau cramoisi suite à la remarque d’Alice et semble se demander où il est tombé tant il roule des yeux dans tous les sens !
– Vous devez vous dire que vous êtes tombé chez des gens un peu bizarres, hein ? Interviens-je. Je vous le confirme ! Ici, vous êtes au château des plaisirs !
– Ha, bon !
Il déglutit, ne pouvant ajouter quoi que ce soit. Mal à l’aise, il essaye de se donner une contenance en buvant une gorgée de café et manque de renverser sa tasse en la reposant !
Anne se lève et s’approche de lui, pose la main sur sa nuque :
– Vous êtes puceau, Mickaël ? En tout cas, vous n’avez pas dû avoir beaucoup d’aventures ! On peut peut-être arranger ça ?
– Heu. ! J’ai eu plusieurs aventures !
– Tant mieux ! Vous savez alors comment est faite une femme et comment elle fonctionne ?
– C’est que… heu…, oui, certainement !
– Allez taisez-vous et laissez-vous faire ! L’enjoint Anne, qui le caresse franchement maintenant, façon massage sur la nuque et les épaules. Vous êtes tout tendu, laissez-vous aller.
Ses mains passent devant et descendent le long de son torse, jusqu’à sa ceinture. Elle attrape le bas de son pull et le soulève pour le retirer. Il se laisse faire, le regard un peu perdu. Sa pomme d’Adam ne cesse de monter et descendre. Alice et moi regardons la scène sans broncher, après tout c’est Anne qui l’a déclenchée, c’est son affaire !
Une fois le pull retiré, elle lui dégrafe sa chemise, bouton par bouton, tout en lui caressant la peau à nue. Elle finit par lui retirer la chemise et il se retrouve torse nu. Bien baraqué, le mec ! Un torse puissant, des abdos marqués, les épaules et les bras bien musclés, un gars qui s’entretient de toute évidence.
– Lèves toi ! Demande Anne.
Mickaël s’exécute. Elle s’accroupit, défait sa ceinture et les boutons de son jean, glisse le pantalon aux chevilles. Elle tire son caleçon vers le bas et jaillit une belle bite, bien raide, en forme de banane qui remonte outrageusement vers son nombril ! Il bande fort, le garçon ! Sous ce sexe vigoureux et provocant, une grosse paire de couilles à la peau bien tendue, le tout couvert de poils, bien sûr !
– Beau spécimen ! Me dit Alice. Tu as vu cette érection ? Son sexe bat presque sur son ventre malgré qu’il soit debout !
– Oui, mais il ne va pas tenir longtemps. Moins d’une minute, je parie !
– Pari tenu ! Toute façon à son âge, ça récupère vite !
Je ne me trompe pas. Anne ne résiste pas devant cette verge tendue et la prend en main. À peine le temps de la lécher, sucer un peu le gland tout en faisant quelques aller-retour de la main et le jeune homme explose. Deux gros jets qui atteignent la table ! Elle récupère ce qu’elle peut et se relève.
– Hé, bien ! Depuis combien de temps n’avais-tu pas jouis ? Demande-t-elle.
– Pas mal de temps, j’avoue ! J’avais oublié comme c’était bon ! Mais c’est gênant devant tout le monde !
– On ne va pas s’arrêter là, hein ? J’aimerai bien y goûter à ton joli chibre ! Et puis, ne fais pas attention à eux. Ici tout le monde partage tout ! On va t’apprendre à prendre ton pied. Tu ne seras plus le même en repartant ! N’est-ce pas les amis ?
– Pour sûr, répond Alice en se levant. Tu vas prendre tes premières leçons de plaisir absolu !
Alice et Anne se déshabillent et, totalement dévêtues, se collent à lui, le caressant de la tête aux pieds avec une prédilection pour les parties génitales et les fesses, rondes et musclées.
– Caresses-moi les seins ! Demande Anne. Oui, bien comme ça, maintenant prend le téton en bouche, vas-y suce, comme si tu tétais ! Aspire bien, voilà, titilles-moi avec ta langue, bouges-la vite, oui, c’est bon, regardes, tu l’as fait bander ! Allez occupes-toi des deux, en alternance. Humm ! C’est bon ça, tu es doué !
La formation est lancée et, apparemment, Mickaël est un bon élève !
– Caresses-lui les fesses, maintenant. Lui demande Alice. Elle adore ça ! Prends-les à pleines mains, pétris-les. Passes un doigt entre les globes, vas chercher son œillet, tu en fais le tour avec le bout du doigt, tu appuies comme si tu voulais l’insérer, et tu recommence du début.
– Humm ! Oui, c’est bon ! Tu fais ça très bien. Réagit Anne.
– Vous êtes divines, lance-t-il.
– Et tu n’as encore rien vu ! Dis-je. Le meilleur reste à venir.
– Ho, oui ! Viens, tu vas me bouffer la moule !
Anne l’attire vers le canapé du salon, s’assied et écarte les jambes. Mickaël s’agenouille devant ce temple du plaisir et, caressant les cuisses de ses mains, approche la bouche et commence à lécher la vulve entre-ouverte.
– Bien ! Comme ça, c’est bien, c’est bon ! Vas-y lèche bien, écartes mes lèvres avec ta langue, oui, comme ça, descend jusqu’à mon petit trou, houu ! Ouiiiiii ! Remontes, jusqu’au clito, là, voilà ! Allez, lèches-le, ha, la, la ! Ça c’est bien ! Maintenant, fais comme pour mes seins, prends-le en bouche et aspires-le et titilles-le avec ta langue ! Là voilà, comme ça, haaaa ! Qu’est-ce que c’est bon !
Je n’ai pas besoin de regarder, Anne fait les sous-titres ! Un vrai commentateur sportif à la radio ! Alice, elle, s’est approchée et caresse les fesses du jeune homme. Elle fait la même chose qu’elle lui suggérait sur celles d’Anne. Elle va lui titiller la rondelle, lui attrape les couilles, caresse sa verge et revient vers les fesses. Le garçon bande à nouveau comme un cerf ! Elle remplace le doigt par la langue et lui fait une feuille de rose. À la façon qu’il a de se cambrer, il est évident qu’il aime ça ! D’autant qu’il émet des petits gémissements.
– Tu es sensible du cul, toi ! C’est un très bon signe, tu vas devenir un bon jouisseur !
– Allez, prends-moi, maintenant, demande Anne, je veux sentir ta bite bien dure ! Là, oui, c’est bien. Ne te raidis pas, au contraire, plus tu te détends, plus tu fais durer. Là, voilà, c’est bien, continue, lentement, c’est ça. Ouii !
Alice continue de le caresser et, sentant ses couilles durcir, elle presse fortement la base de la verge pour l’aider à tenir encore un peu.
– Arrêtes-toi, respires ! Lui enjoint Alice. Ce n’est pas un sprint mais une course de fond ! Penses à elle avant de penser à toi.
– Dommage ! J’y étais presque. Dit Anne.
– Il y a peut-être un truc qui peut marcher, dis-je. Ça le fait pour moi, ça peut le faire pour lui.
– Tu veux dire lui mettre… ?
– Essaye ! Dis-je en lui tendant le pot de lubrifiant resté sur la table basse.
Alice plonge le doigt dedans et, doucement enduit et enfile Mickaël. Petite résistance de sa part et, les injonctions, aidant, il se laisse aller.
– Allez, reprends tes mouvements, lui suggère Alice.
Il se remet à labourer Anne et, effectivement, ça à l’air de marcher. Ça marche même tellement bien, qu’Anne obtient son orgasme !
– Retires-toi ! Ordonne Alice, en l’écartant et en accélérant les aller et venues de son doigt dans le jeune cul.
– Mais j’allais venir !
– Justement, Garde-m’en un peu ! En attendant, dis-moi, tu as aimé le doigt dans ton cul ?
– Oui, c’était agréable. Pas au début, mais après j’ai aimé !
– Ça c’est très bon signe !
– Ha, bon ? Et pourquoi ?
– Parce que ça veut dire que tu es prêt à tout partager. L’amour et le plaisir, c’est ça. Être généreux, donner tout et, en retour recevoir énormément ! Tu aimerais me sodomiser ?
– Heu… oui, bien sûr ! !
– Donc, tu accepterais de l’être ?
– Hé, mais je ne suis pas…..
– Pédé ! Je sais, tous les mecs disent la même chose la première fois. Tu crois que mon mari est homo ?
– Je ne pense pas, non !
– Et pourtant, il adore se faire enculer ! Tu expliques ça comment ?
– Je ne sais pas, moi ! Il a des tendances ?
– Ni plus ni moins que toi ! Chacun de nous porte en lui les deux sexes. Il suffit de l’assumer. Lui il assume et de fait il prend son pied aussi par derrière. Tu sais le cul c’est le seul truc qu’on a en commun avec la bouche. C’est les seuls éléments comparables entre un homme et une femme en termes de sensation et de perception.
– Oui, c’est vrai, n’empêche !
– N’empêche que tu as aimé te faire doigter !
– Mais ce n’était qu’un doigt !
– Ce n’est pas une question de quantité, mais une question de souplesse. Et la souplesse ça s’acquiert !
– Bon, je veux bien essayer, mais doucement, alors !
– Ne t’inquiète pas. Ici on te l’a dit, on aime le plaisir, pas la douleur !
– Je vous fais confiance !
– Tu verras, tu nous remercieras !
Alice s’installe entre les cuisses d’Anne qui n’a pas bougé depuis son petit orgasme. Elle écarte ses fesses et appelle Mickaël
– Allez, viens mon petit, prends-moi, regardes comme je t’attends !
– Attends, dis-je, je vais t’aider.
À côté de lui, je prends sa queue et la place devant l’œillet. Je le tire en avant jusqu’à ce que le gland soit à moitié entré. Ma main sur sa queue le surprend, mais il se laisse faire. De l’autre main, posée sur sa fesse, je le pousse en avant. La verge pénètre, doucement.
– Maintenant, tu ressors et quand tu es presque sorti, tu t’enfonces à nouveau un peu plus loin. Tu répètes l’opération jusqu’à être à fond dedans. Allez, à toi de jouer !
Nous finissons par être en place et j’imprime le mouvement afin que personne ne dérape !
La scène est belle ! Anne sur le canapé, jambes écartées et relevées, se fait brouter par Alice qui fait la locomotive devant Mickaël, Je ferme la marche. Nous sommes bien coordonnés et nos gémissements respectifs prouvent que tout le monde y trouve son compte !
Sauf Anne !
– J’aimerai bien me faire défoncer aussi, moi !
– Ta gueule, salope ! Tu y as eu droit en avant première ! Tiens, prends quand même ça, lui dit Alice en lui insérant deux doigts dans le cul.
– Hoo, ouii ! Voilà ! C’est bon ça, j’aime !
Anne sera la première à jouir dans cette scène.
Alice prise à froid, se masturbe pour y arriver plus vite et rejoint Anne au Nirvana. Elle s’avance et se retourne, déculant Mickaël qui reste planté sur ma queue, la sienne bien en l’air. Alice la prend en main et le branle. Je me retire, pour faciliter l’éjaculation qui effectivement arrive trente secondes après, en deux nouveaux jets puissants ! Ha ! La jeunesse !
Moi je m’éclipse vers le salon de toilette, le jeune homme n’avait pas prévu cet intermède sodomique !
Quand je reviens, tout le monde est rhabillé. J’en fais de même. Il est temps maintenant de se mettre au travail !
Nous terminons de déménager la salle de sport avant la fin de la matinée. Alice nous demande de mettre en place les colonnes et les stèles qui recevront les sculptures. Nous découvrons ces dernières, ébahis par la qualité de la réalisation. Elle n’a pas fait les beaux arts pour rien !
Le réalisme est saisissant. Les moindres détails sont reproduits. Je découvre mon sexe comme jamais je ne l’avais vu, mieux qu’en vidéo ! Les bustes aussi sont criants de vérité. Fesses, sexe de femme, sexe d’homme au repos et en érection, seins, scène de copulation anale et vaginale tout est très réussi et nous met en émoi !
– Bravo, Alice, tu as fais un magnifique travail !
– Oui, on peut dire que tu es digne de Michel-Ange !
Mickaël est bluffé, lui aussi.
– C’est vous qui avez fait tout ça ? C’est extraordinaire ! On dirait des vrais !
– Oui, j’en suis assez fière ! Je ne pensais pas que ça rendrait aussi bien !
– J’en suis toute chose, dit Anne. J’ai l’entrejambe qui me démange ! Et je vois que Mick aussi est ému, rajoute-t-elle en visant la bosse dans son pantalon. Ça t’excite hein ? Cochon !
– On le serait à moins !
– Attends, je vais arranger ça, reprend Anne.
Elle dégrafe le pantalon et fait jaillir le sexe raide de Mickaël. Quelle érection, encore ! Anne le lèche sur toute la longueur de la hampe, gobe les testicules, remonte titiller le méat du bout de la langue, s’attarde sur le frein. Sa main monte et descend le long du sexe, elle décalotte et recalotte le gland. Elle s’arrête d’un coup, se relève et, reculant d’un pas, admire la verge tendue vers le plafond, luisante de salive qui bat au rythme artériel. Alice n’y est pas insensible non plus. Elle a soulevé son déshabillé et se caresse à pleine main.
– Allonges toi, demande-t-elle à Mickaël.
Celui-ci s’exécute. Elle l’enjambe et s’assied à califourchon sur le sexe dressé. Anne s’approche de la tête de Mickaël se place à genoux au dessus de lui.
– Allez, montres-moi comment tu as retenu la leçon de tout à l’heure !
Ne voulant pas être en reste, je retire mon pantalon et m’approche de la bouche d’Alice qui gobe mon sexe. Anne derrière moi m’écarte les fesses et me fait une feuille de rose. Les deux caresses combinées me font rapidement bander dur.
– Viens me prendre ! Demande Anne.
Je me place derrière elle et la pénètre. La langue de Mickaël, inévitablement, me lèche la verge en même temps que le clitoris d’Anne et mes couilles frottent sur son visage ! Ça m’excite terriblement !
Sous l’effet conjugué de la langue de Mickaël et de ma queue, Anne ne tarde pas à jouir, son corps est parcouru de secousses. Je me retire et elle se déplace pour embrasser Mickaël.
Alice m’appelle :
– Ne restes pas comme ça, viens derrière moi aider Mick.
J’obtempère, mais j’hésite. Où vais-je entrer ? Finalement j’opte pour la double vaginale. Je glisse mon sexe dans la chatte détrempée, le long de celui déjà en place. Le frottement est agréable. Je ne bouge pas, c’est Alice qui imprime le mouvement. Mickaël ne résiste pas longtemps aux allers-retours rapides d’Alice, d’autant que sa verge est bien serrée contre la mienne dans le doux fourreau qui nous abrite. Je sens les spasmes de sa queue qui crache son sperme. Alice lâche prise juste après et je me retrouve la queue inondée de foutre et de sperme. C’est Anne qui me nettoie en avalant entièrement mon vît. Puis elle me branle ne gardant que le gland dans la bouche pour récupérer la semence que je ne tarde pas à lui donner.
– Quelle matinée, mes amis ! Quelle matinée ! Dis-je.
Nous sommes rompus mais heureux ! Et c’est le sourire aux lèvres que nous retournons au salon prendre un apéritif bien mérité !
Installés devant la cheminée, nous sirotons en devisant sur l’installation de la salle.
– Au fait, Mick, tu déjeunes avec nous ?
– Je ne voudrais pas me taper l’incruste !
– Si je te le demande, c’est qu’on le veut bien !
– Dans ce cas j’accepte, j’ai quartier libre ce week-end !
– Super ! S’exclame Anne.
– Dis-donc, toi, t’aurai pas un peu le béguin ?
– Pour une fois qu’il y a un beau mec dans mes âges, je ne vais pas me priver, non ? Serais-tu jaloux ?
– Mais, non ! Ce n’est pas la question ! Mais je trouve seulement que tu le colles pas mal !
– Il a besoin d’être éduqué, ce garçon ! Allez, dis-nous, tu as eu combien 3, 4 maîtresses ?
– Trois en tout ! Je ne sais pas grand chose des femmes, comme vous avez pu le constater.
– Ne t’inquiète pas, Mick, lui dit Alice. Un week-end avec nous et tu sauras tout du libertinage et comment faire plaisir à une femme et ce, à tous les coups !
– J’ai l’impression d’avoir déjà pas mal appris !
– Tu es loin d’avoir fait le tour ! Lui dis-je.
– Peut-être, sûrement ! Il n’empêche que me faire mettre par un mec, je n’aurai jamais imaginé !
– Tu ne sais pas combien les cochonnes aiment ça ! Lui répond Alice. Et puis si, dans la nature, c’est un rapport dominant/dominé, chez l’humain, c’est LE Tabou absolu. Donner son cul, c’est offrir ce que l’on a de plus intime, de plus secret. C’est pour ça que nous et nos amis sommes adeptes de la sodo. Nous faisons un don de nous, sans limites !
– Je comprends ! N’empêche, qu’un homme… !
– Si tu veux, reprend Anne, c’est moi qui te prendrai, la prochaine fois ! La sensation est très différente, tu verras !
– Ok ! Mais d’un côté pratique, excusez-moi, mais vous passez d’un partenaire à l’autre, d’un vagin à un anus et vice-versa, côté hygiène, ça craint !
– Pas plus que ça, dis-je. Ce matin, certes, tu n’étais pas briefé et j’ai dû aller me laver. Mais nous qui pratiquons beaucoup, nous nous faisons des lavements réguliers et nous nous lubrifions d’avance, au cas où !
– Je comprends mieux pourquoi vous y allez aussi franchement !
– Tu sais, on fait beaucoup de choses, mais on n’est pas scatos ! À part peut-être Anne, à qui il est arrivé de nettoyer une verge avec sa bouche !
– Hé ! Je ne suis pas scato non plus, moi ! C’était dans le feu de l’action et il n’y avait presque rien ! J’ai juste dit que ce n’était pas si désagréable que ça ! Et puis on pratique bien l’uro, non ?
– Ça n’a rien à voir. En plus on le pratique peu et uniquement avec de la pisse très claire !
Mickaël ouvre des yeux comme des soucoupes en nous entendant parler ainsi !
– Sois pas choqué, Mick, on te dit que tu n’a encore rien vu ! Lui dis-je. Ces deux garces ont même envisagé une séance zoophile. Elles veulent savoir si ça leur procurerait du plaisir de se faire sauter par un chien ! T’imagine ?
– Et, bien dites-moi ! Vous me laissez sans voix ! Vous êtes vraiment prêts à tout !
– Pour la recherche du plaisir, oui ! S’exclame Anne. Quand je les ai connus, il y a deux mois, j’étais comme toi, choquée de tout ce que je voyais et entendais. Et puis, tu vois, maintenant j’en redemande ! J’ai choisi la voie du plaisir et je vis beaucoup mieux ma vie de femme, depuis !
– Hé, les filles ! Et si on cassait la croûte, on continuera la discussion à table !
– Oui, bonne idée, dit Alice. Je vais me doucher et je nous prépare le déjeuner.
– Je t’accompagne dit Anne.
– Ok, bon Mick, je te ressers un verre ?
– Avec plaisir ! Mais j’aimerai bien me doucher aussi avant manger.
– Pas de problème, mon garçon ! Je te montrerai où ça se passe.
– Au fait, me dit-il à voix basse, lorsque les femmes sont sorties, je ne sais pas si c’est déconnant, mais j’ai une idée pour leur faire plaisir et assouvir leur fantasme canin.
– Ah, oui ? Dis-moi, ça m’intéresse.
– Je pourrais aller chercher le chien des voisins ? Ils partent dans leur famille ce week-end.
– Ho, là ! Tu sais, il faut qu’il soit un minimum dressé à ça l’animal, sinon, ça marchera pas !
– Justement ! Comme on a parlé de ça, je fais le lien avec ce que j’ai remarqué plusieurs fois. Leur Labrador posait souvent sa tête sur les genoux de sa maîtresse et reniflait assez fort. Et je l’ai déjà vu bander suite à ça et elle ne le repoussait pas. Peut-être a-t-elle se genre de penchant ?
– C’est possible, mai foi. On n’a qu’à essayer, on verra bien. Tu sais quoi ? Tu vas aller le chercher en prétextant que tu dois t’en occuper en leur absence et on laissera faire les choses, ok ?
– Ok ! répond-il l’air enjoué, comme un potache qui prépare une bonne blague.
Quand les filles reparaissent, fraîches et pomponnées, Mick est parti.
– Il nous a abandonnés ? Demande Alice.
– Non, non, il est allé voir si tout va bien chez les voisins et il revient. Au fait, Anne, je profite qu’il ne soit pas là. Je te vois te rapprocher bigrement de lui et ton apollon dont tu rêves et que tu as invité, tu vas en faire quoi ?
– Justement, je disais à Alice là haut, que j’allais annuler la présence de Julien et inviter Mick à la place ! D’abord il est déjà dégrossi et en plus l’autre je ne le vois pas me faire la cour, alors après tout !
– Quelle garce tu fais ! Si ton Julien se disait que si tu l’invitais c’est qu’il n’avait plus qu’à te déclarer sa flamme, il va tomber de haut !
– Oui, et bien tant pis pour lui. Ça fait quatre ans qu’il me connaît, il n’a jamais bougé le petit doigt, malgré tous les signes que j’ai lancés.
– Après tout, c’est ta vie ! Je ne vois pas pourquoi je m’en mêle !
– Ça c’est vrai, surligne Alice, tu n’as pas à te mêler de ses affaires de cœur !
– Enfin, pour l’instant c’est plus une affaire de cul que de cœur !
Elles me tournent les talons, sans répondre et filent à la cuisine. Quelques instants après, Mick revient, tenant le chien en laisse. Un bon gros Labrador, tout gentil, beau comme tout. Et sage en plus.
– Coucher, sucre ! Lui ordonne Mick.
– Comment tu l’as appelé ? Sucre ?
– Ben oui, c’est son nom. Il paraît que c’est sa maîtresse qui a voulu l’appeler comme ça.
– Bizarre ! Mais, bon, pourquoi pas ! Allez, viens on va mettre la table.
Alice et Anne reviennent de la cuisine, pour nous annoncer que nous pourrons déjeuner bientôt. Elles remarquent tout de suite la présence de sucre.
– Mais d’où il sort celui-là ? Demande Alice.
– Il est beau comme tout, le toutou ! Comment il s’appelle ?
– C’est le chien de mes patrons, il s’appelle sucre. Dit Mick.
– Ha, et pourquoi il est là ?
– Ils m’ont demandé de m’en occuper pendant le week-end. Alors, comme je suis ici, j’ai demandé à Bernard si je pouvais l’amener, histoire qu’il ne soit pas seul !
– Après tout, tu as bien fait ! Il est aussi bien avec nous ce chien. Sucre, as-tu dit qu’il s’appelait ?
– Oui, c’est ça. Et il est très doux ! Comme tous les labradors du reste.
Anne s’approche de l’animal et le caresse. Il lève la tête et content que quelqu’un s’occupe de lui, le montre en remuant la queue.
– Ho, le beau toutou ! Il aime les câlins le coquin ! Dit-elle. Mais, oui, il aime se faire grattouiller, le chien ! Hein mon petit sucre, t’aime bien te faire câliner ! Et tu sens bon avec ça ! Ils t’entretiennent bien tes maîtres !
– En fait, dit Mick, il appartient à ma patronne. Elle le chouchoute énormément !
– Ça se voit et ça se sent ! Répond-elle. Il a le poil bien lustré, il sent le shampoing.
Le chien s’est mit sur le dos, dans le style grattes-moi le ventre ! Ce que fait Anne, sans se rendre compte qu’elle est agenouillée près de la tête. Sucre l’a senti et, tendant sa truffe tente de lécher l’entrecuisse de la belle. Il semble évident qu’il a déjà pratiqué le cunnilingus !
– Mais c’est qu’il est coquin ! Allons, tu n’as pas honte, ça ne se fait pas ! Dit Anne, bien qu’elle ait l’œil qui pétille, une idée lubrique derrière la tête sans aucun doute.
– Attends qu’on ait mangé, c’est prêt dans dix minutes ! Lui dit Alice qui a bien vu qu’il ne fallait pas la pousser beaucoup pour qu’elle aille plus loin !
– Tu as raison ! Ce sera le dessert !
Nous passons à table, mais il faut toute l’autorité de Mick pour que le chien reste tranquille. Nous avons rarement déjeuné aussi rapidement ! Le canard au miel et les pommes Sarladaises qui l’accompagnent sont englouties vitesse grand v ! Alice tente bien durant le repas d’expliquer comment elle compte réaliser les toges, Anne n’a d’yeux que pour sucre ! Elle participe à la conversation mais semble absente, absorbée par autre chose que nous devinons sans mal !
– Elle devrait être sacrément réussie votre soirée de nouvel an ! S’exclame Mick.
– En tout cas, c’est ce que nous escomptons ! Tiens du reste, si tu es libre, veux-tu te joindre à nous ?
– Ma foi, pourquoi pas ? Après tout c’est le meilleur moyen de faire des découvertes ! Et plus ça va et plus j’ai envie d’en savoir plus !
– Voilà une saine curiosité ! Dis-je. Avec les invités que nous avons, tu risques de ne pas être déçu !
– C’est vous qui vouliez que j’apprenne, non ? Et bien je suis volontaire ! Je veux tout savoir !
– Bravo ! Voilà une attitude positive ! Dit Alice. En attendant, on va libérer Anne qui fait une fixation sur le pauvre sucre ! Va on lève le camp, direction le salon pour le café !
– Je ne fais pas une fixation, mais il a l’air tellement malheureux ! Il a besoin de câlins ce chien !
Nous quittons la table et allons nous asseoir dans les fauteuils du salon. Sauf Anne, qui se penche caresser le gentil toutou ! Sans le vouloir, ou peut-être que si, elle s’est accroupie près de la tête de sucre pour lui caresser le ventre. Celui-ci tend la truffe et atteint d’un coup de langue la vulve d’Anne. Électrisée, elle s’approche pour lui faciliter la tâche, et se retrouve la tête entre les jambes, le chien est sur le dos. Il se met à la laper franchement. C’est sûr il a été dressé !
La main d’Anne continue de caresser le ventre de l’animal, descendant de plus en plus vers le sexe. Elle fini par le toucher et tout en se faisant lécher la chatte, tire sur l’enveloppe et fait sortir la verge de sa gangue, rouge et pointue. Elle la redresse, se penche en avant et, hésitante, donne un coup de langue.
– Ça a quel goût ? Lance Alice.
– Bof, bizarre, un peu fort, mais rien de désagréablement marqué !
Elle redonne un coup de langue, plus appuyé et finit par le sucer du bout des lèvres ! Sucre, pendant ce temps, accélère ses coups de langue, comme s’il lapait de l’eau dans une gamelle.
C’est une scène surréaliste que nous vivons, un soixante neuf entre un animal et un être humain ! Car Anne suce maintenant carrément le sexe du chien. Et ça doit lui plaire, en tout cas c’est ainsi que nous traduisons le fait qu’une de ses pattes arrière se met à se secouer, rapidement, comme quand un chien se gratte le flanc !
– Fais gaffe quand même de ne pas le faire jouir ! Dis-je en riant.
– C’est sa langue qui va me faire jouir, dit Anne. Les mecs vous avez des leçons à prendre dans le domaine de la lèche ! Qu’est-ce qu’il est bon, putain !
Et effectivement, plus elle mouille, plus l’animal accentue ses coups de langue, qui partent de l’anus et vont jusqu’au clitoris !
Anne essaye de mieux se placer et, dans le mouvement, le chien d’un coup de museau involontaire lui fait perdre l’équilibre et elle se retrouve sur les fesses. Rapide comme l’éclair, il se retourne et s’engouffre entre ses jambes relevées et la lèche encore plus goulûment. Anne est aux anges ! Elle gémit, prête à jouir. Sucre, lui, semble devenir fou, se délectant du nectar produit par sa maîtresse improvisée. Il a le vît à l’air et cherche à se satisfaire. Il bouscule Anne qui n’a d’autre recours que de se retourner et se mettre à quatre pattes ! Le chien la domine totalement maintenant. Sitôt qu’elle est en position favorable pour lui, il lui saute sur le dos et cherche à la pénétrer.
Nous assistons à la scène éberlués, incapables d’esquisser un geste, attendant de voir ce qui va se produire. La scène devient dantesque ! Le chien, les yeux brillants, excité, réussit à s’introduire et immédiatement remue son bassin à un rythme effréné. Son affaire est faite en trente secondes à la grande déception d’Anne.
– Ho, le con ! Il a jouit ! Et il me laisse en rade !
– Tu ne t’attendais quand même pas à ce qu’il s’intéresse à toi ? Regarde-le !
Sucre, s’est bien sûr retiré et, assis, fait sa toilette intime à grand coups de langue et se couche !
– Quel salaud ! Pire qu’un mec !
– Il faut que tu apprennes à jouir plus vite ! Lui dit Alice en riant. Alors, c’était comment, globalement ?
– En fait, il lèche superbement. Pour le reste, ça ne vaut pas un homme ! C’était une drôle de sensation que de se faire prendre par un animal. C’est tellement contre nature !
– En fait, on regardait une scène digne d’une peinture de Max Ernst ! L’osmose entre l’homme et la bête.
– Oui, et contre toute réalité, l’animal dominait l’homme. C’était assez excitant, finalement. C’est dommage que ce soit si bref !
– Finalement, j’essayerai bien, moi aussi. Dit Alice. Je suis curieuse de savoir ce que ça fait de se faire lécher aussi fortement et goulûment que je viens de le voir !
– Vas-y ma chérie, ne te prives pas, c’est l’occasion rêvée !
– On va d’abord finir de tout préparer avant de s’amuser.
Anne, quant à elle est allée au salon de toilette. Quand elle revient, Alice propose de confectionner les toges et les bougies.
– Je vais aller chercher les moules et préparer la cire. Bernard et Mick, vous coulerez les cierges pendant qu’Anne et moi confectionneront les toges.
Nous nous mettons au travail. En une heure, nous avons réalisé une dizaine de cierges en forme de verges plus vraies que nature !
J’en ramène un au salon pour leur montrer ce que ça donne. Alice finit un essayage sur Anne. Le tissu est transparent, elle est totalement nue en dessous. Elle est en contre-jour, c’est ravissant et très sexy.
– Hé, bé ! Ça du sexe ! S’exclame Anne. Dommage qu’ils doivent se consumer !
– Je suis contente, ils sont bien réussis. Constate Alice. Tiens, puisque vous êtes là, vous allez essayer la toge pour homme. Tiens, Mick, déshabilles-toi, tu vas faire le mannequin.
– C’est que…, je ne suis pas sûr de pouvoir !
D’avoir vu Anne en contre-jour si peu vêtue, lui a mis la trique, le pauvre !
– Écoutes, il va bien falloir que tu t’habitues. Tu ne vas quand même pas passer ta soirée de réveillon la bite en l’air, non ?
– Moi je trouve ça plutôt cool ! Dit Anne. C’est flatteur pour moi !
Mick se déshabille, mais garde son caleçon qui, du reste, ne cache rien de sa bonne forme !
– Enlèves tout, ordonne Alice; je veux voir ce que ça donnera en vrai, le soir du réveillon.
Mick s’exécute et exhibe son membre fièrement dressé.
– Veux-tu que je le calme ? demande Anne.
– Non ! On ne va pas s’arrêter tous les cinq minutes, sinon on n’y arrivera jamais !
– Oui, mais là, ça va faire des faux plis !
– C’est cela ! Tu m’as l’air d’un faux pli, toi ! La toge est froncée, alors les faux plis, hein !
L’essayage se poursuit, Alice prend des marques, largeur, hauteur, etc. finalement, les gabarits sont prêts, il n’y aura plus qu’à coudre.
Alice et moi nous regardons et éclatons de rire. La situation nous fait marrer. Nous sommes face à face, habillés et face à face, en carré, Anne et Mick à poil !
– Que se passe-t-il ?
– L’incongruité de la situation, vous à poil, nous vêtus, on trouve ça drôle !
– Oui et en parlant de poils, Mick est gâté ! Il faudrait y remédier !
– Comment ça ? Demande-t-il, vous n’allez quand même pas vouloir m’épiler ?
– Bien sûr que si, pourquoi ? Tu en as besoin ?
– Heu, non, enfin, je ne sais pas !
– À part déranger à quoi te servent-ils ? Tu trouves ça esthétique ?
– Pas plus que ça, mais, bon, un homme c’est poilu !
– Hé, oui ! Un homme sans poils, ce n’est pas viril ! Nous, on a tendance à situer la virilité ailleurs que dans la pilosité !
– Vous voulez quoi ? Que je les enlève ?
– Alice va s’en occuper, dis-je. Tu verras, tu te sentiras beaucoup mieux. Et au niveau des caresses, les sensations sont bien meilleures et c’est plus agréable pour ceux qui te les prodiguent !
– Allez, viens, suis moi, je vais m’occuper de toi. Lui enjoint Alice.
Anne et moi restons dans le salon. Nous nous installons dans les fauteuils en attendant leur retour. Anne, qui est proche de sucre lui caresse la tête machinalement.
– Bon, maintenant que tout est prêt, dit-elle, on fait quoi ?
– Tout, non ! Il reste les tentures à installer pour décorer les murs de la salle de sport.
– On n’en aura pas pour des heures !
– Veux-tu un café ? Tu n’as pas pris le temps de le boire tout à l’heure.
– Oui, tiens c’est une bonne idée.
Le temps de siroter notre café, Alice et Mick reviennent. Il est transformé !
– Houaa ! Que tu es beau comme ça ! S’exclame Anne. On voit tellement mieux ta musculature !
– Ça te plait ? Tant mieux ! Je me sens un peu nu, mais j’admets que c’est plus esthétique.
– Et beaucoup plus sexy ! Dit Alice. Et c’est tellement plus agréable de passer ses doigts sur une peau douce.
– Ha ! Parce que tu as testé ? Demande Anne un certain agacement dans la voix.
– Évidemment ! Difficile de pratiquer une épilation sans y mettre la main !
– Approches-toi demande Anne à Mick, je veux savoir comment ça fait, maintenant.
Mick se place fièrement devant Anne. Elle passe ses mains sur son torse, son ventre, descend sur ses cuisses, remonte sur ses couilles, bref, les promène un peu partout là où il y avait des poils, avant l’épilation.
– Humm ! Qu’est-ce que c’est doux ! Dit-elle. C’est vraiment agréable de te caresser, maintenant.
– Ha, oui ! J’admets que je sens, moi aussi, la différence !
Effectivement, la différence se voit ! Son sexe s’allonge immédiatement en réaction aux caresses…
– Bon ! On finit la mise en place ? Demande Alice, quelque peu irritée.
– Oui, tu as raison, finissons le travail, après on verra. Dis-je.
Nous nous occupons donc de finir de préparer la salle qui sera le lieu de la fête. Je ne peux m’empêcher de sourire intérieurement en voyant Anne et Mick, nus, nous aider. Alice réagit, pour les mêmes raisons, mais parce qu’elle est quelque part troublée.
– Stop ! Où nous sommes tous à poil, où nous sommes tous habillés, mais là ça le fait pas !
– Qu’est-ce qui te gêne ? Demandé-je.
– Voir Mick et son service trois pièces se promener devant mes yeux, ou Anne la chatte à l’air me dérange alors que nous sommes habillés ! Soit nous sommes tous vêtus, soit nous sommes tous à poil.
– Que proposes-tu ?
– Que nous soyons dans le même état ! Il est plus facile de se dévêtir que l’inverse, donc, à poil !
Alice et moi retirons donc les quelques bouts de tissus qui nous différencient.
– Tu te sens mieux ? Demande Anne, une fois que nous nous retrouvons tous dans la tenue d’Adam et Ève.
– Comme ça, oui ! Je n’ai pas l’impression d’être différente !
Nous continuons donc de placer les tentures sur les murs, à poil ! Si quelqu’un nous voyait, il se demanderait qui sont ces hurluberlus qui font de la décoration, nus comme des vers !
À seize heures, nous avons fini l’ensemble de la décoration de la salle, il ne reste plus qu’à coudre les toges, et tout sera prêt.
Nous retournons dans le salon et tombons dans les sofas et fauteuils, faussement épuisés !
– Ouf ! Voilà une bonne chose de faite !
– Oui, il n’y a plus qu’à décider du menu ! Dis-je.
– Exact ! Il serait temps de s’en occuper ! Si nous respectons l’esprit de l’orgie romaine, il nous faut proposer des choses qui se mangent en dehors de la table, façon pique-nique, non ?
– Je suis assez d’accord. Pour les desserts c’est facile : fruits frais ou secs, tartes, pas de problème !
– Ok, plateau de fromage en amont c’est facile aussi ! Et pour l’apéro, des canapés, facile ! Qu’est-ce qu’il reste ?
– Le repas ! Alors moi, je suggère de ne pas s’emmerder et de demander à un traiteur de nous faire des suggestions en fonction de notre cahier des charges !
– C’est vrai, ça, après tout pourquoi s’emmerder alors que des pros peuvent se charger de faire bien ce que nous ne ferons que très moyennement ?
– Bonne idée, dit Alice, j’appelle dès lundi et ferai établir des devis. Dans ce cas, on peut considérer que tout est prêt. Je finirai la couture dans la semaine et tout sera bouclé !
Elle en saute de joie et je la sens libérée d’arriver au bout de la préparation. Du coup, elle se lâche :
– Ça mérite qu’on s’éclate un peu, non ?
– Bien d’accord ! Reprend Anne qui n’attend que ça depuis que Mick s’est fait épiler !
Elle se jette sur lui, et commence à l’entreprendre, l’embrasser, le caresser, comme si elle retrouvait un amoureux après des semaines d’absence !
– On dirait que vous vous êtes bien trouvés tous les deux ? Commente Alice.
– Ça ne se commande pas, dit Anne. Il me plait, je lui plais, je ne vais pas me faire prier ! Le temps où c’était le mec qui devait absolument draguer la fille qui se faisait désirer est révolu !
On se regarde, avec Alice, sans rien dire. Mais on se souvient qu’elle nous disait le contraire, il y a à peine 15 jours, concernant Julien ! Mick, quant à lui est aux anges ! Une jeune femme aussi expérimentée et qui de surcroît lui plait, c’était inespéré !
Sucre, réveillé par le remue ménage de cette excitation soudaine, se réveille et s’assoit, regardant autour de lui ce qui se passe ! Alice l’appelle tout en tapant sur sa cuisse :
– Viens, sucre, viens mon chien !
Tout en l’appelant, elle avance ses fesses au bord du fauteuil et écarte les jambes. Il n’en faut pas plus à sucre pour se mettre en train. Immédiatement, il se met à fouiller de la truffe l’entrejambe d’Alice et lèche à grand coups de langue la chatte humide. On ne peut pas dire qu’il y mette les formes ! Pas de subtilités, directement dans le vif du sujet.
Alice à l’air d’apprécier cette méthode à la hussarde ! Elle s’abandonne à la langue gourmande. En quelques minutes, elle est en transe et se laisse envahir par le plaisir. Sucre, devant cet apport de liqueur, en devient presque fou et tente de la prendre. La position ne lui est pas favorable et il n’arrive pas jusqu’à la chatte avide.
Alice se dégage et se retourne. Le chien, excité lui grimpe sur le dos, cherche l’entrée pour se satisfaire. Alice le guide et, dès qu’il se trouve dans l’étui gourmand, s’agite rapidement et, comme pour Anne, jouit en trente secondes six dixièmes ! Frustrant ! Mais, cependant, Alice semble satisfaite de l’expérience !
– Houaaa ! Quelle lèche ! Pour le reste c’est un peu trop bref, mais la situation, la relation humains/animal est excitante !
– Je vais te compenser ça ! Lui dis-je.
Elle me saisit la queue à pleine main et l’enfourne dans sa bouche.
– Ça c’est de la bite ! Humm, c’est bon. Viens me la mettre, me demande-t-elle, dès qu’elle la sent suffisamment dure.
Je me mets à la place qu’occupait sucre quelques instants auparavant et m’apprête à la prendre. Mais rechignant à me mélanger aux sécrétions de l’animal, je change d’accès et pointe le bout de mon gland devant le petit trou plissé de son anus. J’entre, sans effort et en douceur et, accentuant ma poussée, m’enfonce à fond. Elle rejette la tête en arrière et m’encourage de la voix à aller et venir, fortement ! Un deuxième orgasme vient conclure cette pénétration assez rude, mais qui nous laisse satisfaits et provisoirement repus.
Anne, qui a joué les amazones sur le vît de Mick est déjà à ses côtés, le visage épanoui par la jouissance. Quant à Mick, la question de l’éjaculation ne se pose pas, sa queue ramollit à vitesse grand V !
Anne et Alice, comparent leur expérience respective de l’animal.
– Alors, t’as trouvé ça comment ?
– Pas terrible, l’animal. Ce n’est pas une bête de sexe. Par contre la sensation est assez enivrante. Le fait certainement d’avoir une relation contre nature !
– Tout de même, sa langue est assez extraordinaire, non ?
– Là, il faut admettre que le bestiau a un sacré coup de langue ! C’est surprenant.
– Je te rejoins, le coït est un peu bref, mais très…. animal ! Brutal, même. C’est ce qui m’a plu !
– A moi aussi !
Alice s’éclipse, je suppose pour se nettoyer de l’éjaculât du chien. Anne se lève et nous demande de nous mettre côte à côte dans le canapé.
– Je vais comparer vos épilations, dit-elle. Qui de vous deux est le plus doux ?
Elle se place entre nous, à nos pieds et commence par caresser nos jambes. Puis, remonte jusqu’aux testicules qu’elle soupèse et caresse avec insistance, remonte sur le pubis, le ventre et jusqu’au torse.
– Difficile de dire lequel à la peau la plus tendre !
– Il me semble évident que ce doit être Mick, il est plus jeune !
– Au niveau des roustons, oui ! Le grain de peau est plus fin, mais les tiens sont plus souples ! Pour le reste, ça se vaut !
Sur ce, Alice reparaît, juchée sur de hauts talons, mi-femme, mi-homme ! Ses magnifiques seins aux pointes dressées, le ventre plat aux abdos bien marqués et, sur son bas ventre, un beau sexe en érection ! Elle est d’une obscénité absolue, excitante au possible ! Elle se dirige vers nous d’un pas langoureux.
– Alors, mes chéris, je vous plais ?
– Houaa ! Quel bel homme cette femme ! M’exclamé-je. Mick, je sens que tu vas goûter à un plaisir inédit !
– Ha ! Parce que c’est pour moi ?
– Il y a des chances, oui ! Répond Anne.
Effectivement, Alice se place devant lui, bien droite, les mains sur les hanches, jambes écartées.
– Hé, bien, mon mignon, veux-tu tester ma belle verge ?
– Au point où j’en suis, pourquoi refuserai-je ? J’ai annoncé ce midi, que je voulais tout découvrir. J’ai déjà eu une expérience avec Bernard, alors pourquoi pas avec vous !
Alice s’accroupit entre ses jambes et commence à le caresser, de la poitrine jusqu’au ventre, descend un peu plus bas, lui saisit la verge, la met en bouche et malaxe ses testicules en même temps. Le garçon, soumis à cette leçon de massage, réagit en présentant une magnifique érection. Alice lui fait lever les jambes et lui fait une feuille de rose. Puis, une fois qu’il est bien excité, l’enduit de gel et présente son sexe de latex devant l’entrée étroite.
– Respires, mon garçon, détends-toi. Lui enjoint-elle. Une légère poussée des reins, le gland est absorbé. Une poussée plus soutenue et c’est la verge en entier qui entre dans l’étroit conduit.
– Hummff ! Aïe ! C’est gros !
– Je te fais mal ?
– Non, c’est bon, allez-y. J’ai été surpris !
Alice commence à s’activer, lentement. Le sexe artificiel entre et sort voluptueusement dans l’anus. Mick respire fort, mais petit à petit se détend et se laisse aller.
– Pose tes pieds sur mes épaules, voilà c’est ça !
Elle s’enfonce jusqu’au bout et remue à petits coups rapides, maintenant. Le garçon se laisse submerger par le plaisir du frottement anal. Sa verge est tendue. Contrairement à moi, ça le fait bander de se faire mettre.
Pour ma part, la scène m’émeut et je sens ma queue se tendre. Je me mets au bord du canapé, jambes ouvertes, la bite raide tendue devant moi. Anne se retourne et me présente ses fesses. Elle est à genoux et j’ai la vision de ses deux globes cambrés, tendus vers mon entre-jambe. Je pose mes mains sur ses hanches et l’attire à moi. Mon gland écarte la rondelle et pénètre l’œil brun qui s’ouvre aisément. J’imprime de mes mains le rythme et m’enfonce en elle. Mes couilles lui battent la vulve. Elle gémit, en redemande et accélère d’elle-même le mouvement que j’ai lancé.
Elle tourne la tête et lance à l’adresse de Mick :
– Ça te plait ? Tu aimes te faire mettre ?
– Oui, c’est bon, j’aime ce frottement !
– Tant mieux ! Moi aussi, regarde, je me fais enculer. J’adore ça ! Qu’est-ce c’est bon ! Vas-y bourres-moi bien, éclates-moi la rondelle ! Mick, concentres-toi sur la sensation, tu vas prendre ton pied, on va le prendre ensemble ! Haaaa ! Ouii ! Défonces-moi, Bernard, elle est bonne ta queue !
Je regarde Alice; d’une main je caresse une fesse d’Anne de l’autre un sein de ma femme ! C’est divin !
Alice, a posé ses deux mains à plat de chaque côté du sexe de Mick. Elle les resserre autour du service trois pièces et le comprime, tout en accélérant ses mouvements de reins. Le garçon se pâme.
– Hooo ! Ouiiiiii C’est bon, n’arrêtes-pas, c’est bon !
– Nom de Dieu ! Moi aussi je vais jouir ! Dit Anne en accélérant ses mouvements. Ses fesses tapent de plus en plus fort mon pubis. Hoooo ! Je sens que ça vient, je m’éclate ! Haaaa ! Je jouiiiiis !
Elle s’arrache à moi et s’étale à plat ventre sur le sol, secouée de spasmes.
– Houaaa ! Qu’est-ce-que c’était bon ! Dit-elle quelques instants après, ses esprits retrouvés.
– Ha, ça oui ! Lui répond Mick. Quelle éclate !
– Tu aimes bien le cul hein ? Lui fait remarquer Alice.
– Pour sûr ! Je ne l’aurai pas cru !
– Et bien, tu vas t’occuper du mien ?
La question est quasiment un ordre ! Alice s’installe sur Mick et s’insère la bite tendue dans l’oignon.
– Hummm ! Elle est bien raide ! Que c’est bon !
Je regarde la scène, Alice plantée sur le vît de Mick, la bite de latex tendue devant elle et décide d’y participer. Des sandwiches on en a déjà fait, mais là j’ai envie de lui éclater le cul. Je me badigeonne de gel et présente ma queue en appuyant sur celle de Mick pour dégager un espace. J’y insère mon gland gros et dur de la sodo avec Anne. Elle pousse un cri devant cette intrusion nouvelle, mais elle est souple et ma queue entre sans trop de difficultés. Alice se trouve embrochée par devant avec le gode intérieur de la ceinture, et nos deux morceaux de chair qui remuent dans son cul !
– Houaouu ! C’est énorme ! Ho, deux bites dans le cul, Anne ! J’ai deux bites dans le cul ! Allez-y les gars défoncez-moi ! Cassez-moi le cul ! J’adore ça !
Alice se déchaîne, tant dans l’action que dans le verbe. Ses propos vulgaires nous excitent autant que la sensation physique. Elle explose en peu de temps, accompagnée par nos éjaculations. On se dégage et j’admire le travail ! Son cul est béant et dégouline de sperme. Anne s’approche et lèche le nectar qui se répand comme la lave coule le long des flancs d’un volcan.
– J’aurai bien aimé, moi aussi, me faire péter la rondelle ! Je vous laisse un quart d’heure pour récupérer les gars !
– Je ne te garanti rien, mais on peut essayer. Dis-je.
– Au pire, j’ai ce qu’il faut dans la malle à jouets ! Reprend Alice.
– Non ! Ce n’est pas pareil ! Je veux des vraies bites !
J’aurai baisé plus aujourd’hui que toute ma vie depuis ma puberté ! Lance Mick.
– Plus on le fait, plus on en a envie. Dit Alice.
– Oui, mais ça commence à chauffer ! J’ai le gland irrité, moi.
– Ça, ce n’est pas un problème, j’ai ce qu’il faut. Viviane nous avait fourni une crème miracle pour ces petits problèmes. Je vais la chercher.
Elle revient quelques instants plus tard avec le fameux tube de crème et jouant les infirmières, applique le gel apaisant sur le gland du jeune homme et le recalotte.
– Voilà, dans quelques minutes, tu ne sentiras plus rien.
Nous décidons de nous faire une petite séance de sauna, histoire de se remettre en forme. Une demi-heure après, Mick et moi sommes à nouveau d’attaque. Alice et Anne s’occupent de remettre nos sexes en activité comme elles savent si bien le faire !
Mick s’allonge sur un matelas, au bord du jacuzzi, Anne l’enjambe et Alice prépare le cul tendu. Elle prend ensuite la queue bien rigide de Mick et la guide dans l’anus entre ouvert. Je présente à mon tour et Alice en bonne assistante, fait de la place pour y glisser mon champignon lubrifié. Anne n’en peux plus de joie de cette intrusion, elle râle, gémit, crie son plaisir. Sa jouissance n’en finit pas, mais nous tenons le coup sans problèmes vu que nous avons éjaculé il y a à peine plus d’une demi-heure ! Finalement, c’est elle qui rend les armes et nous demande d’arrêter.
– Tu es une vraie garce, toi ! Maintenant qu’on est bien chauds, tu nous laisse en plan !
– Hé, ho ! Ça fait dix minutes que vous me ramonez le fion, bande de peine à jouir !
– Vous énervez pas ! Je prends le relais, annonce Alice. Allongez-vous bite contre bite, je vais me faire ma double préférée !
Alice s’assoit sur nos deux bites réunies. Sa chatte, trempée nous accueille avec volupté, c’est génial. Nous prenons tous un super pied, nous à glisser dans cet étui si doux, elle à chevaucher nos queues rigides.
Elle finit par se relever et saisissant nos verges à deux mains, les branle ensemble. Mick est le premier à lâcher sa semence, je le suis peu après. Alice et Anne lèchent nos queues poisseuses jusqu’à ce qu’elles soient complètement nettoyées et nous basculons tous dans le jacuzzi qui nous tend les bras.
Divin après-midi !
En début de soirée, Mick ramène sucre chez ses maîtres. L’expérience zoophile a été tentée, les filles n’en sont pas plus excitées que ça. A vrai dire, c’était amusant, sans plus !
J’ai servi l’apéro dans le salon et, lascivement installés dans fauteuils et canapé, nous discutons accompagnés par la douce musique du feu de cheminée.
Anne est sous le charme de l’absent du moment. Alice le lui fait remarquer.
– Ma foi, j’admets. Il faut dire qu’il est beau, intelligent, bien monté, curieux et en plus il apprend vite !
– Que de qualités ! Cela dit, je suis d’accord avec toi. Il gagne à être connu ! Dis-je.
– Oui, j’espère que ça collera avec mes goûts et mes aspirations.
– Il n’y a pas de raisons, reprend Alice. À moins qu’il ait feint toute la journée, il semble avoir apprécié tout ce que tu lui as proposé. En matière de sexe tout du moins.
– Crois-tu qu’il puisse aller plus loin ? Je veux dire quelque chose de plus extrême ?
– Comme quoi ? SM ?
– Peut-être pas jusque là, surtout que nous n’en sommes pas adeptes.
– Tu penses plutôt des trucs comme fisting, pisse ou soumission soft ?
– Oui, voilà !
– Écoutes, il est entré dans le jeu avec une expérience plutôt hard, non ? La zoophilie ce n’est pas vraiment fleur bleue !
– Certes ! En plus c’est lui qui l’a proposé !
– Ha ! Tu vois. On pourrait lui présenter notre jeu de la soumission ? Suggère Anne.
– Normalement, non ! Je n’ai mis qu’une poupée russe sur mon bureau vendredi.
– On peut faire une exception.
– Et si c’était toi qui faisais le soumis ? Me demande Alice. Tu jouerais le bon toutou à sa mémère !
– J’ai jamais fait ça, mais après tout, pourquoi pas ?
– Bon, on commencera quand il arrivera.
Nous cessons de parler de lui, car le carillon vient de retentir, c’est lui qui vient nous rejoindre.
– Ça y est ? Le chienchien est dans son panier ? Demande Anne quand Mick entre dans la pièce.
– Oui, il s’est couché et n’a pas demandé son reste ! Il a eu sa dose pour aujourd’hui !
– Tu veux boire un verre ? Lui demande Alice.
– Avec plaisir. Je prendrai bien un Mazout !
– Bernard, servez donc notre invité ! Ordonne-t-elle.
– Bien madame, tout de suite. Réponds-je, entrant immédiatement dans le jeu.
Mick est surpris et nous regarde interrogatif.
– C’est une autre facette de nos jeux. Lui explique Alice. Pendant l’apéro, nous allons soumettre Bernard à nos caprices. Bien sûr, tu fais partie du jeu.
– Et je dois faire quoi ?
– Lui demander des trucs les plus farfelus qui te passent par la tête, il devra s’exécuter.
– Bernard, demande Anne, veuillez déshabiller Mick. Il n’est pas raccord avec nous !
Je m’approche de Mick et lui retire son pull-over.
– À genoux ! Non de non ! Exige Anne.
Je me plie aux exigences et, à genoux, m’applique à lui retirer ses chaussures, chaussettes, je dégrafe son pantalon, le retire et pour finir, son caleçon en prenant soin de bien frôler son sexe et caresser ses fesses. Il n’y est visiblement pas indifférent !
– Venez ici ! M’ordonne Alice en pointant du doigt l’espace entre deux fauteuils.
Je m’installe, assis sur mes talons, assistant, sans y participer, à la conversation de mes trois partenaires. À un moment, Mick fait mine de se lever.
– Où vas-tu ? Demande Alice.
– J’ai une petite envie, répond-il.
– Ne bouge pas. Bernard, apportez ce qu’il faut et aidez à soulager notre ami !
Je marche à quatre pattes jusqu’à la cheminée à côté de laquelle il y a un chaudron et le ramène, entre mes dents, aux pieds de Mick. Je le fais s’asseoir au bord du fauteuil, lui prend la queue, le décalotte. Il se vidange la vessie et je secoue les dernières gouttes, avant de le recalotter.
– Veux-tu bien le laver ! M’ordonne Alice.
– Bien Madame. Réponds-je. Je reprends la bite de Mick, le décalotte à nouveau et le prend en bouche, m’appliquant à passer ma langue dans tous les recoins ! – voilà, madame, c’est fait !
– Mick, es-tu satisfait de la prestation ? Demande-elle.
– Ho, oui ! C’est parfait !
– Et moi, ça m’a donné envie aussi ce bruit de cascade ! S’exclame Anne.
Je me tourne vers elle, approche le chaudron. Elle s’accroupit dessus et urine. Vicieuse, elle termine sans chercher à s’égoutter. Je suis donc, encore une fois, de corvée de toilette intime. Il y en a un peu plus à récolter que tout à l’heure.
– Hep, là ! T’en vas pas comme ça ! Tu n’as pas nettoyé tous les plis !
– Comment ? Tu brades ton service ? Attends un peu, mon gaillard, tu vas douiller !
Elle se lève, s’approche de moi et me met une fessée bien appuyée. Mes fesses étant bien rougies, elle me fait approcher de Mick.
– Suce-le ! Et fais-le bander, espèce de salopard !
Je m’exécute et prend en bouche le sexe de Mick qui, très rapidement, durcit.
– Viens, Mick, encules-le ce chien !
– C’est que…..
– Quoi ? Tu t’es fait mettre par lui et moi ce matin. L’interrompt Alice. C’est la même chose que de sodomiser Anne ou moi, non ? Un cul est un cul ! Ce disant, elle l’enduit de gel. Allez, vas-y !
Mick approche son gland de ma rondelle et, d’une poussée s’introduit entièrement.
Pendant que je me fais ramoner, Alice revient devant moi et, écartant ses jambes, me tend sa chatte.
– Allez, broutes-moi le minou ! Astique mon bouton. Et tu as intérêt à t’appliquer, sinon, gare à toi !
Je fais du mieux que je peux, mais les coups de boutoir que me met Mick, le salaud ne fait pas dans la douceur, m’envoient taper le bas ventre d’Alice.
– Aïe, connard ! Tu me fais mal, t’es un bon à rien ! Retires-toi, Mick, il doit payer pour ça. Quant à toi, tu te retourne et tu nettoies la queue de mon invité et plus vite que ça !
– Tu veux que je remplace ce bon à rien ? Demande Anne à Alice.
– Ho, oui ! Ce sera bien fait au moins.
Alice s’installe dans son fauteuil, jambes bien écartées et Anne lui fait un cunnilingus qui la transporte en quelques minutes. Pour ma part, puisque personne ne me demande de m’arrêter, je continue de sucer la queue de Mick. Il a l’air de bien aimer ça vu qu’il ne dit rien, lui non plus !
– Arrêtes, enlève-toi de là ! M’ordonne Anne. Tu ne comptes quand même pas le faire jouir ?
– Pardonnez-moi ! Je vous le laisse. Réponds-je.
Je me retire et reste assis entre deux fauteuils. Alice, qui est chaude comme la braise, voyant que Mick a une trique d’enfer, l’appelle.
– Mick, viens donc me faire du bien ! Allez, encules-moi ! Après tout tu es le seul mâle, ici !
Merci, pour moi ! La vexation fait partie de la soumission.
Mick s’exécute et prend Alice par derrière, et ramone l’anus de ma femme. Il remue beaucoup trop vite à mon goût. Connaissant Alice, elle va apprécier, mais ne prendra pas son pied et le jeune homme va jouir avant elle.
Je ne me trompe pas ! Mick éjacule en deux minutes trente, bien trop vite pour qu’Alice puisse frôler la jouissance. Il se retire, satisfait et s’affale dans le canapé. Alice reste accoudée au fauteuil, le cul béant, un filet de sperme s’écoule lentement jusqu’à sa chatte.
– Bernard, viens me nettoyer !
– Tout de suite madame !
Je m’approche et lèche l’entrejambe, partant du clitoris en remontant jusqu’à l’œillet. Le goût âcre du sperme, mélangé au foutre, reste accroché au fond de ma gorge !
La séance continue ainsi quelques moments encore, je passe d’un cul aux couilles puis à une chatte, en fonction des demandes. Tout le monde étant rassasié, je suis libéré de ma fonction.
– Comme tu as été bien sage et que tu t’es bien comporté, tu auras droit à une petite gâterie ! M’annonce Alice.
– Mick, tailles donc une pipe à Bernard ! Reprend-elle.
– C’est que je n’ai jamais fait ça, moi.
– Pas encore, veux-tu dire. C’est le moment où jamais ! Ce qui compte, c’est de ne pas y mettre les dents ! Pour le reste, tu fais ce que tu aimerais qu’on te fasse, tout simplement !
Mick s’approche et commence par me masturber. Puis il y met les lèvres et, enfin, finit par engloutir ma verge qui se tend et durcit de plus en plus.
– Lèches-lui les couilles, il adore ça, lui lance Alice. Gobes-les mon coco, tu verras comme c’est doux !
– Tu as raison, on croirait déguster des lychees ! Dit Mick après avoir mis en bouche une de mes couilles.
– Tu peux aussi passer ta langue sur son trou du cul et même le pénétrer avec, ça aussi il adore ! Dit Anne.
Tout ça, les injonctions des filles en plus, m’excitent au plus haut point.
– C’est bon, ça, continues, bouffes-moi les couilles et serres bien ta main, j’adore ! Lui dis-je.
Il s’est pris au jeu et prend maintenant plaisir à s’occuper de ma queue. Le fait de bien me serrer entre ses doigts, fait gonfler mon gland qui vire du rose au rouge sombre. Il accélère le mouvement, comme il le ferait pour lui et m’amène au plaisir. Je jouis d’un premier jet puissant qui atterrit sur mon torse, suivi de deux autres qui viennent mourir sur mon ventre. Les filles s’approchent et me lèchent. Mick tente aussi et lèche le sperme qui continue de s’écouler de mon vît, et ne trouve à priori pas le goût désagréable, puisqu’il y va franchement, me nettoyant tout en pressant jusqu’à la dernière goutte.
– Et voilà une expérience de plus ! Lance Anne. Tu as aimé ?
– Ma foi, oui ! Finalement, c’est assez excitant de faire éjaculer un mec. En fait, on se met des barrières sur les relations humaines sur des à priori issus d’on ne sait où. Je suis content de bousculer, grâce à vous cette éducation étriquée ! Même le coup du chien, avec le recul m’a plu. Au départ j’étais choqué par ces goûts bizarres que vous développiez devant moi, maintenant je conçois que vous avec raison de tout essayer si ça peut apporter du plaisir.
– Content de ta réaction ! Et tu verras, que bientôt, c’est toi qui oseras faire des propositions en rapport avec tes fantasmes. Lui répond Anne. Je te le redis, j’étais comme toi il y a trois mois.
– En tout cas, si je peux dire un mot, Mick branle très bien ! Dis-je en rigolant. Ça s’arrose !
– Champagne ! Annonce Alice.
Nous terminons cette soirée autour d’un bon repas bien arrosé et nous séparons pour la nuit, Anne décidant d’accompagner Mick et de passer la nuit dans ses bras. Alice et moi n’en sommes pas mécontents, et nous passons une nuit tranquille enlacés, repus de la journée que nous avons passée.
Le dimanche, jusqu’en milieu d’après-midi, se passe dans le calme. Nous déménageons une partie du séjour et du salon d’été dans la salle de gym, afin qu’il y ait suffisamment de coussins, matelas et autres moyens de s’avachir le soir du réveillon. On ne peut s’empêcher bien sûr de se tripoter de temps en temps, d’autant que nous sommes tous plus ou moins à poil.
– Pour terminer ce sage après-midi, je vais vous offrir une petite collation, dit Alice. Elle se lève et s’absente une quinzaine de minutes.
Quand elle reparaît, nous cessons toute conversation, restons sans voix devant une telle apparition. Parfaitement maquillée, les cheveux tombant gracieusement sur ses épaules nues. Elle est vêtue de son bustier noir, mettant en valeur les seins dénudés, affinant sa taille ce qui fait ressortir ses fesses rondes et accentue sa cambrure. Les jambes fines sont gainées de bas noirs et terminées par des escarpins rouges. Lascive, elle s’approche de nous au rythme de la musique émanant de la chaîne. Elle se met au centre du séjour et dans langoureusement, son bassin ondulant gracieusement pour le plus grand plaisir de nos yeux ébahis. Mains ouvertes, doigts écartés, elle caresse ses fesses, remonte sur ses hanches et jusqu’à ses seins qu’elle enveloppe et malaxe. Elle saisit les tétons entre le pouce et l’index, les fait tourner, tire dessus jusqu’à en obtenir l’érection. Puis, s’approchant d’un fauteuil libre, elle s’assoit sur le bord de l’assise, soulève et ouvre ses jambes tendues, passe lentement une main sur son sexe. Elle se retourne, s’agenouille sur le siège et tend ses fesses à hauteur de nos yeux émerveillés et caresse une fesse, glisse un doigt dans la raie, remonte jusqu’à la base des reins. Enfin, face à nous, elle se place en grand écart sur les accoudoirs, se caresse les jambes partant des chevilles et remontant jusqu’à l’intérieur de ses cuisses et les ramène vers sa vulve qu’elle encadre de ses doigts tendus. Elle tire vers le haut pour mettre en valeur son beau clitoris saillant. Notre excitation est à son comble lorsque, pour conclure cette exhibition provocante, elle porte un majeur à sa bouche, le lèche et le ramène à sa chatte et se caresse le clitoris tendu.
Cette scène à l’érotisme torride, nous émeut au plus haut point. Anne qui se caressait doucement se masturbe maintenant franchement. Mick et moi avons la verge tendue à l’extrême.
– Ça vous plait, mes chéris, dirait-on ? Tant mieux !
– Tu voulais nous faire plaisir, c’est gagné ! Tu nous as fait un numéro génial !
– C’est clair ! J’en peux plus, je lâche prise, annonce Anne dans un souffle qui se termine par un long gémissement.
Alice s’appuie au dossier et expose sa vulve luisante. Elle continue de jouer avec sa chatte, caressant le bouton, tirant sur les lèvres, les ouvre en grand, s’insère deux ou trois doigts, se titille l’anus. Elle passe à la vitesse supérieure et pratique un auto fist. Sa main est dans sa chatte jusqu’au poignet. Totalement prise au jeu, elle se retourne, se remet à genoux et, tout en continuant son fist vaginal, y ajoute une masturbation anale, d’abord avec deux puis trois doigts.
D’un coup, elle s’arrête, se retourne vivement et s’assoit, jambes croisées, reprend son verre, boit une gorgée, détachée, comme s’il ne s’était rien passé.
– Hé, bien, messieurs ! Qu’est-ce que c’est que cette tenue devant des dames, vous n’avez pas honte d’exhiber ainsi vos sexes ? !
Elle nous fait cette remarque sur un ton amusé que reprend Anne goguenarde.
– C’est bien les mecs, ça ! Des obsédés sexuels ! Toujours la bite à la main !
Mais le jeu ne dure pas. Elles en ont trop envie, de nos queues raides !
Anne se lève et vient s’empaler sur moi. Alice se retourne et fait signe à Mick qui la prend en levrette. L’orgasme ne tarde pas à les envahir ce qui nous libère et nous permet de nous soulager aussi.
Le plaisir est très intense. J’ai l’impression que ma queue ne cesse de se vider de son jus. Elle bat spasmodiquement dans la tiédeur du fourreau qui l’enserre. Je suis parcouru de multiples décharges électriques.
Que c’est bon !
La soirée se termine, tôt, Anne et Mick rentrant chez eux sitôt le dîner terminé, non sans s’être échangés leurs numéros de portable !
La semaine qui suit, la dernière avant les vacances de noël, se passe dans le calme et la bonne humeur, tant a bureau qu’à la maison. Tout le monde est plongé dans les préparatifs des fêtes. Vendredi midi, je décide de libérer tout le monde, le réveillon étant ce soir. Anne part passer le Week-End chez ses parents. Cependant, en concertation avec Alice, j’ai exposé deux poupées russes sur mon bureau, avant son départ. Elle ne manque bien sûr pas de les remarquer.
– Quand dois-je venir ? Demande-t-elle.
– Lundi, si bien sûr vous êtes rentrée.
– C’est OK, je serai là. Répond-elle avec un large sourire.
Pour notre part, Alice et moi, passons ce réveillon en tête à tête, ce qui nous convient parfaitement. Le calme, après les dernières semaines mouvementées et, surtout, celle à venir, qui se terminera sûrement en apothéose, nous permet de nous ressourcer.
– Quand as-tu demandé à Anne de venir ?
– Lundi. Elle pourra nous aider dans les derniers préparatifs. Par contre, maintenant que j’y pense, je n’ai pas précisé le moment de la journée.
– Ho ! La connaissant, elle va débarquer de bonne heure !
À suivre
L’épisode zoophile m’a toute retournée !
Quand je pense que j’avais raté cette lecture, les passages canins sont fabuleux. Juste une petite remarque quand même :le chien n’a pas besoin de dressage pour venir lécher une chatte, il suffit de le faire venir et ça se passe tout seul !
C’est un fantasme qui tenaille ma femme, moi j’aimerais bien la regarder sucer la bite d’un chien
Fallait oser ! Bravo
Un fabuleux texte, très vassilien, le fantasme zoo est très bien traité, j’en suis toute chose !