Nouvelle année
5 – Anne débarque
par Lovelace
Neuf heures trente, lundi matin, il fait froid dehors, tout est blanc, il a dû neiger cette nuit. La sonnerie du portail retentit.
Anne débarque, comme Alice le prévoyait. Elle va lui ouvrir la porte et la fait entrer dans la salle à manger où nous nous apprêtons à prendre le petit déjeuner. Elle porte un manteau de fourrure, une toque assortie. Très drôle, face à nous qui sommes en petite tenue !
– Vous êtes en retard ! Nous allions nous servir le petit déjeuner. La tance directement Alice.
– Excusez-moi, monsieur ne m’avait pas prévenue.
– Quelle excuse ! Vous serez punie ! En attendant mettez-vous en tenue et servez-nous.
Anne retire sa toque, dégrafe son manteau et le laisse glisser sur ses épaules. Elle est entièrement nue en dessous à l’exception d’un porte-jarretelles et des bas que celui-ci retient ! Très agréable de bon matin !
– Je suis prête madame. Dit-elle.
– Je vois ça ! C’est très bien, ça rattrape un peu votre retard !
Alice et moi nous installons à table, Anne part en cuisine chercher le café et les croissants. Elle revient avec le nécessaire sur un plateau, dépose le tout sur la table. Après nous avoir servi le café, elle se place en bout de table, mains dans le dos.
– Approchez-vous, commande Alice. Ouvrez-moi ces cuisses !
Anne s’exécute, Alice passe la main dans l’entrejambe.
– Pas très humide tout ça ! Comment voulez-vous que je trempe mon croissant ?
– Désolée, madame.
– Désolée ! Vous n’avez que ce mot à la bouche ! Et d’une pichenette, elle lui claque la vulve, ce qui la fait tressaillir. En attendant, le jus d’orange n’est pas frais. Apportez-nous des glaçons ! Et gardez les mains dans le dos, n’est-ce pas ?
– Bien madame.
Anne revient, s’approche d’Alice qui tend son verre. Elle écarte les jambes et fait tomber deux glaçons contenus dans sa chatte.
– Monsieur en veut-il ? Me demande-t-elle.
– Non, merci ! La température ambiante me convient.
Anne ne peut donc pas se débarrasser de ceux qui restent !
Je la sens un peu crispée, la chair de poule marque sa peau. De l’eau commence à couler le long de ses cuisses. Bien sûr, Alice le remarque.
– Hé, bien ! Retenez-vous ! Vous allez finir par mouiller le parquet !
– Puis-je m’absenter un instant ? Demande Anne.
– Bien sûr que non ! Vous n’avez qu’à vous contrôler.
Anne a les yeux qui s’embrument, deux larmes commencent à couler sur ses joues, elle est saisie de tremblements, devient livide et ne peut plus contenir l’envie qui la presse. Elle a beau faire, l’eau des glaçons coule et, en plus elle laisse s’échapper l’urine qu’elle n’arrive pas à retenir. Une flaque se forme à ses pieds mélange, d’eau et de pisse.
– Quelle honte ! Vous allez me nettoyer cette cochonnerie et plus vite que ça !
– Bien madame. Je vais chercher de quoi essuyer.
– Sûrement pas ! Vous n’avez qu’à utiliser votre langue !
Anne s’agenouille et, toujours les mains dans le dos, s’exécute et lèche la flaque d’eau et d’urine mélangées.
– Et maintenant, puisque vous êtes en bonne position, voici votre punition !
À l’aide d’une tapette, Alice claque les fesses d’Anne qui couine sous les petits coups secs. Elle est bien cambrée du fait de sa position, épaules au sol, sa vulve et son anus bien exposés. Alice en profite et frappe, légèrement, ces deux endroits plus sensibles, ce qui fait gémir plus fort son esclave. Ça m’excite assez, je dois dire et ça commence à se voir !
– Bernard, viens, prend la par derrière !
– Comme ça ? À sec ?
– Oui ! A sec !
Je m’approche, le sexe tendu. Je m’enduis le gland de salive et me présente devant l’œillet légèrement entre-ouvert en raison de la position d’Anne. Le gland passe, mais le reste de la hampe accroche. Ça fait un peu mal, mais je pousse jusqu’à mi-longueur. Je coulisse sous les petits cris que pousse Anne. J’ai la même sensation que si je me masturbai en serrant deux doigts en anneau autour de mon sexe !
– C’est bon, ressort ! Me demande Alice.
Le but évident était d’endolorir le cul de la jeune femme !
Je ressors donc ma verge qui apparaît légèrement zébrée de brun.
– Je m’en doutais ! S’exclame Alice. Petite cochonne, tu as pollué le sexe de mon mari ! Tournes-toi et nettoies-le.
Anne, à genoux devant moi lèche mon sexe jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucune trace tout en continuant de recevoir des petits coups de tapette sur les fesses et les seins.
– Voilà qui est mieux ! Tu peux te relever maintenant.
– Bien madame, merci madame !
– J’espère que ça t’as servi de leçon et que tu feras attention la prochaine fois !
– Oui madame, c’est certain.
Voilà une journée qui commence sous les meilleurs auspices.
Anne range la table et la cuisine et rejoint, à sa demande, Alice. Elle l’accompagne sous la douche pour la savonner, puis la coiffe, la maquille, bref s’occupe totalement d’elle. Anne est entièrement soumise à sa maîtresse. Afin d’accentuer cette soumission, Alice lui insère un plug anal et fixe deux petites pinces caoutchoutées au bout des tétons. Elle relie le tout au moyen d’une fine cordelette qui passe par son cou muni d’un collier de chien. Ainsi, à chaque déplacement qu’elle fait, la cordelette se tend et tire sur les mamelons ! Elle reste en permanence dans son sillage et la suit absolument partout, même aux toilettes, où agenouillée elle doit l’essuyer puis la nettoyer avec la langue !
Je remonte dans notre chambre pour m’habiller alors qu’Alice termine de le faire.
– Anne, occupes-toi d’habiller Bernard, maintenant.
– Bien, madame ! Que mettrez-vous, monsieur ? Me demande-t-elle.
– Jeans et une chemise rouge, merci.
Elle s’approche de moi, défait la veste de mon kimono et la fait glisser en passant ses mains sur ma poitrine et mes épaules; la caresse est agréable ! Puis elle défait le lacet du pantalon et, s’accroupissant le descend à mes pieds. Elle ne peut s’empêcher de lécher et gober mon sexe au passage !
– Hé, bien petite salope ! Est-ce que je t’y ai autorisé ? S’exclame Alice.
– Heu, non, madame, je pensais bien faire !
– Tu n’as pas à penser ! Contentes-toi de faire ce que je te demande ! Pour la peine, tu iras au potager chercher une salade sous la serre.
– Bien madame !
Elle finit de m’habiller et nous redescendons au salon. Anne sort, nue, et revient rapidement avec la salade. Elle est transie de froid ! Alice dans sa grande bonté, lui permet de s’accroupir devant l’âtre pour se réchauffer.
– Allez ! On fait une pause dans le jeu, on reprendra ça plus tard, annonce-t-elle.
– Dommage, je trouvais ça excitant ! Dit Anne.
– Ok, mais on a des courses à faire, tu vas venir avec moi.
– Comme ça ?
– On va éviter l’attentat à la pudeur ! Tu vas mettre ton manteau par dessus, mais avant je vais te rajouter un petit quelque chose.
Alice revient avec l’œuf télécommandé et un clip d’oreille. Elle lui place l’œuf dans la chatte et clipse les grandes lèvres !
– Tu n’es jamais à court d’imagination ! Lui lancé-je.
– Ho, pour ça, ça va ! Allez, on y va.
Pendant qu’Anne met son manteau, Alice met l’œuf en route pour vérifier qu’il fonctionne bien. Anne tressaute, et se marre. Alice est ravie et moi je pressens que le récit des courses sera croustillant !
Pour ma part, en les attendant, je commence à préparer le repas, histoire de m’occuper. Je termine vers onze heures et, comme elles ne sont pas encore rentrées, je décide d’appeler Mickaël. S’il est libre ce sera une surprise pour Anne. C’est heureusement le cas, ses patrons étant partis passer les fêtes de fin d’année en famille, il garde la maison. Il sonne à la porte quelques instants après et en l’accueillant je me dis qu’il aura lui aussi la surprise de découvrir une autre facette d’Anne. En attendant les filles, nous nous installons au salon devant la cheminée et nous servons un verre.
Elles arrivent un quart d’heure après, leurs rires précédant l’entrée dans le séjour.
– Ho, Mick ! Quelle joie ! S’exclame Anne en voyant son chéri.
– Hop, hop, hop ! Reste ici ! Ordonne Alice voyant qu’Anne allait se précipiter sur lui.
– Bien madame !
Le jeu reprend.
– Ôtes ton manteau, après on verra !
Anne dégrafe et laisse tomber son manteau et apparaît aux yeux de Mick, dans l’accoutrement qu’elle avait en partant, un peu gênée de se présenter ainsi à lui. Mick reste bouche bée devant cette apparition.
– Tu peux aller l’embrasser maintenant !
– Merci, madame !
Anne avance et se penche pour embrasser Mick, oubliant les cordelettes qui se tendent et tirent sur ses mamelons, lui arrachant un petit cri.
Nous expliquons à Mick le jeu de la soumission qui a lieu aujourd’hui. Il avait bien sûr, déjà compris ! Alice s’assied à côté de nous et les filles nous racontent avec force détails leur matinée de courses.
– Dommage que vous n’ayez pas pu filmer tout ça, ce devait être assez excitant par moments. Dis-je.
– Oui, vous vous seriez régalés ! Au fait, la livraison de la table de massage a-t-elle eu lieue ?
– Non pas encore, ce devait être aujourd’hui ?
– Oui, dans la matinée.
– Une table de massage ? Ouhaa ! C’est super !
– Oui, c’est une table multi-positions auto-massante; c’est un nouveau truc américain. On s’est offert ça pour notre Noël.
– Génial ! J’ai hâte de voir ça !
– En attendant Anne, j’aimerai bien, quand quelqu’un vient chez nous, qu’il soit accueilli comme il se doit.
– Oui, bien sûr, Madame. Que dois-je faire ?
– Montrer que cette maison est un lieu de plaisirs.
Anne s’approche de Mick, lui défait sa ceinture et sa braguette et sort son sexe. Elle le prend en bouche et lui prodigue une douce fellation.
– Est-ce cela, madame ?
– Oui, très bien Anne. J’espère que je n’aurai plus à vous le dire !
– C’est promis, madame.
Elle remet le sexe dans le pantalon, le reboutonne et retourne s’agenouiller sur le tapis, aux pieds d’Alice.
Juste avant midi, la sonnerie retentit.
– Ce doit être la table, dit Alice. Allez ouvrir Anne.
– Bien madame !
Anne ne se démonte pas et va ouvrir la porte au livreur. Celui-ci reste interloqué devant la créature qui l’accueille et l’invite à la suivre en direction du salon.
L’homme est rouge, les yeux écarquillés et tend son bordereau de livraison en tremblant à Alice qui lui sourit ironiquement.
– Remettez-vous, mon vieux ! Où dois-je signer ?
– Là, en bas. Bafouille-t-il en montrant du doigt une case.
– Très bien ! Anne remerciez monsieur !
Anne s’agenouille devant l’homme cramoisi, lui ouvre la braguette et extrait son sexe, un gros morceau de chair qu’elle gobe immédiatement.
Il a un mouvement de recul et s’exclame :
– Mais, ça va pas ! Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Vous êtes des esclavagistes ! !
Il repousse Anne et remet son sexe dans son pantalon. Anne se relève fâchée.
– Tires-toi, connard ! T’as rien compris, toi ! C’est moi qui aime ça ! Alors ranges tes couilles et va te faire sucer par bobonne, si c’est meilleur !
Alice raccompagne le livreur à la porte et lui glisse un billet.
– Ça marche pas à tous les coups ! Dit-elle en riant lorsqu’elle reparaît dans le salon.
– Dommage ! Dit Anne. Il avait l’air d’en avoir un sacré morceau !
– Les nôtres ne te conviennent pas ? Demandé-je.
– Si, si ! Mais les vôtres, je les connais !
– Hé, bien, Anne occupez-vous en ! Ordonne Alice, cette matinée m’a émoustillée et j’ai comme une petite envie.
– Bien, madame, tout de suite !
Elle s’accroupit devant Mick et le défait de son pantalon, retire le caleçon et l’envoie rejoindre le pantalon. Elle saisit le sexe à pleine bouche, n’oubliant pas de malaxer les couilles en même temps. Il ne faut pas trois minutes à Mick pour bander et exposer orgueilleusement une belle grande queue bien dure ! Alice tout en regardant la scène, a retroussé sa jupe sur les hanches et se branle le bouton. Une fois bien chauffée, elle demande à Anne de s’écarter, enjambe Mick et se plante le vit à fond dans la chatte.
Anne s’approche alors de moi, me retire le jeans et commence à jouer avec mon service trois pièces. Elle me tire la peau des couilles, me mordille le prépuce, l’étire avec les dents, elle me fait un peu mal, mais le pire c’est que c’est hyper excitant. Alice regarde la scène et, estimant que je bande suffisamment me demande de la rejoindre.
– C’est bon, Anne, laisse Bernard nous rejoindre, maintenant. Viens, mon chéri, prends-moi aussi, je vous veux tous les deux ensemble ! J’ai faim !
– J’arrive ! Tu me veux devant ou derrière ?
– Tous les deux devant. Je suis trempée et il y a de la place !
Je relève ses jambes, plie les genoux et m’insère avec l’aide d’Anne dans la chatte dilatée. Comme je suis dessus, c’est moi qui donne le rythme à l’ensemble. Le frottement de nos deux bites l’une contre l’autre accentue la montée du plaisir et nous ne tardons pas à être à la limite de la jouissance. Je préviens Alice.
– Je vais pas tarder à venir, je peux plus me retenir !
– Attends encore un peu, je viens, j’y suis presque !
– Moi aussi, dit Mick, je vais venir !
– Allez, accélère, le mouvement, ouiiiiiiii, là, c’est bon ! Je viiieeens ! Ouiiiiiii, je jouiiis !
Mick et moi lâchons aussi prise et éjaculons juste après elle quasiment ensemble.
– Anne allonges-toi ! Ordonne Alice.
– Bien madame !
Je me retire et Alice se met à cheval sur la tête d’Anne.
– Allez, nettoies-moi tout ça !
Anne récupère notre sperme et lèche la vulve et les lèvres d’Alice. Cette dernière se relève, remet sa jupe en place et reviens s’asseoir dans son fauteuil, comme s’il ne s’était rien passé.
– Hé, bien, messieurs ! Je vous remercie de cet intermède, ce fut fort agréable !
– Heureux de t’avoir fait plaisir, dis-je. À ta disposition pour remettre ça quand tu voudras.
– D’abord un petit verre, après on verra !
Anne sert sa maîtresse et revient s’agenouiller près d’elle.
– Au fait Anne, fais donc la toilette à ces messieurs, tu oublies les bonnes manières !
Pendant qu’Anne s’exécute, nous reprenons notre conversation là où elle s’était arrêtée.
– Quand je repense au livreur, quel con ! N’importe qui aurait été heureux de se faire sucer le poireau ! S’exclame Alice.
– En tout cas, moi je n’aurai pas hésité. Surtout que la suceuse n’est pas dégueulasse, physiquement j’entends ! Dis-je.
– Oui, et moi je ne me serai peut-être pas contenté d’une gâterie ! Renchérit Mick en soupirant sous les coups de langue d’Anne.
Du reste, sa verge s’allonge nettement, il retrouve une certaine raideur.
– Hé bien, profites-en, Mick, lui intime Alice, Anne mets-toi à quatre pattes et retire ton bouchon, Mick va le remplacer quelques instants, s’il le souhaite. Mick, ça te dit ?
– Oui, bien sûr ! Je ne refuse jamais une telle invitation !
Anne retire le plug de son cul et laisse apparaître un joli trou béant que Mick remplit aussitôt.
– Pendant ce temps, si on défaisait le carton pour voir notre table ? Me demande Alice.
– Bonne idée, le gars est parti si vite qu’on n’a même pas pu vérifier que tout était en ordre.
Pendant que nous ripons les cartons jusqu’au salon, Anne explose. Aux cris qu’elle pousse nous supposons que l’orgasme doit être fort !
Mick se retire et, respectant le jeu, remet le plug à sa place.
– Anne refait une toilette à Mick, qu’il puisse se rhabiller sans se salir ! Dit Alice qui a suivi la scène.
Anne se retourne et lèche avec application la queue tendue. Il n’a visiblement pas jouis.
– Tu t’es retenu ? Lui demandé-je.
– Oui, je me réserve pour plus tard.
– Très bien ! Tu fais des progrès ! Le félicite Alice. Anne mets-donc la table, nous allons déjeuner dès que nous aurons fini de déballer.
Une fois la table de massage déballée, nous la montons, nous promettant de l’essayer cet après-midi.
– Anne, viens ici ! L’appelle Alice. Je te libère et nous suspendons le jeu pendant le déjeuner.
– Dommage, c’est maintenant que ça devenait le plus intéressant ! Répond-elle en faisant la moue.
– Ne discutes pas c’est moi qui décide !
Alice lui enlève le collier de chien, défait les pinces de seins. Elle a les tétons érigés et marqués par le pincement qu’elle subit depuis le début de la matinée. Alice se baisse et lui retire le clip qui pinçait ses petites lèvres et fouille la chatte avec trois doigts pour en extraire l’œuf vibrant. La jeune femme est détrempée, les doigts et l’œuf ressortent mouillés. Pour finir elle retire le plug anal et finit ainsi de libérer Anne.
– Te voilà soulagée.
– Oui ! Et ça fait drôle, je me sens toute nue. Maintenant, j’ai un peu mal aux seins et à la chatte !
– Ne t’inquiète pas, ça va passer. Allez ! Habilles-toi qu’on passe à table.
Mick et moi nous rhabillons aussi, en fait nous ne mettons que notre chemise et, nous attablons.
Au cours du déjeuner, la conversation reviens sur le sujet de la soumission.
– Que penses-tu de ce jeu ? Demande Alice à Mick.
– Je ne sais pas trop, j’aime bien le côté dominateur, mais en même temps, je n’ose pas imposer des actions que je ne suis pas sûr d’approuver.
– En tout cas, moi j’aime ça, intervient Anne. Il faut faire preuve d’imagination, faire mal mais pas faire souffrir sans la récompense du plaisir et puis par dessus tout j’aime le côté pervers du jeu. Je ne suis pas convaincue que le dominé n’a pas sa part de domination ! Quand Alice m’impose de réaliser un fantasme qui lui passe par la tête, elle ne prend du plaisir que si je le mène à bien, si je joue le jeu à fond. À l’inverse, si je ne donne pas tout, elle sera quelque part frustrée.
– C’est pas faux du tout ce que tu dis là ! Effectivement, le dominé dans l’acte est en partie dominateur dans l’esprit.
– C’est ça que je n’ai pas encore intégré, dit Mick. Mon expérience est trop nouvelle pour que j’intègre ce qu’attend vraiment l’autre.
– C’est ce que disait Anne. Il faut une bonne dose de perversité. Quoiqu’avec le coup du chien, tu as montré que tu avais des dispositions !
– J’avoue que la scène m’a pas mal excité.
– À vrai dire, reprend Anne, je disais que l’expérience avec l’animal n’était pas transcendante, n’empêche que j’en ai rêvé plusieurs fois depuis !
– Moi aussi, dit Alice. C’était peut-être pas ma tasse de thé, mais la relation contre nature est très excitante ! Finalement, je recommencerai bien !
– Je peux aller le chercher, si vous voulez !
– Bonne idée ! En plus on pourrait faire une vidéo qu’on monterait avec des séquences de l’été dernier; on les passerait au cours de la soirée histoire de faire monter la tension !
– Tiens ! C’est pas con, ça ! Pendant l’apéro de diffuser ce genre d’images mettra tout de suite dans l’ambiance.
Mick fait l’aller retour le temps de préparer le café. Sucre à de la mémoire. A peine entré, il tortille du cul, remue de la queue et pousse des petits jappements de joie tout en reniflant partout !
Les filles sont allées se changer et portent les tenues les plus sexy en leur possession : guêpière noire seins nus bas à couture et talons aiguilles pour Alice, cuissardes à hauts talons, collier de chien et petit tablier blanc de soubrette pour Anne.
Sucre a retrouvé sa place sur le tapis devant la cheminée. Nous nous installons autour, dans les fauteuils afin de boire notre café. Anne nous sert, plus sexy que jamais. Elle a les yeux brillants, il est évident qu’elle est excitée d’avance à l’idée du jeu qui recommence. Alice ne perd pas une seconde et entre dans le vif du sujet :
– Anne, maintenant que nous sommes servis, occupes-toi d’apporter de l’eau à Sucre.
Anne part chercher une gamelle et revient, marchant jambes serrées, donnant l’impression de faire un effort surhumain.
Elle pose la gamelle, s’accroupit et lâche toute l’eau dont elle s’était remplie. Sucre lape avidement l’eau qui doit avoir un peu pris le goût de la chatte.
– Regardes-moi ça ! Tu t’en es mis partout sur les cuisses. Fais-toi essuyer ça !
Anne s’approche de Sucre et toujours sur les talons, écarte les cuisses devant la truffe du chien. Comme s’il n’attendait que ça, il la renifle et très vite lui met de grands coups de langue. Anne prend la tête du chien à deux mains et, fermant les yeux, se laisse envoûter par cette étrange relation. L’envie devait être forte, car le plaisir la submerge et un long râle accompagne son orgasme.
– Bien ! Maintenant nettoies-lui le sexe.
– Oui, madame !
Elle fait se coucher le chien, lui saisit le fourreau et fait sortir le long tuyau rouge et pointu. Comme la première fois, elle donne des petits coups de langue hésitants, puis y va plus franchement et suce carrément le sexe sur toute sa longueur. Le chien est excité, lui aussi, il roule des yeux, ses pattes arrières remuent spasmodiquement. Il est temps qu’il s’assouvisse.
– Allez, Anne, en position, il ne faut pas faire languir notre hôte.
Anne se met à quatre pattes et le chien, bien dressé, lui grimpe sur la croupe et à petits coups de reins cherche l’entrée qu’il trouve rapidement. Moins d’une minute après l’affaire est faite ! Il se retire, renifle le sexe qu’il vient d’investir, lui donne quelques coups de langue et, remuant la queue, retourne vers son tapis.
– Messieurs, cette petite séance m’a mise en appétit ! Je suis à vous ! Annonce Alice qui s’est abondamment caressée pendant la séance canine. Anne viens me finir !
– J’arrive, madame ! Anne se déplace à quatre pattes jusqu’au fauteuil d’Alice, gobe le clitoris et le travaille des lèvres et de la langue.
– Ho, ouiiiiiiii ! C’est bon, t’arrêtes pas, continue, plus vite, je vais jouiiir ! !
Pendant ce temps, Alice nous branle et nous suce alternativement. Anne s’écarte, le menton luisant de foutre et je la remplace entre les jambes grandes ouvertes. Je les saisi sous les genoux et tire vers l’avant. Alice se retrouve le dos à plat sur l’assise du fauteuil; je soulève ses jambes, les replie en m’avançant au niveau de ses cuisses et la pénètre. De fait, son cul est accessible à Mick qui se place derrière moi et, d’un trait, insère sa verge dans la rondelle. Nous nous activons, Mick d’avant en arrière et moi de haut en bas au rythme des injonctions d’Alice.
– Allez, les gars, allez-y, à fond ! Ouiiiiii, c’est ça, plus fort, hoooo ! C’est bon, j’adore ! Encore, encore, Plus vite Mick, c’est ça, je sens tes couilles sur mes fesses, haaa ! C’est bon !
– Allez, viens, salope ! Dépêches-toi, parce que moi, je n’en peux plus ! Dis-je vertement.
– Attends, ouiiiiiiii ! Je viiieeens ! Encore, vas-y plus vite, ça y est ouiiiiiiii ! ! ! !
– Moi aussi ! Hooo ! C’est bon, haaaa ! !
Je lâche prise et laisse partir mon éjaculation. Derrière moi, Mick s’active plus vite encore pour nous rattraper et ne tarde pas lui aussi à jouir dans le cul d’Alice.
Nous nous retirons et Anne s’approche pour récupérer nos semences, mais Alice l’arrête :
– Non, pas toi, tu fais leur toilette aux hommes, Sucre ! Viens ici !
L’animal se précipite et nettoie à grands coups de langue l’entre-jambe d’Alice. Il est en érection et, l’instinct prenant le dessus, grimpe sur Alice et cherche à la pénétrer. Alice n’ayant pas changé de position, c’est sa rondelle qui reçoit le vit brûlant du chien. Nous regardons la scène en nous faisant sucer par Anne. L’action dure un peu plus longtemps que d’habitude et Alice part dans un nouvel orgasme. Sucre est comme fou. Il remue son bassin en petits allers-retours rapides, lâche sa purée et s’en va. Il s’assied et fait sa toilette avant de retourner se coucher, son devoir accompli ! Alice reste prostrée, jambes pendantes dans une attitude assez obscène, mais après tout, l’ensemble de l’action était obscène ! !
Nous finissons par une séance de sauna pour nous remettre en forme, puis dans le jacuzzi. Les bulles nous détendent tout en nous remuant allègrement fesses, cuisses, parties génitales !
Nous restons ainsi, nous laissant secouer, pendant près d’un quart d’heure, tout en faisant le point sur les dernières touches à mettre à la préparation du réveillon.
– Au fait, quand Lucie et Yann ont-ils prévu d’arriver ? Demandé-je.
– Normalement, ils arrivent mercredi. Quant à Pierre et Viviane, ils arriveront jeudi. Répond Alice. Il nous reste à recevoir, normalement cet après-midi, la structure des cabines où les invités se changeront. Je les ai commandées par internet, elles m’ont été promises pour aujourd’hui.
– Tu souhaite les monter où ?
– Je pensais les installer dans la salle à manger.
– Oui, c’est une bonne idée, d’autant qu’elle ne servira à rien ce soir là !
– Et le buffet, on l’installe où ?
– Ici pour partie et dans le salon pour les réserves !
– Et qui fera le service ?
– Je n’avais pas prévu de service, je pensais que chacun se débrouillerait.
– Si tu veux, je peux jouer les servantes et Mick, s’il est d’accord, pourrait m’assister !
– Avec plaisir, mais à condition que je ne fasse pas que ça !
– À mon avis, tu vas plus donner du plaisir qu’à manger !
– Dans ce cas, ça me va !
Notre conversation est interrompue par la sonnerie de la porte d’entrée, le portail étant resté ouvert.
– Tiens, on en parlait, ce doit être la livraison des structures.
– Ne bougez pas, j’y vais ! Lance Anne.
– Tu reprends le jeu ? Demande Mick.
– Bien sûr que crois-tu ?
Anne sort du bain, s’enroule une serviette autour de la taille et file, torse et pieds nus, ouvrir la porte. On imagine d’avance la stupeur du livreur en espérant qu’il sera un peu moins stupide que celui de ce matin !
Pas d’inquiétude, cette fois-ci.
Certes la surprise a été grande ! Il est vrai que sonner à une porte et être accueilli par une jolie femme, les seins nus, tétons dressés peut surprendre ! Mais il se ressaisit bien et un grand sourire éclaire son visage émacié, mangé par une barbe de deux jours.
– Surprenant accueil ! Dit-il.
– Merci ! Je vous en prie entrez, il fait froid !
Le livreur dépose ses colis dans l’entrée et demande une signature sur son bon de livraison.
– Suivez-moi, c’est Madame, qui va signer. Moi je suis l’esclave de service ! Attention, hein ! Pas de méprise, je l’ai choisi et j’aime ça !
– C’est votre droit, ça ne me dérange pas !
– Très bien, allons-y !
Anne passe devant lui pour lui montrer le chemin, accentuant volontairement le mouvement de ses hanches. Ils arrivent dans la salle, devant le jacuzzi, nouvelle surprise du livreur devant le spectacle des trois personnes à poil dans le bain !
– Madame, ce monsieur a besoin de votre signature.
– Très bien, Anne, passe-moi une serviette, que je ne mouille pas sa feuille.
Alice sort gracieusement de l’eau, exposant ses belles courbes et ses seins généreux. Anne lui essuie les mains, les bras et le buste.
– Merci, Anne et occupez-vous de ce monsieur pendant que je signe les documents. Un peu de chaleur lui fera du bien avec le froid qu’il fait dehors !
Anne se retourne vers le livreur, s’accroupit devant lui, dégrafe son pantalon, il ne bronche pas, juste un mouvement de sa pomme d’Adam montre son émotion. Anne tire le pantalon et le caleçon vers le bas et libère un magnifique service trois pièces de belles proportions ! Le sexe, est gros, on devine un gland imposant recouvert par le prépuce qui le dessine nettement et les testicules sont à la mesure du sexe, gros, descendant bas entre les cuisses.
Anne saisi l’engin d’une main et le porte à la bouche et malaxe les couilles de l’autre main. Elle le ressort, le décalotte et expose le gland turgescent. Elle est obligée d’ouvrir grand la bouche pour avaler la queue gonflée sans y mettre les dents.
Le livreur ne tarde pas à bander fort grâce à l’adresse d’Anne.
– Anne, vient ici et prépares-moi, ça me fait envie !
– Bien, madame !
Anne lubrifie l’anus d’Alice en lui léchant la vulve et retourne s’occuper de la grosse queue
Alice se retourne agilement et se retrouve debout, jambes écartées, courbée en avant, les fesses devant la bite.
– Allez, Anne, positionne la, je veux me faire défoncer la rondelle.
Anne, tout en continuant de branler le gros engin, place le gland devant l’œillet accueillant. C’est Alice qui le fait entrer d’un mouvement arrière. Les mouvements de son bassin créent le mouvement aller-retour.
Anne ressort la verge rigide, la met en bouche et la replace dans le cul béant, Alice reprenant ses mouvements. Elles répètent le geste deux trois fois et, à ce petit jeu, le livreur ne résiste pas. Ses couilles durcissent, il est proche d’exploser. Anne extrait le chibre, et le branle face à elle.
Le livreur lâche prise et éclabousse le visage d’Anne d’une quantité assez impressionnante de sperme. Elle reprend la queue en bouche, la nettoie avec la langue et la recalotte. Puis, après l’avoir rhabillé, l’emmène vers la sortie. Il remercie et s’en va.
La scène n’a pas duré plus de dix minutes en tout, dans un silence quasi total.
Mick et moi sommes relativement excités par ce qui vient de se passer.
– C’était trop bref, venez me finir, puisque vous êtes en forme ! Lance Alice.
Nous sortons de l’eau, je m’allonge sur un matelas et Alice me chevauche et s’empale sur ma queue tendue. Son cul élargi par le gros vit du livreur ne me serre pas malgré ma forte érection.
A la demande d’Alice, Mick me rejoint dans l’anus avide de sensations fortes.
Nous n’avons pas à bouger. Alice déchaînée, imprime le mouvement à son rythme, nous ne sommes que les objets de son désir.
Elle ne tarde du reste pas à jouir dans un long gémissement qui accompagne les secousses de son corps. Après quelques instants, nous retournons dans le bain pour nous détendre, puis allons déballer la structure qui vient de nous être livrée.
Nous déménageons la salle à manger pour organiser l’accueil des invités. La grande table est placée au salon, elle accueillera le buffet.
Nous dressons la structure en tubes métalliques. L’idée est que ce seront les vestiaires, hommes d’un côté, femmes de l’autre. La charpente montée, nous l’habillons de toile blanche. Alice se charge de créer le fléchage par des panneaux indicateurs, «hommes», «femmes», «salon de toilette», «buffet», Etc. Ainsi que les règles de fonctionnement : épilation, toilette intime obligatoire, corps parfumés, etc. Anne place les toges sur des porte-manteaux et les accroche dans les cabines que nous avons créées. Les tissus employés pour les toges des femmes sont fins et ne cacheront pas grand chose de l’anatomie de celles qui les porteront.
Les bougies qui éclaireront le buffet sont à l’effigie de mon sexe que je suis assez content de voir exposé en une douzaine d’exemplaires ! Les cendriers, eux, ont été créés à partir du moulage de la chatte d’Alice, ils sont également criants de vérité. Seuls les cierges sont un peu moins réalistes, ils ont été faits à la main. Les sculptures détaillées de bustes, de troncs d’accouplements, tous sans équivoque, sont réparties entre le salon accueillant le buffet et la salle de gym où se déroulera l’orgie. Nous installons également l’écran géant où nous passerons les vidéos de nos exploits.
A la fin de l’après-midi, tout est en place, décorations terminées, il ne restera plus qu’à disposer les plats quand le traiteur nous livrera, en fin de semaine. Nous évoluons dans notre nouveau décor, épatés de la réalisation. On se croirait dans une villa romaine !
Nous finissons par aller nous vautrer dans le salon, autour de la cheminée.
– Ça vous dirait une petite menthe pastille pour se retonifier ? Demandé-je.
– Bonne idée, ce sera mieux qu’un thé ! Répond Alice. Anne veux-tu faire le service ?
– Bien sûr, Madame !
Anne file à la cuisine, revient avec quatre verres à dégustation. La menthe pastille se prenant bien frappée, elle place un verre entre ses cuisses et éjecte un glaçon de sa chatte. Puis un deuxième et jusqu’au dernier.
Elle les remplit et nous les propose avant de s’asseoir au près d’Alice, sur un coussin, son verre à la main.
Sucre, nous voyant arriver se lève et vient chercher des caresses. Il s’était tellement fait discret que nous avions oublié qu’il était là.
– Il faudrait peut-être qu’il aille faire ses besoins, suggère Alice.
– Tu as raison, dit Mick, je vais le sortir.
– Dans cette tenue ? Demande Anne.
Il est vrai que nous ne nous sommes pas rhabillés après le bain.
– Restes là, Mick, Anne va s’en charger.
– Je mets mon manteau et j’y vais. Dit cette dernière.
Anne chausse ses escarpins et enfile son manteau, sans le fermer, conformément aux consignes d’Alice, et sort avec le chien.
– En attendant, on pourrait reprendre là où on s’est arrêté tout à l’heure, non ?
– Bonne idée, après tout, on s’est pas délestés, nous !
– J’en ai pris plein le cul tout à l’heure, maintenant, ma chatte est jalouse !
– Fais voir ! Dis-je.
Alice écarte les cuisses et nous montre sa vulve luisante, écartant largement les lèvres avec les doigts.
Mick s’agenouille entre ses jambes et prend les lèvres en bouche, les mâchouille, les aspire et remonte gober le gros clitoris érigé.
– Hummm ! Voilà qui est bien agréable ! Suces-moi bien, c’est bon !
– Tiens, prends ma bite, dis-je, moi aussi j’ai envie de me faire sucer.
Alice penche la tête et saisit ma queue avec la langue et l’aspire entre ses lèvres, me malaxant les couilles avec une main.
– Oui, c’est bon comme ça, tu vas me faire bander, salope ! Bouffes-moi les couilles !
Elle délaisse ma verge et aspire le paquet qui se trouve dessous, sa bouche est pleine.
Mick pendant ce temps, s’active plus vivement sur le clitoris et Alice donne des coups de reins pour se faire brouter plus fort.
– Ahan Ahan ! Haaaa, je viens, vas-y plus fort, t’arrêtes pas ! Dit-elle après avoir recraché mes balloches.
Mick, lui insère deux doigts devant et deux derrière et la branle tout en accentuant son cunnilingus.
Prise par son émoi, elle me branle de façon désordonnée; elle a plus tendance à se suspendre après mon sexe qu’à le masturber, et donc, je ramolli. Elle part, son orgasme la secoue et Mick relève la tête, le menton maculé de foutre, content du résultat obtenu.
– Hé, bien ! Tu fais pas les choses à moitié !
– J’avais vraiment une grosse envie ! Allez, je m’occupe de vous. Viens Mick approche que je te suce.
– Et moi ? Je me démerde ?
– C’est Mick qui va s’occuper de toi mon chéri. D’accord Mick ?
– Bien sûr, viens Bernard.
Et nous voilà imbriqués tous les trois. Je ne tarde pas à reprendre de la vigueur sous les coups de langue et les suçons de Mick. Lui-même bande comme un cerf, la queue dirigée vers le plafond !
Alice se lève, Mick prend sa place et elle s’enfile sur le vit tendu, à califourchon. Je mets ma queue entre leurs têtes pour me faire léchouiller encore un peu par leurs deux langues, puis je passe derrière Alice. J’hésite sur le choix de l’orifice, je décide finalement de prendre le même que Mick. Nous nous retrouvons à nouveau ensemble, mais, cette fois, dans la chatte bien baveuse.
Alice apprécie cette double intrusion et nous le montre en inondant nos queues qui nagent maintenant aisément, dans le con distendu.
Anne revient de sa promenade et admire la scène.
– Madame est en grande forme aujourd’hui ! S’exclame-t-elle.
– Ho, oui ! Je me fais ramoner de partout, j’adore ça !
– Vous avez besoin de quelque chose ?
– Non, non ! Tout va bien ! Je sens que je ne vais pas tarder à jouir !
– Je vois ça ! Et il semble que Bernard ne va pas tarder non plus !
Anne retire son manteau, viens se placer derrière nous et nous caresse les couilles. Elle mouille le majeur de son autre main, me l’enfile dans le cul et me branle vivement. Effectivement, à ce rythme, je ne vais pas tarder à jouir aussi. En attendant, c’est Alice qui lâche un feulement et s’effondre sur Mick, rassasiée !
– Dois-je les finir, Madame ?
– Non Anne ! Pas tout de suite, on les laisse mariner un peu. En attendant, apporte-moi le chaudron; j’ai une de ces envies de pisser !
Anne s’exécute et Alice, accroupie au-dessus du pot improvisé, se vide la vessie.
– Allez, maintenant viens me faire une petite toilette. Dit-elle en s’asseyant jambes relevées.
Anne lèche la moule, essuyant avec la langue les restes de foutre et d’urine mélangés.
– Humm ! Elle est vraiment bonne votre chatte, madame, c’est un nectar !
– Merci Anne, c’est gentil. Tiens, je vais te récompenser ! Vas chercher mon super gode ceinture.
– Oui, merci madame !
Anne revient avec l’engin et aide Alice à l’enfiler. Cette dernière nous demande de nous asseoir dans le canapé.
– Anne vous pompera pendant que je l’enfile.
– Je l’aurai bien sautée aussi, moi, dis-je.
– Tu ne peux pas avoir le beurre et l’argent du beurre. Chacun son tour !
Mick et moi on se regarde. Mick saisit le pot de lubrifiant posé sur le manteau de la cheminée, se badigeonne l’anus et vient s’asseoir sur moi, se plantant ma queue au fond du cul. Ce n’est pas le scénario prévu par Alice, mais qu’importe. Anne s’est placée devant Mick et commence à l’entreprendre. Derrière elle, Alice l’a enfilée et la ramone tout en se faisant plaisir avec le gode intérieur de la ceinture qui lui lime le con.
Mick décharge en quelques minutes tant son excitation est grande. Anne boit la semence avec délectation et lèche la queue pour la laisser bien nette.
Mick s’efface et de fait Anne se retrouve avec ma queue tendue devant elle. Sans hésitation, elle la prend, la lèche, me mâchouille les couilles tout en me branlant. Tout à coup elle s’arrête, ses mains se crispent, elle m’écrase le sexe entre ses doigts, jouit sans aucun doute, en silence.
Alice s’en rend compte et d’une main enduit la rondelle brune, y enfonce un puis deux doigts et, considérant qu’Anne est prête à la recevoir, change d’orifice et s’enfonce profondément dans l’anus légèrement dilaté.
– Ahouuu ! Ho, c’est fort ! Lance Anne.
– Ha ! Ma salope, tu aimes ça hein ? Une bonne grosse enculade ! S’exclame Alice en lui tapant les fesses.
– Ho ! Ouiiiiiiii ! Merci, madame !
La surprise passée, elle se remet à m’astiquer le manche. Il ne faudrait pas grand chose pour que je me laisse aller à jouir, mais j’ai envie de faire durer le plaisir. Je m’oblige à penser à autre chose, au boulot entre autre. Je me détends, par des respirations profondes, bref je fais tout pour éviter de me centrer sur les sensations physiques.
Au bout de cinq minutes, Anne et Alice commencent à fatiguer sérieusement. Je m’en amuse.
– Alors, les filles, on tient pas la distance ?
– C’est plutôt toi qui es un peine à jouir ! Me lance Alice. J’ai les reins en compote et je te dis pas dans quel état Anne va récupérer son cul !
– Ok, je me concentre, ça va venir !
Je me recentre sur ma queue, tends mes muscles et de fait ma bite se raidit à nouveau. Anne accentue la masturbation et dans les trente secondes qui suivent, un premier jet de sperme lui éclabousse le visage atteignant son front. Le deuxième lui arrive sous l’œil, le reste de mon éjaculation coule sur sa main.
Nous nous séparons. En se retournant, Anne me montre son cul, complètement ravagé par les assauts d’Alice. La pauvre va avoir du mal à s’asseoir !
En tout cas elles sont rassasiées. Pour ma part, j’ai fait le mariole, mais maintenant, je m’en mors un peu les doigts. Anne s’est tellement acharnée à vouloir me faire jouir que ma bite en est toute irritée et rouge des longs frottements qu’elle a subit.
Anne et Mick nous quittent en début de soirée, pour ramener Sucre au domicile de ses maîtres.
Nous restons tous les deux, Alice et moi, ravis de cette journée.
A suivre
Un petit bijou de perversité
J’aimerais être à la place d’Anne, soumise et salope !
Ttès bon récit, très belle partouze
Soumission et zoophilie ! Rien que du bon ! Même si j’aurais souhaité que soit développé l’épisode des toilettes… servir de papier à cul, n’est-ce un si bel acte de soumission ?
Et on en remet une couche avec ce chien diabolique… pour notre plus grand plaisir
« Elle délaisse ma verge et aspire le paquet qui se trouve dessous, sa bouche est pleine. » Quand on a lu ça on est joyeux pour toute la journée
Putain ! cet auteur est vraiment trop talentueux, je crois que je vais relire toute sa prose dans l’ordre