Nouvelle année 3 – Poupées russes par Lovelace

 

Nouvelle année
3 – Poupées russes
par Lovelace

Dès lundi, j’ai ramené au bureau mes poupées Russes.

Jusqu’au briefing, je ne les ai pas montrées, elles sont dans mon tiroir. Vers onze heures, je les sors et n’en met qu’une en évidence, devant ma table de travail.

A sa première incursion dans le bureau, pour me faire signer des courriers, Anne remarque le changement sur mon bureau. Alice avait raison, les femmes remarquent les moindres détails !

– C’est pour quand ? Demande Anne.

Je suis presque surpris par la question !

– En fait c’était pour savoir si vous aviez remarqué ! Lui dis-je emprunt de solennité, comme un mauvais patron, parce que moi-même, ne suis pas à l’aise !

– Ne vous inquiétez pas, me dit-elle, je saurai à tout moment ce que vous me demanderez !

J’ai vraiment l’air de passer pour un con ! Comment les femmes peuvent-elles comprendre ce qui ne leur a pas été expliqué ? ! Il a suffit à Alice de dire à Anne « tu connais le bureau de Bernard, alors tu le sauras » et le pire, c’est qu’elle le sait ! !

J’appelle Alice, pour l’informer que Anne à immédiatement compris.

– Et alors ? Tu crois m’apprendre quelque chose ? Bien sûr qu’elle a compris ! Maintenant n’envoies pas de signaux avant qu’on en ait parlé ensemble !
– Je voulais juste savoir si elle comprenait !
– Ne t’occupe pas de ça ! Nous comprenons ce que vous ne soupçonnez même pas !

Là je m’en rends compte ! Je suis totalement dépassé par leur compréhension respective des souhaits que nous pouvons émettre. Et leur capacité à repérer ce qui a changé dans leur environnement quotidien me dépasse !

Je range les Katiouchkas en me disant que j’ai intérêt à la sortir à bon escient sinon, je risque de taper à côté !

Dans la semaine qui a suivi, Alice a préparé ses sculptures à partir des moulages réalisés. De part sa formation aux beaux arts, elle n’a aucun mal ! Les réalisations sont d’excellente qualité ! Il ne lui reste à faire que les colonnes et les stèles devant accueillir ses sculptures et, bien sûr la confection des toges.

À une semaine de Noël, Alice exprime le souhait que nous fassions le point sur les réalisations et sur ce qu’il reste à préparer. Nous sommes jeudi et, en arrivant au bureau, ma première action est de mettre une poupée Russe sur ma table de travail.

Dès son arrivé, Anne le remarque et me demande

– C’est pour ce Week-end ?
– Heu, oui ! Réponds-je, presque pris au dépourvu !
– Très bien, vendredi soir, je serai disponible ! Me répond-elle.
– Merci, Anne. Me sentant obligé de dire quelque chose.
– Mais de rien ! Le plaisir sera partagé !

Je me sens vraiment très con ! !

Les jours suivants, j’ai beau me concentrer sur mon travail, mais, la baisse d’activité dues aux fêtes de fin d’année et les dites fêtes, n’incitent pas au travail et je ne pense majoritairement qu’au week-end qui approche !

Vendredi matin, Anne arrive au bureau avec un petit sac de voyage. Elle n’a pas oublié et même, à voir sa mine, elle se réjouit de ce week-end à venir.

Pour ma part, je m’aperçois que je suis assez heureux de ces rencontres à trois. Nous avions réalisé, avec Alice, et ce depuis le mois d’août, que notre couple allait encore mieux depuis que nous nous partagions. Notre relation était devenue plus forte, plus intense et nous sommes sortis d’une certaine langueur dans laquelle l’un et l’autre étions plongés après dix ans de mariage. Nous sommes maintenant beaucoup plus attentifs à l’autre, découvrons ensemble des aspects de notre personnalité jusque là non partagés. Et l’intrusion d’Anne, nous apporte encore autre chose, encore plus d’attention l’un pour l’autre. Je suis plus que jamais amoureux de ma femme et, dès que je la quitte le matin je n’ai qu’une hâte, la retrouver le soir ! Finalement cette tierce personne qui s’immisce dans notre couple le rend plus soudé encore, plus complice.

C’est vraiment un sentiment bizarre que de ne rien vouloir faire, autrement qu’en le partageant avec sa femme ! Ma moitié d’orange.

Justement, sur ces tergiversations, arrive Alice. Il est très rare qu’elle vienne me voir sur mon lieu de travail et j’en suis surpris.

– Que fais-tu là ?
– Ça t’embête ? Demande-t-elle en s’asseyant sur le coin de mon bureau.
– Non pas du tout, mais c’est tellement rare que tu viennes me voir !
– En fait, ce n’est pas tout à fait pour te voir que je suis venue. J’avais envie que Anne m’accompagne pour acheter le tissu des toges et différentes bricoles. On s’entend bien et après tout cette soirée de fin d’année, c’est aussi un peu la sienne ! A moins bien sûr que tu ne veuilles pas lui donner son après-midi !
– Je veux bien la libérer, d’autant qu’on n’est pas débordés en ce moment ! Mais c’est drôle, avant que tu arrives j’étais en train de réfléchir à notre couple et je me disais qu’elle nous apportait beaucoup, qu’elle avait tendance à nous souder encore plus !
– Alors là, je suis heureuse de t’entendre dire cela, car en ce qui me concerne, je pensais que grâce à elle et bien plus que les expériences multiples que nous avons eues depuis cet été, notre union était devenue des plus solides. Nous avons évité le piège de la routine qui s’installe inévitablement dans un couple, nous avons déjoué ainsi l’endormissement sexuel et par la même, la tromperie qui aurait pu s’insinuer vicieusement et tout détruire. En fait je suis ravie de cette petite qui apparaît et disparaît au gré de nos envies et de nos besoins et, en plus, je l’aime !
– Oui, moi aussi, je l’aime. Elle sait nous remuer, nous remettre en cause.
– Si j’étais sûre qu’on ne soit pas dérangés, je te sauterai bien maintenant !
– Ne m’en parle pas ! Fais-voir !

Elle tourne légèrement ses hanches et ouvre ainsi ses cuisses, me permettant d’admirer son entrejambes libre de tout sous vêtement à part le porte-jarretelles retenant ses bas. Vision féerique qui m’émeut au plus haut point.

Arrive justement notre muse, sur ces entrefaites. Alice ne bronche pas et reste dans la même position.

– Je ne vous dérange pas ? Demande-t-elle.
– Si bien sûr ! Dis-je.
– Excusez-moi, je reviendrai plus tard.
– Mais, non ! Je plaisante ! Approchez Anne. Je garde le vouvoiement au sein du bureau afin, peut-être bêtement, de maintenir une distance entre la vie privée et la vie professionnelle.
– Je voulais t’inviter à venir avec moi cet après-midi pour faire les derniers achats en vue de notre fête. Dit Alice. Bernard est d’accord !
– Si le patron est d’accord, comment pourrais-je dire non ? Jolis tes bas dit-elle en zieutant les cuisses d’Alice.
– Je parie que tu portes des collants ! Lui rétorque Alice.
– Oui, pour bosser c’est plus pratique !
– Pour bosser peut-être, mais pas pour le boss ! ! On verra ça plus tard.
– Bon arrêtez les filles ! Anne, tu préviens Chantal que tu t’en vas et qu’elle te remplace. Allez, filez !

Elles me quittent et je me dis que j’aurai bien fait autre chose, avec elles deux dans mon bureau !

Le reste de l’après-midi se passe plus que tranquillement, un devis pour une société qui implante ses bureaux dans le coin, mais c’est tout.

Je suis surpris, en arrivant à la maison, d’être le premier rentré. Je me dis qu’elles ont dû faire un peu de lèche-vitrine. Après tout rien ne presse ! Je vais, comme chaque soir, me changer après m’être « rafraîchi ». J’enfile un Kimono, ma tenue préférée à la maison, allume la chaîne et glisse un CD de Jazz dans le lecteur.

Vers 19h00, j’entends arriver la voiture d’Alice, suivie de l’ouverture de la porte et mes deux nanas, mortes de rire, apparaissent dans l’encadrement de la porte du séjour, chargées de paquets.

– Hé bien, les filles ! L’humeur semble être au beau fixe ! Qu’est-ce qui vous fait rire comme ça ?
– On va te raconter ! D’abord, le menu : ce soir ce sera traiteur chinois; on a tout ramené ! En attendant, sers-nous un verre et on te fera partager notre gaieté.
– Pas de problème, les verres sont prêts. Je sers un whisky à Alice et un Martini Bianco à Anne. Voici, mesdames !
– Bon ! Déjà, on a tout trouvé pour la fête, je crois qu’il ne manque plus rien. Et puis on n’a pas pu résister à faire un peu de lèche-vitrine et quelques essayages en boutiques.
– Jusque là, rien de surprenant ! Je me suis dit que deux femmes qui vont se balader en ville ne pouvaient pas faire autrement.
– Macho, va ! En tout cas on a trouvé des trucs sympas ! Tiens, Anne, montre-lui !

Anne se lève et soulève sa jupe pour me faire admirer ses collants-jarretelles, effectivement, c’est plus sexy que des vulgaires collants !

– Joliii ! Et quoi d’autre ?
– Plein, tu vas voir !

Alice ouvre un sac et en sort une guêpière en cuir avec des laçages devant et dans le dos, sexy à souhaits ! Puis un bustier porte jarretelles, seins nus, accompagné d’un string ouvert le tout de couleur noire. Des bas de dentelle noire à couture, et tout un tas d’accessoires divers.

– Vous n’avez fait que ça, quoi ! Des « petits » achats ! Alors qu’est-ce qui vous faisait rire en rentrant ?
– En fait, on était sur la 4 voies et Anne a eu envie d’essayer ses nouveaux collants. Elle a fini par se déshabiller complètement pour éviter les contorsions compliquées, lorsque nous avons doublé un camion. Le mec au volant l’a vue car il a mit un bon coup de klaxon. Comme il n’y avait que nous sur la route, on est restées à sa hauteur et Anne s’est caressée et masturbée en lui en montrant le plus possible. On l’a quitté juste à la sortie d’ici et on se l’est imaginé au bord de la crise d’apoplexie ou en train de se branler comme un fou dans sa cabine. En tout cas on a eu droit à de grands appels de phares et des coups de klaxon quand on s’est quittés !
– Vous êtes bien deux salopes ! Allumer les mecs, vous aimez ça, hein ?
– Éteindre aussi, on aime bien ! En tout cas, moi je me suis bien chauffée dans la voiture !
– Ha, et puis aussi, nous sommes allées dans un sex shop. Là aussi on a fait de l’effet ! Tu te souviens que Viviane avait eu un œuf en cadeau ?
– Oui, très bien !
– Comme je voulais le même, j’ai cherché et j’en ai trouvé un mieux ! Un œuf vibrant, dix vitesses et télécommandé sans fil. C’est génial non ? Comme ça, l’un porte l’œuf et l’autre s’amuse avec la télécommande !
– J’imagine bien ! Et je suppose que tu le portes déjà ?
– Non, quand même pas, mais j’ai hâte de l’essayer.
– Essayez déjà vos nouvelles fringues !

Elles se regardent et s’exécutent sans la moindre discussion, comme si c’était déjà convenu.

Anne met la guêpière que lui attache Alice et chausse de très beaux escarpins rouges.

Alice endosse le bustier, les bas et le string et remonte sur ses talons. Elles sont merveilleuses et très excitantes. Les seins d’Alice sont superbement mis en valeur ainsi que sa chute de reins. Je me sens tout chose ! !

Elles le remarquent et m’allument grave ! Elles me frôlent, me caressent en passant, Alice s’assied en face de moi dans le canapé, s’allonge à moitié et lance une de ses jambes vers le plafond, exposant ainsi son anatomie intime, tout en se caressant un sein. Les yeux mi-clos, elle se fait chatte et me provoque avec la langue. Anne est à ses pieds, me tourne le dos et se cambre me tendant ses fesses dont le galbe et la clarté ressortent de leur encadrement noir ! Elle remonte et, jambes tendues et ouvertes m’expose elle aussi sa vulve luisante. Elle se passe la main sur la fesse à la façon d’une strip-teaseuse puis la met à la jonction des deux globes et descend lentement un doigt jusqu’à l’entrée de son anus.

C’est torride ! Je bande assez fortement.

Et, d’un coup, tout s’arrête ! Elles s’asseyent dans le canapé, sages, droites, jambes croisées, comme si elles étaient invitées à boire un thé chez une dame patronnesse ! Sauf la tenue, bien sûr ! Et la conversation reprend son cours, et porte sur le choix du menu qu’elles ont concocté chez le chinois, pour notre dîner de ce soir.

– Vous êtes de vraies garces ! Vous m’avez énervé et vous me laissez en plan ! C’est dégueulasse !
– C’est juste pour faire monter la tension ! Nous on s’est déjà chauffées dans la voiture; il fallait bien que tu rattrapes le retard !
– D’accord ! Compris. Et bien maintenant c’est fait. J’ai encore mouillé un Kimono !

Tout le monde se marre et, nous décidons de nous resservir un verre et ensuite de nous mettre à table. Je ne pense pas que nous travaillerons à la préparation du réveillon, ce soir; en tout cas, pas à la décoration de salle !

– Au fait Alice, tu ne mourrais pas d’envie d’essayer ton nouveau jouet ?
– Ho que si !

Elle ouvre un petit sac et en sort le gadget emballé. Il est bleu ciel, un peu plus long et moins gros qu’un œuf.

– Dommage que vous n’en n’ayez pas chacune un ! Le jeu serait plus drôle !

Elles se regardent, un sourire en coin. Elles y ont pensé ! Me dis-je.

– Tu nous sous-estime ! Évidemment que nous avons chacun le notre !
– Hé, oui ! Dit Anne, le mien est blanc mais c’est le même ! Alice m’a déjà imposé de l’avoir sur moi au travail !
– Ah ! D’accord ! Je sens qu’on va avoir de la baisse de productivité dans les semaines qui viennent !
– Tiens ! Prends les télécommandes, au lieu de dire des âneries, me répond Alice.

Toutes deux s’enfilent le petit œuf dans la chatte. Il n’y aura plus qu’a !

Je ne les fais du reste pas fonctionner tout de suite. Je fais semblant d’appuyer sur les boutons, je vais les faire languir.

– Hé, mais ça marche pas ce truc, je sens rien ! Dit Anne au bout d’un moment.
– Tu as raison, on a peut-être mal mis les piles ? Et puis tout à coup Alice percute : hé dis-donc ! Tu pourrais les mettre en marche non ?
– C’était bien aussi, de vous faire attendre ! Je vous vois toutes excitées à l’idée de ce que ça va vous faire !

Je branche enfin les jouets et la réaction ne se fait pas attendre. Surprises au départ de sentir la vibration à l’intérieur, elles ont toutes les deux le réflexe de serrer les jambes. Après quelques instants de fonctionnement en position moyenne sur les dix que comporte la commande, je les vois se tortiller légèrement, passer d’une fesse sur l’autre, croiser et décroiser les jambes, bref tout un tas de petits gestes qui montrent leur nervosité. Le cou et la gorge rougissent, je pense qu’il doit en être de même pour les fesses.

– Ça semble vous faire pas mal d’effet ce petit gadget !
– Tu n’imagines même pas ! C’est assez génial; je suis excitée, je sens le plaisir monter, mais ça plafonne ! Je n’arrive pas à aller au bout !
– Ça me fait la même chose dit Anne, c’est super ! D’un autre côté, t’imagines si tu te ballade dans la rue et tout d’un coup ton orgasme se déclenche ? Ce serait le gag !
– Alors, qu’est-ce qu’il vous manque pour jouir ?
– Un bon coup de bite ! Annonce Alice.
– Ça peut s’arranger, dis-je en me levant d’un bon !

Il est vrai que de les voir comme ça se trémousser, les tétons durcis, les yeux brillants, j’en suis moi même assez ému, je ressens des petites décharges électriques qui me parcourent tout le corps. Je défais le lacet de mon pantalon qui tombe sur mes chevilles, je m’en débarrasse et, la bite tendue, le gland en feu, détrempé de mouille, je me lance à l’assaut des deux vagins. Alice en premier, que je sens prête à exploser. Je lui prends les jambes derrière les genoux, tire le bassin en avant et la pénètre. Mon gland bute sur l’œuf vibrant qui m’envoie une décharge le long de la hampe. Surprenant ! Je reste quelques instants sans bouger pour profiter de cette sensation qui, la surprise passée est très stimulante. Mais Alice, au bord de l’orgasme, ne l’entend pas de cette oreille.

– Héé ! T’arrêtes pas, allez, bourres-moi, vite, à fond, nom de Dieu ! Hoo ! Je sens que ça vient !

Je reprends mes mouvements de bassin et en quelques allers-retours, Alice part accompagnant son orgasme d’un excès de foutre qui m’inonde la queue.

Je me sépare d’elle et m’occupe, de la même façon de Anne, brûlant, elle aussi, de l’envie de jouir. Je la plaque contre mes cuisses et lui donne de grands coups de reins rapides, elle ne résiste pas longtemps à ce traitement.

– Hoooo ! Ouiii ! Allez bouscules-moi, vas-y fort ! C’est bon, je viens, je viens, ouiiiiiiii !

Je vois pendant ce temps qu’Alice continue d’avoir des spasmes, le jouet continue de vibrer en elle et maintien la pression ! N’en pouvant plus elle se lève et éteint le bouton marche des deux télécommandes.

Pour ma part, je ressens le besoin d’éjaculer :

– Allez mes garces ! Finissez-moi !

Alice me prend dans sa bouche et Anne branle la hampe. À ce rythme, je ne tiens pas, du reste je n’en n’ai pas envie et me répand dans la bouche accueillante. Alice récupère tout ce qu’elle peut et partage mon sperme avec Anne dans un bouche à bouche endiablé !

Vraiment efficaces, les œufs ! Après ces émotions, nous passons à table reprendre quelques forces.

– Alors, Anne, parles-nous donc de tes invités au réveillon. Que l’on sache un peu à qui nous aurons à faire !
– C’est simple ! Sur les cinq invités, j’ai deux amies, Justine, une grande brune de 25 ans, belle, classe, des formes généreuses, surtout un cul à tomber par terre ! Je la connais depuis quatre ans et c’est devenu une confidente. Elle est généreuse, à tous points de vue et je la soupçonne d’être un peu zoophile !
– Ha, bon ?
– Oui, elle a un golden retriever qui la suit partout et, un jour où nous étions toutes les deux, ce cochon est venu me renifler où je pense ! Elle l’a rappelé et m’a dit simplement : excuses-le, je l’ai bien éduqué. Je ne serai pas surprise qu’elle ait voulu dire : je lui ai appris à faire plaisir ! Cela dit, ce n’est pas une saute au paf, mais elle ne laisse pas sa part au chien, c’est le cas de le dire !
– Houuu ! Intéressant ! Et les autres ?
– Mon autre amie, Charlène, elle est une sacrée cochonne ! Je le sais, elle me l’a avoué. Elle sort avec deux mecs, Jules et Marc. Ils font plus ou moins ménage à trois et d’ailleurs ils viennent ensemble au réveillon !
– Et le dernier invité ?
– Ha ! Le dernier c’est mon Julien ! Il a mon âge, beau comme un Dieu. Il habite mes fantasmes !
– Et pourquoi tu ne sors pas avec ?
– En fait, il est timide et j’ai la certitude qu’il n’a pas beaucoup d’expérience des femmes.
– Et alors ? Tu pourrais l’éduquer !
– J’aimerai qu’il me drague ! Je ne veux pas lui sauter dessus, je n’ai pas envie qu’il ait peur !
– Et tu l’invites ! Dans une orgie en plus !
– Il est prévenu et il a accepté. Ça lui permettra de profiter de la masse pour s’exprimer, ce qu’il n’ose pas faire en face à face. J’espère qu’il osera s’occuper de moi.
– C’est risqué, quand même ! Et s’il te juge mal en te voyant te lâcher et t’enfiler des bites à tour de bras ?
– Justement, je pensais rester plutôt avec lui que de me mélanger, en tout cas au début, le temps que l’ambiance se fasse.
– Avec les gugusses que nous avons invités, tout le monde va vite être mis dans l’ambiance, tu sais !
– C’est un risque, mais, de toute façon, ce que je suis devenue grâce à vous, je le resterai. Vous avez révélé ma vraie personnalité et s’il ne me prend pas comme je suis, il ne m’aura pas !
– D’un autre côté, tu n’as pas tord; il verra qui tu es et ne se fera pas des films et risquer de tomber de haut par la suite.
– Mais dis-donc, ta Justine elle ne vient pas avec son chien, quand même ?
– Bien sûr que non ! Elle, elle sait pourquoi elle vient ! Elle était même surprise d’apprendre que j’étais aussi Olé Olé ! Je vous ai parlé du chien parce que la dernière fois, Bernard s’est comporté comme un animal et j’ai fantasmé à l’idée que son chien aurait pu me faire la même chose !
– Décidément, tu nous surprendras toujours ! Coincée que tu étais, tu nous parles aujourd’hui de faire des trucs que nous même on n’oserait pas ! Tu es vraiment attirée par les extrêmes !
– J’ai envie d’essayer des tas de trucs ! Je veux tout connaître, même ce qu’on considère comme des déviances !
– Oui, on voit ça !

Et pendant que je lui réponds, je branche discrètement son œuf, au maximum. Elle sursaute, ne s’y attendant pas.

– Hé, bien ! Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Demande Alice, surprise !
– C’est ton mari ! Il m’a branchée à fond !
– Alors toi ! T’es vraiment un… Ha ! – je ne lui ai pas laissé le temps de finir sa phrase que j’ai fait la même chose pour elle !

Je me marre de les voir se tortiller sur leur chaise. Le temps de la surprise passé, nous continuons notre discussion, mais au fur et à mesure, les voix s’imprègnent d’émotion. Je baisse le niveau de vibration des œufs à 50 pour cent afin de juste maintenir l’état d’excitation.

– Alors comme ça, tu aimerais avoir une expérience avec un animal ?
– Pourquoi pas ? Histoire de voir ! Peut-être que je n’aimerai pas, que ça me dégoûtera, je n’en sais rien, puisque je n’ai pas essayé !
– Si tu veux plus qu’un chien, notre toubib à des chevaux !
– N’exagérons rien ! Et puis, je n’imagine pas un cheval dressé à faire l’amour à une femme !
– Je n’appellerai pas ça faire l’amour ! Dit Alice. Ça ne peut rester qu’un coït animal !
– Certes ! Mais, peut-être, peut-on prendre quand même son pied, dans un grand moment de solitude !
– Vas savoir ! En attendant, moi je prends mon pied avec un œuf !
– Chacun fait comme il peut ! Donc, pour en revenir à tes invités il y a quatre vrais tordus du sexe et un candide ?
– C’est un peu ça ! Et j’espère qu’après le réveillon, le cinquième me rejoindra, haaaa !

Et voilà, Anne prend son pied ! Je m’amuse comme un petit fou.

– Houaouu ! Reprend-elle, voilà un dessert surprenant ! Qu’est-ce que c’est bon ! J’adore venir chez vous !

– Nous aussi, on aime bien t’avoir avec nous. Tu nous apporte beaucoup de ciment dans notre couple.
– Ça se voit, vous êtes fusionnels !
– Oui, mais là, dit Alice, c’est ma chatte qui est en fusion ! Il me faut quelque chose pour me faire venir !
– Attends ! Je m’en occupe. Dit Anne.

Elle descend de sa chaise, se met entre les jambes d’Alice et lui prodigue un cunnilingus qui la fait jouir en deux minutes chrono !

– Ouuuff ! Merci Anne. Tu m’as fait du bien. Ces œufs sont extras, mais il ne faut pas être seule ou alors c’est la frustration assurée !
– Ça ne vous dérange pas que je sois là ? Demande-je. Si vous voulez, je fais le service. Voulez-vous un thé ?
– Hum ! Bonne idée, chéri ! Fais-nous donc un thé.
– J’y vais.

À la cuisine, je prépare la théière, je charge un maximum de thé au jasmin et rajoute de la fleur d’oranger. Mais ce n’est pas de l’eau que je fais bouillir. J’ai une grosse envie de pisser et l’idée me vient de le faire dans la casserole que je tiens à la main. Je fais bouillir le liquide et le verse dans la théière.

Quelques minutes après, je reviens avec le plateau sur lequel sont posées les tasses et la théière.

– Alors, il est bon ? Demandé-je une fois qu’elles sont servies.
– Excellent, mais il n’est pas comme d’habitude. Qu’est-ce que tu as mis ?
– De la fleur d’oranger.
– Oui, ça j’ai senti, mais il y a autre chose !
– Oui, mon eau !
– Ton eau ? Demande Anne.
– Oui, de l’eau de mon corps !
– Salaud, tu as pissé dedans ! T’est vraiment un gros dégueulasse !
– C’était pour me venger de tout à l’heure !
– Idiot ! Tu sais bien qu’on ne te laissera pas en plan, on a trop besoin de ta queue !
– Oui, mais puisque c’est comme ça, tu vas baver ! Dit Anne en se rapprochant d’Alice.

Elles se caressent, d’abord gentiment, puis peu à peu s’enflamment et se gouinent carrément. J’assiste à la scène, installé dans mon fauteuil, mon sexe grandissant au vu des ébats. Je finis par avoir une maousse érection, mais je me retiens de me masturber.

J’admire Alice, faisant le grand écart au dessus de la bouche d’Anne, tout en lui caressant le clitoris avec son majeur. Anne lèche celui d’Alice avec volupté tout en lui caressant un sein d’une main et une fesse de l’autre, n’oubliant pas d’insérer de temps en temps un doigt dans l’anus affamé.

La scène est d’un érotisme torride.

Alice se laisse aller, les yeux révulsés, la tête en arrière et arrose abondamment le visage d’Anne qui éclate de joie de l’avoir fait jouir. Puis Alice se penche en avant et rend la pareille à sa partenaire, lui suçant le bouton tout en la pénétrant avec trois doigts réunis. Son orgasme la fait vibrer de tout son corps et moi, je suis aux anges. Je prends un super pied à les regarder faire, ma queue est secouée de spasmes j’en arriverai presque à éjaculer sans toucher à rien. C’est Divin !

– Attends, je reviens, dit Alice.
– C’est vraiment génial me dit Anne; j’en deviendrai presque lesbienne !
– Je pense que c’est bon parce que c’est mixte ! Rien que le fait qu’un homme te regarde, ça t’excite.
– Oui, je crois que c’est ça ! Quand tu regardes, ça décuple mon plaisir.

Alice s’est dépêchée. La revoilà harnachée avec le gode ceinture, le lubrifiant à la main.

– Viens ma chérie, dit-elle, tournes-toi que je te prépare.

Anne se met à quatre pattes et Alice lui enduit la rondelle de lubrifiant, pénètre avec un puis deux doigts pour assouplir l’anus. Considérant qu’Anne est prête, elle la pointe avec le gode et l’enfile de toute la longueur de la tige de latex.

– Humm ! Ho que c’est bon ! Tu m’encules bien, c’est génial !

Anne dit tout cela en me regardant droit dans les yeux, provocante à souhait. Alice aussi, me regarde, un large sourire éclaire son visage.

– Tu vois, il n’y a pas que toi qui puisse prendre une femme. On peut se passer de toi !
– Je vois ! Ça ne me dérange pas, au contraire ! J’adore vous voir vous gouiner !
– Et toi, ma chérie tu aimes que je te baise ?
– Hoo, oui ! J’adore ça ! Tu t’y prends tellement bien ! Baises-moi bien le cul, éclates-moi le fion !
– Hé, hé ! Tu aimes te faire dilater la rondelle ! Je vais te le défoncer, moi, ton trou à merde.

Elles prennent plaisir à être grossières, sachant que ça va m’exciter encore plus !

D’ailleurs, mon méat laisse couler un filet presque continu de liquide séminal. Bien que je bande mou, je suis tendu de l’intérieur, j’ai des frissons qui me parcourent le corps et l’impression que des dizaines de papillons cherchent à sortir de mes orteils ! Mais je ne bronche pas; je reste les bras posés sur les accoudoirs du fauteuil, je reste impassible, seuls mes yeux suivent la scène.

– Regardes-le ce salaud ! Il n’en perd pas une miette.
– Ça te plait, hein de voir deux chiennes en chaleur se défoncer ! J’ai le cul en feu, elle me le défonce bien ta femme ! Elle m’éclate ! Haaaa ! Je sens que je vais jouir ! Continue Alice, ne t’arrêtes pas, vas-y troue moi le cul, plus vite c’est bon !

Anne se masturbe en même temps afin de faire monter son orgasme plus vite. Elle l’atteint dans un long gémissement, un sourire salace aux lèvres et toujours son regard braqué sur moi.

– Alors, mon cochon ! Me dit Alice, tu veux y goûter aussi ?
– Pourquoi pas ? Il y a longtemps que je ne me suis pas fait ramoner.
– Anne va te préparer. Tournes-toi !

Je m’exécute, à genoux devant le fauteuil, j’écarte les cuisses et creuse mes reins. Anne commence par me faire une feuille de rose, insérant sa langue dans le trou étoilé, puis, enduit de lubrifiant le pourtour et l’intérieur de l’anus. J’aime me faire doigter, la sensation est très agréable et impose le lâcher prise si on veut en tirer du plaisir. Alice s’installe dans le fauteuil, à ma place. Je me relève, me retourne et descend lentement sur la queue artificielle, jusqu’au bout. Prenant appui sur les accoudoirs du fauteuil, je monte et descend le long du vît. Alice me caresse les fesses, Anne devant, passe ses mains sur mes cuisses ne quittant pas mon sexe des yeux. Puis elle me prend les couilles et les malaxe, les tires vers elle essayant de distendre la peau au maximum. J’accélère mon mouvement d’ascenseur et ma queue ballotte de haut en bas au rythme de mes allers-retours.

– Aller mon chéri, vas-y, laisses toi aller, tu vas jouir hein mon salaud, tu t’éclates bien sur ma queue ?
– Ha, oui ! Je me fais un bien fou ! Je me défonce bien la rondelle, ça me remplit, c’est le pied !

Anne s’est approchée et tente de me sucer la queue, mais mes mouvements sont trop vifs. Elle se contente de me lécher les couilles.

– Tu veux le sucer ? Demande Alice.
– Elle me fait envie cette bite toute molle qui se ballade devant mes yeux !
– Arrêtes-toi ! M’ordonne Alice. Soulèves-toi un peu.

Je relève mes fesses, elle avance les siennes au bord du fauteuil afin de se donner de l’amplitude de mouvement et c’est elle qui me donne des coups de reins et me pénètre. De fait ma queue est beaucoup plus stable et Anne peut la prendre en bouche.

Mais elle a beau branler, sucer, je ne bande pas, trop concentré sur la pénétration que me fait subir Alice.

– Tu peux arrêter ma chérie, dis-je à Alice au bout d’un moment. J’ai vraiment pris un grand pied.
– Mais, tu n’as rien dit ! S’exclame Anne.
– J’ai intériorisé, c’était génial !
– Et tu ne veux pas jouir ?
– Mais j’ai joui !
– Je veux dire, tu ne veux pas éjaculer ?
– Je n’en n’ai pas besoin. Mais si tu veux t’abreuver, ne te prive pas, vas-y.

Je vais m’asseoir dans un autre fauteuil et Anne s’active entre mes cuisses à me faire bander. Au bout de cinq minutes, mon gland est gonflé mais ma queue reste souple.

– Alice qui connaît la musique, s’en amuse.
– Ne t’inquiètes pas, il ne va pas tarder à venir, c’est son jeu favori !

Alice ayant dévoilé une partie de mon secret, je cesse de faire languir Anne.

– Mets ta bouche, ma grande, je vais jouir. Vas-y pompes !

Anne aspire ma queue tout en la branlant et je me répands dans sa bouche.

Elle est ravie !

Tout le monde étant satisfait et repu, nous décidons de mettre fin à cette soirée lubrique et allons nous coucher.

Demain il fera jour !

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *