J’avais choisi ce café parce que ma patronne me l’avait recommandé, je
cherchais un coin tranquille pour dîner et il y avait des pâtes au gratin au
menu du jour. Mon téléphone portable sonna, c’était ma patronne au bout du
fil (une femme autoritaire d’une quarantaine d’année avec un physique de
diablesse). Elle m’engueulait pour un motif quelconque car j’étais le petit
dernier dans la boîte et elle prenait beaucoup de plaisir à inculquer à
chaque nouveau mâle qu’il se devait de la respecter et de lui obéir au doigt
et à l’oeil. Mal à l’aise et oubliant où j’étais, je parvenais avec peine à
articuler des « Oui madame », « veuillez m’excuser ceci ne se reproduira plus »,
« Mes respects madame », « … »
Ma conversation avait attiré le regard d’une superbe créature. Je ne sais
trop comment elle s’était rendu compte de ma faiblesse dont moi-même
j’ignorais l’existence, mais c’est sûr au premier regard elle sut que je
serais son jouet. Dès qu’elle a posé ses yeux sur moi j’ai baissé mon regard
et mes joues sont devenues rouges. Elle n’avait rien perdu de ma
conversation.
Elle s’est approchée de moi et m’a remis un billet en m’invitant sèchement à
le lire de suite devant elle. J’ai ouvert la lettre pliée, et debout au
milieu du café j’ai lu tandis qu’elle me fixait d’un regard sévère qui me
mettait très mal à l’aise comme un gamin qui sait au fond de lui qu’il n’a
rien fait mais qu’il sera tout de même grondé simplement parce qu’il a le
visage de la victime idéale.
Le mot disait:
« Tu ne peux pas me mentir, tu seras mon jouet et comme un pantin docile
tu feras tout ce que je te demanderais sinon tu auras une punition dont tu
te souviendras longtemps. Reviens dans ce café dans trois jours pour midi.
Tu seras vêtu d’un imperméable long sous lequel tu porteras le plus beau
porte-jaretelle de ton épouse avec des bas qu’elle aura porté pendant
plusieurs jour de même qu’un slip empreint de son odeur. Débrouille-toi pour
lui faire porter les mêmes pendant deux jours. Le dernier jour tu devras la
faire transpirer de sorte que les bas soient imprégnés de sa sueur et tu
l’exciteras pour que son slip soit baigné de son jus. Tu lui subtiliseras le
tout que tu mettras dans un sac en plastique hermétiquement fermé afin
d’empêcher le slip et les bas de sécher.
Le lendemain, une demi-heure avant de venir au café tu mettras les bas
poisseux et le slip humide comme ça tu seras déjà toute mouillée lorsque
l’on t’amènera à moi. J’utilise le féminin car pour moi tu va devenir une de
mes chiennes vicieuses que je me ferais un plaisir de dresser comme il se
doit!
Au café, pendant que tu attendras qu’on vienne te chercher, je veux que tu
laisses entrevoir à un maximum de filles présentes ton accoutrement en les
fixant droit dans les yeux. Attention, si un homme s’en aperçoit, mon
châtiment sera exemplaire.
Une femme en minijupe perdue dans la foule répondra à ton regard en écartant
les jambes et les cuisses pour que tu puisses voir le godemiché planté dans
son sexe. Elle retirera le godemiché et le tiendra debout sur la chaise à
côté de la sienne dissimulé sous la nappe. Tu te lèveras et tu iras
t’empaler sur ce sexe baveux couvert du jus d’une inconnue. Elle se lèvera
et tu la suivras sans un mot en serrant les fesses de sorte à ne pas perdre
ce précieux jouet qui m’appartient et que tu te dois de me rapporter en bon
chien-chien qui ramène bien le bâton à sa maîtresse ! »
Je restais là sans voix, mon alliance avait du trahir le fait que je sois
marié, et pour le reste elle ne s’était pas trompée sur mes penchants. Avant
de partir, elle agrippa mon entrejambe discrètement et serra suffisamment
fort pour que je comprenne qu’elle était plus que sérieuse.
J’ai mis plus d’une heure à me remettre de cette rencontre et après
plusieurs cafés je suis rentré chez moi. Je n’étais plus dans mon état
normal et toute la nuit j’ai repensé à cette rencontre et je me suis imaginé
réalisant l’impossible pour moi, jamais je ne trouverais de prétexte pour
que ma femme, qui est si prude et si propre sur elle, ne change pas de bas
ni de slip pendant aux moins deux jours.
La honte m’envahissait déjà mais plus j’y pensais plus cette honte se
transformait en désir, j’eu une érection comme jamais ma femme n’avait pu
m’en susciter jusque là, même pas les magazines ou les cassettes que je
regardais en cachette ne parvenaient à me faire un tel effet.
Et même si j’y arrivais, la suite me semblait encore plus inaccessible, il
fallait exciter ma femme en dehors du lit conjugal sinon le slip serait
remplacé par un propre. Elle qui ne conçoit le sexe que pour faire des
enfants!
Après cela il me faudrait m’humilier à la face du monde, même si personne ne
me connaissait dans cet endroit. Puis m’enculer de mon propre chef avec un
gode dont je n’ose imaginer la taille, moi qui n’ai tout au plus
qu’introduit un petit doigt dans mon anus en me masturbant en cachette dans
la remise au fond du jardin, la porte entrouverte, toujours à l’affût pour
ne pas me faire prendre par ma femme. J’avais mal au cul rien que d’y penser
mais mes lèvres s’humectaient de désir et mon sexe bandait de plus belle.
Tout cela n’était rien face à l’inconnu de ce qui m’attendait. Si toute
cette mise en scène n’était qu’un préambule, la suite devrait forcément être
plus perverse et plus intense encore. Serais-je fort assez pour le supporter
ou me mettrais-je à pleurer au moindre petit mal qu’on ferait subir à ma
personne. C’est que je ne connais rien au sado-masochisme qu’il soit soft,
hard ou extrême. Qu’est-ce qui peut pousser des gens à se faire torturer
moralement, voire physiquement?
C’est la que réside tout le mystère, c’est justement ce qui m’attire. Si mon
esprit se refuse à de tels débordements, tout mon corps le réclame à
présent. Ai-je été ensorcelé ? Suis-je dingue ou anormal ? Je ne saurais
dire quelle pulsion m’a guidé mais j’ai commencé à chercher une solution.
Cette fille me tétanisait tout en m’excitant au plus haut point.
Pour le slip et les bas, j’ai fini par trouver une solution. Ma femme prend
une douche tous les matins et elle dépose ses petites affaires sur la manne
à linge. J’ai replié le slip sale et les bas et j’ai remplacé les dessous
propres par les dessous souillés. En sortant de la douche et après s’être
essuyée, avec les vapeurs dégagées par la chaleur de l’eau de la douche,
elle a enfilé machinalement son slip et ses bas sans se rendre compte de
quoi que ce soit. Je n’aurais jamais cru que ça fonctionnerait. Demain ça
serait plus dur, les sous-vêtements auront déjà deux jours. Et pourtant à
mon grand étonnement, le même truc a encore fonctionné, j’étais avec elle
dans la salle de bain et je lui parlais constamment pour la distraire. Elle
utilise tellement de savon que la salle de bain ressemble à une parfumerie
lorsqu’elle a terminé de se laver si bien que l’odeur dégagée par les bas
passait totalement inaperçue.
En rentrant le soir il fallait exécuter la suite de mes instructions. J’ai
pourtant eu de la chance, ce jour là, il faisait un peu plus froid et elle
avait opté pour ses grandes bottes fourrées en cuir noir. Lorsqu’elle a
retiré ses bottes, elle a directement été dégoûtée par l’odeur au point de
jeter les bas dans le bac à ordures. Dès qu’elle a eut le dos tourné je me
suis empressé de les récupérer. Ils étaient trempés de sueur et l’odeur
qu’ils dégageaient prenait à la gorge. Pourtant je n’ai pas résisté et je
les ai reniflé, puis je les ai mis dans un sac en plastique hermétique.
Il fallait encore la faire mouiller dans son slip. J’ai acheté de la liqueur
de fraise, elle adore ça et tant qu’il en reste dans la bouteille, son
penchant pour cette liqueur est le plus fort. Bref vers 22 heures elle était
complètement sonnée dans le divan. La femme distinguée bien sous tout
rapport qu’elle est habituellement était bien loin maintenant et c’est sans
difficulté qu’elle m’a laissé la caresser à travers son slip. Je l’ai fait
jouir plusieurs fois avant de l’emmener à la salle de bains. Dans la salle
de bain j’ai enfin pu lui retirer son slip. J’avais mon deuxième trophée.
Comme pour les bas, je n’ai pu m’empêcher de sentir ce slip à plein poumon
devant ma femme qui me regardait en rigolant. Le slip a terminé dans le
sachet en plastique avec les bas.
Pendant ces trois jours, je me suis aussi préparé en partie pour le
godemiché. Après mettre garni l’anus et les doigts de beurre, j’ai commencé
par m’enfoncer le manche rond d’une petite brosse à cheveux. Quelle
découverte ce fut pour moi. Je ressentais en moi des ondes de bien être, mon
corps tout entier était parcouru de spasmes et de frissons. Après 5 minutes
de ce petit jeu, je suis passé au manche de mon plus gros tournevis, puis au
manche en bois cannelé d’un vieux parapluie. J’ai démonté le manche du
parapluie et je l’ai gardé en moi la deuxième nuit. Je le perdais de temps
en temps mais à force de serrer mes fesses j’ai fini par m’endormir et le
lendemain matin lorsque je l’ai enfin retiré, j’avais l’impression d’avoir
l’anus écartelé. Toute la journée j’ai continué à sentir la présence du
manche qui n’était pourtant plus là, serrant les fesses par réflexe de peur
de le perdre. Je crois que j’étais déjà prisonnier de ce phantasme et j’ai
su à cet instant précis que j’irais jusqu’au bout. Le dernier jour, j’ai
réussi à m’enfoncer un concombre de taille moyenne, je n’imaginais pas que
cela puisse faire aussi mal. Comme il sortait du frigo, il était glacé et ce
froid me brûlait l’intérieur.
Le jour du rendez-vous était arrivé. Ne sachant pas jusque qu’elle heure
j’allais flirté avec le diable, j’avais dis à ma femme que j’avais un dîner
d’affaire le soir. Comme cela arrive souvent pour de vrai, elle ne s’est pas
méfiée ! Pour mon rendez-vous, ma belle inconnue n’avait pas précisé que je
ne pouvais pas utiliser quoi que ce soit pour rendre l’introduction du gode
moins douloureuse, alors j’ai opté pour une lotion spécialement prévue à cet
effet, sans odeur, comestible et non grasse. Le slip était toujours trempé
mais froid, pareil pour les bas que j’eus beaucoup de mal à enfiler sans les
abîmer. Maladroitement j’ai mis le dessus du porte-jarretelle et j’attachais
tant bien que mal les bas. Heureusement, je ne suis pas beaucoup plus grand
que ma femme si bien que les bas étaient tendus mais pas trop. J’avais
acheté, la veille, un imperméable trop grand pour moi de sorte que mes
jambes et même mes pieds étaient complètement cachés dessous.
A l’heure dite, je me suis assis dans un coin du bar et j’ai commandé un
café. Je transpirais de peur tellement j’avais l’impression que les gens
voyaient à travers mon manteau comment j’étais accoutré. Pour le moment il
n’y avait que deux filles dans le bar juste en face de moi, à deux tables de
la mienne. Aucune ne prêtait attention à moi, et j’essais maladroitement de
capter le regard d’une des deux filles. Je me mis de biais sur ma chaise
pour qu’elles me voient sans que la table ne gêne leurs regards. Les jambes
écartées, j’entrouvrais le bas de mon imper suffisamment haut pour quelles
puissent voir mon sexe gonflé dans le petit slip. Ce n’est qu’au bout de la
quatrième tentative que l’une des deux s’aperçu de mon manège. Elle donna un
coup de coude à sa copine et lui souffla quelque chose à l’oreille. Dès cet
instant elles ne me quittèrent plus des yeux. J’osais à peine y croire, mais
une des filles avait glissé sa main sous la table entre les cuisses de sa
copine qui me regardait en lançant une oeillade. J’ai sorti mon sexe durci
et je l’ai caressé par de léger va-et-vient. Au bout de trois à quatre
minutes de ce petit jeu, les filles sont parties vers les toilettes.
J’aurais aimé les suivre, mais on m’avait ordonné de rester dans le café.
Après une demi-heure d’attente, le café comptait sept filles de tout âge,
hormis les deux garces qui étaient toujours dans les WC. J’ai montré mes
dessous, deux femmes plus âgées ont quitté le café choquées mais
heureusement pour moi sans rien dire, trois jeunes filles ont pouffés de
rire, les 2 autres femmes n’ont jamais rien vu, trop occupées qu’elles
étaient à dénigrer leur mari. Je crois que même un tremblement de terre ne
les aurait pas dérangé.
Les deux filles du début ont fini par ressortir des toilettes, elles ont
payé leurs consommations et avec un grand sourire m’ont dit merci en
quittant le bar. C’est en me retournant pour les regarder sortir que
j’aperçus une superbe brune dans un coin prêt du distributeur de cigarette.
La table était séparée de toute les autres et plus ou moins à l’abri des
regards car un grand porte manteau bien rempli se dressait entre la table et
le distributeur. La fille me regarda fixement en décroisant ses jambes. Elle
écarta ses cuisses au maximum sous la table et je pu entrevoir le monstre
rose, veiné et plus vrai que nature qui dépassait à peine de son sexe. D’une
main experte, elle retira l’engin de son vagin et comme convenu, elle le
tint dressé au centre de la chaise à côté d’elle. Je me suis levé pour la
rejoindre et en arrivant prêt de la table je me rendis compte que si les
clients du café ne pouvait pas nous voir, tous les passants le pouvaient car
nous étions devant une grande vitrine. J’ai reculé la chaise, j’ai passé mon
imper par-dessus de sorte que la chaise entière soit dissimulée sous mon
vêtement. Je me suis tourné vers la messagère en quête de pitié mais elle me
regarda méchamment en disant :
« Dépêche toi, on nous attend ! Tu ne voudrais pas arriver en retard à ton
premier rendez-vous! La punition serait terrible, ma maîtresse exige la
ponctualité! »
J’ai inspiré un bon coup et j’ai retenu ma respiration en m’asseyant
lentement sur la chaise. A côté de cela,le concombre que j’étais si fier
d’avoir dompté malgré la douleur, c’était de la franche rigolade. J’ai
écarté le slip et j’avais à peine introduit le gland que ma brune me poussa
en arrière et s’assit d’un coup sec sur mes genoux. Je me mordis la lèvre
pour ne pas hurler de douleur, des larmes me vinrent aux yeux, ma
respiration était saccadée et j’ai bien cru que j’allais m’évanouir. Je
n’aurai pas besoin de serrer les fesses, jamais ce truc ne pourrait tomber
de là où il était maintenant. Je priais au fond de moi même en espérant que
ça ne ferait pas aussi mal lorsqu’il faudrait le retirer. Elle m’a laissé
cinq minutes pour me ressaisir et après avoir payé nos consommations
respectives, nous avons enfin quitté le café.
Dehors, elle m’attira dans une ruelle et sorti une paire de ciseaux. Elle
coupa tout l’intérieur de ma poche gauche de sorte qu’elle pouvait mettre sa
main dans ma poche et accéder à mon sexe comme bon lui semblait sans que
personne ne remarque rien. Elle passa mon bras gauche autour de son cou et
elle plongea sa main droite dans ma poche, elle attrapa mes couilles dans sa
main et tira dessus vers l’avant pour que je la suive. Nous étions de
nouveau dans la rue, on s’est arrêté pour prendre le bus, elle m’a fait
prendre deux billets pour un quartier que je connais pas. Le bus était bondé
et nous étions collés l’un à l’autre.
Avec le monde qu’il y avait, j’étais à sa merci, personne ne prêtait
attention à ce qu’elle faisait de ses deux mains. Elle sortit de sa poche
une petite télécommande et lorsqu’elle enfonça le bouton, le godemiché
planté dans mon cul commença à vibrer silencieusement. Elle jouait avec une
molette sur la télécommande pour augmenter au maximum les vibrations. Je
n’avais jamais rien ressenti de pareil, je ne me reconnaissais pas, j’étais
presque occupé à me délecter de la situation. Elle remis la télécommande
dans sa poche et commença à me pincer le sexe jusqu’à ce que je bande.
Ensuite, de ses longs ongles vernis de rouge vif elle me griffa le sexe sur
toute sa longueur. Par moment elle alternait par des pincettes tantôt sur le
gland tantôt sur les couilles. J’avais mal et je serrais très fort la main
courante pour ne pas crier. Quand elle estima m’avoir fait assez souffrir,
Elle me branla. La situation me semblait tout à fait irréelle, j’étais là,
debout dans un bus, à me faire astiquer le manche par une superbe fille.
Lorsqu’elle sentit que ma jouissance était proche, elle sortit un pot sans
couvercle de sa poche et récupéra toute ma semence. Avant de le fermer, elle
trempa un doigt et me dit à l’oreille :
« lèche mon doigt petit cochon! ».
Je m’exécutais avec dégoût. Je m’étais toujours demandé quel goût pouvait
avoir le sperme sans jamais avoir osé y goûter. C’était chaud et aussi
visqueux qu’une huître, le goût était prononcé, mais ça n’avait rien de
dégoûtant. Je me suis surpris à me demander si le sperme de tous les hommes
avait le même goût. Je devenais de plus en plus pervers au fur et à mesure
des expériences qui m’étaient infligées!
Elle arrêta les vibrations et nous avons troqué le bus pour un taxi. Elle
m’a fait m’asseoir derrière le chauffeur. En route, elle commença à se
caresser sous son manteau légèrement entrouvert pour que je puisse voir.
Cela m’excita beaucoup et c’était bien là le but recherché par cette petite
vicieuse. De temps en temps elle plongeait un doigt dans son sexe et me le
mettait sous le nez puis dans la bouche. Il dégoulinait d’une cyprine
blanchâtre et laiteuse très consistante. Elle devait se retenir depuis
longtemps pour mouiller comme ca ou alors c’était une vraie nymphomane. Elle
me branla à nouveau et récupéra mon jus dans son petit pot. Ce manège
commençait à éveiller ma curiosité et attisait mes peurs sur ce qui
m’attendais.
Nous avons fini par pénétrer dans un grand parc au centre duquel se dressait
un manoir très ancien. L’endroit était reculé de tout et si quelqu’un devait
crier ici, personne ne pourrait l’entendre à des kilomètres. Une fois le
taxi disparu, ma tortionnaire me retira mon imper et le posa par terre. Elle
se retourna vers une fenêtre et une main lui fit un signe. Elle s’agenouilla
devant moi, passa un bras entre mes jambes et saisi le vibro. Elle le retira
de mon cul et entama un va et vient qui réveilla ma libido. De l’autre main,
elle libéra mon sexe du slip et entama une fellation. Elle ne se gêna pas
pour me mordiller le sexe et les couilles. je fini par craquer et une fois
encore elle collecta le fruit de mes entrailles dans son petit pot.
Elle se releva et me cracha au visage en disant :
« dégoûtant, tu m’en a mis sur la figure, Lèche ça tout de suite ».
Je lui ai léché le visage lentement comme pour en profiter un maximum et
elle se fâcha :
« dépêche toi, on n’a pas toute la journée! ».
Lorsque la toilette du visage de madame fut terminée, elle sorti des
menottes et m’attacha les mains dans le dos pris mes bottes et mon imper et
entra dans le manoir me laissant seul au milieu de la cour.
J’avais l’impression d’être là depuis des heures lorsque enfin le porte
s’ouvrit et deux filles habillées en soubrette vinrent me chercher. Elles
portaient des souliers vernis, noir avec de grand talons (Il devait
d’ailleurs être très déplaisant de marcher avec de telles chaussures), des
bas mi-court, une minijupe qui ne cachait rien de leur anatomie, pas de
slip, un grand décolleté qui dévoilait leur poitrine à tous les regards et
une coiffe sur la tête pour compléter le costume de la parfaite servante
sexy, obéissante et prête à tout.
à suivre
juste pour vous titiller l’esprit, un avant goût des prochains
chapitres:
CHAPITRE II – Le manoir
Une fois la porte franchie que s’est il passé? Pourquoi avoir exigé des bas
souillés de même qu’un slip usagé. Le petit pot de sperme servira à quoi? Et
que présage le vibro dans l’anus?
CHAPITRE III – L’apprentissage de l’obéissance
Suite à la première humiliation, je ne suis pas allé au second rendez-vous
le facteur a apporté une grande enveloppe heureusement c’est moi qui ai
ouvert l’enveloppe et pas ma femme. Qu’y a t’il dans cette enveloppe qui me
mette si mal à l’aise?
CHAPITRE IV – Ma patronne, une amie de ma maîtresse
De plus en plus, je commençais à croire que le hasard n’étais plus de mise
et qu’une conspiration s’élevait contre moi dans l’ombre, ma patronne est
une amie de ma nouvelle maîtresse!
CHAPITRE V – L’heure du partage
Ma maîtresse décide de me prêter à une autre de ses amies. Que fera-t-elle
de moi. Ce chapitre pourrait être confié à Wanda-lee?
CHAPITRE VI – La clé de l’énigme
Mon épouse n’est pas la sainte-nitouche que j’imaginais et est de mèche avec
toute cette histoire. Comment et pourquoi?
CHAPITRE VII – Le cadeau d’anniversaire
C’est mon anniversaire, la maîtresse me donne l’ordre de devenir le maître
au manoir le temps d’un week-end. Elle sera ma chose pour deux jours et
trois longues nuits d’amour.
CHAPITRE VIII – La maîtresse reprend son dû
Satisfaite de tout ce que je lui ai fait subir, en bonne maîtresse, mon
châtiment sera pervers et raffiné.
CHAPITRE IX – La roue du plaisir
le principe de la roulette mais version hard avec beaucoup de vice à la clé
CHAPITRE … => peut-être